En Afghanistan, les femmes alarmées par les premières mesures des Taliban

Malgré leurs promesses « d’ouverture », les Taliban ont annoncé de premières mesures inquiétantes pour les droits des femmes en Afghanistan. Parmi elles, la fin de la mixité dans les universités ou encore l’interdiction de la pratique sportive.

Lire ICI

Loi anti-avortement : l’administration Biden porte plainte contre le Texas


Le ministre de la justice, Merrick Garland, lors d’une conférence de presse, à Washington, aux Etats-Unis, annonçant la plainte de l’administration Biden contre le Texas pour sa loi contre l’avortement, le 9 septembre 2021. ALEX WONG / AFP


La législation entrée en vigueur le 1er septembre interdit l’IVG dès que les battements de cœur de l’embryon sont détectés, soit à environ six semaines de grossesse. Une mesure « clairement inconstitutionnelle », a déclaré le ministre de la justice.

Lire ICI

Communiqués de la LDH

La contraception va devenir gratuite pour toutes les femmes jusqu’à 25 ans



Invité sur le plateau de France 2 ce jeudi matin, Olivier Véran, le ministre de la Santé, a fait savoir que la contraception deviendrait gratuite pour toutes les femmes jusqu’à l’âge de 25 ans, dès le début de l’année prochaine.

Lire ICI

« Questions-réponses » sur les Afghan·e·s fuyant les talibans


Des femmes afghanes ayant fui leur province dans le nord du pays, photographiées parmi des tentes mises en place dans un parc public à Kaboul, Afghanistan, le vendredi 13 août 2021. Deux jours plus tard, le dimanche 15 août, les talibans ont saisi le contrôle de la capitale. ©2021 AP Photo/Rahmat Gul


Un programme global de réinstallation des réfugié·e·s est nécessaire de toute urgence. Tous les gouvernements devraient veiller à ce que les Afghan·e·s menacé·e·s de persécution aient la possibilité de demander l’asile, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui dans un nouveau document « questions-réponses ».

Lire ICI

« Historique » : le Mexique décriminalise l’avortement, à rebours du Texas


Une manifestation pro-IVG à Guadalajara, dans l’ouest du Mexique, en septembre 2020. (ULISES RUIZ / AFP)


Il sera désormais inconstitutionnel de poursuivre une femme ayant avorté dans les cas validés par la Cour suprême.

Lire ICI

Urgence humanitaire en Afghanistan

Afghanistan 

Afghanistan : le Secrétaire général de L’ONU convoquera le 13 septembre une réunion humanitaire de haut niveau pour répondre aux besoins croissants du pays

Lire ICI


Les femmes dans les rues de Kaboul pour revendiquer leurs droits sous le régime taliban



Voir ICI


Les Européens désarmés après le choc afghan


Le ministre slovène des affaires étrangères Anze Logar (à gauche) et le haut représentant européen de l’Union pour les affaires étrangères Josep Borrell (à droite), lors d’une réunion informelle des ministres des affaires étrangères de l’UE, à Kranj (Slovénie), le 2 septembre 2021. JURE MAKOVEC / AFP


Les Vingt-Sept restent prudents sur le concept d’une défense européenne, embryonnaire jusqu’ici, et qui apparaîtrait, pour certains, comme une possible mise en concurrence de l’OTAN.

Lire ICI


« Les filles, c’était merveilleux de sentir mes cheveux » : en Turquie, la Toile qui délivre du voile

ILLUSTRATIONS YANN LE BEC POUR M LE MAGAZINE DU MONDE


Le site Internet « Tu ne marcheras pas seule » publie les témoignages de jeunes femmes qui ne veulent plus porter le voile et aspirent à s’émanciper de leur milieu conservateur. Quatre d’entre elles racontent.

Lire ICI

« Vous n’avez jamais été enceinte » : la riposte de la porte-parole de la Maison-Blanche, à un média anti-IVG


Jen Psaki à la Maison-Blanche, le 2 septembre 2021. (C-SPAN)


VIDEO. Cet échange est survenu alors que la Cour suprême a refusé de bloquer une loi au Texas qui limite drastiquement le droit à l’IVG.

Voir ICI


Afghanistan


Zarifa Ghafari, plus jeune maire d’Afghanistan : « La communauté internationale nous a abandonnés »


Depuis 2018, Zarifa Ghafari était maire de Maidan Shar, 50 000 habitants, non loin de Kaboul. Elle est aujourd’hui réfugiée en Allemagne. © Radio France


EXCLUSIF – Obligée de fuir l’Afghanistan par crainte d’être tuée par les talibans, cette militante féministe et plus jeune maire d’Afghanistan demande à la communauté internationale de dialoguer avec les talibans pour faire pression sur eux et les obliger à garantir le respect des droits de l’homme.

Lire ICI



Quel accueil pour les Afghans en Europe?


Un camp de réfugiés de fortune à la base militaire américaine de Ramstein, en Allemagne, le 1er septembre 2021. AP – Markus Schreiber


Depuis la chute de Kaboul à la mi-août les américains et leurs alliés ont évacué selon le pentagone plus de 123.000 Afghans. Beaucoup de pays de l’UE ont participé à ces évacuations, la France à hauteur de 2.600 personnes, de 4.800 pour l’Italie,  5.200 pour l’Allemagne parmi les principaux. Avec le retour des talibans au pouvoir l’ONU s’attend à ce qu’un demi-million d’Afghans quittent leur pays ; c’est l’estimation haute de l’organisation mais quel que soit leur nombre seront-ils accueillis ? 

Lire ICI



La Grèce se ferme aux réfugiés afghans


Manifestation de soutien organisée par des réfugiés afghans déjà présents en Grèce, le 28 août 2021 à Athènes. Crédit : AP

La prise de Kaboul par les Taliban a coïncidé à quelques jours près avec la finalisation, en Grèce, de l’extension d’un mur de 40 kilomètres le long de sa frontière terrestre avec la Turquie, doublé d’un système de surveillance électronique.

Lire ICI


En Afghanistan, les musiciens déjà condamnés au silence


Zarifa Adiba, de l’orchestre Zohra, le seul orchestre uniquement féminin d’Afghanistan, et son alto © Zarifa Adiba


Les talibans sont entrés à Kaboul le 15 août et ils répriment déjà violemment toute activité ayant rapport à la musique. Les stations de radio et de télévision du pays ont cessé d’en diffuser, les magasins vendant des instruments ont été détruits. Des musiciens afghans témoignent.

Lire ICI et ICI


Le Conseil de sécurité de l’ONU devrait renouveler la mission en Afghanistan


Des combattants talibans, l’arme au poing, surveillaient une rue dans le quartier de Wazir Akbar Khan à Kaboul, en Afghanistan, le 22 août 2021. © 2021 Rahmat Gul/AP Images


Il faut renforcer la surveillance des droits humains et s’assurer que les sanctions n’entravent pas l’aide humanitaire

Lire ICI

Le Texas réduit drastiquement le droit à l’avortement


Des manifestants pro-life au Texas, en mai 2021. (SERGIO FLORES / AFP)


L’entrée en vigueur de la loi était suspendue à une décision in extremis de la Cour suprême des Etats-Unis, qui a finalement refusé de bloquer en urgence le texte. L’IVG est désormais interdite après six semaines de grossesse.

Lire ICI

Zakia Khudadadi sera la première femme afghane à participer à des Jeux paralympiques


Elle est arrivée à Tokyo samedi dernier après un périple de plusieurs jours pour fuir l’Afghanistan et le chaos de Kaboul. L’athlète de 22 ans concourra dans la nuit de mercredi 1er septembre à jeudi en para-taekwondo, catégorie -49kg.

Lire ICI

Afghanistan

La défaite des États-Unis en Afghanistan : un désastre annoncé


Un combattant taliban monte la garde sur les lieux de l’attentat suicide du 26 août à l’aéroport de Kaboul, qui a tué 13 militaires américains et plus d’une centaine d’Afghans. © AFP – WAKIL KOHSAR


Pressés de quitter l’Afghanistan, les États-Unis ont fini par négocier avec les Taliban et marginaliser leurs alliés locaux. Pour beaucoup, considérer les Taliban comme un interlocuteur fiable ou dénigrer l’armée nationale afghane ressemble à un storytelling bien opportun à l’heure d’un départ précipité.

Lire ou écouter ICI



Entre Moscou et les talibans, un échange de bons intérêts

Des chefs talibans, à Moscou, le 9 juillet. (Dimitar Dilkoff/AFP)


Le Kremlin a assisté de loin à la débâcle du retrait américain après vingt ans de présence en Afghanistan, et tient sa ligne diplomatique habituelle : parler à toutes les parties et reconnaître la réalité du terrain.

Lire ICI


Retrait d’Afghanistan : « La leçon, c’est qu’on ne combat pas le terrorisme en voulant recréer un État à partir de zéro », pour le politologue Olivier Roy


Evacuation d’Afghan à Kaboul (MICHAEL REYNOLDS / MAXPPP)


Olivier Roy estime que le retrait des troupes américaines d’Afghanistan montre qu' »on ne combat pas le terrorisme international en voulant recréer à partir de zéro un État moderne ».

Lire ICI



Cette militante a choisi de rester en Afghanistan pour aider les femmes



Elle vit cachée depuis la conquête du pays par les talibans. Mais cette militante a choisi de rester en Afghanistan pour s’assurer que les femmes aient accès à l’éducation… Pashtana Durrani raconte.

Voir ICI

DISPARITIONS, INTERNEMENT, OPACITÉ : LES CRIMES SUBIS PAR LES MINORITÉS MUSULMANES DANS LE XINJIANG


Amnesty International


Nous avons enquêté sur les crimes contre l’humanité qui pourraient avoir été commis dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang, en Chine. Parmi ces potentiels crimes figurent les disparitions forcées de personnes.

Lire ICI


Femmes afghanes

« J’ai 24 ans, je suis célibataire et j’entends dire que les talibans font la traque des Afghanes célibataires » : une étudiante de Bamiyan, au centre de l’Afghanistan



Des talibans devant un salon de beauté, dont les affiches représentant des femmes ont été taguées, le 18 août, à Kaboul. WAKIL KOHSAR / AFP


Depuis la prise du pouvoir par les talibans, la jeune Afghane qui habite cette ville de 60 000 habitants s’inquiète des menaces qui pèsent sur son avenir, en tant que femme et membre de la minorité chiite hazara.


Lire ICI

Femmes Afghanes


« Pour les talibans, mieux vaut une femme morte qu’une femme qui parle d’amour »


Une femme en Burqa à Kaboul, le 23 août 2021. (HOSHANG HASHIMI / AFP


Najiba Sharif, ancienne vice-ministre de la Condition des femmes en Afghanistan, dénonce la « mascarade » du discours rassurant des talibans envers les femmes. Assaillie d’appels à l’aide depuis son pays, elle évoque ses amies vivant recluses ou dans la clandestinité.

Lire ICI



Afghanistan: des visages de femmes recouverts de peinture sur les devantures des salons de beauté


À Kaboul, capitale de l’Afghanistan, des gérants de salons de beauté ont recouvert de peinture les grandes photos de visages de femmes sur leurs devantures.

Voir ICI



Les présentatrices TV, symboles des contradictions des Talibans


La journaliste Beheshta Arghand face à un porte-parole taliban ©AFP


Dans une volonté de rassurer les Afghanes et la communauté internationale sur les droits des femmes, les Talibans se lancent dans une campagne médiatique d’ampleur. 

Lire ICI


Des Nigérians désespérés vendent des maisons et des terres pour libérer des enfants kidnappés


Abubakar Adam et sa femme, parents de sept enfants kidnappés à l’école islamique de Salihu Tanko par des bandits, s’expriment lors d’un entretien avec Reuters dans leur maison de Tegina, dans l’État du Niger, au Nigeria, le 11 août 2021. REUTERS/Afolabi Sotunde


TEGINA, Nigeria, 24 août (Reuters) – Après que des hommes armés ont arraché sept des 11 enfants d’Abubakar Adam dans le nord-ouest du Nigeria, il a vendu sa voiture et une parcelle de terrain et a nettoyé ses économies pour lever une rançon pour les libérer.

Il a envoyé ses 3 millions de nairas (7 300 $) dans la brousse, ainsi que les paiements d’autres familles de sa ville de Tegina. Les ravisseurs ont pris l’argent, ont saisi l’un des hommes qui le livraient et ont renvoyé une nouvelle demande pour plus d’argent et six motos.

« Nous sommes à l’agonie », a déclaré à Reuters le réparateur de pneus de 40 ans, attendant toujours le moindre signe de ce qui est arrivé à ses enfants trois mois après l’enlèvement en masse. « Honnêtement, je n’ai plus rien.

Les ravisseurs ont emmené plus de 1 000 étudiants depuis décembre au milieu d’une vague d’enlèvements dans le nord-ouest appauvri. Environ 300 des enfants n’ont toujours pas été rendus, selon un décompte des rapports de Reuters.

Le président Muhammadu Buhari a dit aux États de ne rien payer aux ravisseurs, affirmant que cela ne ferait qu’encourager davantage d’enlèvements. en savoir plus Les agences de sécurité disent qu’elles ciblent les bandits avec des actions militaires et d’autres méthodes.

Pendant ce temps, des centaines de parents sont confrontés au même dilemme : faire tout leur possible pour collecter eux-mêmes les rançons, ou risquer de ne plus jamais revoir leurs enfants.

« Nous supplions le gouvernement de nous aider », a déclaré Aminu Salisu, dont le fils de huit ans a été emmené lors du même raid de jour contre l’école islamique Salihu Tanko de Tegina en mai, aux côtés de plus de 130 élèves. Lire la suite

Salisu a vidé ses propres économies et a tout vendu dans sa boutique pour augmenter sa contribution. Le propriétaire de l’école a vendu la moitié du terrain. Ensemble, avec l’aide d’amis, de parents et d’étrangers, les habitants de Tegina ont déclaré avoir collecté 30 millions de nairas.

Mais cela ne suffisait toujours pas aux bandits.Graphiques Reuters

Les ravisseurs ont collecté plus de 18 millions de dollars de rançon de juin 2011 à mars 2020 au Nigeria, selon une estimation des analystes basés à Lagos SBM Intelligence.

Ce flot d’argent a apporté un flot de nouveaux ravisseurs, a déclaré Bulama Bukarti, analyste à l’Unité des politiques sur l’extrémisme du Tony Blair Institute for Global Change. Il a estimé qu’il y avait actuellement environ 30 000 bandits opérant dans le nord-ouest.

« C’est l’industrie la plus florissante et la plus lucrative du Nigeria », a-t-il déclaré à Reuters. L’enlèvement est devenu un choix de carrière tentant pour les jeunes hommes à une époque de marasme économique, d’inflation à deux chiffres et de chômage à 33 %.

« A partir de décembre, nous avons vu la boîte de Pandore s’ouvrir. Ils ont vu que c’était possible. Ils ont vu que rien n’était arrivé aux assaillants », a déclaré Bukarti.

En décembre, des hommes armés ont enlevé 344 garçons de l’école secondaire publique des sciences de l’État de Katsina, dans le nord-ouest, lors d’un raid nocturne. Les ravisseurs ont libéré les garçons une semaine plus tard, mais cela a déclenché une série d’enlèvements similaires dans toute la région. Lire la suite

Les bandits ont pris une page du groupe militant islamiste Boko Haram, qui a capturé plus de 200 écolières de la ville de Chibok, dans le nord-est du pays, en 2014. Ce groupe avait des objectifs idéologiques et a forcé certaines filles à épouser des combattants.

Les ravisseurs armés du nord-ouest sont motivés par l’argent, selon les experts. Lire la suite

« UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT »

Les enlèvements ont accru la pression sur le président Buhari, qui a promis de lutter contre l’insécurité lors de son investiture en 2019.

Ils ont également testé les services de sécurité. L’armée – aux prises avec les ravisseurs dans le nord-ouest, les insurgés islamistes dans le nord-est, les séparatistes dans le sud-est et la piraterie dans le delta – est déployée dans au moins 30 des 36 États du Nigeria. Lire la suite

Le ministre de l’Information Lai Mohammed, dans une interview à Reuters, a défendu la stratégie de ne pas payer de rançon.

Au lieu de cela, a-t-il dit, le gouvernement a détruit plusieurs camps de bandits et essayé d’autres approches pour lutter contre le banditisme.

Il a refusé de donner des détails, citant la nécessité du secret autour des opérations en cours, mais a déclaré que tous les niveaux de gouvernement s’efforçaient de libérer les enfants.

« Nous gagnons la guerre contre l’insurrection et nous gagnons la guerre contre le banditisme », a déclaré Mohammed.

Le gouvernement de l’État du Niger, qui comprend Tegina, a refusé de commenter. Les responsables travaillant avec le gouverneur ont déclaré qu’ils devaient garder leurs efforts secrets.

Pendant ce temps, les défis ne cessent de s’accumuler.

L’Armed Conflict Location and Event Data Project (ACLED), une ONG, a suivi une augmentation de 28 % de la violence à l’échelle nationale au Nigéria au cours des six premiers mois de 2021, par rapport aux six mois précédents.

Le nombre de décès dus à la violence signalés dans tout le pays a augmenté de 61% à 5 197, a-t-il déclaré.

Tout cela explique, a déclaré Bukarti de l’Extremism Policy Unit, pourquoi Adam et d’autres parents sont prêts à vendre tout ce qu’ils ont pour payer eux-mêmes des rançons.

« Ils ne peuvent en aucun cas se le permettre. Mais c’est une question de vie ou de mort. Et ils savent que les agences de sécurité ne peuvent pas libérer leurs proches. »


Reportage par la salle de rédaction de Maiduguri et Abraham Achirga à Tegina et Libby George à Lagos; Reportage supplémentaire de David Lewis et Camille Eboh à Abuja ; Montage par Andrew Heavens


Traduction automatique

Une femme dans la nuit afghane.



L’actualité est cruelle, il faut un drame pour parler de ceux qui font la fierté de l’humanité. L’Afghanistan nous offre le spectacle pitoyable d’un président afghan archi corrompu qui fuit dès qu’il en a la chance en abandonnant son peuple. Quant à Biden, déjà lui, il était le seul représentant en 1975 à ne pas vouloir accueillir de réfugiés vietnamiens sur le sol américain. Heureusement à l’époque aucun de ses collègues n’a écouté celui qui symbolise aujourd’hui la déroute américaine. Visiblement l’incompétence perdure au fil du temps.


Lire ICI

Pauvreté, scolarisation, opium… Découvrez à quel point l’Afghanistan a changé ces vingt dernières années


Un long conflit mettant des milliers d’Afghans sur les routes, une économie en croissance mais très inégalitaire, un système éducatif plus ouvert… Avec le retour au pouvoir des talibans, l’Afghanistan clôt un chapitre de deux décennies au cours desquelles le visage du pays s’est transformé. 


Lire ICI