Rassemblement pour le logement, samedi 26 mars, Journée Européenne du Droit au Logement

La Ligue des droits de l’Homme appelle à ce rassemblement pour le logement samedi 26 mars – 15h – Nantes – Miroir d’eau.

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De : intercollectif personne à la rue !

A l’occasion de la Journée Européenne du Droit au Logement

Soyons nombreux pour tous les invisibles, les précaires, les oubliés de cette campagne électorale

Rassemblement samedi 26 mars – 15h00 – Miroir d’Eau – Nantes

Avec la fin de la trêve hivernale le 31 mars, 30 000 familles sont menacées d’expulsion, elles viendront s’ajouter aux 300 000 personnes déjà à la rue ou mal logées !

Aujourd’hui, et demain, nous marchons pour l’arrêt des expulsions locatives, pour l’installation d’un moratoire des expulsions des lieux de vie informels (squats, bidonvilles…) sans solution et pour l’arrêt des coupures d’énergie.


Aujourd’hui et demain, nous marchons pour un logement pour toutes et tous, abordable, stable, décent et écologique.

Aujourd’hui et demain, nous marchons pour une baisse des loyers et des prix de l’énergie, l’encadrement des loyers et du foncier, pour la hausse des APL, pour l’arrêt de la vente et de la destruction des logements sociaux.

Aujourd’hui et demain,  nous marchons pour l’arrêt de la gentrification des centres villes, pour l’encadrement des « Airbnb », pour une taxation des plus-values de la spéculation, pour une sanction des bailleurs fraudeurs.


Parce que sans logement, pas de santé, pas de travail, pas de vie sociale, pas de citoyenneté… Nous continuerons de marcher et de clamer :  » UN TOIT, C’EST UN DROIT »

Nantes. Une mobilisation pour le droit au logement, samedi 26 mars #Nantes #Logement @OuestFrance

https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/nantes-une-mobilisation-pour-le-droit-au-logement-samedi-26-mars-256a395e-a784-11ec-95bd-846f9f6707ea

Marche Climat samedi 12 mars à Nantes, 14h au Miroir d’eau

La LdH appelle à participer à la marche Climat Look Up à Nantes ce samedi 12 mars à 14h au miroir d’eau.

Marche climat Look Up le 12 mars à Nantes

Déjà 134 évènements “Look Up” sont annoncées pour le samedi 12 mars partout en France : https://marcheclimat.fr/12mars/

Signataires à Nantes : Alternatiba Nantes, Amis de la Terre Loire-Atlantique, Amnesty International Nantes, Attac 44, UD CGT44, Cimade Nantes, Extinction Rebellion Nantes, FSU 44, GIGNV, Greenpeace Nantes, L214, Ligue des droits de l’homme Nantes, Maison des citoyens du monde (porteur du programme Génération Climat – Pays de Loire), NAPCE, Plus jamais ça 44, Solidaires 44, Together for Earth Nantes, Virage énergie climat Pays de la Loire, Youth for climate Nantes, Zéro Waste Nantes.

Look up, pour le climat et la justice sociale

Marches pour le climat le samedi 12 mars partout en France

En janvier 2022, le film Don’t Look Up dressait un parallèle évident et glaçant avec le dérèglement climatique, le refus de la prise en compte des alertes scientifiques, l’inaction des élites en place et ses conséquences catastrophiques sur nos vies. Il a ainsi permis de remettre dans le débat public plusieurs enjeux majeurs : l’urgence climatique est indéniable et cette crise affecte le quotidien de millions de personnes ici et à travers le monde ; mais au lieu de regarder la vérité en face et de prendre leurs responsabilités, les dirigeant-e-s politiques et les multinationales refusent toute action ambitieuse et sabotent tout espoir d’un avenir juste et soutenable.

#MarcheLookUp

Car oui, en France en 2022, la plus grande menace que l’humanité ait jamais connue est passée au second plan en pleine période électorale, alors que notre avenir est en jeu. Alors que les mobilisations et initiatives pour le climat et la justice sociale n’ont jamais été aussi fortes ces dernières années, le débat est étouffé par la crise sanitaire et les polémiques alimentées par certain-e-s candidat-e-s.

Ne laissons pas nos droits et notre futur rester otages de celles et ceux qui nous mènent à la catastrophe.

Les seul-e-s à pouvoir faire face à la crise climatique et sociale, les seul-e-s à pouvoir enclencher le changement majeur dont nous avons besoin, c’est nous. Plus que jamais nous disons “Ouvrons les yeux !” et reprenons notre avenir en main.

Nous pouvons agir si nous en avons la volonté.

Nous pouvons changer nos vies maintenant.

Nous pouvons bâtir un avenir juste et soutenable pour toutes et tous.

Nous pouvons faire payer les responsables.

Et les 5 prochaines années seront décisives pour redresser la barre.

8 mars Grève féministe – Appel Nantes place Royale 15h40 puis rassemblement 17h

La LdH appelle à être présent.e ce mardi 8 mars, place Royale à 15h40, heure symbolique pour dénoncer le fait d’être payées un quart en moins puis, à 17h pour un rassemblement.

Voir ci-dessous le communiqué national LdH et l’appel local, ainsi que l’appel national ici.

Droits des femmes : un combat universel
Communiqué LDH appelant notamment à la manifestation parisienne, à 14 heures de Gare du Nord à l’hôpital Tenon
La Ligue des droits de l’Homme (LDH) appelle à manifester le 8 mars pour l’universalité des droits des femmes dans le monde. Nous manifesterons également notre opposition, ferme, à l’antiféminisme totalement décomplexé des populismes masculinistes. Car nous le constatons : la montée des partis d’extrême droite, en particulier en Europe et en France, ou « populistes » (Etats-Unis, Brésil, etc.), le triomphe de régimes totalitaires (Syrie, Afghanistan), l’écrasement des mouvements démocratiques (Algérie…) et le recours à la guerre sont des phénomènes politiques marqués par l’affirmation de valeurs virilistes et sexistes. Les idéologies totalitaires, intégristes religieuses ou nationalistes sont par nature guerrières, et ont toutes pour corollaires le déni des crimes commis contre les femmes, parce que femmes, et la négation des inégalités qui les frappent.Or, ces inégalités se creusent. Avec la pandémie mondiale, le Forum économique mondial estimait en 2021 que le temps nécessaire pour combler ces inégalités dans le monde était passé de 99,5 ans en 2020 à 135,6 ans, faisant reculer d’une génération supplémentaire l’atteinte de l’égalité. En France, un rapport du Cese a souligné que la crise sanitaire avait, sur bien des plans, accentué les inégalités de genre. Un tableau très partiel montre que dans de nombreux pays, les indicateurs sont encore au rouge : mariages précoces des petites filles (encore 16 % : selon l’Unicef, 650 millions de filles et de femmes en vie actuellement ont été mariées pendant leur enfance), remise en cause aux Etats-Unis et dans certains pays d’Europe du droit à l’avortement, violences conjugales (une femme sur trois dans le monde), inégalités professionnelles dans tous les pays mais aussi, dans la moitié des pays, interdiction de certains métiers aux femmes. Dans 24 pays, les femmes sont encore des mineures à vie,  soumises au mari ou à des tuteurs.A un moment où le désespoir lance tant de personnes sur les routes de l’exil, la condition spécifique des femmes demandeuses d’asile est encore trop peu reconnue. Nombre d’entre elles se voient encore refuser le statut de réfugiées lorsqu’elles s’enfuient pour échapper à des persécutions en raison de leur sexe (mutilations sexuelles, mariages forcés, etc.). Les violences sexuelles subies sur les chemins de l’exil peinent aussi à être reconnues.Alors que l’esclavage a été enfin reconnu comme un crime contre l’humanité, l’absence d’une politique publique d’ampleur suffisante pour lutter contre la traite des femmes dans le monde et leur réduction en prostitution est lourde de conséquences. Ainsi, la moitié des prostituées sont des mineures, leur taux de mortalité est de 10 à 40 % supérieur à la population moyenne, et ce commerce représente 66 % des profits issus de la traite d’êtres humains. Un des trois crimes les plus lucratifs au monde a pour victimes principales des femmes.Enfin, partout dans le monde et dans tous les milieux, les femmes subissent harcèlements, viols et violences.Face à l’ampleur des dénis des droits des femmes, la LDH continuera de participer à toutes les mobilisations. Son université d’automne du mois de novembre 2022 sera consacrée aux luttes des femmes dans le monde. Car loin de s’enfermer dans un statut de victimes, les femmes sont sur tous les fronts, dans tous les mouvements de libération et les luttes pour leurs droits. Saluons aussi leurs victoires comme l’obtention tout récemment du droit à l’avortement en Argentine et, plus généralement, la prise de conscience mondiale dont témoigne le mouvement #MeToo.
Paris, le 7 mars 2022
Rappel : départ de la manifestation parisienne du 8 mars 2022, à 14h, de la Gare du Nord en direction de l’hôpital Tenon.

A toutes et à tous,

Le 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, nous ferons la grève féministe partout dans le monde pour :
– Affirmer notre solidarité avec les femmes du monde entier
– Exiger des moyens pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles
– Exiger l’égalité salariale et professionnelle
– Revendiquer la revalorisation des métiers féminisés
– Développer une éducation féministe et égalitaire
– Exiger l’allongement des délais pour l’IVG
Et bien plus encore !

Le 8 mars, on s’arrête toutes. On se met en grève. Plus de bla bla, plus de promesses sans lendemain ; des actes. Ne nous libérez pas, on s’en charge !
A Nantes, rejoignez-nous place Royale à 15h40, heure symbolique pour dénoncer le fait d’être payées un quart en moins, et à 17h, pour un rassemblement. Apportez vos pancartes et vos slogans !

Projection-débat « Le village de Bamboula » le 16 mars à 20h

Crédit photo: Yves Forestier, Sygma via Getty images

Projection-débat mercredi 16 mars – 20 h
salle de conférence Manufacture des tabacs, 10bis Bd de Stalingrad, Nantes
(tram 1, arrêt Manufacture)

Avec la participation de personnes qui étaient à l’époque dans le groupe artistique ivoirien dans le Safari Africain, et deresponsables associatifs et syndicaux, acteurs de cette affaire.

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France Télévision a diffusé en janvier le film de 52 minutes intitulé « Le Village de Bamboula ».

Ce film revient sur les événements de 1994 au sein du Safari Africain de Port-Saint-Père à côté de Nantes.

Nous nous réjouissons de voir cette histoire enfin écrite, 28 ans après les faits. De nombreuses organisations associatives ou syndicales nantaises s’étaient mobilisées contre une initiative condamnable dans sa nature comme dans sa réalisation concrète.

C’est d’ailleurs ainsi qu’en avait finalement jugé le Tribunal de Grande Instance de Nantes, estimant qu’exposer des êtres humains aux côtés d’animaux, dans un zoo, au surplus en refusant aux personnes l’accès à un certain nombre de droits fondamentaux (liberté de circuler, repos, salaires minimums, scolarisation des enfants…), constituait une atteinte à la dignité humaine. Nos organisations avaient d’ailleurs obtenu à l’époque le franc symbolique de dédommagement qu’elles demandaient à la Justice.

Cette affaire et ce film résonnent avec les débats qui traversent la société française : le racisme, la condition sociale des personnes immigrées, l’égalité réelle, les rapports entre l’ex-puissance colonisatrice et les personnes qui en ont été victimes, l’image des personnes racisées, dans une société qui peine tant à refléter la diversité d’origine de ses membres, …

Autant de questions brûlantes que ce retour sur ce qui s’est passé, dans les environs de Nantes, il y a 28 ans, permettra d’évoquer.

La LDH, en partenariat avec la Snam-CGT, le Gasprom et le MRAP organise cette projection-débat le mercredi 16 mars à 20 h.

La projection sera précédée de la représentation des Ouvreuses et ouvreurs d’espoir, par la Ligue des droits de l’Homme.

Le film-documentaire « Le Village de Bamboula », porté par la voix de Jean-Pascal Zidi, a été réalisé par Yoann de Montgrand et François Tchernia.

Snam-CGT (Syndicat des musiciens et musiciennes Confédération Générale du Travail)
Gasprom (Association de Soutien aux Travailleurs Immigrés de Nantes)
LDH (Ligue des droits de l’Homme)
MRAP (Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples)

Des moyens pour l’hôpital public. Rassemblement vendredi 21 janvier – 09h15 – 51 Bd Gustave Roch Nantes

MM. Castex et Véran viennent poser la première pierre du nouveau CHU ce vendredi vers 10h40 (l’horaire initial prévu 9h15 a été retardé). Ce projet qui réduira les capacités du CHU à répondre aux besoins de soins de la population de notre région.
Le Collectif nantais pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous, auquel participe notre section, est cosignataire de l’appel à un rassemblement à partir de 9h15 au niveau du 51 Bd Gustave Roch. Nous vous appelons à y participer.

L’équipe d’animation  de la section.

Section de Nantes et du pays nantais 
4 place de la Manu
44000 Nantes
02 51 86 22 39
nantes@ldh-france.org
https://site.ldh-france.org/nantes/
www.facebook.com/LDH.Nantes

PS: le Collectif nantais pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous n’a pas de logo propre, c’est pourquoi c’est le logo de la Coordination Nationale des Comités de Défense des Hôpitaux et Maternités de proximité à laquelle nous appartenons, qui apparaît dans le tract.

POUR L’HÔPITAL PUBLIC ! – Rassemblement – Mardi 11 janvier – 10h00 – Miroir d’Eau

Chère amie, cher ami, 

Une journée nationale d’action du secteur santé et santé-social est organisée le mardi 11 janvier prochain.

Nous vous transmettons l’appel du Collectif Nantais pour le Droit à la Santé et à la Protection Sociale pour Toutes et Tous, auquel notre section participe, à participer au rassemblement à partir de 10h00 au Miroir d’Eau face au château d’Anne de Bretagne.

PARTICIPONS A LA JOURNÉE D’ACTION DU 11 JANVIER POUR L’HÔPITAL PUBLIC !

« Quoi qu’il en coûte » avait dit le Président de la République à l’hôpital de Mulhouse en 2020 ! La COVID est toujours là, mais les promesses n’ont été qu’un feu de paille et c’est avec encore plus de détermination que le gouvernement met en place la stratégie Ma Santé 2022 : moins d’hôpital public pour plus d’ambulatoire, ou, but moins avoué encore, pour plus de privé !

La médecine de ville, exsangue, ne peut suppléer l’hôpital, prendre en charge les malades sortis trop tôt ou les soins d’urgence !

Les urgences, le gouvernement a trouvé la solution : faire payer un forfait, excluant ceux qui ne peuvent en faire l’avance !

Épuisés, désabusés par une gestion comptable faisant fi de l’humain, les soignants désertent en nombre !

La catastrophe sanitaire est au rendez-vous avec des retards de prises en charge criminels malgré le dévouement des soignants !

Le maintien des brevets empêche de protéger la santé de tous et de limiter l’apparition de variants.

Avec les organisations syndicales des personnels hospitaliers et les collectifs, la Coordination Nationale des comités de défense des Hôpitaux et Maternités de Proximité appelle à participer à la journée d’action du 11 janvier pour exiger un véritable plan pour l’hôpital public assurant un personnel en nombre suffisant, bien considéré, rouvrant des lits, assurant partout les urgences dans la proximité, garantissant l’accès aux soins de toutes et tous partout !

À Nantes, nous invitons les citoyennes et citoyens à rejoindre à 10h00 au Miroir d’eau le rassemblement organisé par la CNT, SUD Santé Sociaux, ARIFTS Solidaires étudiants, FO, FSU, CGT Santé Action Sociale.

Collectif nantais

Pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous

ATTAC 44, CSF 44, Le Planning Familial 44, LDH (section de Nantes et pays nantais), Ni pauvres ni soumis 44, UD 44 CGT, FGR-FP 44, FSU 44, SMG 44, SUD Santé Sociaux 44, Association de Veille Écologique et Citoyenne Nantes, Ensemble !44, France Insoumise santé 44, GDS44, Saint Herblain en Commun.

Communiqué Observatoire Nantais des Libertés : Occupants, pas délinquants

Observatoire Nantais des Libertés

COMMUNIQUÉ

Le 22 décembre 2021

Occupants, pas délinquants

Des personnes des collectifs « Maison du peuple » et « Base (d’action sociale et écologique) », voulant notamment mettre en place un lieu d’hébergement d’urgence pour les personnes à la rue, sont rentrées dans la nuit de dimanche à lundi dans l’ancien collège Notre-Dame-du-Bon-Conseil à Nantes.

Les occupants ont été expulsés du lieu par la police ce lundi 20 décembre. Des coups de matraque ont été donnés, des grenades tirées. Douze personnes ont été interpellées et placées en garde à vue.

Ces personnes ont occupé un lieu qui certes ne leur appartient pas, mais est désaffecté depuis 2014 et est destiné à être démoli.

L’expulsion de ce même lieu le 28 juillet dernier n’avait pas donné lieu à des arrestations, ni celle d’un bâtiment vide rue de Gigant le 30 octobre suite à son occupation par les mêmes collectifs.

Pour l’Observatoire nantais des libertés (ONL), la manière dont cette dernière expulsion s’est déroulée suivie de nombreuses interpellations est disproportionnée et donne à penser que les forces de l’ordre veulent intimider les occupants. Sinon, pourquoi arrêter et mettre en garde à vue ces militantes et militants pendant une journée ?

L’ONL réaffirme que les acteurs de la société civile, ici des personnes qui demandent notamment le respect du droit à l’hébergement, ne doivent pas être traités comme des délinquants et demande que l’action de ces personnes ne soit pas « criminalisée ».

L’Observatoire nantais des libertés avec les associations Association Républicaine des Anciens Combattants, Attac, Droit au logement, France Palestine Solidarité, Ligue de l’Enseignement-Fédération des Amicales Laïques, Ligue des droits de l’Homme, Maison des Citoyens du Monde, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples, Mouvement National de Lutte pour l’Environnement, Syndicat de la Médecine Générale, Syndicat des Avocats de France, Tissé Métisse l’Association

ONL@rezocitoyen.net

Chronique LDH sur JetFM : les mineurs non accompagnés

Notre chronique de décembre sur JetFM est consacrée aux mineurs non accompagnés :

À une époque où les ressources de tout ordre viennent à manquer, les conflits économiques s’ajouter aux conflits armés, des enfants de tous pays tentent un voyage souvent sans retour vers un improbable eldorado. Après la traversée, l’accueil. Comment cet accueil se déroule-t-il entre nos frontières, et notamment dans notre ville ? Il y a des institutions, des associations et il y a nous. Il y a ce qui que l’on fait et ce que l’on ne fait pas pour aider ces jeunes apatrides à trouver un logement, un travail, une reconnaissance et de la tranquillité. Voici une immersion auprès des mineurs non accompagnés, les MNA.

Lien pour écouter la chronique : https://soundcloud.com/user-513968441/mna?si=93315a725d2f432e89667d2acb3e3f77&utm_source=clipboard&utm_medium=text&utm_campaign=social_sharingBopn

Bonne écoute !

Communiqué du Collectif Romeurope agglomération nantaise : Une expulsion d’un terrain d’habitations de familles Roms ce mercredi 8 décembre

Communiqué de presse

Les familles qui habitaient le bidonville sur l’Île de Nantes, rue St Domingue, ont déplacé leur trente caravanes sous la menace d’une expulsion imminente le lundi 20 novembre, vers un terrain voisin. Cette expulsion n’avait pas été demandée par le propriétaire du lieu. La police est requise pour une nouvelle expulsion demain matin, mercredi 8 décembre. Pour un déplacement vers un nouveau terrain ?  Illégal puisque contrairement  au projet de Résorption des Bidonvilles porté par la Dihal, aucune proposition n’est faite d’un lieu, éventuellement temporaire qui permette à ces familles de continuer leur intégration par le travail et la scolarisation des enfants, en attendant que les demandes de logements qu’ils sont plusieurs à avoir faites soient validées.

Le Collectif Romeurope agglomération nantaise est une fois de plus scandalisé par le traitement appliqué à ces familles, de façon répétée, sans égard pour les conditions de pandémie et d’avis de tempête. Devrions-nous nous habituer ?

Le Collectif invite la presse à être présente sur place ce mercredi matin 8 décembre, à partir de 8h30, rue de Guyane sur l’Île de Nantes.

Urgence pour l’hôpital public : Distribution tracts et signature carte postale – samedi 4 décembre à partir de 14h – entrée principale de l’Hôtel Dieu

Le Collectif nantais pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous, auquel participe la section LdH de Nantes et du pays nantais, organise dans le cadre de la journée nationale d’action pour l’hôpital public une distribution de tracts et une signature d’une carte postale adressée au Président de la République (cf PJ) ce samedi à partir de 14h00 à l’entrée principale de l’Hôtel Dieu. 

Notre association nationale est signataire de l’appel national (cf ci-dessous), nous nous invitons à participer à cette action, à signer et faire signer cette carte postale en l’imprimant par vos propres moyens et à l’envoyer par courrier postal (affranchissement non nécessaire). 

En comptant sur vous pour la défense et la promotion de l’hôpital public, 

L’équipe d’animation de la section

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URGENCE POUR L’HÔPITAL PUBLIC – DÉSASTRE SANITAIRE EN COURS


APPEL POUR UNE


JOURNÉE NATIONALE D’ACTION LE 4 DÉCEMBRE 2021


manifestation à Paris à 13 h
et actions locales, départementales ou régionales

Notre accès à une santé de qualité et de proximité  est de moins en moins assuré malgré l’abnégation des personnels. L’hôpital public se désintègre avec partout des fermetures de lits, de services, en particulier d’urgence et de SMUR mais aussi en psychiatrie, en chirurgie, en médecine, en soins de suite…

Le laisser-faire actuel privilégie le secteur privé, avec des conséquences dramatiques pour l’accès aux soins (dépassement d’honoraire, frais administratifs… mais aussi recul de la proximité).

C’est une catastrophe sanitaire qui s’amplifie. La situation actuelle des hôpitaux a pour conséquence d’accroître les souffrances des malades, des personnes en situation de handicap, et de provoquer une surmortalité. Le renoncement aux soins s’accroît.

Le gouvernement ne peut se contenter de distribuer quelques millions ici et là pour tenter de calmer les esprits.

L’hôpital public est garant de l’accès aux soins de toutes et tous.

Nous demandons un plan d’urgence pour l’hôpital public !

– Un choc d’attractivité pour les personnels, par une vraie reconnaissance salariale, par une amélioration de leurs conditions de travail, mais aussi en leur permettant de travailler conformément à leur éthique ce qui suppose de les écouter et de réformer la gouvernance. Il faut changer les systèmes de fonctionnement et de management basés sur des critères de performance et de rentabilité. Il n’y pas de soins sans humanité !

– Un vaste plan de formation, de recrutement et la titularisation des contractuel.le.s :

– La réouverture de tous les lits et services fermés et des ouvertures autant que de besoin.

– L’établissement d’une vraie démocratie sanitaire unissant personnels et usagers-citoyens.

Les moyens financiers suffisants doivent en être donnés par une modification du projet de loi de financement de la Sécurité Sociale 2022.

Nous, organisations associatives, syndicales et politiques, appelons nos militants, nos adhérents, les citoyens et les citoyennes à participer à cette journée d’action :

Les signataires :

Associations : ATTAC, Association des familles victimes du saturnisme (AFVS) CNNR, Confédération Internationale Solidaire et Ecologiste, , Convention pour une république écologique, Convergence des collectifs de défense et de développement des services publics, Coordination Nationale des Comités de défense des Hôpitaux et maternités de proximité, Ensemble& Solidaires unrpa,  Fédération Générale des Retraités de la Fonction Publique, Femmes Egalité, INDECOSA CGT, LaSantéUnDroitPourTous, LDH, People’s Health movement, Réseau Education Populaire, Résistance Sociale, RPS FIERS,  UFAL
Associations locales ATTAC38, Attac Nord-Essonne, CoDéS 25, Collectif de défense et de développement des Services Publics en Sud Luberon, Convergence SP 37, Convergence Val de Marne, DDSP Creuse, UFAL Paris

Collectifs : CIH, CIU, Collectif national pour les droits des femmes (CNDF), , Coordination nationale des associations pour le droit à l’avortement et à la contraception (CADAC), DAL (Droit au logement), La santé n’est pas une marchandise, Le Printemps de la psychiatrie, Le printemps du Care,

Comités de la Coordination : Montluçon, Aubenas, Ardennes, Le Manifeste Sud aveyronnais, Ruffec, Sarlat, Châteaudun, Concarneau, Douarnenez, Morlaix,  Dole, Collectif 37 Notre Santé en Danger, Feurs, Brioude, Nantes; Montargis, Marmande, Ambert, Oloron Sainte Marie, CV70,  Montceau Les Mines, Rambouillet, Châtellerault-Loudun, Luçon, Remiremont, Nord-Essonne,  Montreuil, Ivry sur Seine,

Mutuelles : Alternative Mutualiste

Syndicats :  AMUFCGT Santé et Action Sociale, FSU, Sud PTT, Sud Santé Sociaux, USP (Union syndicale de la Psychiatrie), Union Syndicale Solidaire
Organisations locales :FGR-FP 44,  Union Locale SUD/SOLIDAIRES Région de Montargis

Organisations politiques : Europe Ecologie Les Verts, Ensemble !, Gauche Démocratique et Sociale, Gauche Républicaine et Socialiste, Génération.s, LFI, NPA, Nouvelle Donne, Parti Communiste Français, République et Socialisme