La chronique Jet-FM de la LDH consacrée à la levée des brevets est disponible en ligne :
Pas de profits sur la pandémie !
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Pas de profits sur la pandémie !
A l’appel de la Plateforme des ONG pour la Palestine dont la LDH fait partie : Rassemblement samedi 15 mai à Nantes,à 14h30 au carrefour rue de la Barillerie et cours des 50 otages.
Symboles palestiniens et pacifistes souhaités.
Respect des gestes barrière (masques, distanciation…)
Ci-dessous le communiqué national de la La Ligue des droits de l’Homme (LdH).
La section de Nantes et du pays nantais de la LdH
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Jérusalem, escalade des violences contre les Palestiniens, la France et l’Union européenne doivent agir !Communiqué LDH
Ce qui est en train de se produire en Palestine et en Israël n’est que la conséquence d’une politique délibérée, celle du gouvernement israélien bien sûr mais aussi celle de la communauté internationale et, en particulier, celle des Etats-Unis de M. Trump.
Le mépris évident des droits du peuple palestinien, la volonté permanente de l’expulser de ses terres, l’interdiction de mener toute vie normale que ce soit à Gaza ou en Cisjordanie, ne peuvent conduire qu’à des violences toujours plus fortes, toujours plus insupportables dès lors qu’elles frappent des populations civiles dont la Ligue des droits de l’Homme (LDH) entend rappeler qu’elles ne doivent, en aucun cas et quelles qu’elles soient, être frappées par un usage démesuré de la force, être victimes d’assassinats extra judiciaires ou être transformées en cibles indiscriminées.
Face à cette tragédie qui ne peut qu’aller toujours plus loin, l’Union européenne est incapable de mettre en œuvre une politique commune et la France a adopté une attitude qui met sur le même pied l’occupant et l’occupé.
Le président de la République doit se rendre à l’évidence. En traitant le gouvernement de M. Netanyahou, fidèle allié des régimes autoritaires européens, comme un interlocuteur fiable, la France n’a en rien contribué à la recherche d’une solution et a contribué au traitement d’apartheid que subissent le peuple palestinien et les citoyens arabes d’Israël.
La LDH appelle le gouvernement français à changer de position et à reconnaître l’Etat de Palestine. Elle appelle la France, en tant que membre permanent du Conseil de sécurité, à faire appliquer toutes les résolutions utiles des Nations unies et à entreprendre les démarches nécessaires à l’envoi d’une force de paix dans la région.
Paris, le 12 mai 2021
Appel à mobilisation, partout en France, dont la LDH est signataire
Appel signé par près de 300 organisations
Pendant qu’ils avancent à reculons, nous marchons partout en France !
Alors que les débats sur la loi Climat et Résilience viennent de prendre fin à l’Assemblée nationale, nous constatons que le texte, déjà initialement bien en deçà de ce qu’il faudrait pour atteindre les objectifs de réductions des émissions de gaz à effet-de-serre que la France s’est fixés, a encore été raboté par les députés. Malgré l’ambition affichée de « grand texte du quinquennat » et après à peine deux semaines de débats dans l’Hémicycle, cette loi ne sera de toute évidence pas à la hauteur de l’amorce du plan de changement systémique fourni par les 150 de la Convention citoyenne pour le climat (CCC), et encore moins à la hauteur de l’urgence climatique. Le gouvernement avait pourtant l’opportunité de marquer un véritable tournant dans sa politique pour que la France traduise enfin en mesures concrètes son engagement pris lors de l’Accord de Paris en 2015. Force est de reconnaître que le travail de sape des lobbies a porté ses fruits.
Cette loi aurait pu être l’instrument d’une réorganisation de notre société en donnant les moyens à tous les citoyens et citoyennes de vivre dignement en préservant la planète, et donc notre avenir. Elle aurait pu être l’instrument clé de régulation pour faire payer les plus gros pollueurs et réduire la pression exercée sur les plus précaires, déjà les plus impactés par les effets du dérèglement climatique. Elle aurait pu anticiper la reconversion des emplois des secteurs les plus polluants et la création d’emplois dits « verts ».
Cette loi devient le symbole du crash de la politique climatique d’Emmanuel Macron.
En l’état actuel, la loi Climat et Résilience ne permettra pas de nous assurer un avenir juste et soutenable. Le gouvernement d’Emmanuel Macron continue à mener une politique à des années lumières des enjeux climatiques et de la volonté démocratique. Pourtant, l’urgence n’a jamais été aussi criante dans un monde ravagé par la Covid-19 et sous la menace du dérèglement climatique dont l’intensité s’accroît un peu plus chaque jour à mesure que le gouvernement garde le silence.
Nous n’avons plus le temps d’attendre du Président de la République qu’il mette en adéquation ses actes avec ses paroles, comme si le dérèglement du climat n’avait pas d’impact sur le vivant ou sur le risque d’augmentation de la fréquence des pandémies. Les mesures proposées par les 150 de la CCC auraient permis que la lutte contre le dérèglement climatique soit socialement juste, sans que personne ne soit mis de côté.
Alors le dimanche 9 mai, nous nous retrouverons une nouvelle fois dans la rue partout en France. Nous marcherons pour clamer le désaveu généralisé de cette loi Climat et Résilience et la trahison de la promesse faite par Emmanuel Macron au processus démocratique de la CCC. Nous marcherons pour dénoncer le pouvoir laissé aux lobbies qui condamnent nos vies en toute impunité.
Nous exigeons, dès maintenant, la reconversion des emplois dans tous les secteurs polluants, l’accès aux soins, à un logement décent, à de la nourriture saine, de l’eau potable et de l’air pur pour toutes et tous, la préservation de la biodiversité et des ressources naturelles. Des mesures pour modifier nos moyens de production et de consommation doivent être prises en tenant compte que ce n’est possible qu’en réduisant les inégalités pour construire une société plus juste. Nous sommes profondément convaincus que la justice climatique va de pair avec la justice sociale.
Le dimanche 9 mai, nous marcherons car nous n’avons plus le choix face à ce gouvernement qui demeure éternellement sourd. Nous marcherons, ensemble, dans la joie et avec détermination. Car, si Emmanuel Macron avance à rebours de l’Histoire, nous sommes déjà en train de construire l’après.
Nantes – Miroir d’eau à 14 heure
Le 1er Mai est un moment pour réaffirmer l’universalité et l’indivisibilité des droits et des libertés pour toute l’humanité : les droits de tous, tous les droits et partout.
Un moment d’affirmation et de défense des droits fondamentaux, civiques et politiques, économiques, sociaux, culturels et environnementaux, ici et ailleurs pour toutes et tous. Un moment aussi pour crier notre refus du racisme sous toutes ses formes. Un moment pour dire notre exigence de liberté, d’égalité et de fraternité.
La Ligue des droits de l’Homme (LDH) appelle à se mobiliser ce 1er Mai aux côtés des organisations syndicales et du mouvement social, pour faire de cette date une manifestation de solidarité et d’engagement citoyen.
Initiatives publiques dans le pays nantais :
La section LdH a été invitée à être présente ce vendredi 23 avril de 17h à 18h place Graslin à un « village des résistances ». Elle y tiendra une table avec de la documentation à disposition du public. Les adhérentes et adhérents qui le souhaitent sont invités à y passer.
Ce « village des résistances » fera suite à une manifestation contre l’emploi précaire et la réforme de l’assurance chômage dont nous transférons ci-dessous l’appel pour information.
L’équipe d’animation de la section LdH
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APPEL A MANIFESTER CONTRE L’EMPLOI PRÉCAIRE
ET LA REFORME DE L’ASSURANCE CHÔMAGE.
VENDREDI 23 AVRIL 2021 – 13H PLACE GRASLIN – NANTES
Retrouvons-nous pour une mobilisation de tous les secteurs d’activité.
Code vestimentaire : tout en noir avec un élément de couleur à découvrir. Aux musicien·ne·s : pensez à vos instruments pourle bourdon de la colère.
Le mouvement d’occupation des lieux culturels concerne tout le monde.
Il met en lumière celles et ceux qui sont en difficulté et qui pensent qu’ensemble nous pouvons faire naître un projet qui mette le bien commun au centre de tout.
Nous défendons les droits de tout·e·s les salarié·e·s en contrat discontinu qui pour la plupart ne perçoivent aucune aide. Nous demandons l’abandon de la réforme de l’assurance chômage, l’extension de l’année blanche à tout·e·s les chômeur·se·s et la reprise adaptée de l’activité de tous les secteurs empêchés.
Les professionnel·le·s du spectacle sont à l’initiative des occupations de lieux culturels, mais nous occupons ces lieux avec et aux côtés de tou·te·s celles et ceux qui ont à cœur de penser un autre demain : étudiant·e·s, salarié·e·s précaires, retraité·e·s…
En ces temps de crise sanitaire et de grande confusion, où le gouvernement nous voudrait abattue·e·s et isolé·e·s, les occupations se veulent porteuses d’espoir.
Nous vous appelons toutes et tous au regroupement interprofessionnel du 23 avril à 13h, pour une agora et une grande manifestation régionale, dans le cadre de la journée nationale de lutte contre la précarité et pour des emplois respectueux des travailleuses et des travailleurs !
Soyons solidaires ! C’est le sens d’une lutte, forte et déterminée.
Soyons bien claires, c’est ensemble que nous avons la capacité de gagner !!!!
Signataires (liste en cours) : SFA CGT – Section Syndicale CGT FAPT – Syndicat des Cirques et Compagnies de Création /SCC – Réseau Salariat Pays de la Loire- Solidaires Etudiant-e-s Nantes – Comité CGT chômeurs, privés d’emploi et précaires Nantes 44 – Synavi national- Occupation Graslin – Culture en Lutte autour de Nantes– SNAP CGT – Syndicat National des Artistes Plasticien·nes CGT – SNAM CGT – Colère 44 – Attac 44 – CGT Spectacle – Syndicat CHU Nantes – Union Solidaires44 – UD CGT 44 – Synptac CGT
Vous pouvez réécouter notre chronique du mois d’avril en cliquant sur le lien de téléchargement ci-dessous. Celle-ci, animée par Emmanuel et Elodie, concerne la culture et plus particulièrement le droit à la culture.
Le gouvernement a déposé un projet de loi dit « confortant le respect des principes de la République ». Ce projet sera discuté par le Sénat ces 30, 31 mars, 1er juin puis les 6, 7 et 8 juin.
En dépit de son titre, ce projet de loi présenté par le gouvernement, ne retient dans son texte aucune mesure positive en faveur de l’égalité des droits.
Le pouvoir en place cherche au contraire à imposer sa vision de la République dans une approche exclusivement sécuritaire et répressive. La philosophie politique qui sous-tend cette logique s’inscrit en rupture avec l’approche démocratique de la République. Il ne s’agirait plus d’obéir aux lois et de les respecter, mais d’y adhérer sans réserve, sans esprit critique ni distance possible.
Présentée par le Premier ministre comme une loi de liberté, elle n’impose que des interdits, de nouveaux délits pénaux et des contrôles de toute la population. Ce projet, dans la lignée d’autres tout aussi liberticides dont celui relatif à la sécurité globale, est dangereux car il franchit une ligne rouge en prenant le risque de rompre l’équilibre historique trouvé des grandes lois laïques de 1881,1882, 1901 et de 1905…
Au niveau départemental, les associations et syndicats cités plus haut demandent une audience au préfet pour dire au gouvernement les dangers que nous voyons dans cette loi.
Elles envoient un courrier aux députés et sénateurs de Loire-Atlantique et demandent à rencontrer ces derniers.
Elles invitent à un débat sur le thème : Les dangers de la loi dite « confortant les principes de la République » ce mercredi 31 mars – 16h à 18h devant l’opéra Graslin, place Graslin – Nantes.
Les associations et syndicats de Loire-Atlantique : Attac, Confédération Générale du Travail, Confédération Générale du Travail – Force Ouvrière, Fédération Syndicale Unitaire, Greenpeace, Libre Pensée, Ligue de l’enseignement-Fédération des Amicales Laïques, Ligue des droits de l’Homme, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples, Syndicat des Avocats de France, Union Nationale des Étudiants de France, Union Syndicale Solidaires
Ci-joint le texte de la tribune signée par un grand nombre d’associations et syndicats au niveau national et ci-dessous un lien vers l’avis récent de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme (CNCDH) sur ce projet.
communiqué de presse commun des sections LDH de St Nazaire et Nantes.
Dans Ouest-France en date du mercredi 24 mars 2021, un article nous parle du manque de lits en pédopsychiatrie en Loire Atlantique malgré l’ouverture dernière d’un nouveau service à St-Nazaire, conduisant de ce fait à hospitaliser en service de psychiatrie adulte des enfants dès 12 ans. Ce phénomène génère beaucoup de problématiques éthiques, de risques pour les patients et bien souvent d’obligation de mise en chambre d’isolement pour éviter un côtoiement dangereux avec les autres patients. Cette réalité rend complexes les prises en charge et dénature l’humanisation psychiatrique. La médicamentation remplace de plus en plus le lien humain et une attention soutenue à la souffrance psychique.
La psychiatrie se retrouve au-devant de toutes les décompensations, angoisses, tentatives de suicide, troubles phobiques, anxiété, augmentés par la Covid-19 et son climat anxiogène. Pourtant, depuis plus de 30 ans, les réformes hospitalières ont conduit à fermer des lits d’hospitalisation psychiatrique non compensés par des prises en charge ambulatoires de qualité. La psychiatrie est devenue le parent pauvre de l’hôpital public, déjà lui-même en perdition.
Tenir, tenir coûte que coûte est la mission que se donnent sans compter tous les personnels de pédopsychiatrie malgré un manque cruel de moyens.
Depuis un an, la crise sanitaire fournit de multiples exemples des carences des politiques publiques envers les mineurs.
Les services de protection de l’enfance de toute la France connaissent à des degrés divers les mêmes problèmes : mesures non exercées, enfants confiés auprès de personnes non formées, enfants à l’hôtel ou en gite, personnels déconsidérés, salaires faibles, intensification du travail, mal-être professionnel en hausse, turn-over importants et aussi crise de recrutement.
Investir dans les besoins des enfants est absolument nécessaire pour nous armer face aux enjeux de demain.
La LDH dénonce cette situation. Des moyens doivent rapidement voir le jour pour l’enfance, angle mort de nos politiques publiques. Les critères économiques et financiers ne peuvent plus être l’alpha et l’oméga de la pédopsychiatrie et de la protection de l’enfance.
SAMEDI 27 MARS 2021
A Nantes RDV samedi 27 mars à 15h au Miroir d’eau
Nous revendiquons :
Amsterdam, Athènes, Bruxelles, Belgrade, Barcelone…En Europe les habitants se mobilisent !
A BERLIN LES LOCATAIRES MANIFESTENT, OBTIENNENT UN BLOCAGE GÉNÉRAL DES LOYERS, ENTRE 6 ET 12€ LE M²
POURQUOI PAS NOUS ?
Signataires :ATTAC-44, L’AUTRE CANTINE, AUTRE CLASSE, AVEC NANTES, BIENVEILLEURS- 44, CGT-UD 44, CIMADE-44, CNL-44, CSF-44, DAL44, DMDC-44, EELV-44, ÉGIDE SOLIDARITÉ, ENSEMBLE-44, F.I-44, FSU-44, GREF 44, INDECOSA-CGT-44, JC-44, LDH-44, MDM-44, MDP NANTES, MNLE-PDL, MRAP NANTES, PCF-44, RESF-44, SOLIDAIRES-UD-44, SOS.FAMILLES.EMMAUS 44, TAMO-CEMEA-PDL, 100 pour 1 NANTES AGGLO.
LES COLLECTIFS : REFUS DE LA MISÈRE, ROM-EUROPE-44, SOLIDARITÉS INDRAIS – SOUTIEN MIGRANTS NANTES.
Appel à la mobilisation le 28 mars pour une vraie loi climat
Appel commun dont la LDH est signataire
Texte d’appel national et liste des plus de 470 organisations signataires : https://vraieloiclimat.fr/28mars/appel
Le projet de loi « Climat et résilience », discuté à l’Assemblée nationale, est le dernier texte du quinquennat consacré à l’environnement. En l’état, il est très loin de l’ambition requise pour répondre à l’urgence écologique et atteindre les objectifs que la France s’est fixée. De nombreuses organisations, mais aussi le Haut Conseil pour le Climat, le Conseil national de la transition écologique et le Conseil économique, social et environnemental l’ont affirmé à de nombreuses reprises.
Le gouvernement, après s’être renié sur de nombreux sujets et avoir été reconnu coupable d’inaction climatique, a mis de côté ou considérablement amoindri les propositions de la Convention citoyenne pour le climat que cette loi était censée reprendre.
Les député.es, qui débattront du projet de loi en séance plénière à partir du 29 mars, doivent à présent prendre leurs responsabilités, notamment :
Le 19 mars, dernier jour de l’examen du texte en commission, les jeunes pour le climat se mobiliseront. Le 28 mars, veille de l’examen du projet de loi, nous nous mobiliserons ensemble pour dénoncer son manque d’ambition et les manœuvres qui tentent de l’affaiblir, exiger une vraie Loi Climat à la hauteur de l’urgence écologique et défendre les mesures des 150 membres de la Convention citoyenne pour le Climat.
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A Nantes, ainsi que dans d’autres villes comme Paris, Marseille ou Lyon, des rassemblements sont prévus le dimanche 28 mars, à la veille de l’examen du texte du projet de loi climat et résilience dans l’hémicycle (1). Un rassemblement est prévu à 13h au miroir d’eau, la marche traversera le centre-ville jusqu’au théâtre Graslin, avec des prises de parole tout au long du parcours (des membres de la convention citoyenne, experts, citoyennes et citoyens engagés). Ce dimanche, toutes les citoyennes et tous les citoyens de Nantes et des environs sont invités à prendre part à cette importante mobilisation apartisane et non-violente.
La marche pour le climat du 28 mars 2021 est une mobilisation citoyenne nationale, qui manifeste la volonté de ré-hausser l’ambition du projet de loi Climat et Résilience. Celui-ci sera débattu à l’Assemblée Nationale à partir du 29 mars. En l’état actuel la loi est insuffisante pour permettre à la France de tenir ses engagements en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre, soit une diminution inférieur à 40% à l’horizon 2030 (2). Or malheureusement cet objectif loupé est déjà insuffisant pour contenir le dérèglement climatique en dessous des +2°C. Les citoyens membres de la convention pour le climat ont d’ailleurs sévèrement noté le gouvernement dans la prise en compte de leurs travaux, avec seulement 3,3/10.
De nombreuses organisations, mais aussi le Haut Conseil pour le Climat, le Conseil national de la transition écologique et le Conseil économique, social et environnemental ont exprimé le manque d’ambition du projet de loi. Plus de 470 organisations ont signé un appel national pour une vraie loi climat.
Lien de l’évènement facebook : https://www.facebook.com/events/778652022788792
Lieu de rassemblement : Miroir d’eau, 13h, à Nantes
(1) Texte d’appel national et liste des plus de 470 organisations signataires : https://vraieloiclimat.fr/28mars/appel
2) Avis du Haut Conseil Pour le Climat portant sur le projet de loi climat et résilience proposé par le gouvernement : https://www.hautconseilclimat.fr/publications/avis-portant-sur-le-projet-de-loi-climat-et-resilience/