En 1898, des citoyens, révoltés par l’injustice dont était victime le Capitaine Dreyfus, décidaient de créer la Ligue française pour la défense des droits de l’Homme et du citoyen. Ils s’engageaient alors à porter aide et assistance « à toute personne dont la liberté serait menacée ou dont le droit serait violé ». Cet engagement est toujours le nôtre. C’est avec la même exigence d’une lutte contre « toutes les formes d’intolérance et d’arbitraire » que nous voulons construire le mouvement civique de demain
Nous sommes à votre écoute au 02.51.86.22.39. Laissez-nous un message, nous écoutons régulièrement notre répondeur. Vous pouvez également nous envoyer un courriel ànantes@ldh-france.org
18 décembre. Journée internationale des migrant.es. Nantes Manifestation 17h30 et journée d’actions
Nous appelons, à l’occasion de la Journée internationale des migrant.es, à une
MANİFESTATİON
Né-es ici ou venu-es d’ailleurs :
pour une France de liberté, d’égalité et de solidarité
Jeudi 18 décembre – 17h30
Miroir d’eau – Nantes
et à soutenir la journée d’actions du Collectif Sans Papier 44 qui a repris l’appel de La Marche des Solidarités « Une journée sans nous » avec : 10h : rassemblement Miroir d’eau ; 12h : repas, bar & BBQ ; 14h : football Bouffay ; 17h30 : Manifestation Miroir d’eau ; 19h : Soirée festive CLAJ, auberge des bains-douches, 20 rue Dupleix.
Signataires locaux de l’appel « Né-es ici ou venu-es d’ailleurs » : Amnesty International, Attac, Confédération Générale du Travail (CGT), Collectif Soutien Exilés, Confédération Syndicale des familles (CSF), Fédération Syndicale Unitaire (FSU), La Cimade, Ligue des droits de l’Homme (LDH), Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP), Mouvement de la Paix, Mouvement National de Lutte pour l’Environnement (MNLE-pdl naturellement), Réseau d’actions contre l’antisémitisme et tous les racismes (RAAR), Réseau Éducation Sans Frontière (RESF), Union syndicale Solidaires, liste en cours
Né-es ici ou venu-es d’ailleurs : pour une France de liberté, d’égalité et de solidarité
Restrictions drastiques des conditions d’accueil pour les demandeurs d’asile, refus de régularisation, refus de premier titre de séjour, refus de renouvellement de titre de séjour, remise en cause des APL pour les étudiant-es étranger-es, obligations de quitter le territoire français (OQTF) systématiques et généralisées, placements en rétention, cette politique migratoire, véritable fabrique de sans-papiers, attentatoire aux droits et à la dignité des personnes étrangères doit cesser.
La loi immigration du 26 janvier 2024 et la circulaire Retailleau du 23 janvier 2025, ont des conséquences humaines catastrophiques pour les personnes étrangères qui souhaitent travailler, étudier, se marier, avoir une vie familiale en France. Tout est organisé pour leur rendre la vie impossible, en les soumettant quotidiennement à une violence sociale, administrative et institutionnelle incompatible avec la promesse démocratique de nos sociétés.
Les régularisations permettant d’obtenir un titre de séjour par le travail ou en raison de la vie privée et familiale, ont été réduites à un niveau tel qu’elles sont en pratique inaccessibles. Des dizaines de milliers de personnes étrangères, confrontées au blocage des préfectures et à la lenteur du renouvellement de leurs titres, se retrouvent dans des situations dramatiques, rupture de contrats de travail, de droits sociaux, perte de logement, sous prétexte de dématérialisation, mais en réalité en raison d’une politique discriminatoire et xénophobe.
Le nombre d’Obligations de quitter le territoire français (OQTF) a encore augmenté, générant angoisses, stigmatisation, pertes de droits, basculement dans la précarité. La France détient le record du nombre d’OQTF prononcées en Europe, soit 120 000 à 130 000 OQTF en 2024, soit un quart des OQTF délivrées par les 27 états membres de l’Union Européenne. Or, la plupart de ces OQTF sont inexécutables. Celles mises en œuvre brisent des vies, des liens familiaux, renvoient des exilé·es vers des enfers qu’elles et ils ont fuis. Il s’agit, de fait, d’un outil de pression et de répression visant à mettre les personnes exilé·es dans une situation de profonde vulnérabilité administrative, sociale et économique, et de leur signifier qu’elles seraient indésirables en France.
Cette politique fait le jeu de l’extrême droite, alimente le racisme et la surexploitation des travailleuses et des travailleurs migrant-es, avec ou sans papiers, faisant du traitement inégalitaire et stigmatisant des personnes étrangères la norme. Tout ceci permet aux médias détenus notamment par le groupe Bolloré de déverser chaque jour leur haine et leurs affirmations mensongères suscitant la peur et la division, pour se placer en protecteurs contre des dangers fictifs.
Ce n’est pas la France que nous souhaitons !
Nous souhaitons une France de liberté et d’égalité ! Les droits à l’éducation, aux protections sociales, à la santé, au travail, au logement, aux loisirs, à la culture… doivent être les mêmes pour toutes et tous afin de permettre à chacune et chacun de construire librement son quotidien et son avenir.
Nous souhaitons une France accueillante, inclusive et solidaire ! Les personnes étrangères ne sont ni une menace ni une variable d’ajustement économique et électoraliste mais une richesse pour notre société. La diversité qu’ils et elles incarnent et leur contribution à la vie collective sont des atouts précieux.
Nous souhaitons que les personnes étrangères vivant en France, qui y ont des attaches familiales ou privées, y travaillent, étudient, puissent avoir accès à un titre de séjour stable et protecteur, puissent avoir accès à un titre de séjour stable et protecteur, pour contribuer, en toute légalité et en toute égalité, à la vie culturelle, sociale et économique de notre pays.
Les organisations du collectif né-es ici ou venu-es d’ailleurs appellent à une large mobilisation de la société civile, dans toute sa diversité, pour dénoncer cette nouvelle vague d’attaques extrêmement graves envers les personnes étrangères en France et pour défendre un autre projet de société, humaniste, solidaire et égalitaire.
Premiers signataires nationaux : Attac, CGT, La Cimade, Femmes Egalité, FSU, LDH (Ligue des droits de l’Homme), Oxfam France, Mrap, Union syndicale Solidaires, SOS Racisme, Unef.
Autres signataires : Accueil Réfugiés Bruz (35), Accueil Solidaire Grenoble, Action catholique ouvrière (ACO), Aides, Amnesty International France, Les Amoureux au ban public, Arcolan Pau Béarn, L’Assemblée citoyenne des originaires de Turquie (L’Acort), Association Douba, Association des Marocains en France (AMF), Association d’accueil des demandeurs d’asile Mulhouse (AADA – Mulhouse), Association nationale des villes et territoires accueillants (Anvita), Association Solidarité mamans (papas) solos, Association Unjourlapaix à Embrun, ATD Quart Monde, ATPAC Maison Solidaire, CCSBE La Place Santé, Centre d’études et d’initiatives de solidarité internationale (Cetedim), Centre de recherche et d’information pour le développement (Crid), CFDT Moselle, Collectif Accès au droit, Collectif accueil migrants Barbezieux, Collectif Chabatz d’entrar Limoges, Collectif Migrants 83, Collectif national pour les droits des femmes (CNDF), Collectif saint-lois d’aide aux migrants (CSLAM), Comede (Comité pour la santé des exilé.e.s), Comité Nîmois des Soulèvements de la Terre, Comité de suivi du symposium sur les Sénégalais de l’extérieur (CSSSE), CRDE – Solidarité Migrants Pau Béarn (Collectif pour le respect des droits des étrangers), La Croisée des chemins, Cuisine sans frontières, Diaconat protestant de Grenoble, Dom’Asile, Une Ecole, un Toit, des Papiers – Pays dacquois (ETP-Pays dacquois ), Elena-France, Emmaüs France, Fédération Etorkinekin Diakité, Femmes de la Terre, Femmes Solidaires 93, France Amérique Latine (FAL), Groupe accueil et solidarité (Gas),Gisti (Groupe d’information et de soutien des immigré·es), J’en suis j’y reste – centre LGBTQIAF de Lille (JSRS), Ligue de l’Enseignement de l’Isère, Ligue des femmes iraniennes pour la démocratie (LFID), Madera, Maison de l’hospitalité Martigues, Médecins du Monde, Min’de Rien, Mouvement français pour le Planning familial,Mouvement de la Paix, #NousToutes,Observatoire des camps de réfugiés, Organisation de Solidarité Trans (OST) Pau Béarn, People’s Health Movement France (PHM France), Polaris 14, Port d’attache Granville, La Pourtère, Les P’tits Papiers, RCI- Solidarité exilés, Réseau d’actions contre l’antisémitisme et tous les racismes (Raar), Réseau éducation sans frontières (RESF), Réseau Féministe « Ruptures », Réseau Louis Guilloux, Solidarité migrants Annecy, Rosmerta, SOS Refoulement Dijon, Sous le même ciel, Soutien Asile Nord 21, Soutien Migrants Redon, Syndicat des avocats de France (Saf), Syndicat de la magistrature (SM), Syndicat de la Médecine Générale (SMG), Toutes et tous migrants, Toutes Pour Une, Union générale des Egyptiens de France, UniR Universités & Réfugié.e.s, Utopia 56, Watizat (Paris).
Palestine – Rassemblement samedi 6 décembre – 15h place du Change – Nantes
Membre de la PLateforme44 des ONG pour la Palestine,
la LDH relaie et appelle : Appel à rassemblement SAMEDI 6 décembreNANTES à 15h place du Change
Pour l’arrêt du génocide ! Pour la fin de l’apartheid, de l’occupation et de la colonisation ! Pour l’auto-détermination du peuple palestinien ! Pour l’application du droit international !
Alors que le passage de certains par la case prison défraye la chronique, on s’est dit qu’on allait en faire une, de chronique, sur le milieu carcéral français.
Quelles sont les conditions de détention en France en 2025 ? On parlera surpopulation, état des prisons, prise en charge des maladies physiques et mentales… Mais aussi réinsertion des détenus à l’issue de leur peine – qui est une des missions principales de l’autorité pénitentiaire – et des initiatives permettant aux détenus de ne pas rompre le lien avec l’extérieur, notamment à travers le courrier Bovet, qui établi une correspondance épistolaire entre détenus et bénévoles anonymes.
Chaîne humaine citoyenne à Abbaretz – Dimanche 30 novembre à 11h – Contre projet école intégriste
Après la marche du samedi 15 novembre, nous transférons l’appel à une chaîne humaine citoyenne ce dimanche 30 novembre à 11h à Abbaretz contre un projet d’école hors contrat intégriste « sédévécantiste », appel relayé par les Collectifs unitaires de Nantes et de Châteaubriant pour les droits et les libertés contre les idées des extrêmes droites dont la LDH est partie prenante.
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*Dimanche 30 novembre 2025 – 11h, place de la mairie*
Suite au projet d’ouverture sur la commune d’Abbaretz d’une école sédévacantiste intégriste, et face aux enjeux importants que soulève un tel projet, un collectif de citoyens et citoyennes organise une chaîne humaine le dimanche 30 novembre à 11h.
Cette mobilisation s’inscrit dans la continuité du 15 novembre.
Le 15 novembre dernier, la marche citoyenne organisée par le collectif contre l’école a rassemblé près de 1000 personnes, montrant l’attachement fort des citoyens et citoyennes aux valeurs républicaines et au vivre-ensemble.
Fort de ce succès, le collectif appelle désormais à poursuivre et amplifier la mobilisation.
*L’objectif est de défendre les valeurs républicaines, le vivre-ensemble, de lutter contre l’ouverture de l’école sédévacantiste et plus globalement de lutter contre l’entrisme idéologique dans les écoles.*
Un appel large : citoyennes et citoyens, élus, monde éducatif, syndicats, journalistes, etc
Nous appelons :
l’ensemble des citoyennes et citoyennes,
les élus locaux et nationaux,
les personnels et acteurs du monde de l’Éducation,
les organisations syndicales,
les associations,
à se joindre à cette chaîne humaine af in de témoigner de l’importance d’un cadre éducatif transparent, respectueux des droits de l’enfant et conforme aux principes fondamentaux de la République.
Nous invitons également l’ensemble des médias et journalistes à couvrir l’événement.
Déroulé:
11h00 : rassemblement place de la mairie et formation de la chaîne humaine
11h45 : prise de parole publique sur la place de la mairie d’Abbaretz
Cette mobilisation se veut pacifique, citoyenne et ouverte à toutes et tous. Elle a pour objectif de rappeler l’importance du vivre-ensemble, de la cohésion républicaine, et du rôle essentiel des institutions et de la vigilance collective dans la protection des enfants.
Le collectif d’habitantes et habitants contre l’école sédévacantiste à Abbaretz
Conférence-débat LDH, FAL, LP. 1er décembre 19h30. Loi de 1905 sur la Laïcité, certitudes et controverses !
CONFÉRENCE-DÉBAT
Lundi 1er décembre 2025 – 19h30
Manufacture des tabacs
10 Bd de Stalingrad – Nantes
Loi du 9 décembre 1905 :
les 120 ans d’une loi de liberté dans une société multiculturelle : certitudes et controverses !
A l’occasion du 120e anniversaire de la loi du 9 décembre 1905, la Ligue des droits de l’Homme, la Ligue de l’Enseignement-FAL44, et la Libre Pensée 44 s’associent pour proposer une grande soirée de réflexion autour d’un texte fondateur de notre République.
La loi de 1905, en séparant les Églises et l’État, a consacré la liberté de conscience et le libre exercice des cultes et l’indépendance totale de la République vis à vis de toutes les religions. Elle demeure, plus d’un siècle après son adoption, une référence essentielle de notre pacte républicain.
Mais dans une France d’aujourd’hui traversée de débats intenses sur le sens de la laïcité, que reste-t-il de cet héritage ?
Comment faire vivre ce principe de neutralité et de libertés dans une société plurielle, où certains voudraient le restreindre tandis que d’autre souhaitent l’élargir ?
Pour en débattre, deux grands spécialistes nous feront l’honneur de leur présence :
Jean-Michel Ducomte, avocat, président honoraire de la Ligue de l’enseignement, et
Valentine Zubber, historienne, professeure à l’École pratique des hautes études, présidente de la Vigie de la Laïcité.
Ils reviendront sur l’esprit de la loi de 1905, ses évolutions contemporaines et les défis à venir dans une société en quête d’équilibre entre liberté individuelle, cohésion collective et respect du pluralisme.
La soirée sera animée par Pascal Massiot, responsable éditorial de Pop’ Média.
Un échange avec le public pour interroger ensemble la laïcité comme principe vivant de la République conclura la réunion.
Nantes 18h30 place Delorme Mardi 25 novembre 2025 contre le patriarcat : ni oubli, ni silence, marchons contre les violences !
Le 25 novembre, Journée de lutte contre les violences faites aux femmes, à Nantes nous vous invitons à rejoindre l’appel de l’Intersyndicale Femmes de Nantes et à nous rassembler mardi à 18h30 place Delorme pour une prise de parole et des chants suivis d’une manifestation collective.
Vous trouverez ci-dessous le lien vers le communiqué de la LDH Nationale « 25 novembre 2025 contre le patriarcat : ni oubli, ni silence, marchons contre les violences ! »
20 novembre Anniversaire de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant
Pour des politiques publiques garantes des droits de l’enfantIl y a 36 ans, le 20 novembre 1989, l’ONU rédigeait la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) que la France ratifiait en 1990.La CIDE définit des valeurs fondamentales à vocation universelle relatives au développement et à la protection des enfants, au-delà des différences sociales, culturelles, ethniques ou religieuses. Alors que, pour la première fois, la CIDE fait de l’enfant un sujet de droits, force est de constater que les principes énoncés ne sont pas toujours appliqués. En France, ils doivent, toujours et sans cesse, être réaffirmés et défendus.
La LDH, membre du Réseau Education Sans Frontières (RESF) relaie cet appel local à rendre effectifs les droits énoncés dans cette Convention.
Convention Internationale des Droits de l’Enfant
1989-2025 : La Convention Internationale des Droits de l’Enfant aura 36 ans le 20 novembre 2025. Cette convention est contraignante pour l’État Français, mais pour autant, l’État est hors la loi (enfants à la rue, enfants non scolarisés, enfants privés de soins…).
Nous, signataires (membres du RESF) exigeons que les droits des enfants portés par la CIDE et ratifiée par la France soient effectifs.
Un État de droit doit loger ses enfants dignement, leur assurer une bonne santé, les éduquer dignement, les accompagner dans tous leurs besoins pour leur permettre de s’émanciper. Il faut permettre aux enfants d’accéder à ces droits fondamentaux pour nous assurer collectivement de vivre libres égaux et solidaires.
NON aux inégalités qui frappent les enfants de plein fouet.
NON aux injustices et aux discriminations qui font des enfants des victimes.
OUI aux droits inconditionnels pour chacune et chacun de tous les enfants.
OUI la France doit rendre effectifs les droits énoncés dans la CIDE.
Un contexte particulièrement alarmant en Loire Atlantique ;
Il y a d’abord eu des expulsions du territoire national de parents avec leurs enfants scolarisés, en avril 2025, en catimini, pendant les vacances scolaires. Et on note, par ailleurs, une explosion du nombre de familles mises à la rue.
Beaucoup de ces familles ont des enfants scolarisés dans nos établissements scolaires. Cette situation est intolérable et plusieurs collectifs prennent de l’ampleur pour affirmer leur solidarité citoyenne.
Ces collectifs s’appuient sur l’intersyndicale des personnels de l’Education Nationale (CGT Educaction 44, FSU, SUD Education mais aussi sur le réseau associatif (RESF, CEECS, FCPE, LDH, 100 pour 1, MRAP, Libre Pensée, GASPROM, CUS…) et proposent d’organiser ce 20 novembre 2025 des Goûters de la Solidarité devant ou dans les établissements solidaires. Ces goûters ont pour objectif de rendre visible le désir de voir la solidarité s’exprimer et s’affirmer plus largement autour de l’école et dans la société au sens large. Ils peuvent être organisés par des personnels, des parents d’élèves ou des lycéen·nes.
Si vous voulez vous joindre aux goûters sur l’agglomération nantaise, contactez RESF pour être informé des horaires. (contact.resf44@gmail.com)
Mobilisations de la section LDH Nantes et pays nantais ce week-end : rejoignez-nous !
– Ce samedi 15 novembre à Nantes, la LDH, membre de l’intercollectif Personne à la rue, appelle à rejoindre, entre 15h et 17h, le lieu de Vigie Place du Change de 15h à 17h pour alerter le public sur la situation, échanger, interpeller
– Ce même samedi, Inauguration de la 28e édition de Festisol de 15h30 à 22h à la manufacture des Tabacs (10bis Bd de Stalingrad, 44000 Nantes). Le thème pluriannuel du Festisol : « Environnement et droits des peuples »
– En outre, a LDH, partie prenante du Collectif unitaire nantais pour les droits et les libertés contre les idées des extrêmes droites, relaie l’appel de celui-ci à être présent.es :
Chronique JetFM de novembre : le droit au logement
Vous trouverez sous ce lien notre chronique JetFM de novembre, diffusée la semaine dernière.
Malgré la trêve hivernale qui démarre le 1er novembre, de nombreuses personnes resteront à la rue cet hiver.
Pourtant l’accès à un logement décent est un droit.
La section nantaise de la LDH invite l’inter-collectif « Personne à la rue! », qui rassemble une quarantaine d’organisations locales, dont la LDH, à nous parler de la situation à Nantes et de la législation nationale. Nos invitées aborderont les combats qu’elles mènent pour obtenir des autorités qu’elles remplissent leurs obligations en matière de logement et que la situation s’améliore.
Invitation projection-débat « Devant – contrechamp de la rétention », mardi 18 novembre à 20h30 au cinéma le Concorde
La coordination COLERE dont notre association est membre et qui se bat contre la construction d’un centre de rétention à Nantes et ailleurs, vous invite à une projection débat en présence de la réalisatrice
Mardi 18 novembre à 20h30 au cinéma le Concorde à Nantes.
Le cinéma le Concorde et COLERE Nantes, vous invitent à une projection-débat du documentaire DEVANT – CONTRECHAMPS DE LA RÉTENTION, en présence de la réalisatrice, Annick Redolfi.
« Pauline, Norah, Kristina attendent pendant des heures, assises sous une cabane en bois perdue au fond du bois de Vincennes. Devant le Centre de rétention administrative (CRA) de Paris, toutes sont venues voir leur proche enfermé. Des vies suspendues à l’attente de leur expulsion ou de leur libération. Sur cette scène, ces femmes se racontent, échangent entre elles, partagent avec les nouveaux visiteurs leur expérience, leur révolte, leurs rêves. Elles sont le miroir de la rétention, son contrechamp. Leurs mots dessinent le paysage d’une zone de non-droit en France, où la violence, l’arbitraire et l’injustice règnent en maître. »
Projection au cinéma le Concorde, mardi 18 novembre 2025, 20h30, suivi d’une discussion avec la réalisatrice et des militante-es de COLERE Nantes.
Durée du film : 78 min. Sortie : le 12 novembre 2025