La loi « sécurité globale » définitivement adoptée par l’Assemblée nationale

Le président de la République, Emmanuel Macron, assiste à une présentation de drône à la frontière espagnole, au Perthus, le 5 novembre 2020. GUILLAUME HORCAJUELO / AP


Les députés ont validé, jeudi, une version du texte en partie remaniée par le Sénat. L’opposition de gauche a annoncé saisir le Conseil constitutionnel.


Lire ICI

Communiqués

LA LOI DE SÉCURITÉ GLOBALE CRIMINALISE LES OCCUPANTS SANS TITRE DE LOCAUX VACANTS



COMMUNIQUÉ DE L’ASSOCIATION DAL – RÉPRESSION DE TOUTE OCCUPATION DE LOCAUX PAR LA LOI DE SÉCURITÉ GLOBALE ARTICLE 1.BIS A


Lire ICI

Mer Méditerranée : sur la route migratoire la plus meurtrière du monde


Des personnes secourues en mer montent à bord de l’Ocean Viking, en mars 2021. Crédit : RFI / Guilhem Delteil


Le 10 mars 2021, l’Ocean Viking quittait le port de Marseille pour sa 11e mission de sauvetage au large de la Libye. Cette zone maritime est tristement connue pour être la route migratoire la plus meurtrière au monde. En 2020, au moins 1 277 migrants sont morts ou ont été portés disparus en Méditerranée centrale, selon les chiffres de l’Organisation internationale des migrations. Grand Reportage vous embarque à bord du navire humanitaire de l’ONG SOS Méditerranée.


Lire ICI

Loi prostitution. « Il y a un manque de volonté politique derrière ce texte »


REUTERS ARCHIVES


Cinq ans après le vote de la loi prostitution, élus et associations pointent le manque de moyens mis par l’État dans le dispositif. Et dénoncent une application partielle dans de nombreux départements.


Lire ICI

« Il faut nous sortir de là » : les aires d’accueil des gens du voyage, un enfer sonore et sanitaire



Voies rapides, aéroport proche, pollution omniprésente… Les aires d’accueil des gens du voyage n’ont rien d’accueillant. La faute à une politique qui leur est hostile, s’indignent les Voyageurs, qui s’inquiètent pour leur santé.


Lire ICI

Pauvreté : les associations ne veulent plus jouer la comédie




Pour la pauvreté comme le reste, le gouvernement est très fort pour la com’. Mais son inaction est tellement sidérante que les associations de lutte contre la pauvreté, pourtant habituées à parler dans le vide, ont décidé de cesser de participer à la sinistre farce actuelle. Du jamais vu !

Lire ICI

Fabrice Leggeri de Frontex : « Certains ne veulent toujours pas d’une agence de l’UE dotée de gardes-frontières »



Nous recevons cette semaine Fabrice Leggeri, le directeur exécutif de l’agence Frontex, qui surveille les frontières extérieures de l’Union européenne. L’agence est née en 2005, mais c’est à partir de la crise des réfugiés de 2015 qu’elle devient une pièce maîtresse du dispositif européen de surveillance des frontières externes. Alors qu’elle commence à disposer de moyens conséquents, ses actions sont aujourd’hui sur la sellette. Des enquêtes de presse, des ONG ou des instances européennes pointent des manquements, sur lesquels elle doit s’expliquer depuis plusieurs mois.

Lire ICI

USA : Amazon 1 – Syndicats 0


Amazon remporte sa bataille contre la création d’un premier syndicat aux Etats-Unis. Ce qui aurait été une grande première pour le géant américain s’est soldé par un échec pour les salariés.


Lire ICI et ICI



Birmanie : le Conseil de sécurité de l’ONU sommé d’agir contre la junte militaire

Des Birmans défient la répression pour manifester contre la junte militaire, à Mandalay le 10 avril 2021, dans cette photo anonyme publiée via Facebook. © Handout anonyme, AFP



Le Conseil de sécurité de l’ONU a été sommé, vendredi, par des civils birmans de prendre des mesures fortes contre les militaires en Birmanie qui ont refusé une nouvelle fois de recevoir l’émissaire onusienne actuellement en tournée en Asie.


Lire ICI

Contrôle des armes : « Il règne aux Etats-Unis une culture de la peur »

Joe Biden à Washington, le 25 mars 2021. (CHIP SOMODEVILLA / Getty Images via AFP)


Joe Biden a dévoilé jeudi un plan contre l’« épidémie » de la violence due aux armes à feu. Mais face aux difficultés qui entravent tout projet de contrôle des armes, ce plan reste limité.


Lire ICI

Soutien à l’Observatoire de la laïcité

Comment le nucléaire gagne la bataille des réseaux sociaux


Youtube, Twitter, Linkedin… Les pro-atome envahissent les réseaux sociaux grâce à une kyrielle d’opérations de communication lancées par l’industrie électronucléaire. Leur argument phare : la faible empreinte carbone du secteur. Leur méthode : construire une opposition factice entre scientifiques (pronucléaires) et militants (anti).


Lire ICI

Au Royaume-Uni, plusieurs suicides mettent en lumière les manques de prises en charge psychologiques des jeunes réfugiés

Des enfants dans un centre pour mineurs isolés à Athènes, en Grèce. Image d’illustration. Crédit : Picture alliance


Un enquêteur indépendant a conclu mercredi que le suicide du jeune Mulubrhane Medhane Kfleyosus, un réfugié érythréen de 19 ans, en 2019, était dû à un manque de prise en compte de son état de santé mentale, rapporte The Guardian. Avant lui, trois de ses compagnons d’exil s’étaient déjà donné la mort.


Lire ICI

Levée des sanctions contre la CPI : comment Biden peut aller plus loin

Accueil des migrants en France : des députés demandent une commission d’enquête à l’Assemblée


Des migrants dans le camp de Saint-Denis, dans le nord de Paris, en novembre 2020. Le campement a, depuis, été démantelé mais de nombreux exilés vivent toujours à la rue à Paris et en périphérie de la ville. Crédit : Mehdi Chebil



Des députés du groupe Libertés et Territoires (LT) ont demandé la création d’une commission d’enquête sur l’accueil des migrants en France. Ils déplorent une « crise » de l’accueil et de la « dignité humaine ».


Lire ICI


Communiqué

Projet de loi « confortant le respect des principes de la République »

7 avril 1994 : début du génocide au Rwanda

Par Rémy Dufaut



En 2003, les habits des victimes du génocide contre les Tutsis au Rwanda ont été présentés dans le cadre d’une opération mémorielle.• Crédits : Per-Anders Pettersson – Getty



Le 6 avril 1994, les présidents rwandais et burundais, Juvénal Habyarimana et Cyprien Ntaryamira, meurent, lorsque leur avion est abattu par un missile, au moment d’atterrir à Kigali.

Du lendemain 7 avril au 17 juillet 1994, entre 800000 et 1 million de Tutsis sont sauvagement massacrés. La France, a pris mi-juin sous mandat de l’ONU le commandement d’une force multinationale. Sa responsabilité est clairement engagée, dans sa peu glorieuse mission « Turquoise », semblant n’avoir pas plus réagi que les forces de la « Minuar  » , présentes sur le terrain dès le début du génocide.

À la demande du chef de l’État, une commission d’historiens a examiné l’implication militaire et politique de la France dans ce conflit qui a conduit à l’extermination d’un peuple par son gouvernement avec le soutien et l’aide active de l’autre partie de sa population.

Trente ans plus tôt, le journal Le Monde rapportait déjà dans son édition du 4 février 1964, le massacre de décembre 1963 au cours duquel on estime qu’entre 8 000 et 12 000 Tutsis, y compris des femmes et des enfants, avaient été assassinés.

Le rapport « Duclert », du nom du directeur de ladite commission, a été remis à Emmanuel Macron le 26 mars dernier. Outre la bonne trentaine d’ouvrages en français publiés sur cette guerre débutée officiellement en 1990, on peut donc s’y référer, même s’il ne prétend pas lever toutes les zones d’ombre.

Ce rapport pointe des « responsabilités accablantes » pour la France mais souligne l’absence de complicité de génocide.


N.B. : Les conclusions du rapport sont en page 966 (et plus précisément 973)

INÉGALITÉS ET INJUSTICES

 AMPLIFIÉES PAR LA CRISE DU COVID-19


La pandémie de Covid-19 a mis à jour le terrible bilan de politiques destructrices, délibérément créatrices de divisions et qui perpétuent les inégalités, la discrimination et l’oppression. Des mesures qui ont représenté un terreau fertile favorisant les ravages causés par le Covid-19.

Lire ICI