8 mars: journée internationale des droits des femmes


La Marseillaise revisitée par Catherine Ringer pour l’inscription de l’IVG dans la Constitution

 


A l’occasion de la cérémonie publique place Vendôme où le sceau de la République a été apposé sur la loi inscrivant l’IVG dans la constitution française, la chanteuse française Catherine Ringer a interprété une Marseillaise revisitée, pour une « loi pure dans la Constitution »


A Troyes cet après-midi

 


Prise de parole inter-organisations féministes auboises

Face aux attaques du gouvernement, des droites et extrêmes droites, partout les femmes résistent !

Grève féministe !

Nous appelons à la grève du travail, des tâches domestiques, de la consommation. Parce que seules nos voix, nos cris, nos actions visibles pourront faire bouger la société et le pouvoir pour enfin obtenir l’égalité.

Solidarité avec les femmes du monde entier !

Le 8 mars, nous sommes en grève en solidarité avec nos sœurs confrontées aux guerres qui sévissent dans le monde.

En solidarité avec celles qui font face à des bombardements massifs, à l’exode, sont victimes de viols de guerre, peinent à nourrir leur famille et elles-mêmes.

En solidarité avec toutes celles qui se défendent farouchement pour recouvrer leur liberté et leurs droits.

NON à la réaction, NON à l’extrême droite

Les idées d’extrême droite qui prônent la haine de l’autre, le racisme, la misogynie, la LGBTQIAphobie, remportent des succès électoraux partout dans le monde, se banalisent. En France, le gouvernement et la droite en reprennent à leur compte.

La loi immigration votée en décembre dernier en est un exemple. Même si un tiers des dispositions, comme celles instituant la préférence nationale ont été invalidées par le Conseil constitutionnel, cette loi raciste s’attaque au droit d’asile et à tou·te·s les sans-papiers.

Nous réclamons l’abrogation de la loi immigration et la régularisation de tou·te·s les sans-papiers.

Nous voulons vivre et pas survivre !

Les inégalités salariales, les bas salaires et désormais l’inflation dégradent les conditions de vie. Les femmes représentent 62% des personnes payées au SMIC et 70% des bénéficiaires des banques alimentaires. Plus de 9 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté. 300 000 personnes dont 3000 enfants vivent dans la rue. Certaines en meurent.

Nous demandons la hausse des salaires, la revalorisation des minimas sociaux, la construction massive de logements sociaux.

Du travail et des salaires décents

Les femmes, notamment les mères isolées, sont particulièrement impactées par la vie chère, elles occupent des emplois mal rémunérés, sont souvent percutées par la précarité et le temps partiel imposé et touchent un salaire en moyenne ¼ inférieur à celui des hommes. Les femmes, dont les retraites sont 40% inférieures à celles des hommes, sont encore plus impactées par la dernière réforme.

Nous réclamons l’abrogation de la réforme Macron des retraites, des lois qui pénalisent les chômeurs·euses et les bénéficiaires du RSA. Nous réclamons la revalorisation des métiers féminisés (éducation, soin, nettoyage…), l’égalité salariale, l’interdiction du temps partiel imposé, la transformation des CDD en CDI. Nous voulons la retraite à 60 ans avec 37,5 annuités.


Des services publics au service de nos besoins

L’idéologie libérale vise à casser et à privatiser les services publics : hôpital, école, EHPAD, logement. Ce sont les femmes qui compensent cette carence auprès des enfants comme des plus âgé·e·s, des malades, au détriment de leur carrière, de leur autonomie financière, de leur santé.

Elles assument la grande majorité des tâches domestiques et d’éducation des enfants. Elles portent une charge mentale les obligeant à devoir constamment tout planifier.

Nous voulons des services publics de qualité et réclamons la création de services publics de la petite enfance et de la perte d’autonomie.

Nous voulons du temps pour vivre, un partage égal des tâches, une réduction du temps de travail pour toutes et tous.


Notre corps nous appartient

Depuis le 4 mars 2024 la liberté d’avorter est inscrite dans la Constitution française. C’est une première mondiale et sa portée symbolique est considérable. Mais elle n’efface ni les difficultés à accéder réellement à l’IVG, ni l’instrumentalisation politique qu’en fait Emmanuel Macron. La suppression de centres IVG, pas moins de 130 ces dernières années, l’affaiblissement des services publics, l’attaques contre l’hôpital font que de nombreux obstacles perdurent et le recours à l’avortement reste inégal selon le profil, le niveau social ou le lieu de vie. Ce n’est pas normal.

Nous réclamons la réouverture de tous les centres d’interruption volontaires de grossesse fermés ainsi qu’un large plan de garantie de l’accès à l’IVG soit mis en place dès les prochains jours pour permettre à toutes les femmes d’y avoir accès.

Macron appelle à un “réarmement démographique », aux relents pétainistes et natalistes, comme si le désir d’enfant dépendait de l’injonction politique et nous prépare un congé de naissance tout en pointant du doigt des parents «défaillants».


LGBTQIA, nous voulons pouvoir faire nos choix de vie, vivre librement notre orientation sexuelle, nos identités.

Handicapées, nous subissons toutes les violences. Nous sommes privées de nos droits à l’autonomie, à l’éducation, à l’emploi, aux soins, et à la procréation. Nous voulons notre indépendance économique, l’accessibilité universelle à l’ensemble de l’espace public et à tous les lieux et bâtiments.

Stop aux violences sexistes et sexuelles

#MeToo est partout, dans tous les milieux. L’impunité persiste, 1% des viols sont condamnés. Macron se permet d’apporter son soutien à Depardieu, mis en examen pour viol et se porte ainsi garant de tout un schéma d’oppression. Les violences obstétricales et gynécologiques (VOG) sont systémiques et impunies. 9% des femmes se disent victimes de brutalités dans le soin selon le Haut Conseil à l’Égalité. Ce dernier insiste sur la persistance du sexisme chez les plus jeunes.
Quand 56% des victimes de violences sexuelles sont des mineur·e·s et 160 000 enfants victimes par an, Macron décapite la Commission Indépendante sur l’Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants et fait silence sur les 30 000 témoignages recueillis.

Alors que la France accueillera cet été les Jeux Olympiques et Paralympiques, nous demandons la mise en place d’actions concrètes pour lutter contre toutes les violences sexistes et sexuelles, protéger les victimes et combattre les réseaux de traite prostitutionnelle et de proxénétisme.

Nous voulons restaurer la CIIVISE (Commission Indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants) dans son but initial et suivre ses recommandations. Nous réclamons trois milliards pour lutter contre les violences, l’application des lois existantes, le vote d’une loi-cadre contre les violences masculines à l’encontre des femmes, des enfants et des minorités de genre.<


Éduquer à l’égalité, un enjeu majeur

Une éducation à l’égalité doit permettre aux enfants de comprendre les mécanismes de domination s’exerçant dans notre société.

Nous voulons une éducation non sexiste, la mise en place effective d’une éducation à la vie affective et sexuelle qui intègre les notions de désir et de plaisir, d’une éducation au consentement et à l’égalité.

Les femmes face aux changements climatiques

Face aux changements climatiques, les femmes sont plus vulnérables que les hommes, en grande partie parce qu’elles représentent la majorité des pauvres dans le monde (70% des 1,3 milliards de personnes en-dessous du seuil de pauvreté), et qu’elles dépendent davantage des ressources naturelles menacées. 80% des déplacé·e·s suite à une catastrophe naturelle liée aux changements climatiques sont des femmes et des filles.

Nous revendiquons la participation pleine et égale des femmes et filles aux processus de décisions et aux projets de gestion de l’environnement doit être une priorité absolue. Pas d’avenir durable, sans égalité des genres !

Pour terminer rappelons la mise en garde de Simone de Beauvoir : « une crise politique, économique ou religieuse suffirait pour remettre en question le droit des femmes ». C’est flagrant en Afghanistan depuis la prise de pouvoir des talibans en 2021, où une guerre ouverte contre les droits des femmes et des filles est menée dans tout le pays, les talibans ne cessant de mettre en place des restrictions dans le but d’effacer complètement les filles et les femmes de la société, en les privant de leurs libertés. Et cela pourrait bien arriver ici, les relents patriarcaux nauséabonds de l’extrême droite et du gouvernement en sont des alertes bien réelles. Nous ne devons ni ne pouvons baisser les bras !

Le 8 mars, nous sommes en grève et manifestons contre le patriarcat et ce gouvernement !

Enfin une grève féministe pour le 8 mars 2024 


C’est une première. Cinq organisations syndicales, la CFDT, la CGT, la FSU, Solidaires et l’Unsa, appellent à faire grève et à se mobiliser ce 8 mars 2024, journée internationale de luttes pour les droits des femmes.

Lire ICI


Comment on fait la grève féministe ?


CARTE DES MOBILISATIONS

« Grève féministe » : on vous explique dans quel cadre vous pouvez cesser le travail le 8 mars


Plus de 400 femmes du monde littéraire, dont Annie Ernaux et Vanessa Springora, dénoncent « la persistance des agressions sexuelles et des viols » dans le milieu


Salaire, précarité, carrière : les 5 chiffres qui prouvent que l’égalité hommes femmes n’est pas encore gagnée


L’intelligence artificielle générative perpétue les préjugés sexistes, alerte l’Unesco


Des visas pour la liberté des femmes afghanes persécutées 


Mères célibataires : la bombe sociale de 2024 ?


#MeToo stand-up : « Parler pour que les femmes puissent travailler en sécurité »


A TROYES


COLLECTIF AUBOIS DE LUTTE POUR LES DROITS DES FEMMES

A 14h00 : rassemblement place Jean-Jaurès puis marche dans Troyes, ponctuée d’étapes avec prises de parole par les différentes organisations constituant le collectif.





Dossier : Les inégalités entre femmes et hommes


Où en sont les inégalités entre les femmes et les hommes ? Les dernières données sur les écarts de salaires, l’accès à l’emploi, les discriminations et violences sexistes.

Lire ICI


Être une femme dans l’Afghanistan des talibans


Golshifteh Farahani : « Le mouvement Femme, vie, liberté ne peut pas être réprimé »

 

A l’occasion de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes,

le Collectif Aubois de lutte pour les droits des femmes (les associations LDH, Greenpeace, MRAP, NT10 et AGUI, les syndicats CGT, CFDT, FSU et Solidaires et le CIDFF)

Appelle à manifester le vendredi 8 mars 2024.

Rassemblement à 14h00 Place Jean-Jaurès pour une marche dans Troyes, ponctuée d’étapes avec prises de parole par les différentes organisations constituant le collectif.

Le cinéma Utopia, en partenariat avec le Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de Pont-Sainte-Marie et les associations LDH et Solidarité Femmes, organise une soirée spéciale pour sensibiliser aux droits et conditions des femmes,

Le vendredi 8 mars 2024 à partir de 19h00 au cinéma UTOPIA.



PLUS INVISIBLES QUE LES PAYSANS : LES PAYSANNES

 


« Si les agricultrices ont acquis des droits, c’est parce qu’elles se sont battues pour »


« Je ne fais pas grand chose, la traite et la compta » : le travail invisible des paysannes


« De plus en plus d’agricultrices se revendiquent de l’écoféminisme »

8 mars: Journée internationale de lutte pour les droits des femmes



COLLECTIF AUBOIS DE LUTTE POUR LES DROITS DES FEMMES

A 14h00 : rassemblement place Jean-Jaurès puis marche dans Troyes, ponctuée d’étapes avec prises de parole par les différentes organisations constituant le collectif.
« Le 8 mars, nous sommes en grève contre le patriarcat. Nous montrons le rôle fondamental des femmes dans la société : quand les femmes s’arrêtent, tout s’arrête. »

« Face aux attaques du gouvernement, des droites et extrêmes-droites, partout les femmes résistent ! »

Programme complet de la journée ICI


Loi anti-IVG : des milliers de Polonaises manifestent après la mort d’une femme qui n’a pas pu avorter


Cette trentenaire est décédée à la suite d’une septicémie provoquée par la mort dans son ventre de son fœtus de 20 semaines, sans pouvoir bénéficier d’une IVG alors que sa vie était en danger.

Lire ICI

Aujourd’hui à Troyes

HB
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8 mars : Journée Internationale des droits des femmes


Iran: des femmes racontent leur détermination à poursuivre la lutte malgré la répression


Pakistan: des femmes afghanes en quête de liberté paient cher le prix de l’exil


73 femmes journalistes passeront la journée du 8 mars derrière les barreau


France : comment se passe la demande d’asile pour excision ?

France : un hommage polémique à Gisèle Halimi



Comment favoriser le partage du travail domestique entre femmes et hommes ?



Vous souhaitez évaluer votre gouvernement ? Regardez les droits des femmes



Communiqué du Collectif
Féminicides Par Compagnons ou Ex




Troyes : rassemblement à 14 h place Jean-Jaurès


Conférence « Quelques femmes célèbres de Troyes »


Conférence animée par Sylvie Coulonval-Lamotte, guide-conférencière

A l’occasion de la Journée de la femme, une évocation de quelques troyennes qui ont marqué l’histoire de la ville ou qui se sont illustrées par leur passion ou leur action.
De Jeanne de Navarre à Claudie Pierlot, en passant par Marguerite Bourgeoys, Suzanne Bernard….
L’occasion de découvrir et de mettre en lumière quelques-unes des figures féminines de la cité champenoise.

Réservation au préalable (nombre de places limité) au 03 25 82 62 70.

14h30

Troyes La Champagne Tourisme – Salle Héloïse
16 rue Aristide Briand
10000 TROYES


Rappel de notre article d’hier

8 mars : Journée internationale des droits des femmes

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A Troyes




Au Lycée des Lombards

– Distribution de bracelets « Stop aux violences » par des étudiants de BTS

– Stands tenus par les étudiants

Diffusion du documentaire « Sexe sans consentement » de Delphine DHILLY aux étudiants de BTS et de CPGE avec Cyril SOUVAIS (Unité de prévention des conduites à risques du commissariat de police de Troyes) et la réalisatrice.

A Pont-Sainte-Marie



A La Chapelle-Saint-Luc

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est image-2.png.

Le quizz permettra aux participant(e)s de s’interroger sur l’évolution du droit des femmes dans le monde.


A Sainte-Savine



A Romilly-sur-Seine

Procès fictif tout public à partir de 12 ans. Création de la compagnie la Grange aux histoires de 2022

Calendrier représentations dans l’Aube :

Février 2023:Lycée Joliot Curie Romilly-sur Seine – 4 représentations

13 avril 2023:Lycée Diderot Romilly sur Seine – 2 représentations

2 mars 2023:collège Lenoyer Marchand – Romilly sur Seine-1 représentation

7 mars 2023 :Centre René Peltier – Chartreux 18h00

8mars 2023: Cinéma EDEN Romilly sur Seine 20h00

11 mars 2023:Mac Pont Sainte-Marie 20h00



A POLISOT


Le 10 mars à L’AIGUILLAGE , deux courts métrages vous seront proposés à partir de 19 h, deux films qui traitent du harcèlement. L’entrée est libre.

Pour compléter la soirée vous pourrez rencontrer et échanger avec la réalisatrice, la scénariste, la compositrice de la BO et les actrices et acteurs de « PARCOURS DE COMBATTANTES », le CIDFF (centre d’informations des droits la famille et de la femme) de Troyes sera présent pour présenter ses actions de conseils et soutiens.

1 – VISIONS –

« D’étranges hallucinations assaillent un adolescent, c’est une conviction un drame se prépare, il faut intervenir… »

Réalisé à L’Aiguillage en février 2022 par des ados dans le cadre du stage audiovisuel. Durée 5 mn

2 – PARCOURS DE COMBATTANTES –

« Lucie et Chloé ne se connaissent pas elles ont néanmoins quelques choses en commun, elles subissent quotidiennement le harcèlement.. »

réalisé par Leîa Serendet, écrit par Boubackari Timera et produit par l’association TROYES DIMENSIONS. Durée 15 mn

L’Aiguillage 3 place de la gare 10110 Polisot

Renseignements : contact@assoquaidesarts.fr ou 03 51 63 71 52



Liste non exhaustive



8 mars 2023 : Journée Internationale des Droits des Femmes

A Troyes et agglo

PARTICIPEZ À LA JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DES FEMMES




A Romilly-sur-Seine




Pour aller plus loin, voir ici les publications de la LDH

Journée internationale des droits des femmes







Positivons ! Voir ICI



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Projection-débat du documentaire « La voie d’Henriette » de Safia Kessas le jeudi 10 mars à 19h. Dans le cadre des manifestations autour du 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, nous vous proposons de découvrir ce beau documentaire belge de 26 minutes lors d’une projection-débat en ligne.Pour vous donner envie : « Henriette est une jeune mère célibataire, et c’est aussi une personne sans papier qui est porte-parole du collectif de la voix des sans papiers. Tous les jours, elle se bat avec le soutien de son avocat, Maitre Lurquin, pour loger les familles sans papier au cœur de Bruxelles. »A l’issue de la projection, nous aurons le plaisir de vous inviter à échanger avec : Merlie Kiang, bénévole au groupe local de La Cimade à CaenViolaine Husson, responsable nationale Genre et Protections à La CimadeSous réserve, une personne ayant participé au film 
Je m’inscris à la projection-débat du jeudi 10 mars

Journée Internationale des droits des Femmes 2022


Dans le cadre de la Journée Internationale des droits des Femmes 2022, qui a lieu chaque année le 8 mars, le CIDFF de l’Aube organise un cycle de visioconférences.

 

Au programme:

  • Lundi 07 mars 2022, 13h30 : Évolution de la place des femmes dans le travail
  • Mardi 08 mars 2022, 13h30 : Violences sexistes et sexuelles au travail
  • Jeudi 10 mars 2022, 13h30 : Conciliation des temps de vie
  • Vendredi 11 mars 2022, 13h30 : Stéréotypes et mixité professionnelle

Ces conférences sont prévues pour une durée d’une vingtaine de minutes environ. 

Pour vous inscrire, complétez le formulaire en cliquant sur le lien ci-après : 

https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSd7HxbkLDEgA_NDPWbjZkAGQ611WKW4Bnvl7_vjPQplG_8f7g/viewform?usp=sf_link

Un lien de connexion vous sera envoyé quelques heures avant le début de la conférence (Pensez à vérifier vos spams). 

Leadership féminin : Pour un futur égalitaire dans le monde de la Covid-19



La journée internationale de lutte pour les droits des femmes n’est pas la fête de la femme


« Leadership féminin : Pour un futur égalitaire dans le monde de la Covid-19 ». C’est le thème retenu cette année pour la Journée internationale des droits des femmes (IWD 2021) du 8 mars.

Ce choix vise à célébrer les incroyables efforts déployés par les femmes et les filles du monde entier pour façonner un futur et une relance plus égalitaires suite à la pandémie de Covid-19. Il s’aligne également sur le thème prioritaire de la 65e session de la Commission de la condition de la femme, ainsi que sur la campagne phare Génération Égalité.

La Covid et le confinement, les fermetures des écoles, ont épuisé particulièrement les femmes au travail comme à la maison ! Appauvries et précarisées, elles sont encore plus vulnérables face aux violences. Pourtant, le confinement a révélé au grand jour le rôle primordial des femmes, premières de corvée dans les secteurs les plus indispensables à la société.   

Au programme à Troyes et dans l’Aube:

A l’initiative des Colleuses Féminicides, samedi 6 mars à 13h place de l’hôtel de ville : marche féministe et inclusive pour toutes et tous contre les violences faites aux femmes.

Le collectif TroyesPetitesChattes remettra en place la campagne de sensibilisation de distribution des affiches aux commerçants.es pour leur rappeler que le 8 mars n’est pas une journée commerciale mais bien une journée de revendications !

Le CIDFF Aube interviendra devant différents publics jeunes sur le sexisme, les stéréotypes et le harcèlement. Les animations prendront la forme de réunions de réflexion et d’échanges en petit groupe ou en visioconférence. Huit interventions seront proposées auprès du Centre international d’études pédagogiques, d’une classe relais, d’élèves du Lycée Marie-de-Champagne et d’étudiants-es de licence à l’IUT. Il mettra aussi à disposition de la Mission locale son expo « Un pays, une femme, une époque ».

Solidarité Femmes et l’autrice troyenne Julie Desb lancent une opération avec son livre « Racines d’Elles » : 2 livres achetés = 1 livre offert à une femme suivie par Solidarité Femmes Aube. L’opération se déroulera du lundi 8 Mars au dimanche 14 Mars. L’autrice dédicacera son livre le samedi 13 Mars de 14H à 17H30 au local Solidarité Femmes au centre Leclerc de St Parres aux Tertres (Règlements sur place en espèces ou en chèque.)

Commandes possibles en ligne du 8 au 14 Mars :

Prix du livre : 19,70 €, prix avec envoi postal : 24 €. Les livres achetés en ligne seront comptabilisés dans cette opération.


Cette journée sera également soutenue par :

l’Association Agui de La Chapelle-Saint-Luc 

le Centre Musawa pour la recherche sur la femme

La Ligue des Droits de l’Homme

– Le MRAP

Et toutes les autres associations s’inscrivant dans le mouvement mondial en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes.