Communiqué Collectif contre les extrêmes droites et leurs idées

Les organisations    FSU Loire-Atlantique – fsu 44Nos contacts - Solidaires 44Une image contenant texte  Description générée automatiquementLIGUE DES DROITS DE L' HOMMENantes - MRAPLe comité local 44 - attac 44Organisme

réunis dans un collectif contre les extrêmes droites et les idées qu’elles diffusent largement dans la société, la politique et le champ médiatique,

ont voulu réagir dans un communiqué commun à la prise de position de Marine Le Pen dans le contexte de la lutte sociale pour les retraites.

Communiqué

Nantes le 25 janvier 2023


Les organisations syndicales (CGT, FSU, Solidaires et SAF) et les associations (LDH, MRAP, ATTAC, AFPS, FAL) de Loire-Atlantique dénoncent les propos mensongers des représentant·es du RN qui prétendent être à aux côtés des travailleur·euses dans le mouvement social contre le projet de retraites du gouvernement Borne.

Depuis toujours, les extrêmes droites en général et le RN en particulier sont hostiles aux salarié·es et à leurs représentant·es syndicaux·les.

À l’Assemblée Nationale,les élu·es du RN ont voté contre le partage des richesses et les propositions visant à taxer les hauts revenus, et les produits de luxe, à augmenter le SMIC, à indexer les salaires sur l’inflation ou à valoriser les petites retraites… La liste est longue des votes du RN contre le progrès social et le renforcement des conquis sociaux.

Les extrêmes droites ne seront jamais aux côtés des travailleur·euses, elles profitent de la misère, elles profitent de la précarité afin d’apparaître comme légitime et faire croire qu’elles apporteraient des réponses en accédant au pouvoir.

Les organisations syndicales (CGT, FSU, Solidaires et SAF) et les associations (LDH, MRAP, ATTAC, AFPS, FAL) de Loire-Atlantique continueront à s’opposer aux idées des extrêmes droites et à dénoncer les propos trompeurs de leurs dirigeant·es.

Manifestation Pas de centre de rétention administrative en Loire-Atlantique ou ailleurs dimanche 18 décembre

COMMUNIQUÉ

A l’occasion de la Journée internationale des migrant.e.s du 18 décembre, instituée en 2016 par les Nations Unies, un ensemble d’associations et syndicats appellent à une

MANIFESTATION

Pas de centre de rétention administrative

en Loire-Atlantique ou ailleurs

dimanche 18 décembre – 15h

Nantes Terrain Feydeau (arrêt Bouffay)

Nous ne voulons pas d’un Centre de Rétention Administrative,

ni en Loire-Atlantique ni ailleurs

Dans un communiqué du ministère de l’Intérieur du 4 octobre, Gérald Darmanin annonçait sa volonté de construire un centre de rétention administrative dans le département.

Qu’est-ce qu’un centre de rétention administrative (CRA) ?

Un CRA est un lieu de privation de liberté. Le placement en rétention est une décision administrative, prise par le Préfet, permettant d’enfermer une personne de nationalité étrangère sans titre de séjour dans l’attente de son éloignement forcé du territoire.

En réalité, c’est une prison qui ne dit pas son nom. On y enferme des hommes, des femmes et des enfants, le plus souvent en dehors de tout comportement pénalement répréhensible et sans lien avec une quelconque délinquance, mais seulement car « sans-papiers ». Il est important de rappeler que le fait d’être sans titre de séjour n’est pourtant pas une infraction depuis la loi du 31 décembre 2012.

Si vous croyez que la création d’un CRA aura un quelconque effet contre la délinquance ou la criminalité, vous vous trompez.

A neuf reprises déjà, la France a été condamnée par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) pour l’enfermement d’enfants dans les CRA, dont des nourrissons. De plus, les conditions d’enfermement sont largement décriées par tous et toutes : nourriture insuffisante, locaux vétustes et mal entretenus, impossibilité de mettre en place des mesures de distanciation lors de la pandémie.

En réalité, la création des CRA n’a qu’un objectif : faire croire qu’il existe un lien entre immigration, insécurité et délinquance.

Enfermer des personnes, dans des conditions indignes, seulement parce qu’elles sont « sans-papiers » est inacceptable. Ériger cela comme une réponse à un sentiment d’insécurité l’est tout autant.

Attac, à la criée, Cimade, Collectif Romeurope agglomération nantaise, CNT, Collectif soutien exilés 44, DAL, FSU, Gasprom, La Libre Pensée 44, Les Bienveilleurs 44, LdH, MdP, Mrap, RESF, Safe Migrants, SAF, Union syndicale Solidaires, (liste en cours…)

Menace d’expulsion d’un bidonville : communiqué du Collectif Romeurope

Nous relayons ce communiqué du Collectif Romeurope agglomération nantaise.

Jeudi 8 décembre, les familles habitant le bidonville situé rue Vulcain à Nantes ne se déplaceront pas au T.J. et ne se feront pas représenter pour se défendre de l’assignation en référé de Mme La Maire de Nantes pour  « installation sans droit ni titres » sur l’ancienne déchetterie de la Prairie de Mauves.

Le feu dans les broussailles de la Prairie de Mauves, survenu en août 22, a détruit leurs caravanes voisines et tous leurs biens.

En septembre, après nettoyage du terrain attenant au terrain incendié, les familles y ont été dirigées   par la Ville de Nantes, et s’y sont installées après rachat de caravanes et de biens indispensables. Tout en poursuivant les contrats de travail dans lesquels ils étaient engagés. C’est l’occupation de ce terrain là qui leur vaut assignation !

Découragées par les expulsions incessantes qu’elles subissent depuis des années de présence sur l’agglomération nantaise, et dans l’incompréhension d’une situation qui ne leur propose d’autre solution qu’un autre lieu qui entraînera une nouvelle expulsion, malgré leurs demandes de logement du plus grand nombre d’entre eux depuis 3 ans voire plus, ces familles ont décidé d’exprimer par leur absence l’injustice de cette situation.

Le Collectif Romeurope de l’agglomération nantaise est composé

– d’associations de défense des Droits de l’Homme : LDH, MRAP, GASPROM-ASTI

– d’associations humanitaires : Médecins du Monde, CIMADE, CCFD-Terre Solidaire

– d’associations d’éducation populaire : Ligue de l’Enseignement-FAL 44, CEMEA

– d’associations de solidarité : Romsi Indre, Soleil rom Ste-Luce, Sol’Rom St-Herblain, Ame Sam Rezé, Solidaroms Vigneux, Treillières Solidaire, Avec Carquefou, Action Solidaire Orvault, Solida-Roms-Bouguenais, Association Solidaire Roms Nantes Est, Citoyens Solidaires Montaigu, Solidarité Nantes centre, Cell’Accueil, ADIS Sautron, Fraternité couëronnaise, Roata Nantes, CFR 295, Une Famille Un Toit, Les Forges

– ainsi que de citoyens.

Il est indépendant de tout parti politique et non confessionnel.

Expulsion de Salah Hamouri : rassemblement samedi 3 décembre

La LDH appelle à se joindre au rassemblement organisé par l’AFPS 44 pour refuser l’expulsion possible de Salah Hamouri : Samedi 3 décembre à 15 heures à Nantes Cours des 50 otages à l’angle de la rue de la Barillerie. Un courrier a également été envoyé au Président de la République : https://www.france-palestine.org/Appel-a-action-Interpeller-le-President-de-la-Republique-pour-lui-demander-d

Ci-dessous pour information, la reprise d’un communiqué de l’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits humains (FIDH-OMCT) et Ligue des droits de l’Homme (LDH France).


18.10.2022

Israël / Territoires palestiniens occupés : traitements inhumains contre Salah Hamouri

Communiqué commun

L’avocat franco-palestinien et chercheur pour l’ONG Adameer, Salah Hamouri, placé en détention administrative, a été mis à l’isolement le mercredi 28 septembre 2022, après avoir démarré une grève de la faim. L’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits humains (FIDH-OMCT) et la LDH (Ligue des droits de l’Homme) exhortent les autorités israéliennes à libérer sans condition M. Salah Hamouri.

Depuis le 10 mars 2022, Salah Hamouri est en détention administrative dans la prison de haute sécurité de Hadarim, en Israël. Il a été arrêté sans inculpations ni procès, sur la seule base d’un dossier déclaré secret que son avocat ne peut consulter, rendant ainsi sa détention illégale au regard du droit international.

Le dimanche 25 septembre 2022, 30 prisonniers, dont Salah Hamouri, ont entamé une grève de la faim pour protester contre la détention administrative qui leur est infligée ainsi qu’à 740 autres prisonnières et prisonniers palestinien.nes. En réponse à cette action, les autorités ont placé M. Hamouri à l’isolement le 28 septembre 2022. Les prisonniers doivent par ailleurs payer des amendes pour chaque jour de leur grève de la faim. Le 9 octobre 2022, 20 autres prisonniers ont rejoint la grève.

Ces mesures punitives constituent une violation de la Convention des Nations unies contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. En effet, M. Hamouri a été placé dans une cellule de 3m2 sans fenêtres ni aération. Il n’a pas de droit de visite, de cantine et ne peut changer de vêtements. Le 2 octobre 2022, un avocat a rendu visite à M. Hamouri et a pu rendre compte de ces conditions de détention inhumaines. Sa santé s’est détériorée et il a besoin de soins médicaux quotidiens mais refuse d’être examiné par les médecins des prisons israéliennes, celles-ci négligeant délibérément les détenu-e-s palestinien-ne-s. Il souffre de douleurs musculaires, de vertiges, de maux de tête, d’insomnies et a perdu environ 7kg. M. Hamouri est privé de temps en plein air et n’a pas vu la lumière du jour depuis sa mise à l’isolement.

Voici maintenant plusieurs années que M. Hamouri fait l’objet d’une répression continue exercée par les forces d’occupation israéliennes, en raison de son rôle actif dans la défense des droits humains. Au total, Salah Hamouri a passé neuf ans dans les prisons israéliennes, réparties en six épisodes de détention. Accusé en octobre 2021 de déloyauté envers l’État d’Israël, sa carte d’identité jérusalémite lui a été retirée et des tentatives pour l’expulser vers la France sont encore en cours. Il est prévu que la Cour suprême israélienne statue sur le retrait de la carte d’identité de Salah Hamouri en février 2023.

Les organisations rappellent qu’à ce jour, le gouvernement français n’a pas demandé la libération de M. Hamouri, bien qu’il ait été placé à l’isolement il y a quelques mois suite à une lettre envoyée au président français, Emmanuel Macron, lui demandant d’exiger sa libération.
Nous alertons sur le caractère inhumain du traitement réservé à M. Salah Hamouri et condamnons fermement ces mesures abusives et arbitraires. Les persécutions à son encontre semblent avoir pour unique but de le punir en raison de ses activités légitimes de défense des droits humains, notamment en faveur des prisonnier-ères politiques palestinien.nes.

L’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits humains et la LDH appellent les autorités israéliennes à libérer immédiatement Salah Hamouri et à mettre fin à tout acte de harcèlement, y compris au niveau judiciaire, à son encontre. Les deux organisations appellent par ailleurs les autorités françaises à exiger la libération immédiate de M. Hamouri.

Paris–Genève, le 12 octobre 2022

Rassemblement pour l’accès aux soins psychiatriques – mardi 29 novembre

Le collectif nantais « Pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous », dont fait partie notre section, appelle à faire connaître et à participer mardi 29 novembre à 14h45 devant les admissions de l’ hôpital Saint Jacques, 85 rue St Jacques à Nantes : ensemble soignons la psychiatrie, pour renouer avec des soins respectueux de l’humain !

Rassemblement ce lundi 28 novembre : Plutôt qu’aux locataires et squatteurs, s’en prendre à la crise du logement !

Appel à Rassemblement lundi prochain 28 novembre de 12h à 14h devant la préfecture (faute d’autre lieu valide pour cette fois)

Ci-dessous le mail d’invitation envoyé cet après-midi aux 10 députés de Loire-Atlantique.

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Mesdames et Messieurs les Députés de Loire-Atlantique,

Nous demandons le retrait de la proposition de loi Kasbarian Auger.

Nous vous invitons à venir nous rejoindre pour en discuter lors du rassemblement qui aura lieu lundi prochain 28 novembre de 12h à 14H devant la préfecture de Nantes

Nous souhaitons échanger avec vous sur la situation dramatique des familles et personnes à la rue dans la métropole et vous rappeler la déclaration d’Emmanuel MACRON le 27 juillet 2017 à Orléans « D’ici la fin de l’année, je ne veux plus personne dans les rues »

Cordialement

L’inter-collectif « Personne à la rue ! »
ATD Quart Monde, Afrique Loire, Amnesty International, Asamla, Attac 44, Cimade 44, Collectif des Hébergeurs solidaires de Nantes et alentours, Collectif Refus de la Misère, Collectif Solidarité Indrais, Collectif Soutien migrants Nantes, CSF, Cent pour Un Nantes Agglo, DAL44, Du Monde dans la classe, DMDC, Ecole Hors les Murs, Egide Solidarité, Emmaüs 44, Etmadouche, Gasprom, Gref, JRS Loire-Atlantique, L’Atelier de français, L’ Autre Cantine, L’ Autre Classe, La Maison, La Maison des Familles, LDH, Le Logis Saint Jean, Les Bienveilleurs 44, Ligue de l’Enseignement FAL 44, Maison des Citoyens du Monde, Maison du Peuple, Médecins du Monde, MRAP, Nosig, Prépa Solidaire, RESF44, Romeurope, Safe Migrants, Secours Catholique, SOS Familles Emmaüs, Tamo Cemea – L’Intersyndicale 44 (UD CGT – CFDT – FSU – UNSA – SOLIDAIRES 44)

Soirée ciné-débat Film « Fusillés pour l’exemple » – jeudi 24 novembre

Le Collectif départemental* pour la réhabilitation des « fusillés pour l’exemple » et la mairie de Rezé vous invitent à une
Soirée-ciné-débat Film « Fusillés pour l’exemple » Jeudi 24 novembre 20h30 Cinéma Saint Paul – 38 rue Julien Douillard – Rezé
Entrée libre et gratuite* ARAC, LP, LDH, Collectif nazairien, Déportés, Comité du Souvenir, SAEL

Contrat d’engagement républicain (CER) : Réunion information-formation-débat – mardi 22 novembre

Cette réunion d’information-formation-débat sur le Contrat d’Engagement Républicain est destinée à rassembler des personnes de différents horizons. Toute personne intéressée ou simplement curieuse sur le sujet est la bienvenue.

Réunion d’information-formation-débat

sur le Contrat d’Engagement Républicain (CER)

Mardi 22 novembre de 17h30 à 19h30

Manufacture des tabacs – 10 bis bd de Stalingrad – Nantes – Salle de réunion 1er étage 

organisée par le Collectif nantais sur le CER

Cette réunion est à destination des associations et syndicats et de leurs réseaux,

avec deux interventions introductives :

Jean-Michel DUCOMTE, responsable associatif, enseignant de droit public et avocat honoraire, pour décortiquer le CER ;

une personne du Collectif nantais pour présenter les démarches des Collectifs national et local.

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Avez-vous été prévenu dans votre demande de subvention ou autres de la nécessité de se conformer au Contrat d’Engagement Républicain (CER) et avez-vous reçu une circulaire précisant cette modalité ?

Le CER, qu’est-ce ? Est-ce un “contrat” ? Avec le CER, le président, la présidente de l’association est-il responsable des actes et paroles de tous les adhérent.e.s ?

En quoi, la Défenseure des droits, le Haut conseil à la vie associative, la Commission nationale consultative des droits de l’Homme ont-ils émis des sérieuses réserves sur le CER ?

Quelles sont les contraintes du CER ? Pour les associations ? Pour les collectivités territoriales ?

Le CER conditionne-t-il l’octroi d’une subvention publique ou le prêt d’un local appartenant à une collectivité ?

Le CER risque-t-il d’introduire une surveillance généralisée des associations ? De produire la mise en cause de collectivités ? D’amener une rupture avec le climat de confiance nécessaire entre collectivités et associations ?

LE CER qui concerne les associations et les fondations pourrait-il ensuite s’étendre aux syndicats ?

Le CER impacte-t-il les lois de 1901 et de 1905 sur les libertés d’association, d’expression et de conscience ?

Comment soutenir la richesse et la diversité associative ?

Nous essaierons de répondre et de débattre ensemble sur ces questions.

Manifestation soutien journée d’action 18 novembre CHU de Nantes à partir de 11h30

Le Collectif Nantais pour le Droit à la Santé et à la Protection Sociale pour toutes et tous, dont notre section est adhérente, appelle – voir communiqué ci-dessous et ci-joint – les citoyennes et les citoyens à soutenir et à participer à la journée d’action du personnel du CHU de Nantes.

Rendez-vous à partir de 11h30 le vendredi 18 novembre devant l’entrée principale de l’Hôtel-Dieu puis sit-in à la croisée des trams et manifestation jusqu’à la préfecture .

Collectif nantais Pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous

ATTAC 44, CSF 44 , Le Planning Familial 44,LDH ( section de Nantes et pays nantais ) Ni pauvres ni soumis 44, UD 44 CGT, FGR-FP 44, FSU 44, SMG 44, SUD Santé Sociaux 44, Association de Veille Écologique et Citoyenne Nantes, Ensemble !44, France Insoumise, santé 44, GDS44, Saint Herblain en Commun.

Communiqué

Depuis de nombreux mois les personnels et services du CHU de Nantes sont ou se sont mobilisés en élaborant des cahiers revendicatifs, en faisant grève. Les revendications principales sont partout identiques : du personnel et des lits d’hospitalisation à la hauteur des besoins et une hausse significative des salaires.

Comme le personnel, les patient.e.s subissent les conséquences de l’insuffisance des moyens financiers accordés à l’hôpital : cette année la loi de financement de la Sécurité Sociale prévoit – pour la première fois – une augmentation inférieure à celle de l’inflation ! Ce sont les délais d’intervention, de consultation, d’examens qui sont allongés, les reports d’hospitalisation ou d’intervention qui augmentent ainsi que les heures d’attente aux urgences faute de lits disponibles .

C’est pourquoi le Collectif Nantais pour le Droit à la Santé et à la Protection Sociale pour toutes et tous appellent les citoyennes et les citoyens à rejoindre les personnels hospitaliers le vendredi 18 novembre à 11h30 devant l’entrée principale de l’Hôtel-Dieu et à participer au sitting à la croisée des trams puis à les accompagner jusqu’à la préfecture où seront remis les cahiers revendicatifs.