29e Journée Nationale Prison : « Pauvreté dedans, pauvreté dehors » – Jeudi 17 novembre

La LdH fait partie du Collectif Prison 44 et vous invite donc à cette 29e Journée Nationale Prison.

29ième Journée Nationale Prison à Nantes

« PAUVRETÉ dedans, PAUVRETÉ dehors »

Jeudi 17 novembre de 19 heures à 22 heures

Salle des variétés – Cinéma Bonne garde – 20 rue du frère Louis Nantes (Pirmil)

Être pauvre en prison, cela signifie avoir des ressources insuffisantes pour faire face au coût de la vie en détention et aux dépenses extérieures qui continuent de courir. Plus globalement, s’installe ou s’amplifie la pauvreté sociale, culturelle, de santé (psychique, somatique) et des relations sociales (famille, amis). Pauvreté en confiance en soi, en manque de repères, en capacité à réguler ses émotions et à identifier des moyens pacifiques pour trouver sa place dans la société. Elle impacte aussi la famille, les enfants… Une pauvreté pas prévue au départ qui atteint la dignité et l’intimité.

Au programme :

  • Témoignages de personnes ayant connu la détention et suivies par les associations Permis de Construire et L’Étape.
  • Table ronde organisée avec des membres des associations du Collectif Prison 44 et Monsieur Jean CAËL, responsable du département prison-justice au Secours Catholique – Caritas France. Il a participé en 2021 à la rédaction d’un rapport d’Emmaüs France et du Secours catholique dénonçant des conditions de détention qui conduisent à une paupérisation morale, intellectuelle et relationnelle hypothéquant les chances de réinsertion. Selon ce rapport :  » La précarité devient irréversible en prison. »

Collectif Prison 44
AIDES – ANVP – Aumônerie du Centre Pénitentiaire – Auxilia – La CIMADE – Le CLIP Secours Catholique – Le Courrier de Bovet – La Croix Rouge – L’Éclaircie

L’Étape – La Ligue des Droits de l’Homme – Permis de Construire – Prison Justice 44 – Le Relais Enfants Parents Incarcérés – Source d’envol

Communiqué soutien grévistes CHU et clinique Jules Verne

Nous partageons ce communiqué du Collectif nantais Pour le droit à la santé pour toutes et tous dont la section est partie prenante.

Communiqué du 28 octobre 2022

Le collectif nantais Pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous apporte son soutien solidaire aux personnels des urgences pédiatriques et adultes et du service gériatrique de la Seilleraye du CHU de Nantes ainsi qu’aux salarié.e.s de la clinique mutualiste Jules Verne de Nantes en grève pour exiger de meilleurs salaires, des effectifs supplémentaires pour assurer la qualité des soins aux patient.e.s et préserver la santé des personnels.

Il appelle les citoyennes et les citoyens à manifester leur soutien :

– en signant  massivement la pétition de soutien initiée par le personnel de la clinique Jules Verne : solidarite-aux-soignants

– financièrement en versant à leur cagnotte en ligne : https://lydia-app.com/collect/12963-solidarite-aux-salaries-grevistes-de-la-clinique-jules-verne/fr

– en diffusant ces appels ainsi que par tout autre moyen à leur convenance.

Rassemblement le 25 octobre contre la fermeture des 5 domiciles collectifs pour personnes âgées

Dans le prolongement de celui du 17 octobre un nouveau rassemblement est appelé ce lundi 25 octobre 14h30 par l’intersyndicale devant le 29 bd François Mitterrand (bâtiment d’Harmonie Mutuelle) à Nantes.
En effet, le Conseil d’Administration de VYV qui gère les 78 logements en question y a lieu à 15h. Ce rassemblement est soutenu par le Collectif nantais pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous dont la section LDH est partie prenante.
Ci-dessous : tract d’appel de l’intersyndicale

Rassemblement le 17 octobre contre la fermeture des 5 domiciles collectifs pour personnes âgées

Nous relayons cet appel du Collectif nantais pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous (dont la LDH est membre) à participer au rassemblement le 17 octobre à 11h devant la Préfecture de Loire-Atlantique contre la fermeture des 5 domiciles collectifs pour personnes âgées gérées par le groupe VYV.

Voir ci-dessous le communiqué.

VYV, « premier opérateur privé solidaire en France » et « premier acteur mutualiste dans son secteur d’activité »1 se donne pour objectif de « proposer des solutions adaptées tout au long de la vie » mais il vide les 5 domiciles collectifs pour personnes âgées qu’il gère dans la métropole de Nantes, prévoyant de les affecter à d’autres usages. VYV propose aux résidents et aux personnels de ces 5 lieux de vie de les transférer dans d’autres structures du groupe.

Ce sont 78 places d’hébergement pour personnes âgées qui disparaissent.

  • Ces domiciles collectifs à taille humaine sont très appréciés : ils fonctionnent bien et les résident-e-s, leurs familles et les personnels se mobilisent donc contre cette mesure brutale, prise pour des raisons comptables, du fait notamment du non soutien de l’Etat. Leur mobilisation est soutenue par l’Intersyndicale des retraité-e-s de Loire Atlantique qui regroupe CFTC, CFE CGC, CGT UCR, FGR-FP, FSU, FO, LSR et Solidaires.
  • Le collectif nantais pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous soutient les résident-e-s, les familles et les salariées et appelle à participer au rassemblement du 17 octobre à 11h devant la Préfecture de Loire-Atlantique. 
  • En effet les personnes âgées doivent pouvoir accéder à des structures intermédiaires entre le domicile et l’EHPAD. Alors que le nombre de places en logements collectifs et adaptés est insuffisant fermer ces domiciles collectifs est un non-sens.
  • Plus largement le collectif nantais pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous revendique un service public qui prenne la charge financière du vieillissement : à côté du maintien au domicile et des EHPAD des structures collectives intermédiaires non soumises aux intérêts du marché – foyers logement, domiciles partagés… – sont nécessaires.

1 le groupe VYV regroupe des mutuelles comme Harmonie, MGEN, MMG, MNT, Chorum, Arcade …

Collectif nantais « Pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous »

ATTAC 44, CSF 44, Le Planning Familial 44, LDH (section de Nantes et pays nantais), Ni pauvres ni soumis 44, UD 44 CGT, FGR-FP 44, FSU 44, SMG 44, SUD Santé Sociaux 44, Association de Veille Écologique et Citoyenne Nantes, Ensemble !44, France Insoumise, santé 44, GDS44, Saint Herblain en Commun

Non au Centre de Rétention Administratif : Rassemblement vendredi 14 octobre

Nous ne voulons pas d’un Centre de Rétention Administratif en Loire – Atlantique


Dans un communiqué du ministère de l’intérieur en date du 4 octobre 2022, faisant suite à la rencontre entre Gérald Darmanin et Johanna Rolland sur les questions d’insécurités à Nantes, nous pouvons lire en conclusion : « Par ailleurs, le ministre de l’Intérieur et des Outre-mer a décidé l’installation d’un centre de rétention administratif dans le département de la Loire-Atlantique dans les délais les plus rapides. »

Qu’est-ce qu’un centre de rétention administrative (CRA) ?

Le Centre de Rétention Administrative est une prison qui ne dit pas son nom.

Une prison pour étrangers et étrangères où l’on enferme des femmes, des hommes, des enfants, des personnes gravement malades et des demandeurs d’asile, au prétexte que la loi, sans cesse durcie, a fait d’eux des « sans-papiers ».

Ces personnes sont enfermées sur simple décision du préfet, sans même une défense juridique possible et sans jugement.

A neuf reprises déjà, la France a été condamnée par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) pour l’enfermement d’enfants dans les CRA.

Les associations intervenant dans les CRA comme la Cimade, dénoncent depuis de nombreuses années des atteintes aux droits humains. Conditions sanitaires déplorables, enfermement à durée indéfinie, traitement judiciaire défectueux et expéditif, cluster épidémique… c’est la triste réalité qui se cache derrière les barbelés des CRA.

L’annonce par le ministère de la construction d’un CRA à la suite d’une rencontre sur l’insécurité à Nantes est un raccourci scandaleux et inadmissible qui traduit une récupération politique répressive et réactionnaire de l’actualité.

En proposant la création de ce lieu d’enfermement comme une solution pour contrer l’insécurité, l’État préfère incriminer des personnes innocentes plutôt que de prendre en charge des hommes, des femmes et des familles qui se retrouvent en situation de vulnérabilité.

La ville de Nantes ne doit pas cautionner ce projet.

Nos organisations syndicales et associatives condamnent le choix politique du tout-sécuritaire et affirment leurs oppositions aux centres de rétentions administratives et à la construction de l’un d’entre eux en Loire-Atlantique.

Elles s’engagent à construire une large mobilisation contre un tel projet et appellent à un rassemblement devant la préfecture puis la mairie le vendredi 14 octobre 2022 à 12H.

Solidaires – CGT- FSU – ATTAC – DAL44 – GASPROM – La Maison du Peuple – La Prépa Solidaires des Enfants Nantais – LDH Nantes – La Libre Pensée 44 – Collectif Soutien Migrants Nantes /exilés 44 – Safe migrants- Association Diafrik – Collectif Afrik@Nantes – RESF – MRAP – RSF – Collectif Romeurope agglomération nantaise

Communiqué LDH, MRAP, SAF : Non aux boucs émissaires

Ligue des droits de l’Homme
Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples
Syndicat des Avocats de France

COMMUNIQUÉ

Nantes, le 6 octobre 2022

Non aux boucs émissaires

L’émotion est importante avec la répétition d’actes criminels ces derniers jours dans la métropole nantaise.

Dans les médias, des personnes dont des responsables politiques soulignent après ces actes la présence de migrants dans la métropole faisant ainsi un lien entre immigration et délinquance.

Nous répétons avec force que l’association des termes migrants et insécurité est infondée et dangereuse.

Infondée car les personnes commettant des délits qu’elles soient françaises ou étrangères sont poursuivies par la justice et condamnées si leur culpabilité est reconnue. À niveau économique, social et scolaire équivalent, français et étrangers qui commettent des délits sont traduits en justice sensiblement dans les mêmes proportions : l’insécurité n’est pas plus étrangère que française.

Dangereuse parce que ces propos conduisent à stigmatiser une catégorie de résident.e.s dans notre pays : les migrants. Et voilà que le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin choisit délibérément ce moment pour annoncer la création d’un centre de rétention administrative (CRA) en Loire-Atlantique alimentant ainsi les discours visant les étrangers. Pourtant un CRA, et M. Darmanin le sait bien, est utilisé pour retenir les étrangers auxquels l’administration ne reconnaît pas le droit de séjourner sur le territoire français mais n’a pas pour fonction de recevoir des délinquants ou de lutter contre la délinquance. Ces propos contribuent aux divisions de notre société auxquelles participe la peur de l’autre.

L’association des termes migrants et insécurité génère confusion et amalgame. Désigner des résidents de notre pays comme responsables de la délinquance permet d’éviter de répondre aux problèmes clefs.

Par ailleurs, on entend que les étrangers condamnés doivent être expulsés. Nous sommes opposés à ce qui représenterait une double peine, sanction pénale et expulsion, car elle rompt l’égalité de tous devant la justice. Les personnes françaises et étrangères doivent pouvoir se réinsérer dans la société à l’issue de leur peine.

L’instrumentalisation, la récupération de ces actes criminels notamment pour désigner des boucs émissaires qui seraient responsables de tous nos maux, conduisent aux discriminations puis au rejet. Nous attendons, des élu.e.s et des pouvoirs publics particulièrement, une parole publique qui contribue à la cohésion de la société.

Rassemblement IVG USA samedi 2 juillet à 15h devant le monument des 50 otages (préfecture) à Nantes

La décision de la Cour suprême des États-Unis sur l’avortement est une atteinte historique aux droits des femmes.
« Avortement aux USA, nous ne voulons pas perdre des droits,
nous voulons en gagner ! Appel unitaire à mobilisation le 2 juillet » 

 Suite à cet appel du « Collectif avortement en Europe, les femmes décident »,

https://www.ldh-france.org/avortement-aux-usa-nous-ne-voulons-pas-perdre-des-droits-nous-voulons-en-gagner-appel-unitaire-a-mobilisation-autour-du-2-juillet/‌‌

la section de Nantes de la LdH appelle à un rassemblement samedi 2 juillet à 15h devant le monument des 50 otages (préfecture) à Nantes.

————————————————————————–

Communiqué commun dont la LDH est signataire

La décision de la Cour suprême des Etats-Unis sur l’avortement : le « Collectif avortement en Europe, les femmes décident » dénonce une atteinte historique aux droits des femmes !

Cette décision était certes attendue, elle n’en est pas moins terrible : la Cour suprême vient de revenir sur l’arrêt historique Roe vs Wade qui reconnaissait depuis près d’un demi-siècle le droit à l’avortement sur tout le territoire des Etats-Unis. Le droit des femmes à disposer de leurs corps est encore et toujours menacé !

Cette décision va permettre à de nombreux Etats d’interdire l’avortement sur leur territoire. Treize d’entre eux sont en mesure de le faire dès à présent avec effet immédiat tandis que d’autres pourraient légiférer en vue de restrictions. La moitié des Etats disent vouloir interdire l’IVG.

Cette considérable attaque contre les droits des femmes a été prise par une juridiction composée d’une majorité conservatrice et masculine. Elle aura, c’est évident, des répercussions néfastes au niveau international. A l’heure où  grâce à la mobilisation des féministes des pays tels que l’Irlande, l’Argentine, la Colombie, obtiennent le droit à l’avortement, le risque est grand de voir cette impulsion s’inverser. Nous assistons déjà à de nombreuses restrictions contre les droits des femmes en Pologne, Hongrie, Slovaquie. Les femmes ukrainiennes, réfugiées en Pologne, se voient interdire le droit à l’avortement alors que celui-ci est légal dans leur pays ! 

En France, la montée de l’extrême droite et la présence de 89 député-e-s Rassemblement national à l’Assemblée nationale sont aussi une menace pour nos droits ! Les opposant-e-s à l’avortement n’ont jamais lâché prise en France !

Nous soutenons la demande de constitutionnalisation de l’avortement.

Nous dénonçons cette décision patriarcale inacceptable et appelons à une mobilisation nationale le samedi 2 juillet !

Plus que jamais, restons vigilantes pour que nos acquis ne soient pas détruits !

Le « Collectif avortement en Europe, les femmes décident » est composé d’associations féministes, de syndicats et de partis politiques. Les éléments actifs en sont : Association nationale des CIVG, Association nationale des sages-femmes orthogénistes, Collectif national pour les droits des femmes, Coordination des associations pour le droit à l’avortement et la contraception, Femmes solidaires, Maison des femmes de Paris, Marche mondiale des femmes, Osez le féminisme, Planning familial, Fédération syndicale unitaire, Union syndicale Solidaires, Nouveau parti anticapitaliste.

Paris, le 27 juin 2022

Shereen Abu Akleh assassinée. Rassemblement samedi 14 mai à Nantes à 15h

L’armée israélienne a tué de sang froid une journaliste palestinienne, Shirin Abu Akleh alors qu’elle couvrait pour Al Jazeera un des nombreux raids de l’armée israélienne dans le camp de Jénine.

Un autre journaliste, Ali Samoudi également du camp de Jénine a reçu une balle dans le dos et est soigné à l’hôpital. Cet assassinat intervient après que 20 jeunes Palestiniens et Palestiniennes ont été tués par Israël à Jénine et dans les environs durant le seul mois d’avril.

Cette armée d’occupation ne tolère aucun témoin de ses crimes.

Samedi 14 mai, nous nous rassemblerons à 15 heures -sur le cours des 50 otages ( carrefour rue de la Barillerie)

– En solidarité avec nos partenaires et amis du camp de Jénine.

– Pour exiger

– que cesse cette violente occupation de la Palestine par Israël

– qu’enfin des sanctions de l’Union européenne et de la France soient appliquées envers l’Etat israélien agresseur qui se moque de toutes les lois internationales.- que le gouvernement français facilite l’enquête engagée par la Cour Pénale Internationale sur les crimes de guerre en Palestine
Soyons nombreux pour affirmer notre solidarité et ces exigences.

Plate-forme des ONG pour la Palestine

La Maison des Familles bientôt fermée ! Appel à mobilisation

Appel à mobilisation ! Un toit, c’est un droit !

Jeudi 5 mai à 9h00 au Tribunal Judiciaire de Nantes.

La Maison des Familles bientôt fermée !

Qui accueillera les familles et les femmes seules qui dorment dans les rues de Nantes ?

Jeudi 5 mai, les habitants de la Maison des Familles de la Fraternité sont convoqués au tribunal judiciaire. Mobilisons nous à leurs côtés et rendons la réalité des sans abris visibles ! Les occasions sont rares pour se regrouper et dénoncer ensemble la politique gouvernementale de non-accueil des exilé.e.s et la non-politique d’hébergement d’urgence ; mais ceci en est une !

En juillet 2020, la réquisition citoyenne de ce lieu vide, inhabité depuis plusieurs mois, a répondu à un besoin urgent d’accueil de nombreuses familles et femmes seules dormant dans les rues de Nantes. Les associations et collectifs de terrain étaient alors débordés par l’urgence.

Depuis, cette maison surnommée « La Maison des Familles de la Fraternité » a toujours eu pour but d’accueillir familles et femmes seules laissées à la rue sans aucune solution d’hébergement apportée par les services de l’État.

Aujourd’hui, ce sont près de 400 personnes, adultes et enfants, qui y ont trouvé un toit temporaire en attente d’une réponse d’hébergement. Elles y ont aussi trouvé la présence de bénévoles pour leur apporter une aide humaine, alimentaire, sociale, administrative ou même juridique.

Cette maison a prouvé la nécessité de son existence à Nantes. Quelles seront les conséquences d’un expulsion pour les habitants ? Qui accueillera les prochaines familles et femmes seules laissées à la rue sans réponse des services de l’État ?

À l’heure où l’État durcit toujours plus sa répression anti-occupation ET manque toujours à son devoir de mise à l’abri, ne laissons pas cette réalité invisible aux yeux de tous comme elle l’est encore trop, rassemblons nous pour porter la voix des habitants d’aujourd’hui, des habitants de demain et celles de ceux qui n’ont toujours pas de toit !

Les habitants et bénévoles de la Maison des familles seront au tribunal pour l’heure de la convocation à 9h, l’appel à mobilisation commence à partir de 9h. Les journalistes seront présents à 10h30.

Lien vers l’événement : 

https://facebook.com/events/s/contre-lexpulsion-de-la-maison/2780658552242091/