Manifestation pour le service public de santé – samedi 14 sept 11h – devant l’entrée principale de l’Hôtel Dieu – Nantes

Le Collectif nantais pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous, auquel participe notre section, appelle à se joindre à la manifestation intersyndicale (CFDT, CFTC, FO, CGT, Solidaires et FSU 44) ce samedi 14 septembre à 11h, rdv devant l’entrée principale de l’Hôtel Dieu pour exiger des moyens pour le service public de santé (communiqué du Collectif ci-dessous et lien vers tract intersyndical ici : https://urlr.me/K56Qb).

Collectif nantais pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous

CSF 44, Indecosa CGT 44, Le Planning Familial 44, LDH (section de Nantes et pays nantais), MCRN, UD 44 CGT, FGR-FP 44, FSU 44, SMG 44, SUD Santé Sociaux 44, Association de Veille Écologique et Citoyenne Nantes, Ensemble ! 44, France Insoumise santé 44, GDS 44.

NON AU DÉMANTÈLEMENT DU SERVICE PUBLIC DE SANTÉ

DES MOYENS POUR L’HÔPITAL PUBLIC

Nous subissons un allongement des délais de prise en charge, les reports de consultation, d’hospitalisation, d’intervention, d’examens complémentaires faute de places disponibles faute de personnel soignant ou médical à l’hôpital dans toutes les spécialités , en ville faute de médecins généralistes et spécialistes. Nous subissons l’augmentation des restes à charge (dépassements d’honoraires, franchises sur les médicaments, les transports sanitaires), les fermetures des services des établissements de proximité, notamment les urgences, les services de médecine et réadaptation, des lits dans le secteur psychiatrique et les EHPAD.

Nous appelons donc la population à participer à la manifestation départementale le samedi 14 septembre à 11h devant l’entrée principale de l’Hôtel Dieu avec les personnels à l’appel des syndicats CFDT, CFTC, FO, CGT, Solidaires et FSU de Loire-Atlantique pour exiger une augmentation du budget de la Sécurité Sociale, une augmentation significative de la formation des personnels soignants (aide-soignant.e.s, infirmier.e.s, médecins) afin de pouvoir répondre à nos besoins de soins de qualité et de proximité et de prévention.

collectifsantepaysnantais@gmail.com

Cessez-le-feu immédiat et permanent à Gaza ! Rassemblement à Nantes samedi 31 août à 15h, place Royale

Membre de la Plateforme44 des ONG pour la Palestine, la LDH relaie l’appel à rassemblement :

La guerre d’Israël contre le peuple palestinien s’accroit à Gaza et en Cisjordanie et détruit ce qui reste de la Palestine. Notre mobilisation est plus que nécessaire.

Stop aux massacres, stop au génocide, stop à la colonisation, stop au nettoyage ethnique
Libération des prisonniers politiques palestiniens – libération des otages israéliens civils
Sanctions de la France et de l’Europe envers Israël

Rassemblement à Nantes place Royale samedi 31 août à 15H

Le bureau de l’AFPS44,

Pour la Plateforme44 des ONG pour la Palestine

Cessez-le-feu ! Palestine. Rassemblement Samedi 10 août 15h, Place Royale Nantes + Résolution nationale LDH

La LDH, partie prenante de la plateforme44 des ONG pour la Palestine, appelle au rassemblement puis manifestation ce samedi 10 août – 15h – place Royale à Nantes.

Nous joignons ci-dessous la Résolution « Pour une paix juste et durable entre les peuples israélien et palestinien dans le respect du droit international », adoptée le 20 mai dernier par le dernier congrès national de la LDH.  

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De: « collectif afps44 »

Envoyé: Mardi 6 Août 2024 21:59:41

Objet: Appel à Rassemblement puis Manifestation , Samedi 10 août 15h – Place Royale à Nantes

Non au Génocide – Cessez le feu – Respect du Droit international – Non à la répression contre la solidarité

Appel à Rassemblement puis Manifestation
Samedi 10 août 15h Place Royale à Nantes

La complicité de ses alliés occidentaux permet au gouvernement israélien de poursuivre sa politique génocidaire à Gaza et d’agressions dans la région.
Les dirigeants israéliens veulent étendre la guerre pour faciliter l’expulsion d’un maximum de Palestiniens de Cisjordanie et de Gaza.
Plus de 40 000 tués à Gaza et 92 000 blessés dont une majorité de civils. Gaza est un champ de ruines, famine, épidémies …
Torture généralisée sur les prisonniers. Nettoyage ethnique, colonisation, répression et massacres en Cisjordanie (610 tués depuis octobre) …

Stop !

Seule la fin de l’impunité d’Israël permettra l’arrêt de cette politique. Nous rappelons la nécessité absolue d’un cessez-le-feu immédiat et permanent.

La mobilisation en solidarité avec le peuple palestinien et tous les peuples victimes de cette fuite en avant d’Israël est d’autant plus importante.
La répression du mouvement de solidarité comme le 30 juillet à La Chapelle-sur-Erdre est intolérable.

Le 6 août 2024,

Pour la Plateforme44 des ONG pour la Palestine: le bureau de l’AFPS44

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Résolution : « Pour une paix juste et durable entre les peuples israélien et palestinien dans le respect du droit international »

Résolution adoptée par le 92e congrès de la LDH, Bordeaux – 18, 19 et 20 mai 2024

Le 7 octobre 2023, les milices du Hamas ont procédé à une incursion terroriste en Israël et massacré environ 1200 hommes, femmes, enfants tout en s’emparant d’environ 240 otages. Les responsables de ces crimes devront répondre de leurs actes devant la Justice internationale.

Suite à ces atrocités, le gouvernement d’Israël et son armée ont mis en place une punition collective d’une violence inouïe, frappant l’ensemble de la population de Gaza.

Plus de 35 000 Palestiniennes et Palestiniens de Gaza, sans compter les milliers de corps sous les décombres, en majorité des femmes, et des enfants, ont été tués par des bombardements indiscriminés. Les infrastructures patrimoniales et civiles de Gaza (hôpitaux, universités, bibliothèques, écoles, archives centrales de Gaza…) sont systématiquement détruites. Ainsi se met en place un schéma qui vise à anéantir les fondements même de la société palestinienne. Par ailleurs, un blocus impitoyable a provoqué une situation de famine : un tiers de la population souffre de sous-alimentation et la totalité des 2,2 millions d’habitants dépend d’une aide humanitaire que la puissance occupante ne laisse passer à ce jour qu’au compte-goutte.

Les crimes commis par Israël dans la colonisation de la Palestine ne sauraient justifier l’horreur du 7 octobre, pas plus que cette dernière ne peut justifier sept mois de destruction de Gaza et des Gazaouis.

Cette situation dramatique est lourde de périls pour les deux peuples palestinien et israélien. Elle s’inscrit dans une longue histoire marquée de dominations, de violences et d’injustices. Les gouvernements successifs d’Israël ont ainsi multiplié les violations du droit international, du droit humanitaire international et des droits de l’Homme. Ces violations répétées ont systématiquement entravé tous les efforts de construction d’une paix juste et durable et ont fait obstacle à la perspective de création d’un État palestinien.

Le gouvernement israélien, s’est affranchi du respect du droit international, en toute impunité, de façon quasi constante, souvent dans l’indifférence générale, voire avec la complicité de certains Etats, allongeant ainsi sans cesse la longue liste de ces violations :

Refus d’appliquer les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies qui exigent le retrait des territoires occupés et prônent la mise en œuvre du droit de chacun des peuples de vivre en paix dans des frontières sûres et reconnues.

Intensification de sa politique de colonisation et d’expulsions, au prix de mouvements de révolte des Palestiniens et d’un cycle infernal de violences des uns et des autres. Mépris d’un avis de la Cour internationale de justice (CIJ) du 8 juillet 2004 qualifiant de « contraire au droit international » la construction d’un mur de séparation par la puissance occupante dans le territoire palestinien.

Refus de toute coopération avec la Cour pénale internationale (CPI), pourtant compétente pour instruire les crimes relevant de sa juridiction commis depuis le 13 juin 2014 sur le territoire palestinien occupé.

Rejet de l’application de la résolution 2334 adoptée le 23 décembre 2016 par le Conseil de sécurité exigeant que soit mis un terme à l’expansion des colonies de peuplement pour préserver la solution de deux États.

Ce refus de tenir compte de la légalité internationale s’est aussi accompagné d’une escalade de la violence à l’encontre des Palestiniens de Cisjordanie et de Jérusalem-Est. L’accélération du vol des terres palestiniennes par une colonisation systématique et brutale, perpétrée aussi bien par les forces militaires que par les colons, en est la caractéristique essentielle. Cette brutalisation se retrouve également dans l’aggravation dramatique de la situation des détenus palestiniens. Face à la violence multiforme d’un système colonial pétri d’injustice, les Palestiniens de Cisjordanie, de Jérusalem-Est, de Gaza et des camps de réfugiés mènent un combat légitime pour la liberté et l’autodétermination.

Mépris du droit international, durcissement des politiques répressives : ce double mouvement a aussi largement précipité l’asphyxie de l’État de droit en Israël. Un seuil d’une extrême gravité a été franchi dans ce sens avec la Loi fondamentale « Israël, État–nation du peuple juif » votée en juillet 2018, dont les termes entrent en contradiction avec la définition de l’État adoptée en 1948 par les fondateurs de l’État d’Israël. Alors qu’ils prônaient un État juif qui « assurera une complète égalité de droits sociaux et politiques à tous ses citoyens, sans distinction de croyance, de race ou de sexe et garantira la pleine liberté de conscience, de culte, d’éducation et de culture », la nouvelle loi de 2018 a remplacé la notion d’« État juif et démocratique » par celle d’« État-nation du peuple juif ».

En conséquence de quoi son article 1er affirme : « seul le peuple juif a droit à l’autodétermination nationale en Israël ». Il y proclame que « l’État considère le développement de la colonisation juive comme un objectif national et agira en vue d’encourager et de promouvoir ses initiatives et son renforcement ». Les politiques discriminatoires à l’encontre des citoyens non-juifs d’Israël se trouvent ainsi renforcées, ces derniers étant désormais renvoyés légalement à un sous-statut. Aujourd’hui, de nombreuses voix n’hésitent pas à qualifier cette politique de régime d’apartheid et, pour la LDH, cette loi de 2018 institutionnalise effectivement une situation d’apartheid, tel que défini par les textes du droit international, à l’intérieur des frontières de l’État d’Israël.

En Cisjordanie et à Jérusalem-Est les Palestiniens, qui ne bénéficient pas d’une quelconque citoyenneté ou nationalité, ne peuvent se déplacer librement et encore moins s’installer là où ils le souhaitent et subissent une politique coloniale répressive pouvant être qualifiée « d’inhumaine ». Celle-ci se manifeste par des arrestations arbitraires massives, des transferts forcés, des démolitions de biens privés, l’accaparement de ressources naturelles, des restrictions à la liberté de circulation, des pratiques avérées de tortures, une politique d’enfermement massif, des punitions et représailles collectives. Les résidents palestiniens de Jérusalem-Est sont en outre confrontés à des mesures d’expulsion et à une colonisation systématisée par quartiers entiers. Ils peuvent même être privés de leur droit de résidence.

S’ajoute à tout cela une restriction des libertés fondamentales d’expression, d’association, de réunion des Palestiniens qui ne cesse de s’aggraver. C’est par centaines que des organisations et partis politiques ont été interdits depuis 1967. La répression, par la force, de manifestations pacifiques est monnaie courante.

A travers les violations répétées des droits des Palestiniens et notamment en développant un système institutionnalisé de domination d’un groupe par un autre, en réaffirmant la volonté de poursuivre ce système de domination quitte à perpétrer des actes inhumains pour le maintenir, l’occupation militaire et la colonisation systématisée constituent en soi une violation caractérisée du droit international, créant une situation assimilable à un apartheid pratiqué à l’encontre du peuple palestinien.

Le 24 janvier 2024, suite aux attaques du Hamas et aux bombardements israéliens massifs sur Gaza, la Cour internationale de justice (CIJ) a rendu une ordonnance fondée sur la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide. La CIJ a estimé qu’il y avait urgence à prendre des mesures conservatoires de protection au regard d’un risque réel et imminent de préjudice irréparable. Tout en soulignant aussi que toutes les parties sont liées par le droit international humanitaire, et en appelant donc à la libération immédiate et inconditionnelle des otages détenus par le Hamas, la CIJ a jugé que l’État d’Israël devait prendre toutes les mesures effectives en son pouvoir pour prévenir et empêcher la commission de tout acte génocidaire, pour prévenir et punir l’incitation directe et publique à commettre le génocide, pour permettre sans délai la fourniture des services de base et de l’aide humanitaire pour protéger les Palestiniennes et les Palestiniens de Gaza, et pour assurer la conservation des éléments de preuve relatifs aux allégations d’actes pouvant relever de la Convention sur le génocide.

Cette décision ayant une force contraignante s’impose à Israël comme aux autres États parties à la Convention qui ont l’obligation d’apporter leur concours à la prévention du génocide, sous peine de s’en rendre complices. A ce titre, la suspension par certains pays, sur la base d’accusations sans preuve, de l’aide apportée à l’UNRWA va à l’encontre de cette obligation de porter secours à la population civile de Gaza.

Loin de se plier à cette ordonnance de la CIJ, Israël a continué, dans sa logique destructrice, de bloquer l’acheminement des biens de première nécessité et de rendre impossible le fonctionnement des hôpitaux. Cette politique délibérée, visant à affamer une population entière et à organiser le chaos, contribue à mettre en place les éléments d’un risque avéré de génocide.

Un terme doit être mis à l’impunité permanente dont bénéficie l’État d’Israël. Il ne suffit pas de dénoncer les incessantes violations du droit international par cet État. La mise en œuvre de sanctions dissuasives et préventives s’impose : par exemple l’arrêt des livraisons d’armement, l’arrêt de coopération militaire et sécuritaire avec Israël, la suspension de l’accord d’association entre l’Union européenne et Israël et l’exigence de poursuites pénales à l’encontre des responsables des crimes commis. Il appartient à la France de jouer un rôle déterminant dans ces exigences. La mobilisation citoyenne est indispensable pour interpeller dans ce sens les décideurs politiques à tous les niveaux.

Le fondement d’un processus de paix doit être le respect du droit international. Nul ne peut effacer la présence des peuples et des sociétés : les Israéliens et les Palestiniens n’ont pas d’autre pays. Sortir de cette logique, c’est, au vu des réalités forgées par l’histoire et ses conflits, s’exposer à basculer dans des logiques génocidaires. Quel que soit le degré actuel de cruauté, de barbarie, de déshumanisation, la résolution de l’ONU (29 novembre 1947) « Deux peuples, deux États » trouve ici tout son sens et son urgence et passe par la reconnaissance de l’Etat palestinien.

Face à l’actuel gouvernement israélien qui est dans la négation de l’existence d’un peuple palestinien, qui est dans le refus d’un État pour les Palestiniens et qui revendique la rupture du cadre international, celui-là même qui a permis la création de l’État d’Israël, la communauté internationale n’a d’autre choix que d’intervenir pour imposer une solution qui assure la paix juste et durable à laquelle aspirent les deux peuples. La responsabilité des États-Unis est première, l’action de l’Union européenne et des États arabes peut également être décisive.

Pour sa part, la LDH poursuivra son entier soutien au dialogue et aux mouvements, en particulier dans les sociétés civiles, qui œuvrent souvent conjointement pour une paix juste et durable et pour l’égalité des droits entre Palestiniens et Israéliens de toutes confessions et en tous lieux.

La LDH réitère son appel à la France à reconnaitre l’Etat Palestinien.

La responsabilité des horreurs qui accompagnent la guerre actuelle ne saurait en aucun cas être imputée en France à des personnes, des groupes, des communautés. La LDH demande au gouvernement de tout faire pour garantir la sécurité des personnes et la pleine liberté d’expression des solidarités qui passent par la liberté de manifester.

Au moment présent, l’urgence et donc la priorité absolue est de mettre un terme à l’accumulation des horreurs et d’obtenir l’application pure et simple du droit humanitaire international. Cela suppose : un cessez-le-feu immédiat et durable avec la fin des bombardements et du déplacement forcé de la population gazaouie, la libération immédiate des otages détenus par le Hamas, la protection de tous les civils en Israël, à Gaza, en Cisjordanie et Jerusalem-Est, la mise en place d’un corridor humanitaire pour le passage de tous les produits de première nécessité, la levée intégrale du blocus de Gaza, la libération des prisonniers palestiniens en détention administrative arbitraire.

Adoptée le 20 mai 2024

Publication du rapport de l’ONL : Exercice du maintien de l’ordre et respect des droits lors des manifestations contre la réforme des retraites en 2023 à Nantes

Nous partageons ce communiqué de l’Observatoire nantais des libertés – ONL – dont la LDH est partie prenante.

Observatoire Nantais des Libertés

COMMUNIQUÉ

Le 5 juillet 2024

Les manifestations contre le projet de réforme des retraites du début de l’année 2023 ont été l’occasion à Nantes d’une escalade de la violence.

L’Observatoire Nantais des Libertés (ONL) demande une pacification du maintien de l’ordre et un respect des droits de manifestants.

L’ONL, composé d’une douzaine d’associations, publie un rapport intitulé « Exercice du maintien de l’ordre et respect des droits lors des manifestations contre le projet de réforme des retraites qui ont eu lieu à Nantes de janvier à juin 2023 » : https://www.ldh-france.org/wp-content/uploads/2024/07/2024_07_04_Rapport_ONL_manifs_retraite_2023.pdf

Ce rapport a été élaboré à partir des observations menées par les observatrices et observateurs présent·e·s à 18 manifestations, des articles de presse et des témoignages. Il relate les faits, propose une analyse et formule des recommandations.

Vous trouverez ci-dessous les conclusions de ce rapport et un résumé des recommandations qu’il formule.

L’ONL constate que les manifestations contre le projet de réforme des retraites du début de l’année 2023 ont été l’occasion à Nantes d’une escalade de la violence.

De nombreuses interventions des forces de police ont été inadaptées et disproportionnées. Elles ont été accompagnées d’un usage massif d’armes, grenades et Lanceurs de Balle de Défense (LBD) – notamment l’utilisation intense de gaz lacrymogène. Elles ont favorisé une logique d’affrontement dont l’ensemble des manifestant·e·s ont été victimes et ont nuit à l’expression des idées pour les manifestant·e·s pacifiques.

Ces interventions, caractérisées par leur violence ont été couplées avec une multiplication des contrôles, des interpellations et gardes à vue et ont donné à voir une logique d’intimidation, de représailles et in fine de « criminalisation » des manifestant·e·s.

Elles ont eu un double effet de découragement de manifester d’un côté et de radicalisation des positions de l’autre.

Par ailleurs, les victimes de violences policières ont été souvent démobilisées de faire valoir leurs droits.

Personne ne conteste que des atteintes aux biens ou des violences à l’égard des forces de police ont été commises. Mais on ne peut pas placer sur le même plan les violences policières et les violences de manifestant·e·s. Si des personnes commettent des atteintes aux biens et aux forces de police, il s’agit d’une infraction pénale individuelle. Le pouvoir régalien d’utilisation de la force appartenant à l’État, si le recours à cette force n’est pas nécessaire et proportionnée, il s’agit le plus souvent d’une responsabilité collective des forces de police car celles-ci répondent à des ordres, même si parfois la responsabilité individuelle d’un·e policier·e peut être mise en cause.

En donnant le sentiment qu’elle traite les manifestant·e·s comme des adversaires et non comme des personnes à protéger, la police crée les conditions de son propre rejet par la population. De plus, la logique de la confrontation alimente un engrenage durable d’affrontement entre deux « camps », source de nouvelles tensions et violences à l’avenir. C’est pourquoi, à l’opposé d’une logique d’escalade, les forces de police doivent s’engager dans un mouvement de désescalade indispensable pour le maintien de l’ordre lui-même. Des pays en Europe travaillent sur cette question de la désescalade ; la France doit mener cette réflexion.

La stratégie locale du maintien de l’ordre appliquée lors des manifestations contre la réforme des retraites illustre ce que les chercheurs ont appelé l’abandon du maintien de l’ordre à distance (dite «  à la française ») pour un maintien de l’ordre privilégiant l’intervention violente destinée à neutraliser les « groupuscules violents » selon la terminologie employée par les pouvoirs publics.

Les affrontements ont ainsi eu des conséquences négatives sur les manifestations et ont pu faire passer au second plan, voire disqualifier, les demandes formulées par les manifestant·e·s. En ce sens, « le droit d’expression collective des idées et des opinions » qui caractérise l’exercice effectif du droit de manifester en a été atteint.

L’ONL constate que ses conclusions recoupent les analyses de la Commissaire aux droits de l’Homme du Conseil de l’Europe, des experts des Nations Unies et de la Défenseure des droits en France.

L’ONL recommande de :

Pacifier le maintien de l’ordre
   • présence discrète et non provocatrice des forces de police ;
   • interdiction de l’usage des armes dangereuses ; 
   • cessation des pratiques agressives des unités mobiles ;
   • respect du droit et des règles de déontologie ;
   • pratique effective d’une médiation entre forces de police et manifestant·e·s ;
    
Permettre le respect des droits des manifestant·e·s et leur effectivité
   • respect des droits des manifestant·e·s et des personnes mises en cause ;
   • garantie de l’accès aux droits des victimes et la sanction des auteur·e·s pour les violences commises par les agent·e·s des forces de police. 

L’Observatoire nantais des libertés : Association Républicaine des Anciens Combattants, Attac, Droit au logement, France Palestine Solidarité, Ligue de l’Enseignement-Fédération des Amicales Laïques, Ligue des droits de l’Homme, Maison des Citoyens du Monde, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples, Mouvement National de Lutte pour l’Environnement, Syndicat de la Médecine Générale, Syndicat des Avocats de France, Tissé Métisse l’Association

ONL@rezocitoyen.net

Réveillons la résistance – 3 juillet 2024 à Châteaubriant

Le collectif nantais d’associations et syndicats qui agit depuis le 9 juin pour battre l’extrême droite dans les urnes dont est partie prenante la LDH invite à participer à la marche ce mercredi 3 juillet à Châteaubriant “Réveillons la résistance ! L’extrême droite on a déjà essayé, on sait où ça mène” à l’initiative du Comité Réveillons la résistance. Voir appel à télécharger ici.

RDV le 3 juillet à 14h30 place Charles de Gaulle et à 15h à la Carrière des Fusillés pour faire honneur à la mémoire de la résistance et s’engager ensemble à continuer de lutter contre l’extrême droite après les élections.

Tract inter-associations : « Dans quel pays voulons-nous vivre ? Il faut aller voter le 30 juin »

Ce tract a été élaboré et diffusé par le collectif inter-associations : « Dans quel pays voulons-nous vivre ? Imaginons et construisons un avenir solidaire. Il faut aller voter dimanche 30 juin et le 7 juillet car nous sommes contre la société que nous propose l’extrême droite… »

« Personne à la rue ! » – Appel rassemblement jeudi 27 juin à partir 17h30 : pas de vacances pour la misère !

La LDH Nantes et pays nantais partie prenante du Collectif « Personne à la rue ! » appelle à ce rassemblement jeudi 27 juin à partir de 17h30 devant la préfecture : Pas de vacances pour la misère !

 Appel à rassemblement : pas de vacances, pas de trêve, pas de dissolution pour la misère !

Nous, collectifs, associations et syndicats de l’Inter-collectif « Personne à la rue ! » alertons une nouvelle fois sur la situation des personnes en situation de précarité à Nantes, à quelques jours de l’été.

Bientôt les vacances, le départ des bénévoles et la fermeture des structures de soutien aux sans-abris. Les plus précaires, hommes, femmes et enfants, restent sur le carreau, alors que partout des locaux, publics comme privés, restent vides sans raison depuis des années.

Aujourd’hui, la Préfecture refuse toujours d’ouvrir des locaux inoccupés, préférant confiner les mal-logés et les sans-abris dans une galère sans issue.

L’Inter-collectif « Personne à la rue ! » organise donc un ramdam pré-vacances !

Au programme : COLLECTE alimentaire / vestimentaire / produits d’hygiène / tentes / chaussures… Re-DISTRIBUTION sur place en direct comme on a pris l’habitude ! Présentation de nos collectifs et associations et appel à bénévoles.

Tout ça sur fond de fanfare, musique, déambulation et du repas distribué par l’Autre Cantine à 19h.

Nous avons conscience que la société actuelle est vacillante et qu’elle peut basculer dans quelques semaines vers une conjoncture défavorable aux plus précaires d’entre nous.

Nous resterons combatifs, quelque soit le résultat des élections, pour défendre les droits des plus précaires, des sans abris et mal logés. Mais la situation est grave.

Il nous semble donc que, face aux différentes propositions d’avenir, soutenir une politique qui nous permettra un échange, des avancées, la sécurité des personnes dont nous nous pré-occupons et que nous soutenons, est vital !

Le Jeudi 27 juin à partir de 17h30, devant la Préfecture de Nantes, joignez-vous à l’Inter-collectif « Personne à la Rue ! ».

Vous retrouverez notre évènement Facebook ici Pas de vacances pour la misère !

En espérant vous voir nombreux à ce rendez-vous pour développer de vive voix nos préoccupations.

Pour rappel, une grande collecte est organisée avec redistribution sur place :

– vêtement / chaussures (surtout pour homme !)

– produits d’hygiène

– alimentation

– tente

Le Collectif « Personne à la rue ! »

Ensemble contre l’extrême droite : Manifestation samedi 15 juin – 14h – Miroir d’eau

Ensemble contre l’extrême droite

Manifestation Nantes

samedi 15 juin – 14h – Miroir d’eau

Rendez-vous LDH : arrêt de tram Duchesse Anne

Appel national commun

Nous, syndicats et associations, avons décidé d’agir ensemble sur tous les territoires pour battre l‘extrême droite lors des élections législatives des 30 juin et 7 juillet 2024 et porter ensemble des mesures concrètes de solidarité, d’égalité et de justice. Nous en appelons à la mobilisation de toutes et tous.

La victoire des extrêmes droites aurait les mêmes conséquences dramatiques que celles qu’on a pu voir là où elles ont pu gouverner ou gouvernent. Aux États-Unis de Trump, dans la Russie de Poutine, la Hongrie de Orban, l’Argentine de Milei, la Pologne du PiS, l’Italie de Meloni, la liberté est piétinée, les droits ont été bafoués, les services publics et les politiques sociales, étranglés. Dans tous ces pays, la violence, la haine de l’autre ont remplacé les valeurs d’égalité, de solidarité, de fraternité.

Nous devons tout faire pour éviter que cela ne nous arrive.

Certes, la défaite des extrêmes droites ne suffira pas à garantir la mise en œuvre de politiques publiques répondant aux inégalités, injustices, et à l’urgence sociale et environnementale. Mais sa victoire en compromettrait radicalement la perspective.

Le recul des droits, la régression des libertés auxquels nous avons assisté ces dernières années, les choix politiques tournant le dos au progrès social, la maltraitance des précaires, l’abandon des services publics, le mépris des mouvements sociaux d’ampleur, comme le combat contre la réforme des retraites, constituent le terreau sur lequel l’extrême droite a prospéré.

Battre l’extrême droite dans les urnes, combattre son projet raciste doit se conjuguer à l’émergence d’un changement profond, de ruptures sociales et écologiques et d’effectivité des droits.

Il est donc crucial que chacune et chacun trouve dans l’exercice électoral le prolongement des mobilisations et aspirations communes. Une réponse de l’ensemble des forces politiques considérant que les droits sont les mêmes pour toutes et tous est indispensable.

Nous, syndicats et associations, serons exigeants pour que les réponses que nous portons pèsent aujourd’hui et demain dans un dialogue social et civil effectif.

Dans la société que nous voulons, la liberté, l’égalité, la démocratie, la solidarité et l’Etat de droit ne sont pas des mots vides de sens mais les principes mêmes qui organisent notre vie commune, notre avenir commun. Sur ces bases, face aux tenants de la haine, du racisme, de l’antisémitisme, du sexisme, de la LGBTQI+phobie, de la régression sociale, et de la destruction du vivant : des alternatives de rupture sont nécessaires.

Ensemble, nous en appelons à la mobilisation citoyenne. Sans attendre, nous appelons à participer dès ce week-end à toutes les manifestations partout en France.

Appel lancé par : Cimade, Confédération française démocratique du travail (CFDT), Confédération générale du travail (CGT), Fédération des acteurs de la solidarité (Fas), Fédération des centres sociaux et socioculturels de France (FCSF), Fédération syndicale unitaire (FSU), Greenpeace France, LDH (Ligue des droits de l’Homme), Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap), Oxfam France, SOS Racisme, Syndicat des avocats de France (Saf), Syndicat de la Magistrature (SM), Union nationale des syndicats autonomes (Unsa), Union syndicale Solidaires

Signé également par : AC ! Agir ensemble contre le chômage, ActionAid France, Action contre la faim, Action Justice Climat, Action non-violente COP21 (ANV-COP21), Accueil coopération insertion pour les nouveaux arrivants (Acina), Accueil Montauriol, Agir pour la réinsertion sociale 95 (ARS95), Agir pour l’environnement, Ahlis 46, Alliance citoyenne Justice ensemble, Alliance des femmes pour la démocratie, Alternatiba, Anef Provence, Animafac, Antony Terre Citoyenne, APF France handicap, Apige, Archipel de l’écologie et des solidarités, Association Accompagnement Recherche Education Solidarité (AARES), Association de défense des droits de l’Homme au Maroc (Asdhom), Association Espace Femmes Geneviève D., Association femmes, Association française des infirmier(e)s de cancérologie, Association française des juristes démocrates (AFJD), Association France-Palestine Solidarité (AFPS), AFPS 46, Association des Marocains en France (AMF), Association montalbanaise d’aide aux réfugiés (Amar), Association Pacco, Association Porte accueil RHP, Association de promotion des cultures et du voyage, Association nationale d’assistance aux frontières pour les personnes étrangères (Anafé), Association nationale des villes et territoires accueillants (Anvita), Association pour l’accueil des travailleurs et des migrants (AATM), Association pour la reconnaissance des droits des personnes homosexuelles et trans à l’immigration et au séjour (Ardhis), Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF), ATD Quart Monde, ATMF Gennevilliers, Attac, Attac Rennes, Audacia, Bellidée, Bio Consom’acteurs, Cap Ose, Carton plein, Cant’Orbrie, Centres d’entrainement aux méthodes d’éducation active (Cemea), Cemea Ile-de-France, Cent pour un toit Oise, Centre socioculturel Etincelles, Centre de recherche et d’information pour le développement (Crid), Cercle de silence de Tours, Chrétiens-migrants, CliMates, Collectif Accès aux droits, Collectif AGIR du pays d’Aix, Collectif des associations citoyennes (Cac), Collectif catholique P.A.I.X, Collectif Changer de cap, Collectif citoyen chatenaisien, Collectif Droits des femmes et plus 14, Comité ivryen pour la santé et l’hôpital public, Comité Palestine 47 AFPS, Comité pour les relations nationales et internationales des associations de jeunesse et d’éducation populaire (Cnajep), Comité pour le respect des libertés et des droits humains en Tunisie (CRLDHT), Comité Marche du 23 mai 1998 (CM 98), Commerce équitable France, Confédération internationale solidaire et écologiste (Cise), Confédération nationale du logement (CNL), CNL Val-de-Marne, Confédération paysanne, Conseil départemental des associations familiales laïques 70 (CDAFAL 70), Conseil national des associations familiales laïques (Cnafal), Conseil national de la nouvelle résistance (CNNR), Construire ensemble la politique de l’enfance (CEP-Enfance), Convergence de défense et développement des services publics, Coordination antifasciste pour l’affirmation des libertés académiques et pédagogiques (Caalap), Coordination française pour le lobby européen des femmes (Clef), Coordination mobile accueil orientation Lille Métropole (CMAO), Coordination nationale des comités de défense des hôpitaux et maternités de proximité, Coordination nationale Pas sans nous, Copainville, Cultures du cœur 82, Défense des enfants international – France (DEI-France), Droit au logement (Dal), Droits ici et là-bas (Diel), Droits d’urgence, Emmaüs International, Emmaüs France, Emmaüs Roya, Emmaüs Solidarité, Enfance et musique, Ethnoart, Extinction Rebellion France, Fas Paca Corse, Fas Pays de la Loire, Fédération Addiction, Fédération Artisans du monde, Fédération des associations générales étudiantes (Fage), Fédération des mutuelles de France, Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR), Fédération Etorkinekin Diakité, Fédération indépendante et démocratique lycéenne (Fidl), Fédération internationale pour les droits humains (FIDH), Fédération nationale des Centres d’information sur les droits des femmes et des familles (CIDFF), Fédération nationale des associations solidaires d’action avec les Tsiganes et les gens du voyage (Fnasat-Gens du voyage), Fédération nationale des Samu sociaux (FNSS), Femmes Egalité, Femmes plurielles, Foodwatch France, Fondation Copernic, Fondation Danielle Mitterrand, Fondation des femmes, Foyer Accueil chartrain, Français Langue d’accueil (FLA), France Amérique latine, France Fraternités, France Libertés Gironde, France terre d’asile, Frères des Hommes, Générations Futures, Generation for rights over the world (GROW), Golem, Grains de pollen, Groupe associatif PoleS, Groupe d’information et de soutien des immigré-es (Gisti), Habitat alternatif social, Home, Home Protestant, Hôtel social 93, Human Dignity, Humanity Diaspo, Ingénieurs sans frontières France, Interlogement 93, Jardin de cocagne nantais, Juives et Juifs révolutionnaires (JJR), JRS France, L’Assemblée citoyenne des originaires de Turquie (L’Acort), La Communauté ivoirienne de la Grèce, La Cloche, La Jeune Garde, La main tendue, La maison clinquante, La Ressourcerie de Bièvre Valloire,  Latitude Marionnette, Le Cercle Besançon, Le Mouton numérique, Le Mouvement de la paix, Le Mouvement des régies, Les amoureux au ban public, Les convivialistes, Les midis du Mie, Les petits débrouillards, Les Pétrolettes, Les Poussières, Ligue de l’enseignement, Ligue des femmes iraniennes pour la démocratie (LFID), L’Union étudiante, MAHRA – Le Toit, MAPEmonde, Médecins du Monde, Migraction 59, Mission d’aide au développement des économies rurales en Afghanistan (Madera), Mouvement pour une alternative non-violente (Man), Mouvement du Nid, Mouvement Utopia, Mutuelle des pays de Vaucluse, Observatoire international des prisons – section française (OIP),  Ocellia, Oppelia, Pas de bébés à la consigne, PasserElles buissonnières, Paris d’exil, Pantin solidaire, Patron.nes solidaires, PLACE Network, Plateforme des ONG françaises pour la Palestine, Polaris 14, Provence Mémoire mouvement ouvrier (Promémo), Quartiers du monde, Rassemblement citoyen Viva – Nice, Réseau d’actions contre l’antisémitisme et tous les racismes (Raar), Réseau éco-syndicaliste (Res), Réseau Education sans frontières (RESF), Réseau étudiant pour une société écologique et solidaire (Reses), Réseau euro-maghrébin citoyenneté et culture (REMCC), Réseau Euromed France (Ref), Réseau national cultures et éducation (RNCE), Ripostes – Pour une coordination antifasciste, Romeurope 94, Roya citoyenne, SOL – Alternatives Agroécologiques et Solidaires, Solidarité Laïque, Soliha, Syndicat national des journalistes (SNJ), Syndicat national des médecins de PMI (SNMPMI), Syndicat national lycéen (SNL), Syndicat national unitaire des assistants sociaux de la fonction publique-FSU (Snuasfp-FSU), Syndicat national unitaire des instituteurs, professeurs des écoles et PEGC-FSU (SNUipp-FSU), Syndicat unitaire des personnels des administrations parisiennes-FSU (Supap-FSU), Syndicat national unitaire des personnels de direction de l’Education nationale 33 (Snupden 33), Tous migrants, Une autre voix juive (UAVJ), Union des étudiants exilés (UEE), Un jour la paix, Union juive française pour la paix, Union nationale des étudiants de France (Unef), Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux (Uniopss), Union syndicale lycéenne (USL), Union syndicale de la psychiatrie, Unis pour le climat et la biodiversité, Université & Réfugié.e.s, Utopia 56, Vigilance et initiatives syndicales antifascistes (Visa), VoxPublic, YES Akademia, Zero Waste France, #jesuislà (Paris, le 12 juin 2024)

Signataires locaux :  Alternatiba-GIGNV, Association France Palestine Solidarité (AFPS), ATTAC 44, Cimade Nantes, Comité du Souvenir-Résistance 44, Confédération Syndicale des Familles (CSF), Fédération des Amicales Laïques-Ligue de l’Enseignement (FAL), Fédération Syndicale Unitaire (FSU), Ligue des droits de l’Homme (LDH), Maison des Citoyens du Monde 44 (MCM), Maison du Peuple de Nantes, Mdp en colère, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP), Réseau Éducation sans Frontières (RESF), Syndicat des Avocats de France (SAF), Vilaines Filles 44, … (liste en cours)

Appel à rassemblement ce lundi 10 juin – 18h préfecture

Le CLECED appelle toutes celles et tous ceux qui refusent de voir s’installer une majorité d’extrême droite à l’Assemblée Nationale à venir se rassembler ce lundi 10 juin à 18h devant la Préfecture de Nantes.

Collectif de Lutte pour les droits et les libertés Ensemble Contre les idées et les actes des Extrêmes Droites (CLECED) : Attac, Confédération Générale du Travail, Fédération des Amicales Laïques-Ligue de l’Enseignement, Fédération Syndicale Unitaire, France Palestine Solidarité, Ligue des droits de l’Homme, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples, Syndicat des Avocats de France, Union syndicale Solidaires