Réunion-Débat : Agir pour l’égalité et la démocratie

La Ligue des droits de l’Homme vous invite au débat :

Agir pour l’égalité et la démocratie

Mercredi 5 février – 20h30

à NANTES

Salle Bretagne, 23 rue Villebois Mareuil – Tram 3 arrêt Poitou
Entrée libre et gratuite – Table de presse organisée sur place

avec la participation de :

Serge PAUGAM, Sociologue, directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique, directeur d’études à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales, responsable de l’Équipe de Recherche sur les Inégalités Sociales (ERIS), créateur et directeur de la collection « Le lien social » ainsi que de la revue Sociologie aux Presses Universitaires de France ;
La disqualification sociale (nouvelle édition 2013), Les formes élémentaires de la pauvreté nouvelle édition 2013, Le lien social (nouvelle édition 2013), Repenser la solidarité (nouvelle édition 2011) Paris PUF ; il publie en février un nouveau livre L’intégration inégale. Force, fragilité et rupture des liens sociaux (2014) …

Jean-Pierre DUBOIS, Professeur de droit public, président d’honneur de la Ligue des droits de l’Homme ;
La justice mise au pas dans L’État pyromane, Delavilla, (2010) ; il a participé à l’écriture de La République en souffrance L’état des droits de l’Homme en France, La Découverte (2013) …

Annie COLLOVALD, Professeur de sociologie et directrice du Centre nantais de sociologie-CENS, spécialiste de la droite et de l’extrême droite, membre du comité de rédaction de Politix, revue des sciences sociales du politique, Étrangers : la mise à l’écart, (2005), La pacification des violences, (2007) (avec Sandrine Lefranc) ; La démocratie aux extrêmes. Sur la radicalisation politique, Paris, La Dispute (2006) (avec Brigitte Gaïti) …

Les élections municipales et européennes sont l’occasion pour les citoyennes et les citoyens de confronter leurs problèmes, l’analyse des maux qui travaillent la société, de débattre avec les élus et candidats. C’est le débat et la confrontation démocratiques. La Ligue des droits de l’Homme, appelle chacun et chacune à s’en saisir pour discuter du comment « faire société ».

Porter des valeurs sociales et démocratiques

L’explosion ces dernières années du chômage et de la précarité, le mille-feuille de discriminations qui handicape femmes, jeunes, étrangers ou considérés comme tels, les inégalités en fonction des territoires ne sont pas une fatalité. Ce mécanisme de fragmentation doit s’arrêter.
Les « marchés » et la «  dette » ne s’imposent qu’au gré des concessions, soumissions reculant devant la nécessité d’engager des alternatives financières, fiscales et économiques. Il faut rééquilibrer le projet européen en mettant en son centre justice sociale, démocratie et libertés.
Certes, la période est riche en déceptions. Chacune, chacun peut légitimement s’interroger sur la capacité et la volonté à agir de la représentation politique.

Pour répondre aux inégalités sociales, des politiques publiques doivent assurer l’accès de tous aux droits de tous. Il faut concevoir une juste contribution de chacun aux dépenses de la société ; la fiscalité doit être la marque de la solidarité. Il est nécessaire de lier les trois dimensions économique, sociale et démocratique.
Cela suppose d’opposer une autre dynamique, celle de l’intérêt général, de la démocratie et d’un avenir partagé pour tous les résidents du continent.

C’est justement en période de crises économique, sociale ou politique, qu’il nous faut être intransigeant sur le respect des droits de l’Homme. Pour la Ligue des droits de l’Homme, la seule voie qui vaille, c’est de mettre en pratique les principes de la liberté, de l’égalité et de la solidarité, outils de la fraternité.

La Ligue des droits de l’Homme invite à mettre au cœur des débats les vraies questions que sont l’emploi, la protection sociale, l’éducation, le logement…
La LDH soumet au débat avec les citoyennes et les citoyens de notre pays les propositions qu’elle estime indispensables pour la démocratie et le progrès social.

Extrêmes droites : fausses questions, mauvaises réponses

Les thèmes de l’extrême droite sont anciens et connus. Elle joue sur ce qui délégitime les représentations politiques, la crainte du déclassement et ce qui fait craindre tout changement. Elle rejette l’idée même d’un avenir commun pour les peuples. Et, ses idées essaiment dans la société et le paysage politique.

La Ligue des droits de l’Homme appelle à s’opposer résolument à ce processus ; à rejeter la conception d’un « tous contre tous » qui se dissimule derrière de soi-disant « préférences » et débouche sur un racisme agressif et désinhibé.

Il y a une urgence démocratique. La Ligue des droits de l’Homme entend jouer pleinement son rôle. Elle s’emploie à opposer aux idées d’extrême-droite et à tous ceux qui les portent, un débat de raison, construit sur des valeurs fortes – l’égalité et la solidarité.

Réunion-débat : Penser les enjeux europpéens aujourd’hui

La section nantaise de la Ligue des droits de l’Homme se réunit chaque jeudi et consacre une réunion chaque mois à débattre sur des thèmes divers avec pour seul objectif de prendre le temps de réfléchir. Parce que la compréhension par le débat de ce qui se passe est aussi un moyen pour déterminer et donner du sens à ce que nous faisons.

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Réunion-débat d’octobre

jeudi 3 octobre 2013 – 20h30

Comment penser les enjeux européens aujourd’hui ?

Maison des associations – Manufacture des tabacs salle A 1er étage
10bis bd de Stalingrad – Nantes – tram 1 arrêt Manufacture

Avec la participation de

Jan Robert SUESSER, membre du bureau national de la Ligue des droits de l’Homme – LDH, responsable du groupe de travail national Europe de la LDH et membre de la délégation de la LDH à l’Alter sommet d’Athènes des 7 et 8 juin dernier, vice-président du Forum civique européen

Les élections du Parlement européen auront lieu le dimanche 25 mai 2014.

On constate une dissymétrie entre les responsabilités majeures pour la décision publique du cadre européen, et l’exercice limité d’une citoyenneté à ce même niveau.

La citoyenneté dont nous nous réclamons s’appuie sur trois moteurs : la dimension démocratique (la façon dont chacun peut être écouté et est entendu), la dimension économique (l’accès à l’emploi et plus largement à un revenu) et la dimension sociale (les politiques publiques permettant l’accès effectif aux droits dont l’éducation, la santé, les sécurités).

On constate à quel point le refus de traiter la dimension sociale de la crise économique et monétaire dans le cadre européen amène à des replis au niveau national, et même, de façon croissante, au niveau infranational. Le traitement exclusivement national des questions sociales comporte alors la tentation de réponse nationaliste, elle-même minée par la tentation xénophobe.

Une occasion de réfléchir à la citoyenneté active en Europe, et à ce qu’elle peut représenter dans le contexte de crise économique et financière.

Nous vous invitons à participer nombreux-ses à cette soirée.

Prenons le temps d’en parler !

Information supplémentaire : La 19ème Université d’automne de la LDH aura pour thème « Europe : quelles sorties de crise ? », les 23 et 24 novembre 2013 , à l’espace Reuilly, 21 rue Hénard, Paris 12e. Elle est ouverte sur inscription à tous les citoyens du monde.

Livre-Débat : La république en souffrance

La réunion-débat du mois de juillet est consacrée à l’édition 2013 de l’État des droits de l’Homme en France. Sous la forme d’un petit livre (13 cm x 20 cm, 128 pages) et sous le titre de « La république en souffrance », la Ligue des droits de l’Homme revient cette année sur quelques-uns des dossiers phares de la période. Cette soirée sera l’occasion d’en discuter.

Le jeudi 4 juillet à 20h30

Discutons de « La République en souffrance »

Rendez-vous au 10 boulevard Stalingrad, au 1er étage de la Manufacture des Tabacs, à Nantes.

(Ligne 1 du tramway, arrêt Manufacture des Tabacs)

Le 6 mai 2012, la France se prononce sur « le changement, maintenant ». La présidentielle tourne une longue page autoritaire, xénophobe et désastreuse au regard des droits, des libertés, du vivre ensemble. Mais la victoire de la gauche est courte et les défis sont redoutables. Au poids d’un héritage éthique sulfureux s’ajoute une conjoncture financière qui menace la démocratie et fragilise la construction européenne. A cela s’ajoute l’offensive des leaders de la « droite républicaine » qui, lorgnant trop souvent vers le Front national, assimilent les projets du gouvernement à un chaos social, voire à « l’anti-France » – qu’il s’agisse de la police et de l’ordre public, de la place des étrangers et de l’islam, du rôle de la justice et de la famille. Dans ce climat tendu, la Ligue des droits de l’Homme insiste sur la nécessaire revalorisation du débat public et de la représentation politique, sur l’amélioration citoyens/police, sur l’approfondissement de la démocratie. Autant de mesures constitutives d’un « changement maintenant » dont l’adoption ne doit pas être ajournée sous prétexte de difficultés économiques.

Or, les atermoiements du gouvernement, en particulier sur les terrains où la droite se montre la plus agressive, nourrissent impatiences, doutes et déceptions. Au vu des attentes et des urgences démocratiques et sociales, la République reste en souffrance.

Ni bilan ni anticipation, ce livre bienvenu revient sur quelques-uns des dossiers phares de la période, en restitue la trame pour en éclairer les contradictions et les issues possibles afin d’aider aux nécessaires mobilisations citoyennes.

Pierre Tartakowsky, président de la LDH

SOMMAIRE

– Introduction « Entre craintes et espoirs : la République en souffrance… »- Pierre Tartakowsky
– « Ordre public contre ordre social : les ambigüités du gouvernement à l’égard des Roms » – Malik Salemkour
– « Droit de vote des résidents non européens : le dire et le faire » – Vincent Rebérioux
– « Où vont les droites ? » – Henri Leclerc – « La société des (in)égaux ? » – Dominique Guibert
– « Police ! Vos papiers ! » – Nadia Doghramadjian et Françoise Dumont
– « Une justice pénale en (dés)équilibre » – Jacques Montacié
– « Aux défis des marchés : l’Europe et l’austérité » – Jean-Pierre Dubois
– Chronologie de l’année 2012 – Gilles Manceron et François Nadiras Ouvrage

Pour acheter ce livre, contactez la section de Nantes et du pays nantais (ldh.nantes@orange.fr) ou rendez-vous directement sur la boutique en ligne (ici).

Film.débat : Esclavage Aujourd’hui encore

SOIRÉE FILM-DÉBAT
«ESCLAVAGE AUJOURD’HUI ENCORE»

Entrée libre et gratuite

Jeudi 6 juin – 20h30
Salle de conférence de la Maison des syndicats
ex gare de l’Etat, bd de la Prairie au Duc
(entre République et Machines de l’Ile) – Nantes

Projection du film « Esclaves », réalisé en 2011 par Teresa Punzi, durée 52 mn, suivie d’un débat animé par :

Isabelle DENISE, responsable du service juridique de la Ligue des droits de l’Homme et ayant suivi les travaux de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme – CNCDH sur la traite des Êtres humains ;

Pierre DUMONT, coordinateur d’Esclavage Tolérance Zéro – Ouest, fondateur et Président d’honneur de l’association nationale.

Malgré son     abolition, il y a plus d’un siècle, des femmes, des hommes et des enfants sont chaque jour victimes des formes contemporaines de l’esclavage : esclavage domestique, travail forcé, mariage aux fins d’exploitation…

L’ampleur et la gravité de l’esclavage aujourd’hui encore est très largement méconnue et sous estimée. Des enfants, des femmes, des hommes sont victimes de traite, aux fins d’exploitation de la prostitution en particulier. D’autres formes de traite, aux fins d’exploitation par le travail sont laissées dans l’ombre. Ils, elles sont pourtant nombreux-ses dans le secteur de la construction, le travail saisonnier, l’agriculture, la restauration, mais aussi dans des domaines épargnés jusqu’ici, comme les services, l’informatique…

Nos associations sont confrontées à des cas de plaintes individuelles, à des situations de traite des êtres humains.

La question de la traite est une question de droits des femmes, une question de droit des étrangers mais pas seulement et pas toujours. La problématique de la traite est celle de l’exploitation. Tout individu peut être, au sens de l’infraction, victime de la traite dans son propre pays.

Comment voir l’ensemble des différents types de traite ?
Comment incriminer le fait d’utiliser les services d’une personne victime de la traite, en cas d’exploitation sexuelle mais aussi d’exploitation par le travail ?
Quel état des lieux juridique, quelles avancées nécessaires ?

Soirée film-débat organisée par la Ligue des droits de l’Homme avec la présence de l’association Esclavage Tolérance Zéro – Ouest à l’issue de la 1ère Rencontre Atlantique sur la Traite des Êtres Humains à la Maison des Hommes et des Techniques – Nantes.

ldh.nantes@orange.fr – 02 51 86 22 39 – etz-ouest@esclavage-stop.org – 06 52 32 39 59

Réunion.débat : Genre et militantisme

La section de Nantes et du pays nantais de la Ligue des droits de l’Homme
Est heureuse de vous inviter à une réunion / débat
Le mardi 16 avril à 20h30
Salle de conférence de la Maison des syndicats, Nantes
Sous le thème :
« Genre et militantisme »
L’objectif de cette soirée sera de réfléchir ensemble sur les apports pour le militantisme d’une approche en termes de genre, entendu comme les rapports sociaux de sexe qui assignent les hommes et les femmes à des places et des rôles. De façon générale, nous nous demanderons en quoi la notion de genre fait-elle progresser la compréhension des inégalités entre les femmes et les hommes, et entre les sexualités.
D’un point de vue plus spécifiquement militant, notre approche sera double. En quoi le concept de genre nous invite-t-il à réfléchir différemment les luttes que nous menons localement et plus largement les rapports de force et de domination ? En quoi nous impose-t-il de repenser l’action militante au sein même de nos organisations et l’éventuelle reproduction des rapports sociaux sexués qui œuvrent dans la société en général (répartition des rôles, investissements induits, suscités, pris…)
Pour réfléchir à ces questions, nous aurons plaisir à accueillir :
Claudine Blasco, militante ATTAC
Xavier Dunezat, sociologue, rattaché au Centre de Recherches Sociologiques et Politiques de Paris
Nicole Savy, militante LDH, groupe de travail, « Femmes, genre, égalité »
Mardi 16 avril 2013,
20h15 : accueil des participants.
20h30 : début de la conférence.
Salle de conférence, Maison des syndicats, place de la gare de l’Etat, Nantes
Une table de presse, organisée en partenariat avec la librairie Vent d’ouest sera à votre disposition.

Ciné.débat : Mains brunes sur la ville

visuel du film "mains brunes sur la ville"

Film documentaire et débat

MAINS BRUNES SUR LA VILLE”

Mercredi 20 mars 2013

17h30 : film, 19h/20h30 : débat

Faculté de Droit et des Sciences politiques de Nantes – Amphi F

Chemin de la Censive du Tertre (Tram 2 – arrêt Petit Port Facultés)

Entrée libre et gratuite

Film documentaire, 2012 de 90 minutes
Enquête et réalisation : Bernard Richard et Jean-Baptiste Malet

Le documentaire donne la parole aux responsables du FN (quand ils ne chassent pas les journalistes) et à l’UMP comme à l’opposition socialiste et communiste et aux habitants.

Jacques Bompard a été deux fois réélu maire d’Orange (Vaucluse) avec plus de 60% des voix.

Où sont les responsabilités ? Thierry Mariani, élu local, ministre des Transports de Nicolas Sarkozy et fondateur de la Droite populaire, ne se cache guère d’avoir fait alliance avec le FN, en espérant rester hégémonique. Les élus de gauche se disent aussi responsables, avec leurs conflits et leurs divisions. Et voilà le travail… : une gestion injuste, aberrante, un climat qui sue la haine et la peur, un dévoiement de la démocratie par ceux-là mêmes qui s’en servent pour prendre le pouvoir.

Jacques Bompard et sa femme Marie-Claude, mairesse de Bollène, ont créé la Ligue du sud. Même si l’étiquette change, Ligue du sud ou Front national, c’est du pareil au même : Jacques Bompard est un ancien de l’OAS, d’Occident, lié au Bloc identitaire. L’heure est à l’affichage de la modération et à la revendication du bon sens, mais le fond n’a pas changé.

Le film évoque successivement :

– la place de l’héritage colonial, dans une région où les nostalgiques de l’Algérie française sont nombreux, jusque dans les casernes du 1er REC de la Légion ;

– l’économie, avec le déclin de l’agriculture et de l’agro-alimentaire, l’absence de moteur industriel, sauf le nucléaire à Bollène, ville ouvrière longtemps communiste, passée au FN à cause des divisions de la gauche ;

– les politiques municipales de censure des bibliothèques et achats de livres négationnistes, d’effondrement des budgets associatifs sociaux et culturels, d’abandon des services publics, de harcèlement des employés municipaux et d’intimidation des opposants.

Vient ensuite l’urbanisme : les Bompard laissent pourrir les cités périphériques, ferment les équipements collectifs, stades et aires de jeux compris, bref… créent de l’insécurité pour pouvoir accuser les jeunes des cités de tous les maux, tandis que les centres-villes sont coquets, truffés de caméras de surveillance et que tout terrain libre est loti par des promoteurs, aux dépens du logement social.

On ajoute à cela une communication très coûteuse et efficace, axée sur la peur de l’insécurité, des jeunes et des étrangers ; et enfin, un matraquage idéologique, avec fêtes médiévales et cochon rôti, affiches de têtes blondes, restauration active des églises et projet de mosquée sans cesse ajourné – et renvoyé au diable, en zone inondable. Mme Bompard, qui revendique la laïcité quand il s’agit de l’Islam, fréquente les catholiques intégristes et a consacré sa ville au Sacré-Cœur de Jésus.

Que se passe-t-il quand la xénophobie prend le pouvoir ? « Mains Brunes sur la ville » est un documentaire d’aujourd’hui qui témoigne de l’actualité de cette question.

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Les idées d’extrême droite sont dangereuses

Ce film-documentaire sur les laboratoires d’Orange et Bollène le montre. Il faut tout faire pour que les idées d’extrême droite jamais ne soient mises en application.

Les idées d’extrême droite progressent

Nous avons peur pour notre travail, notre logement, notre protection santé… On peut avoir le sentiment que les gouvernements successifs ne changent pas la situation.

Les idées d’extrême droite veulent nous faire croire que cette situation, c’est la faute de l’Autre. Cet Autre – l’immigré, le musulman, le jeune, le fonctionnaire,…- qui devient le bouc émissaire ; le pauvre lui-même devient ce bouc émissaire.

Les idées d’extrême droite peuvent gagner des mairies lors des municipales en 2014. Des accords avec des listes d’extrême droite peuvent se conclure.

Brisons la politique de la peur, développons l’égalité en droits pour tous et toutes et les libertés individuelles et collectives

Nos pays ont bien plus de richesses aujourd’hui qu’hier. Les citoyen-nes peuvent et doivent exiger que la France et l’Europe mettent en œuvre l’égalité en droits pour toutes et tous, le droit au travail et à un revenu décent et la justice sociale.

Après la projection du film, nous débattrons pour mieux comprendre la situation et voir comment lutter contre la montée des idées d’extrême droite en France et en Europe.

Film-documentaire et débat organisés, dans le cadre des Semaines d’Education contre le racisme et toutes les formes de discrimination, par la section de Nantes et du pays nantais de la Ligue des droits de l’Homme en partenariat avec Solidaires Étudiant-e-s – Syndicats de lutte, le Syndicat des Étudiants de Nantes – SEN et l’Union Nationale des Étudiants de France – UNEF