Marche de soutien à la famille et aux proches de Steve Caniço – samedi 29 juin 2019

Communiqué de la section – le 28/06/19

Une marche de soutien à la famille et aux proches de Steve Caniço porté disparu depuis la nuit de vendredi à samedi est prévue ce samedi 29 juin à 14h30, marche en musique à la demande de ses amis qui se terminera devant la préfecture.
La LdH invite à se joindre à cette marche.

Le départ était initialement prévu quai Wilson, mais il semblerait qu’il y ait un changement de dernière minute et que celui-ci se fasse devant la préfecture pour aller quai Wilson. A voir demain, notamment dans la presse…

LDH-Nantes

Comment est-il possible qu’une dizaine de personnes tombe dans la Loire à la suite d’une intervention de la police ?

Communiqué de l’Observatoire nantais des libertés, Nantes le 26 juin 2019

Dans la nuit de la fête de la musique à Nantes, une opération de police a été déclenchée pour mettre fin à une soirée électro organisée quai Wilson. Les conséquences en ont été dramatiques : une dizaine de personnes est tombée dans la Loire et un homme est toujours porté disparu.

Cette intervention menée au moins pour partie par des membres de la Compagnie Départementale d’Intervention et de la Brigade Anti-Criminalité avec la présence d’un chien, a conduit à un engrenage de violences avec, outre une utilisation importante de gaz lacrymogène, un usage de grenades de désencerclement et la présence de lanceurs de balles de défense.

Comment est-il possible que, dans une situation de fin d’une fête techno sans danger avéré pour des individus, une dizaine de personnes tombe dans la Loire à la suite d’une intervention de la police ?

Dans un rapport publié le 24 mai dernier, l’Observatoire nantais des libertés (ONL) pose d’importantes questions sur l’exercice du maintien de l’ordre à Nantes dans les circonstances de manifestations revendicatives en soulignant notamment des dérives découlant d’une banalisation du déploiement et de l’usage de la force. En toute circonstance, les interventions de maintien de l’ordre doivent être réalisées de manière adaptée et proportionnée. Un grand nombre des éléments rapportés donnent à penser que dans la circonstance de cette manifestation festive, il s’est agi d’une autre illustration des questions posées sur l’inadaptation et la disproportion de certaines méthodes d’intervention.

L’Observatoire nantais des libertés (ONL)espère que la personne sera retrouvée.

L’ONL demande que toute la lumière soit faite et la vérité connue sur ce qui s’est passé lors de cette intervention de la police, que la chaîne de commandement de la gestion de cette opération soit recherchée et les responsabilités tant individuelles qu’institutionnelles établies par la justice.

Pour l’ONL, il y a urgence à ouvrir un débat démocratique sur la doctrine du maintien de l’ordre en France.

L’Observatoire nantais des libertés avec les associations Association Républicaine des Anciens Combattants, Attac, Droit au logement, France Palestine Solidarité, Ligue de l’Enseignement-Fédération des Amicales Laïques, Ligue des droits de l’Homme, Maison des Citoyens du Monde, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples, Mouvement National de Lutte pour l’Environnement, Syndicat de la Médecine Générale, Syndicat des Avocats de France, Tissé Métisse. ONL@rezocitoyen.net

Rassemblement en faveur Louisa Hanoune – Consulat Algérie – Jeudi 20/06/19 18h

La Ligue des droits de l’Homme appelle à se joindre au rassemblement

 jeudi 20 juin à 18h, devant le Consulat d’Algérie

57 rue du Général Buat – Nantes.

Ci-dessous, communiqué national LdH du 17 mai dernier.
Ci-joint, appel au rassemblement ce jeudi à Nantes.

Libérer Louisa Hanoune

Communiqué Ligue des droits de l’Homme, Paris, le 17 mai 2019

L’arrestation et le déferrement devant la juridiction militaire de Louisa Hanoune au motif d’une prétendue « atteinte à l’autorité de l’Etat » révèle que l’instrumentalisation de l’institution judiciaire n’a pas disparu en Algérie.

Arrêter une députée et l’incarcérer en raison de ses opinions politiques ne permette pas d’augurer d’un changement des méthodes du gouvernement pourtant exigé par le peuple algérien. La LDH appelle à mettre un terme sans délai à cette parodie de justice.

appel au rassemblement ce jeudi à Nantes

Appel à rassemblement en faveur de Louisa Hanoune

La Ligue des droits de l’Homme appelle à se joindre au rassemblement ce jeudi 20 juin à 18h devant le Consulat d’Algérie 57 rue du Général Buat – Nantes.

Ci-dessous, communiqué national LdH du 17 mai dernier et appel au rassemblement ce jeudi à Nantes.

Communiqué national LdH du 17 mai dernier.

Libérer Louisa Hanoune

Communiqué Ligue des droits de l’Homme, Paris, le 17 mai 2019

L’arrestation et le déferrement devant la juridiction militaire de Louisa Hanoune au motif d’une prétendue « atteinte à l’autorité de l’Etat » révèle que l’instrumentalisation de l’institution judiciaire n’a pas disparu en Algérie.

Arrêter une députée et l’incarcérer en raison de ses opinions politiques ne permet pas d’augurer d’un changement des méthodes du gouvernement pourtant exigé par le peuple algérien. La LDH appelle à mettre un terme sans délai à cette parodie de justice.

 
Appel au rassemblement ce jeudi à Nantes

Échange  » Actions citoyennes et ONU : quelles interactions ?  » mardi 21 mai – 19h à la MCM

Communiqué de la section LdH – Nantes le 20/05/19

La section de Nantes et du pays nantais de la LdH vous invite à participer à un échange intitulé « Actions citoyennes et ONU : quelles interactions ? » qui aura lieu ce mardi 21 mai à 19h à la Maison des Citoyens du Monde – rue Lekain – Nantes

La Maison des Citoyens du Monde, la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH) et la section de Nantes et du pays nantais de la Ligue des droits de l’Homme vous invite à venir échanger sur les actions citoyennes locales.

Cet échange sera accompagné de l’intervention de Manon Karatas, Déléguée auprès des Nations Unies pour la FIDH, qui permettra de décrypter les acteurs internationaux – États, ONG, ONU – et le rôle des associations locales et de l’action citoyenne pour renforcer le respect des droits humains à l’échelle globale.

Cette conférence citoyenne sera l’occasion d’aborder des thématiques variées comme l’utilisation d’armes françaises dans la guerre au Yémen ou l’importance grandissante des mouvements citoyens dans le monde (gilets jaunes, #metoo, marches pour le climat, manifestations au Soudan ou au Venezuela…).

le lien :https://www.facebook.com/mcm.nantes/photos/gm.2254869281420708/1093539570832496/?type=3)

Sur le même sujet, un communiqué du 13 mai : 17 ONG dénoncent les menaces de poursuites contre des journalistes enquêtant sur les armes françaises au Yémen. Pour lire ce communiqué cliquer ici

Les interdictions de manifester portent gravement atteinte à la liberté d’expression

Communiqué le l’Observatoire nantais des libertés – Nantes, le 7 mai 2019

L’Observatoire nantais des libertés (ONL) regarde l’exercice des libertés dont le droit de manifester.

Pour le troisième samedi consécutif, après les 20 et 27 avril, le Préfet de Loire-Atlantique a interdit ce samedi 4 mai « toute manifestation ou rassemblement » dans presque tout le centre-ville de Nantes.

Le Préfet agit à Nantes comme d’autres Préfets dans différentes villes du pays. Pourquoi prend-t-il des arrêtés d’interdiction depuis le 20 avril alors que paradoxalement la manifestation du 13 avril s’était déroulée plutôt calmement. Comment justifier que l’on prenne des décisions d’interdiction chaque samedi ? On comprend alors que ces interdictions sont destinées à faire cesser les manifestations à Nantes le samedi. Avec ces arrêtés, les participants à une manifestation risquent une amende.

Pour l’ONL, il faut toujours craindre pour les libertés publiques et la démocratie quand l’État et son représentant le Préfet se cantonnent à des décisions d’interdiction de manifester dans presque tout le centre d’une ville. La décision d’interdiction paraît s’instituer. Les personnes qui veulent manifester pacifiquement doivent pouvoir le faire en toute légalité.

L’ONL rappelle que manifester publiquement est une des nombreuses formes d’expression de la citoyenneté, de la démocratie et de son apprentissage. Pouvoir s’exprimer collectivement sur la voie publique est une liberté publique fondamentale.

L’ONL appelle à la vigilance permanente sur l’exercice des droits et des libertés dont le droit de manifester.

Dans ce cadre, l’ONL s’apprête à publier un rapport sur l’exercice du maintien de l’ordre à Nantes et le respect des droits.

L’Observatoire nantais des libertés avec les associations Association Républicaine des Anciens Combattants, Attac, Droit au logement, France Palestine Solidarité, Ligue de l’Enseignement-Fédération des Amicales Laïques, Ligue des droits de l’Homme, Maison des Citoyens du Monde, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples, Mouvement National de Lutte pour l’Environnement, Syndicat de la Médecine Générale, Syndicat des Avocats de France, Tissé Métisse. ONL@rezocitoyen.net

« Liberté de manifester : abrogation de la loi » – Rassemblement le samedi 13/04/19 à 14h devant la préfecture

Communiqué commun à de nombreuses organisation nantaises – Nantes le 11/04/19

samedi 13 avril, 14 heures

 

RASSEMBLEMENT

animé avec prises de parole

 

Nantes – devant la préfecture

 

Si la loi est votée par le Parlement au nom du peuple français, elle ne peut et elle ne doit pas porter atteinte à la libre expression du peuple. La loi adoptée par l’Assemblée nationale qui prétend encadrer le droit de manifester reste, malgré la censure partielle du Conseil constitutionnel, une atteinte grave aux libertés publiques et à l’équilibre des pouvoirs.

Les violences contre les personnes, les biens, les institutions qui ont eu lieu ne peuvent justifier qu’un exécutif s’arroge des pouvoirs exorbitants. Participer à une manifestation ne saurait signifier le risque pour chacun et chacune d’entre nous d’être poursuivi, fiché et condamné pénalement comme financièrement.

Soumettre les participants et les participantes à une manifestation à une fouille systématique, faire d’un visage en partie couvert un délit, persister dans l’usage d’armes qui mutilent, voici l’esprit et la lettre de mesures qui sont autant d’empêchements à l’exercice d’un droit essentiel en démocratie : celui de manifester publiquement, collectivement et pacifiquement son opinion.

Cette loi de circonstance porte un lourd risque d’arbitraire des gouvernements d’aujourd’hui comme de demain, nous en demandons l’abrogation. C’est pourquoi nous appelons à manifester partout en France le samedi 13 avril 2019.

 

 Signataires nationaux : Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (Acat), Amnesty international France, Association des Tunisiens en France (ATF), Association européenne pour la défense des droits de l’Homme (AEDH), Agir ensemble pour les droits de l’Homme, Association France Palestine solidarité (AFPS), Attac, Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT), Confédération générale du travail (CGT), Confédération nationale du logement (CNL), Droit solidarité, Emmaüs France, EuroMed Droits, Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE), Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR), Fédération française des motards en colère (FFMC), Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL), Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH), Fédération nationale de la Libre pensée, Fédération nationale des Francas, Fédération syndicale unitaire (FSU), Femmes Egalité, France Nature Environnement (FNE), Gilets jaunes de Commercy, Greenpeace, La Cimade, La Quadrature du Net (LQDN), Le Planning familial, Les Amis de la Terre France, Les Effronté-e-s, Ligue de l’enseignement, Ligue des droits de l’Homme (LDH), Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap), Mouvement national lycéen (MNL), Mouvement pour une alternative non-violente Ile-de-France (MAN), Oxfam France, Pas sans nous !, Réseau Euro-Maghrébin citoyenneté et culture (REMCC), SOS Racisme, Syndicat de la magistrature (SM), Syndicat des avocats de France (SAF), Syndicat national des journalistes (SNJ), Syndicat national des personnels de l’éducation et du social (SNPES PJJ/FSU), Union juive française pour la paix (UJFP), Union nationale lycéenne (UNL), Union des Tunisiens pour l’action citoyenne (UTAC) ;

Signataires locaux : Droit au logement (DaL) ; Union syndicale Solidaires ; liste en cours…

 

Communiqué national commun signé par plus de 40 organisations

Si la loi est votée par le Parlement au nom du peuple français, elle ne peut et elle ne doit pas porter atteinte à la libre expression du peuple. La loi adoptée par l’Assemblée nationale qui prétend encadrer le droit de manifester reste, malgré la censure partielle du Conseil constitutionnel, une atteinte grave aux libertés publiques et à l’équilibre des pouvoirs.

Les violences contre les personnes, les biens, les institutions qui ont eu lieu ne peuvent justifier qu’un exécutif s’arroge des pouvoirs exorbitants. Participer à une manifestation ne saurait signifier le risque pour chacun et chacune d’entre nous d’être poursuivi, fiché et condamné pénalement comme financièrement.

Soumettre les participants et les participantes à une manifestation à une fouille systématique, faire d’un visage en partie couvert un délit, persister dans l’usage d’armes qui mutilent, voici l’esprit et la lettre de mesures qui sont autant d’empêchements à l’exercice d’un droit essentiel en démocratie : celui de manifester publiquement, collectivement et pacifiquement son opinion.

Cette loi de circonstance porte un lourd risque d’arbitraire des gouvernements d’aujourd’hui comme de demain, nous en demandons l’abrogation. C’est pourquoi nous appelons à manifester partout en France le samedi 13 avril 2019.

Une conférence de presse se tiendra au siège de la Ligue des droits de l’Homme (138 rue Marcadet 75018 Paris) le jeudi 11 avril à 11h.

Paris, le 8 avril 2019

Signataires : Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (Acat) ; Amnesty international France ; Association des Tunisiens en France (ATF) ; Association européenne pour la défense des droits de l’Homme (AEDH) ; Agir ensemble pour les droits de l’Homme ; Association France Palestine solidarité (AFPS) ; Attac ; Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT) ; Confédération générale du travail (CGT) ; Confédération nationale du logement (CNL) ; Droit solidarité ; Emmaüs France ; EuroMed Droits ; Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE) ; Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR) ; Fédération française des motards en colère (FFMC) ; Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL) ; Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH) ; Fédération nationale de la Libre pensée ; Fédération nationale des Francas ; Fédération syndicale unitaire (FSU) ; Femmes Egalité ; France Nature Environnement (FNE) ; Gilets jaunes de Commercy ; Greenpeace ; La Cimade ; La Quadrature du Net (LQDN) ; Le Planning familial ; Les Amis de la Terre France ; Les Effronté-e-s ; Ligue de l’enseignement ; Ligue des droits de l’Homme (LDH) ; Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap) ; Mouvement national lycéen (MNL) ; Mouvement pour une alternative non-violente Ile-de-France (MAN) ; Oxfam France ; Pas sans nous ! ; Réseau Euro-Maghrébin citoyenneté et culture (REMCC) ; SOS Racisme ; Syndicat de la magistrature (SM) ; Syndicat des avocats de France (SAF) ; Syndicat national des journalistes (SNJ) ; Syndicat national des personnels de l’éducation et du social (SNPES PJJ/FSU) ; Union juive française pour la paix (UJFP) ; Union nationale lycéenne (UNL) ;  Union des Tunisiens pour l’action citoyenne (UTAC).

Voir également le communiqué de la LdH du 4/04/19  » Un droit de manifester aux mains du pouvoir »

Rassemblement de soutien à Geneviève Legay mardi 26 mars – 18h -Préfecture Nantes

Communiqué du collectif ATTAC 44 dont la LdH est membre, Nantes le 25/03/19

Mardi 26 mars, 18h, devant la préfecture (monument des 50 otages), à Nantes, rassemblement de soutien à Geneviève Legay !

Geneviève Legay, porte-parole d’Attac 06, qui en défendant le droit de manifester, la démocratie, de manière non-violente, est à présent à l’hôpital car grièvement blessée par une charge policière, lors de l’acte 19 des Gilets Jaunes ce samedi 23 mars à Nice.

 Communiqué de presse national actualité de ce lundi :

 En plus de la plainte déposée par la famille de Geneviève Legay, Attac déposera plainte également ce lundi 25 mars à 14h pour « violence volontaire en réunion par personne dépositaire de l’autorité publique sur personne vulnérable ».

Geneviève Legay, 74 ans, porte-parole d’Attac 06 et militante infatigable pour la paix, a été grièvement blessée par une charge policière, lors de l’acte 19 des Gilets Jaunes ce samedi 23 mars à Nice. Selon son avocat, elle était dimanche matin dans un état stable. 

Samedi vers 11h, les CRS ont procédé à une violente charge au cours de laquelle Geneviève est tombée au sol, sa tête heurtant un poteau métallique. De multiples images montrent Geneviève, gilet jaune sur le dos et drapeau arc-en-ciel « Pace » dans les mains, avec une attitude totalement non violente, scander « Liberté de manifester » peu avant la charge policière.

 Alors que les précédentes mobilisations des Gilets Jaunes à Nice n’avaient pas entraîné de dégradations, Christian Estrosi, maire de la ville, avait demandé et obtenu une interdiction de manifester dans une grande partie de la ville.

 L’interdiction par le préfet des manifestations et rassemblements dans une grande partie de Nice est illégitime et ne peut justifier d’utiliser la force contre des citoyenˑneˑs qui se rassemblent pacifiquement pour exprimer leurs opinions.

 Attac France condamne la répression des rassemblements pacifiques qui ont eu lieu ce samedi et s’indigne de la grave restriction des libertés publiques actuellement en cours en France. Ce n’est pas par la répression et les violences policières qu’Emmanuel Macron répondra à la légitime demande de justice sociale qui s’exprime partout dans le pays.

 Attac France exige que toute la lumière soit faite et que les responsabilités de ces actes de violence à l’encontre de Geneviève Legay soient clairement établies.

 Attac France apporte tout son soutien à Geneviève et à ses proches.