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En 1898, des citoyens, révoltés par l’injustice dont était victime le Capitaine Dreyfus, décidaient de créer la Ligue française pour la défense des droits de l’Homme et du citoyen. Ils s’engageaient alors à porter aide et assistance « à toute personne dont la liberté serait menacée ou dont le droit serait violé ». Cet engagement est toujours le nôtre. C’est avec la même exigence d’une lutte contre « toutes les formes d’intolérance et d’arbitraire » que nous voulons construire le mouvement civique de demain

Nous sommes à votre écoute au 02.51.86.22.39. Laissez-nous un message, nous écoutons régulièrement notre répondeur. Vous pouvez également nous envoyer un courriel à nantes@ldh-france.org

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Fiche : Triez, éliminez ! Sélection et destruction des mails

Avril 2021

Le mot « tri » a plusieurs sens ; il est employé, dans cette fiche, uniquement au sens « sélection pour destruction », et non pas au sens de « classement ».

Sommaire de la fiche

1. Le tri, pourquoi ? enjeux et risques

1.1. Confidentialité

1.2. Efficacité de l’activité

1.3. Gestion des moyens de conservation

2. Le tri, comment ? Les principes

2.1 Un tri simple et rapide pour certains types de mails

2.2 Un tri qui s’appuie sur une méthode collective dans les autres cas

3. Le tri, comment ? Méthode et fonctionnalités

3.1 Ne plus recevoir les spams

3.2 Repérer les autres messages à détruire dans votre logiciel de messagerie

3.3 Alléger votre boîte mail tout en conservant l’information

3.4 Comment détruire ses mails ? (fonctionnalités)

4. Le tri, quand ?

Glossaire

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« Liberté de manifester : abrogation de la loi » – Rassemblement le samedi 13/04/19 à 14h devant la préfecture

Communiqué commun à de nombreuses organisation nantaises – Nantes le 11/04/19

samedi 13 avril, 14 heures

 

RASSEMBLEMENT

animé avec prises de parole

 

Nantes – devant la préfecture

 

Si la loi est votée par le Parlement au nom du peuple français, elle ne peut et elle ne doit pas porter atteinte à la libre expression du peuple. La loi adoptée par l’Assemblée nationale qui prétend encadrer le droit de manifester reste, malgré la censure partielle du Conseil constitutionnel, une atteinte grave aux libertés publiques et à l’équilibre des pouvoirs.

Les violences contre les personnes, les biens, les institutions qui ont eu lieu ne peuvent justifier qu’un exécutif s’arroge des pouvoirs exorbitants. Participer à une manifestation ne saurait signifier le risque pour chacun et chacune d’entre nous d’être poursuivi, fiché et condamné pénalement comme financièrement.

Soumettre les participants et les participantes à une manifestation à une fouille systématique, faire d’un visage en partie couvert un délit, persister dans l’usage d’armes qui mutilent, voici l’esprit et la lettre de mesures qui sont autant d’empêchements à l’exercice d’un droit essentiel en démocratie : celui de manifester publiquement, collectivement et pacifiquement son opinion.

Cette loi de circonstance porte un lourd risque d’arbitraire des gouvernements d’aujourd’hui comme de demain, nous en demandons l’abrogation. C’est pourquoi nous appelons à manifester partout en France le samedi 13 avril 2019.

 

 Signataires nationaux : Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (Acat), Amnesty international France, Association des Tunisiens en France (ATF), Association européenne pour la défense des droits de l’Homme (AEDH), Agir ensemble pour les droits de l’Homme, Association France Palestine solidarité (AFPS), Attac, Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT), Confédération générale du travail (CGT), Confédération nationale du logement (CNL), Droit solidarité, Emmaüs France, EuroMed Droits, Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE), Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR), Fédération française des motards en colère (FFMC), Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL), Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH), Fédération nationale de la Libre pensée, Fédération nationale des Francas, Fédération syndicale unitaire (FSU), Femmes Egalité, France Nature Environnement (FNE), Gilets jaunes de Commercy, Greenpeace, La Cimade, La Quadrature du Net (LQDN), Le Planning familial, Les Amis de la Terre France, Les Effronté-e-s, Ligue de l’enseignement, Ligue des droits de l’Homme (LDH), Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap), Mouvement national lycéen (MNL), Mouvement pour une alternative non-violente Ile-de-France (MAN), Oxfam France, Pas sans nous !, Réseau Euro-Maghrébin citoyenneté et culture (REMCC), SOS Racisme, Syndicat de la magistrature (SM), Syndicat des avocats de France (SAF), Syndicat national des journalistes (SNJ), Syndicat national des personnels de l’éducation et du social (SNPES PJJ/FSU), Union juive française pour la paix (UJFP), Union nationale lycéenne (UNL), Union des Tunisiens pour l’action citoyenne (UTAC) ;

Signataires locaux : Droit au logement (DaL) ; Union syndicale Solidaires ; liste en cours…

 

Communiqué national commun signé par plus de 40 organisations

Si la loi est votée par le Parlement au nom du peuple français, elle ne peut et elle ne doit pas porter atteinte à la libre expression du peuple. La loi adoptée par l’Assemblée nationale qui prétend encadrer le droit de manifester reste, malgré la censure partielle du Conseil constitutionnel, une atteinte grave aux libertés publiques et à l’équilibre des pouvoirs.

Les violences contre les personnes, les biens, les institutions qui ont eu lieu ne peuvent justifier qu’un exécutif s’arroge des pouvoirs exorbitants. Participer à une manifestation ne saurait signifier le risque pour chacun et chacune d’entre nous d’être poursuivi, fiché et condamné pénalement comme financièrement.

Soumettre les participants et les participantes à une manifestation à une fouille systématique, faire d’un visage en partie couvert un délit, persister dans l’usage d’armes qui mutilent, voici l’esprit et la lettre de mesures qui sont autant d’empêchements à l’exercice d’un droit essentiel en démocratie : celui de manifester publiquement, collectivement et pacifiquement son opinion.

Cette loi de circonstance porte un lourd risque d’arbitraire des gouvernements d’aujourd’hui comme de demain, nous en demandons l’abrogation. C’est pourquoi nous appelons à manifester partout en France le samedi 13 avril 2019.

Une conférence de presse se tiendra au siège de la Ligue des droits de l’Homme (138 rue Marcadet 75018 Paris) le jeudi 11 avril à 11h.

Paris, le 8 avril 2019

Signataires : Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (Acat) ; Amnesty international France ; Association des Tunisiens en France (ATF) ; Association européenne pour la défense des droits de l’Homme (AEDH) ; Agir ensemble pour les droits de l’Homme ; Association France Palestine solidarité (AFPS) ; Attac ; Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT) ; Confédération générale du travail (CGT) ; Confédération nationale du logement (CNL) ; Droit solidarité ; Emmaüs France ; EuroMed Droits ; Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE) ; Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR) ; Fédération française des motards en colère (FFMC) ; Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL) ; Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH) ; Fédération nationale de la Libre pensée ; Fédération nationale des Francas ; Fédération syndicale unitaire (FSU) ; Femmes Egalité ; France Nature Environnement (FNE) ; Gilets jaunes de Commercy ; Greenpeace ; La Cimade ; La Quadrature du Net (LQDN) ; Le Planning familial ; Les Amis de la Terre France ; Les Effronté-e-s ; Ligue de l’enseignement ; Ligue des droits de l’Homme (LDH) ; Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap) ; Mouvement national lycéen (MNL) ; Mouvement pour une alternative non-violente Ile-de-France (MAN) ; Oxfam France ; Pas sans nous ! ; Réseau Euro-Maghrébin citoyenneté et culture (REMCC) ; SOS Racisme ; Syndicat de la magistrature (SM) ; Syndicat des avocats de France (SAF) ; Syndicat national des journalistes (SNJ) ; Syndicat national des personnels de l’éducation et du social (SNPES PJJ/FSU) ; Union juive française pour la paix (UJFP) ; Union nationale lycéenne (UNL) ;  Union des Tunisiens pour l’action citoyenne (UTAC).

Voir également le communiqué de la LdH du 4/04/19  » Un droit de manifester aux mains du pouvoir »

Rassemblement pour la Palestine – mercredi 3 avril à 17h angle Barillerie – 50 Otages.

Communiqué du Collectif des ONG pour la Palestine – le 01/04/19

La plate-forme 44 des ONG pour la Palestine dont est membre la LdH et d’autres organisations appellent à un rassemblement à Nantes ce mercredi 3 avril à 17h angle rue de la Barillerie – Cours des 50 Otages.

Rassemblement « PERSONNE A LA RUE » ce mercredi 3 avril 17 h.

Communiqué du collectif « Personne à la Rue » – Nantes le 01/04/19

Rappel pour notre rendez-vous mensuel :
Rassemblement « PERSONNE A LA RUE » avec collecte solidaire (destinée à l’Autre Cantine) devant la préfecture ce mercredi 3 avril de 17h à 19H
Le même soir une réunion se tient à la préfecture sans les associations présentes au gymnase, ni l’intersyndicale sur le sort des occupants du gymnase. Nous continuerons à demander une table ronde pour l’hébergement inconditionnel de tous.
Il faut que nous soyons très nombreux pour exprimer notre soutien aux personnes, familles, femmes, mineurs et hommes adultes tentant de survivre au gymnase.

Rassemblement du Collectif Ni Pauvre Ni Soumis – 28/03/19 – 16h30 Place Royale

Communiqué du collectif Ni pauves Ni soumis – le 27 mars 2019

A l’attention de toutes les associations de NI PAUVRE NI SOUMIS 44, du secteur du handicap et des Droits humainsLe mouvement Ni Pauvre Ni Soumis 44 appelle à une manifestation :

 » Ceci n’est pas une INFOX: les personnes en situation de handicap vivent toujours sous le seuil de pauvreté  »

        JEUDI 28 MARS 2019
Rassemblement de 16h30 à 18h30
Place Royale à Nantes 

Manifestation de Ni Pauvre Ni Soumis 44 à l’occasion des 11 ans du mouvement : les associations de NPNS 44 restent plus que jamais mobilisée sur les ressources des personnes en situation de handicap ou de maladie invalidante. Il est scandaleux que leur taux de chômage soit le double de celui du reste de la population et que  50 % d’entre elles soient sous le seuil de pauvreté.

En France, 2 millions de personnes en situation de handicap vivent sous le seuil de pauvreté.

En dépit de l’augmentation de l’allocation aux adultes handicapés (AAH), les mesures annoncées restent insuffisantes. Un grand nombre de bénéficiaires, notamment ceux vivant en couple, restent exclus de cette augmentation. En effet, il est plus que temps de supprimer la prise en compte des ressources du conjoint dans le calcul de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) pour permettre une réelle indépendance de chaque personne ! Parallèlement, les titulaires de pensions d’invalidité sont pénalisés par la revalorisation inférieure à l’inflation et les personnes les plus sévèrement handicapées voient la suppression de leur complément de ressources.

Les personnes en situation de handicap ne doivent pas faire les frais d’une politique injuste !
Comptant sur vous pour venir le 28 mars!

Ni Pauvre Ni Soumis 44

02 51 80 68 00 /  06 87 69 30 45

Rassemblement de soutien à Geneviève Legay mardi 26 mars – 18h -Préfecture Nantes

Communiqué du collectif ATTAC 44 dont la LdH est membre, Nantes le 25/03/19

Mardi 26 mars, 18h, devant la préfecture (monument des 50 otages), à Nantes, rassemblement de soutien à Geneviève Legay !

Geneviève Legay, porte-parole d’Attac 06, qui en défendant le droit de manifester, la démocratie, de manière non-violente, est à présent à l’hôpital car grièvement blessée par une charge policière, lors de l’acte 19 des Gilets Jaunes ce samedi 23 mars à Nice.

 Communiqué de presse national actualité de ce lundi :

 En plus de la plainte déposée par la famille de Geneviève Legay, Attac déposera plainte également ce lundi 25 mars à 14h pour « violence volontaire en réunion par personne dépositaire de l’autorité publique sur personne vulnérable ».

Geneviève Legay, 74 ans, porte-parole d’Attac 06 et militante infatigable pour la paix, a été grièvement blessée par une charge policière, lors de l’acte 19 des Gilets Jaunes ce samedi 23 mars à Nice. Selon son avocat, elle était dimanche matin dans un état stable. 

Samedi vers 11h, les CRS ont procédé à une violente charge au cours de laquelle Geneviève est tombée au sol, sa tête heurtant un poteau métallique. De multiples images montrent Geneviève, gilet jaune sur le dos et drapeau arc-en-ciel « Pace » dans les mains, avec une attitude totalement non violente, scander « Liberté de manifester » peu avant la charge policière.

 Alors que les précédentes mobilisations des Gilets Jaunes à Nice n’avaient pas entraîné de dégradations, Christian Estrosi, maire de la ville, avait demandé et obtenu une interdiction de manifester dans une grande partie de la ville.

 L’interdiction par le préfet des manifestations et rassemblements dans une grande partie de Nice est illégitime et ne peut justifier d’utiliser la force contre des citoyenˑneˑs qui se rassemblent pacifiquement pour exprimer leurs opinions.

 Attac France condamne la répression des rassemblements pacifiques qui ont eu lieu ce samedi et s’indigne de la grave restriction des libertés publiques actuellement en cours en France. Ce n’est pas par la répression et les violences policières qu’Emmanuel Macron répondra à la légitime demande de justice sociale qui s’exprime partout dans le pays.

 Attac France exige que toute la lumière soit faite et que les responsabilités de ces actes de violence à l’encontre de Geneviève Legay soient clairement établies.

 Attac France apporte tout son soutien à Geneviève et à ses proches.

Appel à mobilisation pour : l’arrêt des expulsions, des coupures d’énergie, un logement décent pour tou.te.s, non au logement cher !, plus personne à la rue !

Cmmuniqué commun à plusieurs organisations nantaises – Nantes le 25 Mars 2019.

 

Appel à mobilisation pour : l’arrêt des expulsions, des coupures d’énergie, un logement décent pour tou.te.s, non au logement cher !, plus personne à la rue !

 

Comme chaque année, le 1er Avril sonne la fin de la trêve hivernale. Des dizaines de milliers de familles, de locataires, vont craindre chaque matin la visite de l’huissier, de la police, et d’être jeté à la rue. L’expulsion de son habitat, est une violence sociale faite aux personnes qui la subissent. C’est une pratique indigne et inacceptable dans une société porteuse de valeurs humanistes et solidaires.


En Loire Atlantique, sur la période 2007-2017, ce sont, en valeurs cumulées, 15 934 ménages assignés au tribunal, conduisant à 8 964 commandement à quitter les lieux (chiffres préfecture).

La prévention des expulsions ne fonctionne pas, ou très mal, car les chiffres des  ménages assignés et expulsés, sont en hausse constante. Les sans abris et mal logés sont de plus en plus nombreux (les chiffres du DALO, 115,
SIAO le prouvent), et la fermeture des hébergements hivernaux laissera plus de personnes à la rue.


En 1966, les ménages consacraient en moyenne 12,1% de leurs revenus pour se loger, en 2016, 22,6%. Pour le quart le moins riche de la population, le logement représente en moyenne 31,3% de leurs revenus, et 40,7% lorsqu’ils sont logés dans le privé. 1 210 000 personnes locataires se retrouvent en situation d’impayés de loyers ou de charges en 2018.

La hausse constante des loyers et des abonnements pour l’énergie met les ménages les plus modestes en difficulté financière.

La métropole nantaise, classée maintenant en « zone tendue» pour le logement abordable, n’échappe pas à ces problématiques. Attirant de plus en plus de nouveaux habitants, le prix du logement est en forte hausse (par un déficit croissant de l’offre), chassant les plus modestes toujours un peu plus loin des centres urbains.

 

Cette situation est le résultat de politiques publiques qui ont privilégié la marchandisation du logement, le renchérissement des prix immobilier, le soutien à l’investissement immobilier privé, des politiques d’urbanisme centrées sur la gentrification et la valorisation immobilière.

De plus le gouvernement met en péril le logement social en réduisant les APL, en instaurant la RLS, en imposant la vente des HLM, en supprimant les aides à la pierre, en dénaturant le Livret A, en ouvrant son financement aux marchés. La Loi ELAN marque une nouvelle étape de la marchandisation du logement social. La construction, l’isolation thermique et l’entretien des HLM sont en baisse.

 

Ainsi, l’État, pourtant garant du droit au logement, viole les droits des mal logés, des sans-logis, et les lois les protégeant : Loi DALO, droit à l’hébergement sans distinctions, réquisition des logements vacants, relogement des habitants de logements insalubres ou en surpeuplement, prévention des expulsions, loi Égalité Citoyenneté, …


C’est pourquoi, nous appelons à un rassemblement unitaire le 30 Mars à Nantes (Square Daviais) à partir de 11h00, avec pique nique solidaire, pour exiger ensemble :

  • L’arrêt des expulsions sans relogement, et en demandant aux maires de prendre des arrêtés « antiexpulsions » ;
  • L’encadrement des loyers à la baisse, la baisse des charges, une hausse des APL, afin que le budget logement des ménages ne dépasse pas 20% de leurs revenus. C’est un gain de pouvoir d’achat !
  • L’arrêt des coupures d’énergie, et la baisse de la TVA, des taxes sur l’énergie
  • Le renforcement des aides à la pierre pour la construction massive de logements très sociaux ;
  • Le renforcement du droit au maintien dans les lieux des locataires, le respect strict de la loi DALO ;
  • L’abrogation de la loi ELAN qui menace, entre autres, le droit des locataires ;
  • La création d’un service public du logement qui permettra le logement de qualité, bon marché, et qui devra mettre fin aux dérives du secteur privé par un encadrement strict des locations. L’habitat doit être d’usage et non pas spéculatif !
  • Le relogement des sans-abris et mal logés par la réquisition de logements vacants (2,9 Millions selon Insee), et le maintien des hébergements d’hiver (qui ferment en fin trêve) ;
  • La Taxation des profits spéculatifs immobiliers et fonciers ;
  • La résorption des bidonvilles et habitats indignes .

Signataires : DAL44, inter-collectifs « personne à la rue », Union-Solidaires44, Unef44, Attac44, IndecosaCGT44, AFOC44, UDCGT44, F.Insoumise44, PCF44, LDH, G.BERNARD-C.MunicipalCOUËRON, Maison Accueil de Jour REZÉ, Collectif Sans Papiers Nantes (CSPN), CSF44, Collectif soutien migrants (CASE44), Bienveilleurs44, l’Autre Cantine, Carillon44, … liste en cours……

 

Voir également le communiqué commun du 22/03/19

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