Tissé Métisse – samedi 30 novembre – 18H : Spectacle « Quand l’espoir s’en mêle » +19H : L’extrême droite dans nos territoires. Comment fait-on ? – Cité des Congrès – Nantes

La LDH section de Nantes et du pays nantais invite à participer au Festival Tissé Métisse 2024 ce samedi 30 décembre – 15H à 1H – Cité des Congrès – Nantes.

Le billet d’entrée est unique et donne accès à l’ensemble du festival ! Prévente : 19€ – Sur place : 22€ – Étudiants & Jeunes (6 à 15 ans) : 10 € – Tarif réduit : 8 € Minimas sociaux, demandeurs d’emploi, bénéficiaires de l’AAH et ayant droit

15 spectacles, débats, courts métrages, expositions, animations, partages, échanges, tables rondes, courts métrages, lectures, programmation famille-enfance, … Programme et achat du billet : www.tisse-metisse.org

La LDH souligne deux moments en particulier :

18H – salle 450 : Spectacle « Quand l’espoir s’en mêle »

Créé et joué par des militantes et militants de la LDH, professionnelles et professionnels, amatrices et amateurs. Mis en scène par Claudine Merceron avec le « Théâtre d’ici ou d’ailleurs ». Création lumière : Jean-Marc Pinault

« Un espoir qui déjoue, dans les rires et les pleurs, les menaces qui pèsent contre les droits humains, le vivre ensemble, le vivant…

Un espoir qui aide à lutter, à résister, à désobéir… L’humour est son allié, le débat son arme, l’égalité son horizon.

La LDH se mêle de tout, de l’accueil des migrants, des retraites, du climat, du maintien de l’ordre, des violences sexistes… partout, au marché, à la cantine, en manif !

Quand l’espoir s’en mêle, il n’y a plus qu’à réfléchir, débattre, agir en commun pour démêler les fils de la complexité de notre monde. »

Venez nombreuses et nombreux.

ATTENTION : l’accès aux salles est limité en nombre de places.
Il vous faut retirer une CONTREMARQUE gratuite distribuée sur la mezzanine pour la salle 450 et en Grande Halle pour la salle 800, 30mn avant chaque spectacle.

http://www.tisse-metisse.org/?titre=quotquand-l-espoir-s-en-melequot-par-la-cie-du-theatre-d-ici-ou-d-ailleurs&mode=programmation&id=2159

19H – salle 200 : L’extrême droite dans nos territoires. Comment fait-on ?

La Fête Tissé Métisse est née de son opposition et de ses inquiétudes face à la montée de l’extrême droite au début des années 90.

Suite aux résultats des élections européennes du mois de juin 2024 (puis des législatives), Tissé Métisse a organisé un temps d’expression libre autour de ces résultats qui auront confirmé l’ancrage de l’extrême droite dans le paysage politique avec près de 11 millions de votes en leur faveur. Quelle perception avons-nous de ce vote ? Que signifie-t-il ? Comment combattre les idées trompeuses et violentes de l’extrême droite ?

Tissé Métisse souhaite porter essentiellement l’analyse au local sur la réalité du RN en Loire-Atlantique et sur la métropole nantaise. Leur cible et leur méthode ? Le risque localement du basculement du vote de gauche vers le vote RN ?

Animé par Pierre-Yves Bulteau, journaliste Avec : Bassem Asseh, représentant de la fondation Jean Jaurès, Amal Labadi, présidente adjointe de Tissé Métisse, Kévin Semiramoth, bénévole et membre du bureau de l’association LGBTQIA+ Nosig, Maxim Hupel, ancien agriculteur, militant en milieu rural et collaborateur du député Jean-Claude Raux (6ème circonscription de Loire-Atlantique)

http://www.tisse-metisse.org/?titre=lextreme-droite-dans-nos-territoires-comment-fait-on-&mode=programmation&id=2180

Aujourd’hui, nous, tous ensemble, fêtons la solidarité !

Allocution de Annie Richard, présidente de la section de Nantes et du pays nantais, au nom de l’ensemble des associations et collectifs partenaires, lors de la fête de la Solidarité de 2015, à 20h30 sur la grande scène.

Aujourd’hui, nous, tous ensemble, fêtons la solidarité ! Nous la portons haut, nous la chantons, nous la mettons en parole et en actes, ici même !

La solidarité parle de ce qui nous lie, nous relie, de ce fameux lien social qui est autant communauté de destin que communauté d’intérêt, du partage, de la coopération, elle est porteuse d’enthousiasme, d’avenir…

Elle s’exprime :

  • de façon Individuelle, lorsque nous allons vers les autres, proches ou lointains, et collective, lorsque c’est ensemble que nous construisons quelque chose, que nous réalisons une action
  • de façon sensible, lorsque nous partageons émotions, idées et matérielle lorsque nous mettons nos moyens en commun, notamment dans le cadre de l’économie sociale et solidaire
  • de façon humanitaire, lorsque nous aidons ceux qui ne sont pas en situation de résoudre leurs problèmes par eux-mêmes et politique lorsque nous interpellons les élus et gouvernants et inventons d’autres manières que la représentation pour faire vivre la démocratie
  • dans la proximité, le local et même le micro-local lorsque nous agissons sur et dans notre environnement immédiat et dans le lointain au travers de la solidarité internationale

La solidarité est la traduction concrète de la fraternité, indissociable de la liberté et de l’égalité que nous voulons…

Cette solidarité, elle est aujourd’hui mise à mal et nous nous engageons tous pour la mettre en actes face :

  • aux inégalités croissantes, dans le monde (1% de la population détient 50% des richesses) et aussi ici, en France, (alors que jamais le PIB, qui mesure théoriquement notre richesse, n’a été aussi élevé) qui détruisent notre vivre ensemble. Comment accepter que le nombre de pauvres ne cesse d’augmenter ?
  • aux injustices qui se traduisent par deux poids, deux mesures entre ceux qui détournent les fonds publics, mettent leurs profits dans les paradis fiscaux et ceux qui volent pour survivre ou qui se révoltent quand on les licencie…
  • aux pollutions dont les effets sur la vie de ceux qui les subissent sont dramatiques, à commencer par les émissions de CO2 qu’engendrent les énergies fossiles responsables d’un réchauffement climatique porteur d’inégalités…
  • aux violences d’État comme celles qui ont causé la mort de Remi Fraisse, écologiste non violent tué par une arme de guerre, dont c’est aujourd’hui la veille de l’anniversaire de la mort…
  • aux discriminations dont sont victimes ceux qui sont rejetés pour la couleur de leur peau, leurs origines, leur mode de vie, leur handicap, leur orientation sexuelle….
  • aux rejets de l’autre, de l’étranger, à la xénophobie, aux haines ressassées qui se répandent actuellement comme la peste
  • aux atteintes à la liberté d’expression, qu’elles viennent des intégristes ou des groupes financiers, et aux attentas qui visent à éliminer ceux qui la défendent…
  • aux atteintes aux droits à la santé, au logement, au travail, à l’ensemble des droits sociaux qui sont inscrits dans les droits de l’Homme…

Alors, construire un évènement tel que cette fête en incarnant sur scène la solidarité , en la faisant vivre au travers des rencontres et des échanges, c’est, pour nous :

  • lutter contre la morosité, le découragement face à la montée des idées d’extrême droite et la faiblesse des réponses apportées par nos dirigeants à la dégradation de la situation sociale
  • se nourrir du spectacle vivant comme expression culturelle porteuse de partage et créatrice de liens entre des personnes, individus, familles au-delà de leurs appartenances, de leurs croyances
  • nous retrouver dans un cadre ouvert, non contraint par les formes habituelles du militantisme pour échanger librement avec vous tous
  • prolonger l’élan citoyen qui a présidé aux manifestations de janvier pour la défense de la liberté d’expression

Nous sommes nombreux à nous être engagés dans cette aventure, des militants, des bénévoles, des artistes, des techniciens qui partageons l’envie d’être ensemble

Plus de 30 associations œuvrant dans des domaines aussi différents que la défense de l’environnement, la solidarité internationale, l’aide aux migrants, l’économie sociale et solidaire, le droit au logement, l’aide aux sortants de prisons, le droit à la santé, la citoyenneté des gens du voyage….

Ces associations travaillent ensemble dans de nombreux collectifs comme Romeurope, Unis contre une Immigration Jetable, Climat 44… ou associations comme la Maison des Citoyens du Monde…

Ces associations et collectifs locaux ont été réunis pour cette occasion à l’initiative la LDH qui a pris en charge l’organisation de cet évènement

Merci aux collectivités dont nous avons obtenu une subvention pour cet évènement, les villes de Nantes et de La Montagne, le Département de Loire Atlantique et la Région Pays de la Loire ainsi qu’à la MACIF,
Merci aux Machines de l’Ile qui nous accueillent sous les Nefs, à Atlanbois , au réseau Eco évènement..,
Merci à tous les artistes et techniciens qui ont accepté de participer au tarif patronal, dit syndical,
Merci à vous tous qui êtes là pour fêter la solidarité !

La programmation du 24 octobre 2015

Grande scène

Petite scène

Hors scène, déambulation

16h

Legrandmachinchose

Feu non bulle

Hip hop N°5

16h30

Babel Canto

17h30

Hamon Martin quintet

18h15

Introduction à la Fête

18h20

Chœur des droits de l’Homme

18h45

Squats en scène

Débats

19h45

La Belle Vie

20h30

Présentation de la Fête

20h45

Les voix de garage

21h15

Karimouche

23h15

Leïla Bounous

  • Le Hamon-Martin Quintet
  • Depuis 1998 et un album fleurant bon La violette, le tandem Hamon – Martin a largement eu le temps et le talent de transformer le gallo d’essai. En duo ou en quintet, les Redonnais continuent de fredonner leurs joyeuses et dansantes ritournelles. Idéal pour se dérider.

    Ridée, laridé, anter-dro, rond, polka… Les profanes penseront peut-être au contenu de la hotte d’un boulanger. Il y a un peu de cela, tant le Hamon Martin quintet a pris depuis dix ans le bon pli de multiplier les plinns par monts et par vaux bretons. Un groupe à danser, donc, composé de cinq zigs toujours partant pour une jig. À l’origine, un accordéon diablement tonique (Janick Martin) et une anche gardienne (Erwann Hamon à la bombarde et aux flûtes) s’unissent en 1998 pour faire danser les auditoires de concert et de fest-noz. Rejoints par Mathieu Hamon au chant gallo, Ronan Pellen au cistre et Erwan Volant à la basse, ils enchaînent en quintet les reprises d’airs traditionnels et les compositions originales, avec toujours une dansante redondance : leur répertoire est peuplé de belles demoiselles. >>> Déridons nous ! Une poésie volontiers surréaliste et des arrangements luxuriants nous font voir et entendre monts et merveilles Sous le tilleul (2009) en duo, ou encore vêtus de L’habit de plume (2004) en quintet. Quelque soit la formule, les Redonnais continuent, et continueront longtemps, de fredonner leurs joyeuses et dansantes ritournelles. Au point que l’on accourt aujourd’hui les yeux fermés et les oreilles grandes ouvertes pour danser sur les rimes gallo, et les rythmes menés à un trot d’enfer par le Hamon. « Le Hamon Martin Quintet est un groupe de musiques traditionnelles bretonnes. À l’origine un duo formé par Janick Martin à l’accordéon diatonique et Erwan Hamon aux bombardes et aux flûtes, tous deux originaires du pays de Redon. »

    • La Belle Vie Quintet

    La belle vie Quintet présente un répertoire original s’inspirant de mélodies populaires françaises , de rythmes impairs d’Europe de l’est, de transes sud-américaines, d’harmonies jazz, propice à la création d’une musique libre et aérée. Libre car d’importants espaces sont ouverts aux improvisations personnelles et collectives. En savoir plus…

    • Karimouche

    « Depuis l’enfance ses proches l’appelle Karimouche alors pourquoi changer se dit-elle, un nom de scène qui lui va à merveille après tout. Karimouche une gouaille mi-banlieue, mi-audiard un peu à la façon d’un Soklak. Des sentiments qui n’ont pas froid aux yeux qui n’hésitent pas à bousculer les mollesses du quotidien, une autodérision délirante… » En savoir plus…

    • Leila Bounous

    L’ex-chanteuse du groupe Orange Blossom […] présente aujourd’hui un univers magique unique et profond, teinté d’electro-rock-oriental.

    Elle puise son inspiration dans le mélange des genres, sans frontières ni codes, dans le métissage dont elle est le fruit et chante sa poésie en dialecte algérois. Sa voix, envoûtante, profonde et cristalline, parfois inquiétante et féérique, invite au rêve et nous fait voyager dans mille lieux insoupçonnés. De la bienveillance à la tourmente, sa musique a une portée universelle tant elle est sincère et touchante. Avec une grande générosité et une belle simplicité, Leïla et ses musiciens complices touchent là où on ne s’y attend pas et nous renvoient à une humanité profonde, celle de la vie même. La magie opère et la chanteuse se dévoile, entre révolte et mélancolie. En savoir plus…

    • Collectif 1.5

    1.5 est un collectif dirigé par 5 danseurs nantais. Issus de différents univers artistiques, nous nous sommes trouvés et avons évolués ensemble dans la danse et en particulier la danse Hip Hop. Notre association a pour but de promouvoir l’art en général et la danse plus particulièrement en les rendant accessible au plus grand nombre. Spécialisés en danse hip-hop, nos projets se construisent majoritairement autour de thématiques liées à cette pratique et à son berceau culturel. Curieux et ouverts à d’autres formes d’expressions artistiques, nous collaborons avec de nombreux artistes, structures et associations à Nantes et à travers le monde. En savoir plus…

    • Babel Canto

    Mené par le chef de chœur Bernard Quemener, le groupe vocal Babel Canto est né il y a quinze ans, pour répondre aux souhaits de chanteurs amateurs de travailler leurs voix avec des conditions quasi professionnelles. Aujourd’hui, ils sont douze à répéter chaque semaine au Pôle Musical: trois sopranos femme, trois altis femme, trois ténors homme et trois basses homme. […] Babel Canto invite au voyage à travers ses polyphonies vagabondes d’hier et d’aujourd’hui, d’ici et d’ailleurs, de ballades en rocks, de chants traditionnels aux chansons d’auteurs… – Les chants traditionnels viennent du Japon, d’Estonie, de Géorgie, de Russie, d’Amérique Latine, du Vénézuela, d’Argentine, du Chili, de Chine…; les chants régionaux sont corses et basques; les chansons d’auteurs reprennent Les Marquises de Jacques Brel, Syracuse d’Henri Salvador, Réveille de Zachary Richard, et Dey (deuil) de la chanteuse haïtienne Toto Bissainthe… (in La Chapelle sur Erdre, Le Magazine, N° 111 – Déc 2016 – Janv 2015, pp 14-15) En savoir plus…

    • Le GrandMACHINChose

    Le GrandMACHINChose, un nom presque « débile » sinon pas sérieux, pour essayer de qualifier plus ou moins clairement : une fanfare, un orchestre de rue, une banda, un ensemble de cuivres et de sax, une bande de potes, tout simplement une grande récréation musicale.

    Le GrandMACHINChose c’est une vingtaine de « musiSHOWziens » qui fanfaronnent au coin de la rue, au bistrot du coin, à la fête du village (et si possible devant des huîtres et du muscadet !). Si la musique est au GrandMACHINChose, la presse a su communiquer et expliquer le phénomène : « Une vingtaine de fanfarons réunis dans un machin rose à géométrie variable et aux tonalités changeantes. Ska, rock, funk : tout y passe. A l’affût de la rencontre avec le public, le bonbon se laisse partager. Une vraie machine à plaisir ! » Un autre compliment : « Le GrandMACHINChose : Peinture vivante et Improvisation chorégraphiée. Imprévus et étonnants, leurs spectacles nous plongent dans des univers poétiques et ludiques. Ce sont des créateurs d‘ambiance. A la lecture de la presse, nous nous sommes amusés à imaginer nos propres articles. En voici un extrait : Glouglou cuivré d’un ovni dans le monde déluré des fanfares, le GrandMachinChose vous offre ses couleurs de fête sur des rythmes endiablés. Avec ses cuivres chauffés à blanc et ses tambours battants, le GrandMachinChose est à la musique ce que le beurre est aux pâtes, le citron au ti-punch et les cacahouètes à l’apéro. Sur scène, les musiciens loufoques explorent des planètes musicales aussi diverses que variées et vous font partager les senteurs enivrantes de la salsa, du ska, du rock, du funk… Bref tout ce qui a de l’arôme musical. ATTENTION !! De l’avis des plus grands experts scientifiques, l’abus du GrandMachinChose provoque un état d’hilarité généralisé suivi de pulsations incontrôlées et de démangeaisons frénétiques. A consommer sans modération… Bref, c’est que du bonheur !! En savoir plus…

    • Feu Non Bulle

    « La compagnie Feu Non Bulle propose son univers poétique explorant les possibles de l’Eau et du Feu, en salle comme dans la rue. Elle se veut plateforme de jeu avec ces éléments plein d’émotions, de magie inhérente et irrésistible, de force et de fragilité à la fois. » En savoir plus…

    Tous, le 24 octobre, sous les Nefs à la Fête de la solidarité

    Oui, elle est là et bien là, nous en faisons le pari… cette solidarité parfois cachée derrière le consumérisme, les préjugés, l’intolérance, et il suffit souvent de presque rien pour la réveiller… Nous croyons à l’énergie collective, à la liberté d’expression, nous savons qu’il n’y a pas de droits individuels sans droits collectifs, et nous souhaitons réaffirmer les liens entre les peuples et la nécessité de donner à chacune et chacun un toit, un emploi, des papiers, un avenir solidaire. Solidarité, tu nous tiens ! Tu nous lies, nous relies.

    Face à la montée des idées d’intolérance et de rejet de l’autre, nous avons choisi d’organiser un événement culturel  et festif qui permette de faire partager nos valeurs  à un public large et diversifié et de prolonger l’élan citoyen qui a présidé aux manifestations des 10 et 11 janvier. Ce projet associe à  sa réalisation de nombreuses organisations œuvrant dans des domaines très divers (éducation populaire, économie sociale et solidaire,  lutte contre le racisme et les discriminations,  écologie, solidarité internationale…).

    Cette fête s’appuie sur le spectacle vivant, la musique, la chanson, les paroles, qui sont partage de plaisir, d’émotions, d’idées. Il a pour ambition de contribuer à semer des graines d’utopie et à créer le désir d’un avenir solidaire.

    Des artistes venus d’horizons divers  permettront d’attirer des publics variés :

    • Musique bretonne avec le quintet Hamon-Martin
    • Jazz avec La Belle Vie
    • Chanson française avec Karimouche
    • Electrorock avec Leila Bounous
    • Hip Hop avec Collectif 1.5
    • Chansons en chœur avec Les voix de garage et Babel Canto
    • Fanfare avec Le grand machin chose
    • Spectacle mouvant avec Feu non bulle

    Retrouvez toute la programmation sur cette page dédiée

    Deux créations originales, un chœur des droits de l’Homme et un spectacle monté avec un groupe de migrants permettront d’affirmer, de façon festive, les valeurs que nous portons.

    Des espaces de partage, conçus et animés en commun par l’ensemble des associations partenaires de cette fête pour sensibiliser, échanger, débattre autour de 3 à 5 thèmes. Quelques pistes ont été lancées : accès au droits, lutte contre les discriminations de toutes sortes, lutte contre le racisme et la xénophobie, accueil des migrants, préservation de l’environnement, économie solidaire… La conception de ces espaces est en cours

    Le public pourra se promener, s’arrêter, discuter… Un ou plusieurs espaces de convivialité, et de restauration (cuisine du monde réalisée par des associations locales) permettront de prolonger les rencontres, le brassage d’idées.

    Un partenariat avec les collectivités locales et les organismes publics permet d’affirmer notre volonté de promouvoir une citoyenneté active.

    L’événement se déroulera de 16 h à minuit le 24 octobre 2015, sous les Nefs, sur l’île de Nantes (lieu ouvert à tous, facilement accessible, central, déjà adopté par la population de Nantes et de sa région) et sera gratuit.
    Pour que la fête soit réussie, il faut que nous nous mobilisions rapidement, alors, n’hésitez pas à nous contacter pour participer à sa préparation et sa réalisation.

    La solidarité, ça donne envie de faire la fête !

    Les associations partenaires :

    – Afrique Loire, Amnesty International, Amis de la Terre, Artisans du Monde, Association départementale des Francas de Loire-Atlantique, Association Départementale des Gens du Voyage Citoyens (Adgvc), Association de la Fondation Etudiante pour la Ville (Afev), Association France Palestine Solidarité (Afps), Association Nationale des Visiteurs de Prisons (Anvp), Association des Paralysés de France (Apf), Association Sol’Rom, Attac 44, Auxilia Territoire 44, Cercle Condorcet, Centres d’entraînement aux méthodes d’éducation active (Ceméa), Centre culturel Kurde de Nantes, Cimade, Collectif Enfants étrangers- Citoyens solidaires (RESF 44), Collectif Roosevelt, Confédération Syndicale des Familles (Csf), Fédération nationale des associations solidaires d’action avec les Tsiganes et les Gens du voyage (FNASAT), Groupement Etudiant National d’Enseignement aux Personnes Incarcérées (Genepi), Ligue Contre le Racisme et l’Antisémitisme (Licra), Ligue des droits de l’Homme (LdH), Ligue de l’enseignement-Fédération des Amicales Laïques (Fal44), Logis St Jean, Médecins du Monde, Mémoire de l’Outre-Mer, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (Mrap), PinG, Services Régionaux Itinérants, Terre de Liens, Tissé Métisse, Virage Energie Climat, …

    – Collectif Ni Pauvre – Ni Soumis, Collectif Climat 44, Collectif de soutien aux expulsés de la rue des Stocks, Collectif Romeurope agglomération nantaise, Maison des Citoyens du Monde, Plateforme des ONG pour la Palestine, …

    Ont donné une subvention :

    Ville de Nantes, Ville de La Montagne, Département de Loire Atlantique, Région des Pays de la Loire
    – MACIF Centre-Ouest Atlantique

    Nouvelle pollution sur les plages du littoral

    Communiqué de l’association « Les amis des collectifs marée noire », à laquelle la section de Nantes et du pays nantais de la Ligue des droits de l’Homme est adhérente. Nantes, le 12 février 2014.

    Au lendemain d’importantes arrivées de boulettes de pétrole sur les plages du littoral entraînant un préjudice environnemental certain, l’association « les Amis des collectifs marée noire » s’étonne du type de moyens déployés pour remédier à cette pollution.

    S’il n’y a pas eu déclenchement du plan Polmar qui semble inadapté à ce type de pollution, peut-être conviendrait-il de mettre en place un plan « infra-Polmar » comme en Bretagne. Un tel plan devrait accorder des moyens plus importants de la part des services de l’Etat et permettre de mieux protéger le littoral. Le nettoyage du littoral ne doit pas être une charge financière pour les communes. Pour l’instant, les communes font appel soit au personnel communal, soit à des entreprises privées, soit enfin à des bénévoles… l’expérience tirée de l’Erika devrait nous obliger à la plus grande prudence à ce sujet !

    Aujourd’hui certaines communes ont déposé plainte ; on sait par expérience que c’est une démarche importante et nécessaire pour qu’une enquête judiciaire soit ouverte.

    Par ailleurs, la nature du produit ainsi que d’éventuels responsables restent à ce jour inconnus. L’association « les Amis des collectifs marée noire » exige que la vérité soit recherchée et que dans l’hypothèse d’une responsabilité, les personnes physiques et morales soient poursuivies et la justice rendue.