Pas de centre de rétention administrative en Loire-Atlantique ou ailleurs : Rassemblement 18 février

Dans le cadre d’un appel national « Uni.e.s contre l’immigration jetable. Pour une politique migratoire d’accueil » (ci-joint et repris ci-dessous avec les signataires locaux), un rassemblement est organisé à Nantes ce samedi 18 décembre pour dénoncer les Centres de Rétention Administrative (CRA) et les Locaux de Rétention Administrative et tous les lieux de rétention administrative.

RASSEMBLEMENT

samedi 18 février, 17h, place du Bouffay – Nantes

Pas de centre de rétention administrative

en Loire-Atlantique ou ailleurs

Signataires : à la criée, association Idéelles, Attac, Cimade, Collectif Isonomia, Collectif Soutien exilés, Collectif Romeurope, Confédération Nationale du Travail, Droit au Logement, Égide Solidarités, Fédération Syndicale Unitaire, Gasprom-asti, Les Bienveilleurs, Ligue des droits de l’Homme, Maison du Peuple, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples, Réseau Éducation Sans Frontières, Safe Migrants, Syndicat des Avocats de France, Union syndicale Solidaires…

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« Uni.e.s contre l’immigration jetable. Pour une politique migratoire d’accueil »

Nous refusons le nouveau projet de loi asile et immigration. Non à la loi Darmanin !

Le nouveau projet de loi Asile & Immigration du gouvernement conduit à une négation radicale des droits fondamentaux des migrant-es. Il a pour objectif de graver dans le marbre et de radicaliser les pratiques préfectorales arbitraires et répressives : systématisation des OQTF et des IRTF, dans la suite des instructions déjà prises pour augmenter les assignations à résidence et le nombre de Centres et Locaux de Rétention Administrative.

Le projet s’inscrit délibérément dans une vision utilitariste et répressive dont témoignent l’obsession des expulsions et l’inscription des sans-papiers au fichier des personnes recherchées. Les migrant-es sont déshumanisé-es et considéré-es uniquement comme de la main d’œuvre potentielle, qui n’a droit qu’à des propositions de régularisations précaires, limitées aux métiers dits “en tension”. Alors que la dématérialisation prive de l’accès au séjour de nombreux étranger-es, le droit du séjour et le droit d’asile vont être encore plus restreints. Le projet prévoit des moyens pour empêcher d’accéder ou de rester sur le territoire, au lieu de les utiliser pour accueillir dignement celles et ceux qui fuient la guerre, les persécutions, la misère ou les conséquences du dérèglement climatique… Les droits protégés par les conventions internationales sont de plus en plus bafoués (asile, droit de vivre en famille, accueil des femmes et des personnes LGBTIA+ victimes de violences…) y compris ceux des enfants (enfermement, non-respect de la présomption de minorité, séparation des parents…). Les droits des étranger-es sont de plus en plus précarisés.

L’attaque s’inscrit dans l’agenda global du gouvernement : chômage, retraites, logement, santé…

En 2006 déjà, nous étions uni-es contre l’immigration jetable, nous appelons donc à nous mobiliser contre cette réforme qui, si elle était adoptée, accentuerait encore le fait que les étranger-es en France sont considéré-es comme une population de seconde zone, privée de droits, précarisée et livrée à l’arbitraire du patronat, de l’administration et du pouvoir. Il est de la responsabilité de nos organisations, associations, collectifs et syndicats de réagir. Nous appelons à la mobilisation la plus large possible sur tout le territoire :

* le 18 février : contre la répression, l’enfermement et les expulsions pour dénoncer les Centres de Rétention Administrative et les Locaux de Rétention Administrative et tous les lieux de rétention administrative.

* le 4 mars : mobilisations partout en France contre la loi Darmanin !

Nous appelons à la mobilisation :

RASSEMBLEMENT

samedi 18 février, 17h, place du Bouffay – Nantes

Pas de centre de rétention administrative

en Loire-Atlantique ou ailleurs

Le 4 mars : mobilisations partout en France contre la loi Darmanin !

Signataires : à la criée, association Idéelles, Attac, Cimade, Collectif Isonomia, Collectif Soutien exilés, Collectif Romeurope, Confédération Nationale du Travail, Droit au Logement, Égide Solidarités, Fédération Syndicale Unitaire, Gasprom-asti, Les Bienveilleurs, Ligue des droits de l’Homme, Maison du Peuple, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples, Réseau Éducation Sans Frontières, Safe Migrants, Syndicat des Avocats de France, Union syndicale Solidaires…

Manifestation Pas de centre de rétention administrative en Loire-Atlantique ou ailleurs dimanche 18 décembre

COMMUNIQUÉ

A l’occasion de la Journée internationale des migrant.e.s du 18 décembre, instituée en 2016 par les Nations Unies, un ensemble d’associations et syndicats appellent à une

MANIFESTATION

Pas de centre de rétention administrative

en Loire-Atlantique ou ailleurs

dimanche 18 décembre – 15h

Nantes Terrain Feydeau (arrêt Bouffay)

Nous ne voulons pas d’un Centre de Rétention Administrative,

ni en Loire-Atlantique ni ailleurs

Dans un communiqué du ministère de l’Intérieur du 4 octobre, Gérald Darmanin annonçait sa volonté de construire un centre de rétention administrative dans le département.

Qu’est-ce qu’un centre de rétention administrative (CRA) ?

Un CRA est un lieu de privation de liberté. Le placement en rétention est une décision administrative, prise par le Préfet, permettant d’enfermer une personne de nationalité étrangère sans titre de séjour dans l’attente de son éloignement forcé du territoire.

En réalité, c’est une prison qui ne dit pas son nom. On y enferme des hommes, des femmes et des enfants, le plus souvent en dehors de tout comportement pénalement répréhensible et sans lien avec une quelconque délinquance, mais seulement car « sans-papiers ». Il est important de rappeler que le fait d’être sans titre de séjour n’est pourtant pas une infraction depuis la loi du 31 décembre 2012.

Si vous croyez que la création d’un CRA aura un quelconque effet contre la délinquance ou la criminalité, vous vous trompez.

A neuf reprises déjà, la France a été condamnée par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) pour l’enfermement d’enfants dans les CRA, dont des nourrissons. De plus, les conditions d’enfermement sont largement décriées par tous et toutes : nourriture insuffisante, locaux vétustes et mal entretenus, impossibilité de mettre en place des mesures de distanciation lors de la pandémie.

En réalité, la création des CRA n’a qu’un objectif : faire croire qu’il existe un lien entre immigration, insécurité et délinquance.

Enfermer des personnes, dans des conditions indignes, seulement parce qu’elles sont « sans-papiers » est inacceptable. Ériger cela comme une réponse à un sentiment d’insécurité l’est tout autant.

Attac, à la criée, Cimade, Collectif Romeurope agglomération nantaise, CNT, Collectif soutien exilés 44, DAL, FSU, Gasprom, La Libre Pensée 44, Les Bienveilleurs 44, LdH, MdP, Mrap, RESF, Safe Migrants, SAF, Union syndicale Solidaires, (liste en cours…)

18 décembre : Journée internationale des migrants, pour l’égalité des droits

14.12.2022

18 décembre : Journée internationale des migrants, pour l’égalité des droits

Communiqué LDH

Personnes migrantes, exilées, demandeuses d’asile, étrangères, sans-papiers sont représentées à longueur d’année comme des problèmes, voire des délinquantes. Ce parti pris, sans aucun rapport avec la réalité, a permis en trente ans de voter vingt lois répressives. On les menace aujourd’hui d’une vingt troisième conçue pour précariser davantage leur situation, quel que soit leur statut, au mépris des droits les plus fondamentaux : les leurs, les nôtres.

Quel que soit notre pays d’origine, nous sommes de plus en plus nombreux à nous déplacer pour aller travailler, vivre ailleurs. Ces migrations, les cultures dont elles participent aujourd’hui comme hier, s’enrichissent les unes les autres. Cela fait partie de l’histoire de notre pays comme de celle de beaucoup d’autres.

Malheureusement, les discours racistes, les fantasmes tels celui du « grand remplacement », font aussi partie de l’histoire de l’humanité, ils en sont une des pires tares et l’une des plus mensongères.

Toutes les études scientifiques le montrent : les migrations ne sont non pas un coût mais une source de richesses lorsque les conditions d’accueil sont à la hauteur.

La place des personnes étrangères, y compris les plus précaires, parmi les « premiers de corvée » pendant la crise sanitaire a démontré, qu’en outre, elles occupent des emplois indispensables. C’est exactement ce que reconnait le gouvernement en reprenant l’idée de régulariser celles et ceux qui occupent des « métiers en tension ».

A l’occasion de la Journée internationale des migrants, le 18 décembre, la LDH (Ligue des droits de l’Homme) réaffirme les mesures prioritaires qui devraient figurer dans les projets gouvernementaux sans même qu’une énième loi sur l’asile et l’immigration soit le plus souvent nécessaire :

– ouverture de voies légales et sûres pour désarmer les trafiquants, faire en sorte que les routes maritimes et terrestres ne soient plus de grands cimetières ;

– régularisation de toutes celles et tous ceux qui vivent et travaillent dans nos territoires ;

– respect des droits les plus fondamentaux (mise à l’abri, santé, accès à l’eau et aux distributions de repas) et fin du harcèlement dont sont victimes les personnes exilées, notamment à Calais ;

– respect du droit d’asile et particulièrement fin des refoulements systématiques aux frontières françaises et des procédures accélérés contraires à la convention de Genève ;

– remise en cause du règlement de Dublin qui condamne des dizaines de milliers de personnes à l’errance en les forçant à demander l’asile dans le premier pays européen où elles ont posé les pieds ;

– respect de l’intérêt supérieur de l’enfant (refus de l’enfermement, non-séparation de leurs parents, droit au séjour des parents étrangers d’enfants français, accès à l’éducation…) ;

– présomption de minorité et mise sous protection pour toute personne mineure dont l’âge est remis en cause, au moins jusqu’à ce que leur âge soit établi via une juste évaluation ;

– arrêt des obligations de quitter le territoire français (OQTF) délivrées de façon de plus en plus systématique par les préfectures, notamment aux jeunes majeurs ;

– fin de la dématérialisation comme seul moyen d’accéder aux droits, notamment au séjour, dans le respect de la décision du Conseil d’Etat en ce domaine ;

– signature de la convention internationale par la France sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille qui est à l’origine de cette journée internationale.

Partout en France, le 18 décembre mobilisons-nous autour de ces propositions.

Marche d’une délégation des Oublié.e.s de l’État d’Urgence Sanitaire

Communiqué de l’inter-collectif « Personne à la Rue ! » dont la LdH est partie prenante, Nantes le 09/01/202

Il y a urgence !


Cela fait depuis trop longtemps que les habitant.e.s de « l’Orangeraie » vivent sans électricité et sans chauffage dans leur lieu de vie ! Là où la situation se dégrade de jour en jour, là où les nuits nantaises descendent dans les températures négatives, les pouvoirs publics doivent agir, et vite !

L’inter-collectif « Personne à la rue ! » organise mardi 12 janvier une Marche de soutien aux Oublié.e.s de l’État d’Urgence Sanitaire. Une délégation forte de plusieurs représentant.e.s de l’inter-collectif aura pour mission de porter haut les besoins élémentaires des laissé.e.s-pour-compte, à savoir de pouvoir dormir au chaud et en sécurité dans cet abri.

La Marche de cette délégation partira de « l’Orangeraie », au croisement entre rue Daubenton et rue Babonneau. Rendez-vous y est donné à 11h pour marcher vers la mairie puis vers la préfecture. Le cortège passera à la Maison du Peuple à 12h, où il sera possible de le rejoindre. Enfin, il sera aussi possible de rejoindre la Marche directement devant la mairie de Nantes à 12h30.

Diffusez cet appel autour de vous, rencontrez celles et ceux que l’État a placé dans ce bâtiment par son inaction, aidez l’inter-collectif à faire pression sur les institutions qui sont elles bien au chaud ! Rejoignez-nous !
Rendez-vous :

  • à 11h devant l’Orangeraie, au croisement des rue Daubenton et Babonneau
  • à 12h devant la Maison du Peuple, 2 rue du Chapeau Rouge
  • à 12h30 devant la mairie centrale de Nantes, 29 rue de Strasbourg
  • à 13h30 devant la préfecture, place du Port Communeau

Après l’état d’urgence sanitaire… l’urgence toujours pour les sans-abris et mal logés

Rassemblement suivi d’une déambulation le lundi 24 août à 14h15, aux Nefs (site de l’éléphant)

Face à la saturation inédite des dispositifs d’hébergement et à la reprise des expulsions, l’inter collectif nantais « Personne à la rue ! » alerte les autorités et la société civile sur la gravité de la situation afin que des réponses soient apportées immédiatement aux besoins.

Après la fin de l’état d’urgence le 10 juillet mettant fin à la trêve des expulsions dans un contexte de saturation des dispositifs d’hébergement, la situation des personnes à la rue et en habitat précaire sur la Métropole Nantaise est extrêmement préoccupante :

  • 110personnes : femmes isolées, femmes enceintes, femmes avec enfants et nourrissons, sontmises à l’abri par l’Autre Cantine dans la « Maison de familles » et à la Maison du Peuple ;
  • 20 Mineurs Non Accompagnés en recours sont soit à la rue, soit risquent de l’être, les squats et les hébergements solidaires étant déjà saturés.
  • 200 personnes sont réfugiées dans d’autres squats, tous menacés d’expulsion
  • Les locataires les plus fragiles ont de plus en plus de mal à payer leurs loyers, et une vague d’expulsions locatives se profile.
  • Plus que jamais le 115 est saturé et sur une logique de gestion de la pénurie :
    • Hébergement temporaire : A chaque fois une semaine au maximum assortie de période de remise à la rue.
    • Hébergement dans des hôtels de la périphérie ou dans des communes sans moyens de transport en commun et loin des différents services et lieux de démarches administratives.
    • Hébergement souvent sans possibilité de cuisiner et loin des lieux de ressource alimentaire.
    • Hébergement sans accompagnement suffisant
    • Tandis que les hommes isolés n’ont aucun espoir d’accéder à un hébergement.

Dans ce contexte, les solutions alternatives à la rue issues des mobilisations citoyennes sont saturées, qu’il s’agisse des hébergements solidaires ou des squats.

Depuis la fin de l’état d’urgence le 10 juillet, les expulsions ont repris sans que des solutions adaptées et pérennes soient mises en place : 2 bidonvilles expulsés par les forces de l’ordre, 4 bidonvilles qui ont « déménagé » sur pression de la police et 1 squat expulsé par suite d’une décision judiciaire, ce qui représente environ 550 personnes (dont de nombreux enfants en bas âge, des personnes malades) qui ont été ou sont encore en errance.

Les réseaux de solidarité, sur lesquels repose une trop grande partie de l’aide aux plus vulnérables, sont également fragilisés par la crise, les équipes sont réduites, les bénévoles et militants sont fatigués et les filets de sécurité qu’ils représentent atteignent leurs limites.

Alors que la crise sanitaire a mis en lumière les inégalités de santé et les enjeux de santé publique qui nous obligent à penser un « monde d’après » plus protecteur et solidaire,

Alors que le corona virus circule toujours et que la possibilité d’une deuxième vague, voire d’un re confinement n’est pas écartée

Les réponses des pouvoirs publics sont insuffisantes et parfois contradictoires, comme l’illustrent les expulsions passées et à venir.

L’inter collectif « Personne à la rue » dénonce l’écart entre les réponses apportées et la réalité de la situation

L’inter collectif « Personne à la rue ! » demande à la Préfecture, aux mairies, à la Métropole, au Conseil Départemental d’agir à la hauteur des enjeux et dans une temporalité qui corresponde à l’urgence de cette réalité :

  • Création de places d’hébergement adaptées aux besoins existants et aux situations des personnes
  • Moratoire des expulsions accompagné d’une amélioration des conditions sanitaires de ces lieux de vie
  • Identification des logements et bâtiments vides en vue de leur réquisition
  • Renforcement et adaptation des dispositifs d’accompagnement médico-psycho-sociaux
  • Renforcement de l’aide alimentaire et des services de réponse aux besoins fondamentaux

L’inter collectif « Personne à la rue ! » demande à être reçu par le nouveau Préfet dans le cadre de sa prise de fonction aux fins d’exposer plus précisément la situation à Nantes et dans l’agglomération, ainsi que nos propositions d’actions à mettre en œuvre afin de pouvoir assurer la mise à l’abri des personnes et tracer des perspectives humaines acceptables.

Prochain Cercle de silence se réunira PLACE ROYALE le mardi 25 février 2020 de 18h30 à 19h30.

Communiqué du collectif « Cercle de SIlence », dont la LdH est partie prenante, Nantes le 18/02/2020

Le prochain cercle de silence se réunira

PLACE ROYALE
le mardi 25 février 2020 de 18h30 à 19h30.

« Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne » – art. 3 DUDH

Dans les cercles de silence, des  personnes se retrouvent en silence pour dénoncer la situation faite aux étrangers et plus particulièrement les violences dans les centres de rétention (CRA) et sensibiliser les passants à cette situation.

Rappel :
Pour que le cercle se tienne, la présence d’une dizaine de personnes est un minimum.
Aussi, si vous décidez de venir, nous vous proposons de vous inscrire au plus vite. Si 8 personnes au moins sont inscrites, le cercle est assuré de se tenir.
Le tableau d’inscription est là : https://lite.framacalc.org/cercle-de-silence-nantes
Le Cercle de silence de Nantes.

Notre page facebook : https://www.facebook.com/cercledesilence.nantes/
Notre blog : http://cercledesilencenantes.unblog.fr/

Prochain Cercle de Silence à Nantes – Place Royale le mardi 28 janvier 2020 de 18h30 à 19h30.

Communiqué du collectif Les Cercles de Silence, Nantes le 25/01/20

Le prochain  Cercle de Silence à Nantes se réunira

Place Royale  mardi 28 janvier de 18 h 30 à 19 h 30.

Dans les cercles de silence, des  personnes se retrouvent en silence pour dénoncer la situation faite aux étrangers et plus particulièrement les violences dans les centres de rétention (CRA) et sensibiliser les passants à cette situation.

« Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne » art. 3 DUDH

Vous pouvez participer, même un court instant, pour soutenir cette action de défense des libertés.

Prochain cercle de silence nantais Mardi 25/06/19 Place Royale 18h30 – 19h30

Communiqué de la section de Nantes et du pays nantais – Nantes le 23/06/19
La section LDH soutient le Cercle de Silence Place Royale mardi 25 juin de 18 h 30 à 19 h 30.

Dans les cercles de silence, des hommes et des femmes se retrouvent en silence pour dénoncer la situation faite aux étrangers et plus particulièrement les violences dans les centres de rétention (CRA) et sensibiliser les passants à cette situation.

La participation, même un court instant, est la bienvenue pour soutenir cette action de défense des libertés.

« Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne » art. 3 DUDH

Prochain Cercle de Silence – Mardi 30 Octobre – 18h30 – 19h30 Place Royale

Communiqué du Collectif Les Cercles de Silence le 25/10/18

Le prochain Cercle de Silence nantais en soutien aux migrants dits « sans-papiers »

aura lieu le mardi 30 octobre 2018 Place Royale de 18h30 à 19h30

Notre silence est un cri pour défendre le droit d’asile pour les personnes persécutées dans leur pays d‘origine.
Notre silence est un cri pour empêcher le glissement d’un Etat de droit vers un Etat de police.
Notre silence est un cri pour réveiller les consciences afin de favoriser un climat de fraternité, au lieu de la peur et de la suspicion à l’égard de l’étranger, de l’autre.
Notre silence est un cri pour faire entendre la douleur des familles séparées de force par la politique d’immigration actuelle.