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En 1898, des citoyens, révoltés par l’injustice dont était victime le Capitaine Dreyfus, décidaient de créer la Ligue française pour la défense des droits de l’Homme et du citoyen. Ils s’engageaient alors à porter aide et assistance « à toute personne dont la liberté serait menacée ou dont le droit serait violé ». Cet engagement est toujours le nôtre. C’est avec la même exigence d’une lutte contre « toutes les formes d’intolérance et d’arbitraire » que nous voulons construire le mouvement civique de demain

Nous sommes à votre écoute au 02.51.86.22.39. Laissez-nous un message, nous écoutons régulièrement notre répondeur. Vous pouvez également nous envoyer un courriel à nantes@ldh-france.org

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Communiqué de presse de la Plateforme 44 des ONG pour la Palestine

Le 16 octobre 2023

COMMUNIQUÉ

La Plateforme 44 des ONG pour la Palestine appelait à un rassemblement à Nantes le mercredi 11 octobre. La préfecture a interdit ce rassemblement, comme celui de Saint-Nazaire, vendredi.

La Plateforme dénonce avec vigueur cette interdiction de se rassembler. Elle dénonce cette atteinte à la liberté d’expression, y compris par drapeaux ou autres symboles. Le droit de manifester collectivement apparaît ainsi en régression et elle s’en inquiète. Elle conteste toutes les raisons invoquées pour cette interdiction et envisage des recours.

Dans le contexte tragique actuel, la Plateforme rappelle avec force et constance la nécessité de respecter le droit humanitaire international et ainsi mettre fin aux attaques à l’encontre des populations civiles palestiniennes et israéliennes. Elle rappelle que sa boussole, c’est l’application du droit international et des droits humains. La Plateforme appelle à agir pour faire respecter ce droit international par la mise en application des résolutions des Nations Unies avec la reconnaissance de l’État de Palestine pour une paix juste et durable entre Israéliens et Palestiniens. Chaque peuple de la région a le droit de vivre en sécurité et en paix.

Plateforme 44 des ONG pour la Palestine : Association France Palestine Solidarité, Pays de Loire Gaza Jérusalem, MRAP – Nantes et St-Nazaire, Ligue des droits de l’Homme, CIMADE, CCFD-Terre solidaire 44, Artisans du monde-Nantes et St-Nazaire, UJFP (Union juive française pour la paix), ABJC ( Ass. Bouguenais Jumelage Coopération), Les Amis d’Abu-Dis Solidarité Palestine (Rezé), CSPRN (Comité Solidarité Palestine Région nazairienne), ATTAC 44, ARP (Amis de la Résistance palestinienne).

Rassemblement Israël-Gaza : Protéger les civils – mercredi 11 octobre

Dernière minute : Par arrêté préfectoral, le rassemblement organisé par la Plateforme 44 des ONG/ Palestine aujourd’hui, à Nantes, ce mercredi 11 octobre, est interdit et donc annulé

La LDH, partie prenante de la plateforme des ONG françaises pour la Palestine, appelle à ce rassemblement.

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Israël-Gaza : la priorité doit être à la protection de tous les civils.

Appel à rassemblement

MERCREDI 11 octobre à 17 h

Carrefour Barillerie/50 otages à Nantes

La Plateforme des ONG françaises pour la Palestine appelle le Hamas et Israël à respecter le droit humanitaire international et ainsi mettre fin aux attaques à l’encontre des populations civiles.

Le Hamas a déclenché une offensive contre Israël dans la matinée du samedi 7 octobre.

Pour la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine, la protection des civils doit être la priorité du Hamas et d’Israël.

Les bilans humains font état de plus de plusieurs centaines de morts en Israël et à Gaza, dont a priori une part très importante de civils, et de milliers de blessés.

Des civils et soldats israéliens ont été pris en otage par les groupes armés palestiniens. Les enlèvements et la prise en otage de civils sont interdits par le droit international humanitaire.

Le droit d’Israël à se défendre ne doit en aucun cas donner un blanc-seing aux forces armées israéliennes pour causer des pertes civiles au sein de la population palestinienne.

Selon le droit international humanitaire, toutes les parties à un conflit armé ont l’obligation de protéger les vies des civils.

Cette offensive du Hamas a lieu dans un contexte d’oppression généralisée marqué notamment par 16 ans de blocus de la bande de Gaza, 56 ans d’occupation israélienne, un régime d’apartheid et une intensification de la colonisation et de l’annexion de la Cisjordanie, Jérusalem-Est incluse.

Cette situation est le résultat de l’absence d’une paix juste et durable entre Israéliens et Palestiniens, et ce sont les civils qui en paient le prix.

La Plateforme des ONG françaises pour la Palestine appelle la France et l’Union européenne à intervenir de toute urgence pour protéger les civils, et de s’attaquer aux causes profondes de ces cycles de violence.

Plateforme 44 des ONG pour la Palestine – liste ouverte

Manifestation samedi 30 septembre : Un logement décent pour touTEs

Le Collectif Logement pour TouTEs et tous, soutenu par l’inter collectif  » Personne à la rue ! «  dont notre association est membre et animatrice appelle à une manifestation samedi 30 septembre au Miroir d’eau à 14h30 (voir le tract d’appel ci-dessous).

Nous vous invitons à y participer nombreuses et nombreux.

Conférence avec Thomas Vescovi Historien-Auteur de « L’échec d’une utopie, une histoire des gauches en Israël » – Vendredi 29 septembre

Conférence-échange avec Thomas Vescovi Historien-Auteur de « L’échec d’une utopie, une histoire des gauches en Israël »

Vendredi 29 septembre – 20h – Amphithéâtre Jules Vallès – Médiathèque Jacques Demy – Nantes – Tram Médiathèque

à l’invitation de la Plateforme 44 des ONG pour la Palestine dont est membre la LDH de Nantes et du pays nantais

Rassemblement Droit à L’avortement ! – jeudi 28 septembre

La LDH appelle au rassemblement pour le droit à l’avortement ce jeudi 28 septembre18hNantesMiroir d’eau.

Voir ici l’appel syndical local et ci-dessous l’appel national signé par un grand nombre d’organisations 

Partout, manifestons le 28 septembre pour défendre le droit à l’avortement

Le 28 septembre est la journée internationale pour le droit à l’avortement.

Il y a un an, la Cour Suprême des Etats-Unis portait un coup redoutable contre ce droit fondamental. En Europe, Malte et Andorre interdisent totalement l’IVG. En Pologne et en Hongrie, les restrictions majeures confinent à l’interdiction. En Italie et en Espagne, l’application de la loi est considérablement entravée par des professionnel-le-s, s’abritant derrière leur clause de conscience, ou par les moyens restreints alloués aux systèmes de soins.

De nombreux pays dits démocratiques, poussés par la progression des extrêmes droites, se désengagent de ce droit fondamental pour les femmes. De fait, ils désagrègent les démocraties.

Le 28 septembre, nous afficherons haut et fort  notre solidarité avec toutes les femmes du monde et en particulier celles des pays qui interdisent totalement ou partiellement le droit à l’avortement !

Nous affirmerons que les extrêmes droites sont partout un danger immédiat pour les femmes et les droits humains !

En France, le respect des droits des femmes exige de la part du gouvernement, non des discours emphatiques, des effets de manche ou des postures, mais des actes constructifs et des budgets conséquents.

Nous réclamons :

– l’inscription réellement protectrice du droit à l’avortement dans la Constitution française et dans la Charte européenne des droits fondamentaux pour que ce droit des femmes partout en Europe soient respectés et garantis ;

– la parution des décrets d’application de la loi Gaillot de février 2022 permettant aux sages-femmes de pratiquer des IVG instrumentales ;

– des choix politiques qui augmentent les budgets pour la santé.

Le 28 septembre, nous descendrons dans la rue partout en France pour exiger aussi :

– l’accès aux soins pour toutes sur tous les territoires avec la réouverture des CIVG fermés, des maternités et hôpitaux de proximité ;

– une politique publique de production des médicaments essentiels, de premier recours, incluant les produits nécessaires à l’IVG, pour éviter toute pénurie et rupture d’accès aux soins. Cela passe par la création d’établissements pharmaceutiques nationaux et européens avec financement public qui produiront, diffuseront les médicaments et géreront la constitution des stocks ainsi que leur maintien ;

– la disparition de la double clause de conscience spécifique à l’IVG ;

– la garantie pour les femmes du choix des méthodes pour l’IVG et la contraception ;

– des campagnes publiques d’informations sur les droits sexuels et reproductifs ainsi que les séances d’éducations à la vie affective et sexuelle en milieu scolaire prévues par la loi du 4 juillet 2001 relative à l’IVG et à la contraception ;

– la pénalisation des activistes anti-IVG et la dissolution de leurs associations qui vont à l’encontre des droits des femmes et fragilisent la démocratie.

Le Collectif « Avortement en Europe, les femmes décident » appelle à se mobiliser.

Meeting le samedi 30 septembre à 15h, à la Bourse du travail, 85 rue Charlot 75003 Paris.

Paris, le 13 septembre 2023

Rassemblement Pour un monde sans arme nucléaire mardi 26 septembre

Dans le cadre de la Journée internationale de la Paix (21 septembre) et de la Journée internationale pour l’élimination totale des armes nucléaires (26 septembre), la LDH appelle à participer aux initiatives prévues sur le territoire Pour un monde sans arme nucléaire à l’initiative du Mouvement pour une Alternative Non-violente, du Mouvement de la Paix et de l’Observatoire des armements.

A Nantes, du fait notamment de la déambulation de Royal de Luxe, le rassemblement envisagé le 23 septembre a été reporté à ce mardi 26 septembre.

Rassemblement mardi 26 septembre17h30 – Nantes – angle rue de la Barillerie et cours des 50 Otages

Ci-dessous, le texte de l’appel national :

Le 23 Septembre, nous marchons pour un monde sans arme nucléaire

Communiqué de ICAN dont la LDH est membre

Dans le cadre de la Journée internationale de la Paix (21 septembre) et de la Journée internationale pour l’élimination totale des armes nucléaires (26 septembre) ICAN France, le Mouvement pour une Alternative Non-violente, le Mouvement de la Paix et l’Observatoire des armements appellent la population à participer le samedi 23 septembre aux différents événements qui seront réalisés à Lyon, Dijon, Paris, Quimper et d’autres villes pour porter le message : la France doit rejoindre le Traité des Nations unies sur l’interdiction des armes nucléaires (TIAN), en vigueur depuis le 22 janvier 2021.

Ces actions sont organisées dans le cadre de la résolution 68/32 de l’Assemblée générale de l’ONU qui consacre la date du 26 septembre comme la Journée internationale pour l’élimination totale des armes nucléaires et qui « invite la société civile, y compris les organisations non gouvernementales, (…) les parlementaires, les médias et les particuliers, à marquer et à promouvoir la Journée par toutes sortes d’activités d’information et de sensibilisation du public ». Ainsi une grande marche nationale va se dérouler de Lyon au Mont Verdun, ainsi que plusieurs rassemblements dans différentes villes, pour promouvoir le Traité sur l’interdiction des armes nucléaires (TIAN).

Une action nationale qui résonne avec les mots issus des dernières déclarations des chefs d’État et de gouvernement du G20 de New Delhi et de Bali (en 2022) où ils affirment tous – y compris M. Macron – que « l’emploi d’armes nucléaires ou la menace de leur emploi sont inacceptables». Cette affirmation, à la base du TIAN, doit désormais être transformée en action !

État observateur, un premier pas

Le TIAN est signé aujourd’hui par 92 États, dont 68 États parties, malgré les pressions diplomatiques de la France, seule ou en commun accord avec les puissances nucléaires.

En France, la région Bourgogne Franche-Comté et soixante douze villes, dont Paris et des villes de différentes couleurs politiques (EELV, LR, PC, PS) soutiennent ce traité, tout comme des dizaines de parlementaires (60 en 2023) et de nombreux citoyen·ne.s. Ils appellent à ce que la France participe, a minima, comme État observateur à la seconde réunion (2MSP) du Traité sur l’interdiction des armes nucléaires qui se déroulera au siège des Nations Unies à New York (27 novembre – 2 décembre 2023). Si la France veut continuer de se revendiquer comme « un État nucléaire responsable », alors le président Macron doit agir en ce sens !

Nous observons que le débat démocratique sur tout ce qui concerne la politique de Défense, et les moyens de contrôle des parlementaires sont limités, voire inexistants. Ce constat est encore plus significatif depuis que les parlementaires de la majorité ont adopté, en juillet 2023, la LPM, Loi de programmation militaire 2024-2030. Pour la première fois elle n’indique pas le montant prévu pour les armes nucléaires alors qu’elle prévoit un renouvellement complet de l’arsenal. Seul un pourcentage (13%) a été évoqué par le ministre des Armées lors des débats, soit l’équivalent de 53,69 milliards € pour les forces nucléaires. Une moyenne annuelle de 7,67 Mds €, bien loin des 5 Mds € annuels de la LPM 2019-2023. De plus, le gouvernement et les parlementaires de la majorité ont refusé les très rares amendements concernant le contrôle citoyen et parlementaire sur la dissuasion nucléaire déposés lors du débat.

Mobilisation citoyenne

Devant ces constats, et alors que la France est censée agir de bonne foi en faveur du désarmement nucléaire, ICAN France, le Mouvement pour une Alternative Non-violente, le Mouvement de la Paix et l’Observatoire des armements appellent toutes et tous (familles, jeunes, grands-parents, …) à interpeller les promoteurs de la bombe pour leur signifier notre refus que nos générations actuelles et futures continuent d’être soumises aux périls des armes nucléaires. Nous appelons à ce que la France ne laisse pas encore son siège de l’ONU vide et participe comme État observateur, à la seconde réunion du Traité sur l’interdiction des armes nucléaires qui se tiendra en novembre 2023.

Pour une grande mobilisation citoyenne et joyeuse, nous donnons rendez-vous le 23 septembre à

  • Lyon, théâtre de notre action nationale. Nous appelons les Lyonnais et Lyonnaises à se rassembler à 9H devant l’hôtel de ville de Lyon – prise de parole d’élu.e.s – puis de rejoindre par une marche la base aérienne n°942 de Lyon Mont Verdun. Un site militaire qui abrite un centre d’opération et de contrôle des Forces aériennes et sous-marines stratégiques permettant le relais de l’ordre présidentiel en cas d’emploi de l’arme nucléaire ;
  • Dijon, réunion publique 18h, puis soirée « folk-désarmement » à la salle des fêtes de la Mairie des Grésilles en présence d’intervenants politiques et de la société civile ;
  • Paris, rassemblement sur le parvis des Droits de l’Homme au Trocadéro, à partir de 12h ;
  • Quimper, rassemblement le jeudi 21 septembre, place Terre au Duc à 18h, pour une marche en direction du jardin de la Paix ;
  • Vandoeuvre-Les-Nancy, à 11h30 au parc du Charmois, devant l’arbre de la Paix – avec prises de paroles, lectures de textes, chants,…– puis départ de la marche en direction de la médiathèque ;
  • Montélimar, à 10H, un rassemblement est organisé devant la mairie par des associations locales – dont la CANVA pour Construire et alerter par la non-violence active – de la Drôme et de l’Ardèche.

Le détail des manifestations est disponible ici.

Paris, le 15 septembre 2023

Manifestation Nantes – vendredi 22/09 18h – La LDH appelle aux mobilisations du 23 septembre contre les violences policières, le racisme et les discriminations sociales et territoriales

A l’appel d’un grand nombre d’organisations, manifestation à Nantes vendredi 22 septembre – 18h – départ devant la Préfecture.

La LDH appelle aux mobilisations du 23 septembre contre les violences policières, le racisme et les discriminations sociales et territoriales
Communiqué LDH

La nouvelle séquence de violences policières consécutive au décès du jeune Nahel, tué par un policier à Nanterre, confirme l’impérieuse nécessité d’agir. La mort de Mohamed à Marseille, tué par un tir de LBD 40, l’éborgnement de son propre cousin, Abdelkarim, les mutilations de Virgil, Medhi, Nathaniel, Hedi, Jalil et de tant d’autres jeunes gens dans toute la France génèrent des drames irréparables pour leurs familles et leur entourage.La seule rencontre avec un policier peut aujourd’hui entraîner des abus et violences, qui s’intègrent à un dispositif politique de contrôle intrinsèquement lié à la situation économique et sociale.Toutes les catégories de la population française peuvent en être victimes ; les violences ont explosé sur les lieux de rassemblement et de manifestation, entravant les possibilités d’expression politique ou festive. L’usage des LBD 40, des grenades explosives et lacrymogènes et le recours à des forces de police non formée au maintien de l’ordre ont conduit à restreindre démesurément la liberté associative, l’expression collective et le périmètre démocratique. Ce dispositif de contrôle s’exerce plus intensément sur les populations vivant dans les quartiers populaires, qui font face à une précarité économique croissante, en raison de l’accélération sans précédent des inégalités, et à une relégation sociale, territoriale et ethnoculturelle qui se pérennise depuis la fin de la période coloniale. Au surplus, l’exercice continu d’une pression policière liée à la présence de brigades spéciales, comme les brigades anti-criminalité (BAC) et les compagnies de sécurisation et d’intervention (CSI), spécifiquement créées, vise à contrôler socialement et sanctionner ces populations, y compris dans leur sphère privée, et notamment lors de contrôles au faciès.Phénomène récent, le nombre de personnes tuées au volant de leur véhicule par armes à feu de policiers connaît une croissance sans précédent, en lien avec l’adoption en 2017 de l’article L. 435-1 du Code de la sécurité intérieure (CSI) assouplissant les règles en matière d’usage des armes, sans améliorer la sécurité des interventions des agents. Ce texte, imposé par le mouvement de « policiers en colère », puis relayé par la grande majorité des syndicats de police, a fait apparaître une relation de dépendance du pouvoir politique soumis aux desiderata de la corporation policière. La force publique, garante de la paix civile, exerce une pression allant jusqu’à la menace de sédition contre les institutions de la République, avec le soutien du directeur général de la Police nationale, du préfet de police de Paris et du ministre de l’Intérieur lui-même, après le placement en détention provisoire de policiers impliqués dans les terribles violences subies par Hedi, à Marseille.Les émeutes que le pays a connues sont avant tout l’expression de cette situation, qui reste taboue pour une large partie de la classe politique, alors que de nombreuses voix du monde associatif et syndical ont appelé à revoir les modes d’intervention de la police et à lutter contre le racisme qui s’y manifeste trop souvent. La lourde répression judiciaire exigée notamment par le ministre de la Justice a souligné et réitéré la profonde injustice sociale vécue par les habitantes et habitants des quartiers populaires, dans un contexte d’affaiblissement des médiations locales et des services publics.La LDH (Ligue des droits de l’Homme), refusant de se résigner à un statu quo figé, appelle à participer aux mobilisations qui auront lieu le samedi 23 septembre 2023, dans plusieurs villes de France, contre les politiques publiques discriminatoires et sécuritaires ciblant notamment les quartiers populaires et la jeunesse qui y grandit et particulièrement les personnes racisées et précarisées.

Paris, le 5 septembre 2023

Communiqué CBAS, LDH, MRAP, Caritas : Saint-Brevin terre d’accueil, « Accueillir les exilé.es Pourquoi ? Comment ? »

Nous relayons ce communiqué du CBAS, LDH, MRAP, Caritas : Saint-Brévin terre d’accueil annonçant le colloque « Accueillir les exilé.es Pourquoi ? Comment ? » du samedi 23 septembre (10h – 19h), à Saint-Brevin, salle de l’Étoile de Jade (cf article précédent pour les infos pratiques)

Colloque national Saint-Brévin terre d’accueil « Accueillir les exilé.es Pourquoi ? Comment ? »

Étoile de Jade à Saint-Brévin

Samedi 23 septembre 2023 de 10 à 19h : Inscription en ligne obligatoire (10 € => celle-ci était à prix libre jusqu’à présent mais les organisateurs ont dû ouvrir une nouvelle billetterie suite au parasitage de la première par des opposants cherchant à limiter le nombre de participants) : https://cbas44.home.blog/colloque-23-septembre-2023-saint-brevin-les-exile-ees-pourquoi-comment/

avec possibilité de restauration.

Programme ci-dessous et dans ce lien : https://partage.ldh-france.org/s/Ws9icwaPJoDtZRF

Soutenons le peuple iranien : Rassemblement « Femme Vie Liberté – 1 an après » – Samedi 16 septembre

Nous vous invitons à venir nombreuses et nombreux au rassemblement organisé le samedi 16 septembre à 16h au Miroir d’eau par l’association « Femme, Vie, Liberté » que la LDH soutient depuis sa création.

Vous trouverez ci-dessous le message d’appel.

Chers amis du Collectif Femme Vie Liberté – Nantes,

Bonjour.

Cela fera bientôt un an depuis la mort de Mahsa (Jina) Amini et le début du mouvement « Femme Vie Liberté ». L’Iran est toujours abasourdi par la violence et l’injustice et le pain des bourreaux est encore taché du sang des plus beaux et courageux des jeunes iraniens.

A cette occasion, notre collectif a décidé d’organiser un rassemblement à la mémoire des personnes victimes du régime lors des protestations. Nous vous donnons rendez-vous à Nantes au miroir d’eau le samedi 16 septembre à 16h, aux côtés de nombreux autres collectifs à travers le monde.

Nous vous demandons à tous, quelles que soient vos différentes orientations (politiques, religieuses, personnelles, etc…), de nous rejoindre pour cet hommage aux manifestants assassinés ou emprisonnés car notre participation à ces rassemblements aux quatre coins du monde encourage les manifestants en Iran.

Nous vous remercions par avance pour votre soutien et votre solidarité et nous espérons que les souffrances de notre cher Iran ne dureront pas plus longtemps.

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