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En 1898, des citoyens, révoltés par l’injustice dont était victime le Capitaine Dreyfus, décidaient de créer la Ligue française pour la défense des droits de l’Homme et du citoyen. Ils s’engageaient alors à porter aide et assistance « à toute personne dont la liberté serait menacée ou dont le droit serait violé ». Cet engagement est toujours le nôtre. C’est avec la même exigence d’une lutte contre « toutes les formes d’intolérance et d’arbitraire » que nous voulons construire le mouvement civique de demain

Nous sommes à votre écoute au 02.51.86.22.39. Laissez-nous un message, nous écoutons régulièrement notre répondeur. Vous pouvez également nous envoyer un courriel à nantes@ldh-france.org

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Conférence avec David Cayla, économiste : « Les inégalités, terreau de l’extrême droite » 26 novembre – 20h

Organisée par la Ligue des Droits de l’Homme Section d’Angers et du Maine et Loire,  en partenariat avec le Comité Régional des Pays de la Loire : 


Conférence avec David CAYLA

Docteur en économie à l’université d’Angers Membre des Économistes Atterrés

« Les inégalités, terreau de l’extrême droite »

Vendredi 26 Novembre 2021 à 20 heures

Salle Christine de Pizan, Espace Frédéric Mistral, 4 allée des Baladins Angers 

À suivre également en direct via Zoom en cliquant ici


« L’émergence de mouvements populistes pose un défi aux démocraties libérales et leur nature reste encore difficile à analyser et à comprendre. Conséquence de la fin des grandes idéologies ? Manifestation des replis identitaires ? Refus des contraintes qu’imposent la mondialisation et la lutte contre le réchauffement climatique ? Produit des inégalités ? Bien souvent, l’explication du populisme se limite à une simple analyse politique. Pourtant, en s’auto-alimentant par les réseaux sociaux et avant d’être un phénomène qui se traduit électoralement par des votes contestataires, il s’agit d’un fait global qui ne peut être isolé des dynamiques sociales et économiques. »

Marchons contre les violences faites aux femmes. Nantes 25 novembre 2021 – 18h30

Partie prenante du Collectif 25 nov, la LdH appelle à la marche contre les violences faites aux femmes ce jeudi 25 novembre – 18h30 – place Bretagne – Nantes.
Ci-joint et repris ci-dessous le communiqué d’appel.

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MARCHONS CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES
25 NOVEMBRE 2021


Harcelées, humiliées, terrorisées, excisées, insultées, violées, vendues, achetées, frappées, tuées…

Les violences contre les femmes, non seulement ne reculent pas, mais se diffusent avec force dans toutes les sphères
de la vie des femmes : violences dans la famille et au travail, harcèlement dans la rue, dans les écoles et sur les réseaux
sociaux, diffusion d’une culture pornographique et explosion des pratiques prostitutionnelles.

La lutte contre les violences faites aux femmes avait été érigée comme grande cause quinquennale du Président
Macron. À l’évidence, les offensives politiques, du local au national, ne sont pas à la hauteur. En France, près de 210
000 femmes subissent encore chaque année des violences conjugales. Déjà plus de 100 féminicides depuis le début
de cette année 2021 !

L’égalité femmes/hommes pour une société apaisée se fait toujours attendre.

Et pendant ce temps-là, la violence masculine est à l’offensive.

Comment construire l’égalité quand la moitié de l’humanité grandit dans la peur ?

À Nantes, les organisations engagées dans ce combat appellent à descendre dans la rue le 25 novembre. La marche partira à 18h30 de la place de Bretagne.

Venez nous rejoindre, venez marcher avec nous pour faire entendre nos voix et celles des femmes qui ne peuvent pas se faire entendre. Que notre détermination soit visible !

Collectif Unitaire 25 novembre :
44 Vilaines filles, SOlidarité femmeS Loire-Atlantique, Ligue des Droits de l’Homme, Nous Toutes 44, Mouvement du Nid, Espace Simone de Beauvoir, Femmes solidaires, la France insoumise 44, Zéromacho 44, SOS Inceste et violences sexuelles, Osez le féminisme 44, CGT 44, Solidaires 44, FSU 44, GDS, Ensemble 44, CFDT 44, Émulsion, ALFA Appel Égalité.

Invitation 28èmes Journées Nationales Prison : « Une communauté à part ? » – samedi 20 novembre – Espace Beaulieu 9 bd Vincent Gâche à NANTES

Membre du Collectif Prisons 44, la section de Nantes et du pays nantais de la Ligue des droits de l’Homme soutient cette journée et invite à y participer (voir ci-dessous et Flyer ci-joint).

—– Message transmis —–De : collectif prison 44  Vous êtes cordialement invités à participer aux Journées Nationales Prison  Espace Beaulieu 9 bd Vincent Gâche à NANTES samedi 20 novembre 2021 organisées par le collectif Prison 44 :
Au programme de cette journée :

10h30-16h un forum associatif par les associations du collectif prison
10h30 – 12h30 une Table ronde avec un représentant du contrôleur général des lieux de privation de liberté, Anne-Sophie CHENEVIERE Conseillère Pénitentiaire d’Insertion et de Probation au Centre de Détention de NANTES, Sylvie GRUNVALD (maître de conférence à la faculté de Droit de NANTES)Animée par Jacques TREMINTIN (travailleur social, enseignant à ARIFTS, journaliste)
13h30- 16h un  ciné débat « Les drapeaux de papiers » film réalisé par Nathan Ambrosioni avec Noémie Merlant, Guillaume Gouix, débat animé par Jacques TREMINTIN en présence du réalisateur Coordination du Collectif Prison 44 

Mobilisation régionale Ségur pour tous. Mercredi 17 novembre Nantes – 14h devant la préfecture

Notre association, soucieuse de l’accès aux droits sociaux pour toutes et tous est adhérente de l’URIOPSS (Union Régionale des Organismes Privés Sanitaires et Sociaux).
Cette dernière  appelle à soutenir la marche revendicative devant la préfecture de Nantes le 17 novembre à 14h, pour exiger que les personnels qui travaillent dans les secteurs du handicap, de la protection de l’enfance et de la lutte contre les exclusions ne soient pas eux mêmes exclus des mesures prises dans cadre du Ségur de la santé.
Pour la LdH, la satisfaction de ces demandes permettrait de rendre plus effective le droit à l’accompagnement et l’égalité d’accès à ce droit notamment pour les personnes en situation de handicap.
Nous vous remercions de vous mobiliser.
En PJ, vous trouverez ici le courrier de l’URIOPSS envoyé aux parlementaires et ici l’article de Ouest-France suite à la conférence de presse du 6 octobre.

Contre la dématérialisation des démarches administratives. Action devant Préfecture mercredi 17 novembre 13h30

La dématérialisation des démarches administratives devient quasiment systématique, entraînant des difficultés de plus en plus grandes pour les personnes d’accéder à leurs droits, et particulièrement les personnes étrangères.Pour exiger le rétablissement d’un accueil physique dans les préfectures afin de garantir un accès effectif pour toutes et tous au service public, une action devant la préfecture de Nantes, avec pancartes et dialogues imaginaires entre humains et robots, est appelée par la Coordination Bretagne/Pays de la Loire/Normandie dont le Gasprom-Asti de Nantes est membre, le :
                   Mercredi 17 novembre à 13h30 devant la préfecture de NantesNous vous invitons à y participer nombreuses et nombreux.
Vous trouverez ci-dessous un texte explicatif à ce sujet.
Amicalement,

l’équipe d’animation de la LdH Nantes et pays nantais

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La dématérialisation dans le viseur : 23 préfectures devant les tribunaux administratifs

Mobilisation pour garantir un égal accès aux droits pour tous et toutes

Parce que les portes d’un service public moderne ne sauraient être fermées au public, l’assignation en justice des préfectures imposant illégalement l’usage d’Internet, sans alternative possible pour déposer une demande de titre de séjour, se poursuit. Dix-sept nouvelles préfectures seront visées par des recours déposés dès le 30 juin, en métropole et dans les outre-mer, et le même jour en Ile-de-France des dizaines de personnes étrangères saisiront en leur nom les juridictions pour obtenir un rendez-vous.L’offensive contentieuse contre la fermeture des guichets et l’imposition de la dématérialisation des démarches d’accès à un titre de séjour se poursuit : dix-sept préfectures, en métropole et dans les outre-mer, sont aujourd’hui assignées en justice par nos organisations pour avoir choisi d’imposer l’usage du numérique pour déposer une demande de titre de séjour. Il est demandé aux tribunaux administratifs d’enjoindre aux préfectures concernées de mettre en place une voie non dématérialisée d’accès aux droits, comme le prévoit la loi. Ces dix-sept requêtes viennent s’ajouter aux six autres déposées depuis le début de l’année 2021 et encore pendantes devant les juridictions. En parallèle, les personnes étrangères vont une nouvelle fois saisir de manière massive les juridictions administratives, comme elles le font depuis plusieurs mois afin d’obtenir un rendez-vous en préfecture pour déposer leurs demandes, en Ile de France soutenues par le collectif « bouge la préfecture » et dans d’autres départements (Finistère, Guadeloupe…). Sur six tribunaux administratifs, contre 139 requêtes déposées en 2018, 1149 étaient déposées sur les seuls quatre premiers mois de l’année 2021, témoignant de l’ampleur des difficultés sur le terrain.

La dématérialisation des démarches administratives pourrait représenter une opportunité forte de simplification et d’amélioration de l’accès au service public, en évitant déplacements et attente. Elle devrait théoriquement permettre aux administrations de dégager les moyens ainsi libérés pour mieux recevoir les personnes si nécessaire. Pourtant, dans les services étrangers des préfectures, le numérique est aujourd’hui un mur qui interdit aux usagers et usagères l’accès au guichet, souvent indispensable pour les demandes de titre de séjour, et qui les prive de toute possibilité d’échange avec un interlocuteur. Rendez-vous à prendre en ligne sans plages disponibles, mails de réponse automatique sans qu’aucune suite y soit donnée, silence prolongé après le remplissage en ligne d’un formulaire complexe : le manque de moyens alloués aux services étrangers des préfectures[1], est un alibi commode pour justifier ces dysfonctionnements et camoufler une politique consciemment organisée pour restreindre l’accès au séjour.

L’impact de ces procédures numériques varie selon le statut des personnes concernées et la dématérialisation apparaît comme un outil de tri des personnes accédant à un titre de séjour en amont de l’examen de leur dossier. Les personnes sans-papiers sont les plus massivement touchées, maintenues derrière un écran d’ordinateur à distance de la procédure de régularisation pendant parfois plus d’une année.
La fermeture des guichets fabrique des sans-papiers : des milliers de personnes perdent le bénéfice d’un titre de séjour du fait de l’incapacité du service public à respecter ses obligations légales. La crise sanitaire ne saurait excuser les dysfonctionnements du service public, à l’heure où les populations précaires sont plus fragilisées que jamais. 

Nos organisations entendent alerter sur la saturation des services étrangers des préfectures et demandent un service public ouvert à ses administré-e-s, qui garantissent un égal accès aux droits pour tous et toutes

Communiqué signé par les Avocats pour la défense des droits des étrangers ; la Cimade ; le Conseil National des Barreaux ; le Groupe d’information et de soutien des immigré-e-s ; le Ligue des droits de l’Homme ; le Secours Catholique ; le Syndicats des avocats de France.Paris, le 24 juin 2021

Chronique JetFM consacrée à la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes

Chers amis,

Voici une chronique introductrice d’un mal aussi vieux que le monde, la violence faites aux femmes ; mère, fille, épouse… de tous les pays et de toutes les aventures. Un mal en conséquence des inégalités qui régissent nos sociétés, la première étant la loi du plus fort. En faisant cette chronique nous avons souhaité donner la parole à des associations locales qui luttent au quotidien face à ces violences.

Lien vers la chronique : https://soundcloud.com/user-513968441/novembre-2021-violences-femmes?si=efebd9dde9b44b1e8a1619f22a722d8f

Bonne écoute et rendez-vous le 25 novembre à 18h30 Place Bretagne !

« Un pays qui se tient sage » lundi 15-11 à 20 h – Cinéma Bonne Garde – ciné débat avec la LdH et le SAF

Vous l’avez raté à sa sortie, vous voulez le revoir, vous découvrez son existence, vous voulez en discuter ?

Ne ratez pas l’unique projection à Nantes du film de David Dufresne
« Un pays qui se tient sage »
au cinéma Bonne Garde lundi 15 novembre à 20h.

Sorti en septembre 2020, ce film garde toute son actualité : si l’existence de violences policières ne peut plus être déniée, les pratiques du maintien de l’ordre n’ont pas changé et ont même été confortées par de nouveaux textes de loi ou réglementaires.
Alors, les violences policières, fatalité ou choix politique ? Un pays qui se tient sage invite les citoyens à approfondir, interroger et confronter les points de vue sur l’ordre social et la légitimité de l’usage de la violence par l’État.
Le débat qui suivra la projection du film sera animé par la Ligue des droits de l’Homme et le Syndicat des Avocats de France.

   Cinéma Bonne Garde, 20 rue Frère Louis 44200 Nantes

Exposition « Medhi Ben Barka » par Pierre Boulat, à Cosmopolis du 3 au 13 novembre 2021

Dans le cadre du Festival des solidarités, la Ligue des droits de l’Homme propose un photoreportage « Medhi Ben Barka » par Pierre Boulat, à l’Espace Cosmopolis du 3 au 13 novembre 2021 (Flyer ci-joint).

En France, des assassinats politiques ont été commis sur la personne de tel et tel opposant au régime politique dirigeant son pays d’origine.
La France a une pratique systématique de non-poursuite et donc d’impunité pour les assassins et leurs commanditaires impliqués dans ces assassinats politiques, dans ces assassinats d’États.
Ce fut le cas pour ceux qui firent disparaître Mehdi BEN BARKA, le 29 octobre 1965.
Mehdi Ben Barka, principal opposant politique au régime marocain du roi Hassan II, chef de file du mouvement tiers-mondiste et pan-africaniste, reste « disparu » et sans sépulture depuis 1965.
Il n’aura pas même bénéficié de l’humaine dignité qui aurait justifié que soit menée et poursuivie une enquête révélant son sort, aboutissant aux sanctions en justice des coupables et révélant les commanditaires de ce crime d’État.

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