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En 1898, des citoyens, révoltés par l’injustice dont était victime le Capitaine Dreyfus, décidaient de créer la Ligue française pour la défense des droits de l’Homme et du citoyen. Ils s’engageaient alors à porter aide et assistance « à toute personne dont la liberté serait menacée ou dont le droit serait violé ». Cet engagement est toujours le nôtre. C’est avec la même exigence d’une lutte contre « toutes les formes d’intolérance et d’arbitraire » que nous voulons construire le mouvement civique de demain

Nous sommes à votre écoute au 02.51.86.22.39. Laissez-nous un message, nous écoutons régulièrement notre répondeur. Vous pouvez également nous envoyer un courriel à nantes@ldh-france.org

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Les CHSCT victimes de la réforme du code du travail

Communiqué du Collectif nantais pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous

Les CHSCT feraient perdre du temps et entraveraient la productivité ! Pourtant l’intensification du travail, la précarité, les difficultés ressenties par les travailleurs auraient dû imposer le renforcement des Comités d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail.

La réforme du code du travail veut obliger les entreprises entre 50 et 300 salariés à supprimer les CHSCT et à les intégrer dans un « comité social et économique ». Seules les entreprises de plus de 300 salariés disposeront d’une commission « santé, sécurité et conditions de travail » aux attributions mal définies. D’autre part, l’employeur aura dorénavant la possibilité de contester devant le tribunal administratif les décisions de l’inspecteur du travail. Le collectif dénonce fermement cette mesure de régression sociale.

Comment des études indépendantes sur les risques professionnels seront-elles menées par ce nouveau « comité social et économique » ? Les salariés victimes de l’amiante, de toxiques, de troubles musculo-squelettiques, les 500000 salariés souffrant de troubles psychiques liés au travail … auront encore moins de recours pour se défendre. Pour le collectif, la promotion de la santé au travail ainsi que la sécurité des salariés doivent rester des objectifs prioritaires. Le collectif revendique de créer des CHSCT dans toutes les entreprises y compris à celles de moins de 50 salariés et d’étendre leurs compétences aux risques pour la santé publique et l’environnement engendrés par l’activité de certaines entreprises.
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Nantes, le 15/11/2017

UNION DÉPARTEMENTALE 44 CGT – SUD SANTÉ-SOCIAUX 44- FSU 44 – SYNDICAT DE LA MÉDECINE GÉNÉRALE- FÉDÉRATION GÉNÉRALE DES RETRAITÉS DE LA FONCTION PUBLIQUE- LDH Nantes et pays nantais – Agir ensemble contre le chômage AC44 – NI PAUVRE NI SOUMIS 44 – CONFÉDÉRATION SYNDICALE DES FAMILLES 44 – PLANNING FAMILIAL 44 – ENSEMBLE 44! – SAINT HERBLAIN À GAUCHE TOUTE

contact : collectifsantepaysnantais@gmail.com

Soutien à la famille ARABI – Appel à rassemblement mardi 17/10/17 à partir de 15h

Communiqué du collectif enfants étrangers citoyens solidaires (RESF 44)

Appel à rassemblement mardi 17 octobre à partir de 15h
Une famille demandeuse d’asile, avec 5 enfants (entre 9mois et 9ans), est sans hébergement depuis son arrivée à Nantes le 31 août dernier, malgré des signalements auprès de la DDCS, la Préfecture…
Nous avons décidé de les rendre visibles, et nous vous demandons de venir nombreux demain mardi, à partir de 15h, devant la Préfecture, où la famille et ses soutiens seront rassemblés, pour obtenir de la Préfecture la proposition immédiate d’un CADA (hébergement pour demandeur d’asile), comme la loi l’y oblige.
La pétition ci-dessous vous sera soumise pour signature lors du rassemblement ou en ligne.

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Refusons la banalisation de l’état d’urgence

Communiqué de presse commun d’organisations de Loire-Atlantique

Durant l’été, l’état d’urgence a été, pour la 6ème fois, renouvelé jusqu’au 1er novembre prochain. Il se prolonge depuis bientôt deux ans. La France est le seul pays d’Europe à avoir instauré l’état d’urgence en réponse aux attentats. Pourtant, il s’est avéré largement inefficace contre le terrorisme. Mais, il a été dévoyé contre des militants écologistes ou des opposants à la loi travail précédente et contre des personnes en raison de leur origine ou de leur religion réelle ou supposée.

Et voilà qu’au prétexte de mettre fin à l’état d’urgence, le gouvernement a proposé au Parlement une nouvelle loi inspirée de celui-ci. Un projet de loi qui donne au ministère de l’intérieur et aux préfets des pouvoirs qui sont du ressort de la justice. Ainsi, le ministère de l’intérieur pourra de manière ordinaire instituer un périmètre de protection, assigner à résidence un individu dans sa commune, imposer le port d’un bracelet électronique, ordonner des perquisitions administratives – y compris de nuit – ou décider de la fermeture d’un lieu de culte en dehors de toute procédure judiciaire, comme sous l’état d’urgence.

Le projet de loi dit que ces pouvoirs accrus de l’administration devront officiellement être réservés à la lutte contre le terrorisme. Le Sénat a ajouté que ces mesures devront rester expérimentales et ne s’appliquer que jusqu’en 2021.

Pour autant, nous demandons aux députés de ne pas voter cette loi.

Parce que cette loi viendrait après beaucoup d’autres sans qu’à aucun moment ait été pris le temps d’évaluer la pertinence des législations et l’efficacité des renseignements et de lutte contre le terrorisme. Cette loi porterait gravement préjudice à l’équilibre des pouvoirs, à la séparation entre le pouvoir exécutif et le pouvoir judiciaire et à la place du juge judiciaire en tant que garant constitutionnel des libertés individuelles comme celle d’aller et venir. Cette loi pourrait alors conduire à des abus et des dérives autoritaires en affaiblissant l’état de droit avec une logique du contrôle fondé sur le soupçon et non les faits. Cette loi pourrait également renforcer les fractures de notre société en désignant comme suspectes des catégories de populations définies par leur religion et/ou leur origine réelles ou supposées. Cette loi renforcerait un droit d’exception qui restreint les droits et les libertés sans pour autant renforcer la sécurité ; il est dangereux d’habituer les citoyen-ne-s à cette situation ; nous pourrions ainsi à terme perdre les deux : la liberté et la sécurité. Cette loi n’est pas une bonne réponse au terrorisme puisque celui-ci haït la démocratie et cherche justement la remise en cause de l’état de droit. Cette loi porte atteinte aux engagements internationaux et européens de la France.

Ce projet de loi dit « renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme » doit être examiné en commission à l’Assemblée nationale à partir du 11 septembre. Il doit être voté les 26 et 27 septembre. Une manifestation Pour nos droits et nos libertés a lieu ce dimanche 10 septembre à Paris.

Dans le département, nos associations demandent à rencontrer chacune et chacun des député-e-s de Loire-Atlantique pour lui demander d’une part la sortie de l’état d’urgence et d’autre part de ne pas voter cette loi.

Amnesty International, Association France-Palestine Solidarité (AFPS), ATTAC, Ligue de l’Enseignement – FAL 44, Ligue des droits de l’Homme (LDH), Maison des Citoyens du Monde (MCM), Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP), Mouvement National de Lutte pour l’Environnement (MNLE), Syndicat des Avocats de France (SAF), Tissé Métisse et Union départementale Solidaires

Soutien à la communauté des gens du voyage

Communiqué de presse de la LdH section nantes et du pays nantais, Nantes le 25 juillet 2017.

La Ligue des droits de l’Homme section de Nantes et du pays nantais condamne fermement les inscriptions haineuses et extrémistes qui ont été apposées durant le week-end sur les bâtiments de l’aire d’accueil des gens du voyage à Saint-Sébastien.

Ces écrits sont signés patriotes FN, GUD (Ouest-France du 24 juillet) ; le dépôt de plainte de Nantes Métropole devrait permettre que lumière soit faite et justice rendue.

La LDH apporte tout son soutien à la communauté des gens du voyage régulièrement victime de propos racistes et haineux.

Fin au blocus et à la guerre contre Gaza !

Communiqué de l’AFPS44 en réponse à l’appel du Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens

A moins de 3 000 km de Marseille, à l’autre bout de la Méditerranée, près de 2 millions de personnes vivent isolées du monde, empêchées de sortir pour étudier, se soigner, visiter leur famille, etc.

Soyons nombreux le mercredi 5 juillet à partir de 17h30 au Carrefour Barillerie-50 Otages à Nantes : banderoles, tracts d’information.

« La France et l’Union Européenne doivent œuvrer avec force et sincérité, bien au-delà des déclarations habituelles, pour la levée du blocus de Gaza, en exerçant de véritables pressions sur l’État d’Israël, notamment par la suspension de l’Accord d’association.

Sortons de l’état d’urgence et refusons la normalisation de ces mesures d’exception

Communiqué d’un collectif d’associations nantaises

Le nouveau gouvernement veut proroger, pour la 6ème fois, l’état d’urgence puis proposer une loi transcrivant les mesures d’exception de l’état d’urgence dans le droit commun.

Au niveau national, plusieurs organisations appellent à se mobiliser pour obtenir la sortie de l’état d’urgence et le retrait du projet de loi. Une lettre a été envoyée à tous les parlementaires du pays. Une marche aura lieu à Paris le 1er juillet à 15h place de la République.

Au niveau local, les associations Amnesty International, Association France Palestine Solidarité, ATTAC, Ligue des droits de l’Homme, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples, Mouvement National de Lutte pour l’Environnement et le Syndicat des Avocats de France demandent à rencontrer les parlementaires de Loire-Atlantique dont les dix député-e-s récemment élus.

Elles demandent la réception d’une délégation par la Préfette le samedi 1er juillet 2017 à 15h et appellent les organisations et les citoyennes et citoyens à être présents devant la Préfecture pour appuyer cette délégation.

Prochain Cercle de silence ce mardi 27 juin – 18h30 à 19h30, place Royale à Nantes.

Communiqué du Collectif pour les Cercles de Silence nantais

Dans les cercles de silence, des hommes et des femmes se retrouvent en silence pour dénoncer la situation faite aux étrangers et plus particulièrement les violences dans les centres de rétention (CRA), et sensibiliser les passants à cette situation.

La participation, même un court instant, est la bienvenue pour soutenir cette action de défense des libertés.

« Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne » art. 3 DUDH.

http://cercledesilencenantes.unblog.fr
https://www.facebook.com/cercledesilence.nantes/

Les Cercles de silence nantais ont lieu le dernier mardi de chaque mois de 18h30 à 19h30 Place Royale (ou Place Graslin durant le marché de Noël fin novembre et décembre).

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Des Lieux d’Accueil pour Tou-te-s

Communiqué commun des collectifs MIE, Soutien Migrants Nantes et d’autres associations et syndicats

Le rassemblement CONVIVIAL et MILITANT Dimanche 25 juin à 12H – place Mangin à Nantes – organisé par : ASTI (Gasprom), AC, Anade, Cimade, CSF, DAL, Emmaüs, GREF, LDH, Logis St Jean, Médecins du Monde,  Mrap, RESF ainsi que l’intersyndicale 44, le collectif MIE et le collectif de Soutien Migrants Nantes
Objectifs :
des lieux d’accueil pour tou-te-s
pour la création de lieux d’hébergement inconditionnels
dénonciation et recensement des lieux disponibles inoccupés
pour un accueil digne de tous les sans-toit et des exilé-e-s
Déroulement :
espace artistique ouvert à tous !
présentation des projets et des actions
débats, échanges, information
pique-nique familial

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