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En 1898, des citoyens, révoltés par l’injustice dont était victime le Capitaine Dreyfus, décidaient de créer la Ligue française pour la défense des droits de l’Homme et du citoyen. Ils s’engageaient alors à porter aide et assistance « à toute personne dont la liberté serait menacée ou dont le droit serait violé ». Cet engagement est toujours le nôtre. C’est avec la même exigence d’une lutte contre « toutes les formes d’intolérance et d’arbitraire » que nous voulons construire le mouvement civique de demain

Nous sommes à votre écoute au 02.51.86.22.39. Laissez-nous un message, nous écoutons régulièrement notre répondeur. Vous pouvez également nous envoyer un courriel à nantes@ldh-france.org

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70ème rassemblement silencieux « Vigilance NPNS 44 » – Samedi 16/12/17

Communiqué du collectif Ni Pauvres Ni Soumis – le 13/12/2017

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Le 70ème rassemblement silencieux « Vigilance NPNS 44 » aura lieu le samedi 16 décembre de 15h à 16h à l’angle du Cours des 50 otages et de la rue de la Barillerie.

Halte aux discours de haine, halte aux violences de l’extrême droite

Communiqué commun de la Ligue des droits de l’Homme (LdH), section de Nantes et du pays nantais et du Mouvement contre le Racisme et l’antisémitisme et pour la paix (MRAP), le 8 décembre 2017

A la faculté de Nantes, des salles du sous-sol du bâtiment de la Censive et le château du Tertre sont occupés par des étudiants et accueillent des mineurs isolés étrangers qui n’ont pas d’hébergement.

Alors qu’une autre agression avait déjà eu lieu la veille à l’encontre des occupants, des personnes ont agressé dans la nuit du lundi 4 au mardi 5 décembre des occupants du château du Tertre. Sur Internet, un « Front anti collabos » revendique cette agression et menace d’autres dans un communiqué en écrivant : « … les collabos de l’invasion migratoire ont eu, à quelques jours de Noël, une simple mise en bouche de ce qui les attend s’ils continuent sur le chemin de la collaboration. Des fils et des filles de ce pays ont en effet décidé de les empêcher de nuire sur tout le territoire. […] Aucune personne qui se livre à l’organisation ou la promotion de l’immigration ne sera plus en sécurité. » Sur une photo, posent devant le château des personnes cagoules sur le visage et bâtons à la main (Presse-Océan du 7 décembre).

Des organisations portant les idées d’extrême droite veulent faire croire que les logements occupés par les résidents étrangers le sont aux dépens des résidents français. C’est faux. Pour les organisations qui agissent pour le droit à l’hébergement et au logement, il s’agit bien d’obtenir sans délai de la part des pouvoirs publics la création de places d’accueil permettant à toutes les personnes vivant dans la rue d’avoir un toit dans des conditions dignes.

Les idées d’extrême droite sont destinées à opposer les résidents de notre pays. Ces discours mènent à la haine. La haine conduit à la violence. Ici, ils ont agressé des étudiants accueillant des migrants. En 2015, à Nantes, des engins incendiaires ont été lancés dans un squat abritant des migrants. En 2016, à St-Brévin, des tirs  ont été dirigés contre un centre d’accueil et d’orientation de migrants. Au soir du deuxième tour de l’élection présidentielle de 2017, à Nantes, des personnes aux idées d’extrême droite ont attaqué deux personnes près de l’arrêt de tram Du Chaffault à Nantes et devraient passer en jugement.

Aux discours de rejet de l’Autre, nous opposons le principe d’égalité du droit à l’hébergement pour toutes les personnes et d’égalité des droits pour tous les enfants mineurs présents sur le territoire ; nous opposons également les valeurs de solidarité.

La Ligue des droits de l’Homme (LdH) et le Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP) attendent que les autorités de l’Etat et la police fassent tout le nécessaire pour identifier les personnes qui ont commis ces actes et les traduisent devant la justice.

Solidarité avec le mouvement en cours à la Faculté de Nantes ; un toit pour les jeunes Mineurs Isolés Étrangers à la rue

Communiqué du Collectif pour la création de centres et maisons d’accueil pour tous, le 5 décembre 2017

Le Collectif pour la création de centres et maisons d’accueil pour tous exprime sa solidarité avec le mouvement en cours à la Faculté de Nantes qui permet de fournir un toit à des jeunes Mineurs Isolés Étrangers à la rue.

Le Collectif qui rassemble différentes associations agissant pour le respect des droits et la dignité des personnes, demande aux pouvoirs publics d’arrêter de se renvoyer en permanence les responsabilités. Le collectif demande à l’État, au Conseil départemental, aux communes de l’agglomération de prendre des mesures d’urgences pour que plus personne ne soit contraint de dormir à la rue.

Il demande :

– la création de places d’hébergement permettant à tous les Mineurs Isolés Étrangers d’avoir un abri dans des conditions dignes, les Mineurs Isolés Étrangers doivent avoir les droits de tous les enfants ;

– plus largement la création de places d’accueil et d’hébergement inconditionnels qui permettent à toutes les personnes vivant dans la rue sur notre territoire d’avoir un toit.

Le Collectif interpelle les pouvoirs publics pour qu’aucune personne ne soit expulsée d’un lieu sans être relogée, comme la loi le prévoit, et demande depuis plusieurs mois la mise en place d’une table ronde sur la question du logement et de l’hébergement.

Le collectif pour la création de centres et maisons d’accueil pour tous est composé des associations et collectifs suivantes ;
UD AC (Agir contre le chômage et la précarité), ANADE (alphabétisation des étrangers), DAL (droit au logement), CSF (confédération syndicale des familles), CIMADE (aide juridique et solidarité), EMMAUS 44 (accueil de vie, de travail et de solidarité), GASPROM (aide juridique et solidarité), GREF (alphabétisation des étrangers), LDH (aide juridique et défense des droits), LE LOGIS SAINT JEAN (accueil, rencontres et repas), MEDECINS DU MONDE (asso. médicale militante de solidarité), MRAP (aide juridique et solidarité), RESF (accompagnement famille et scolarisation des jeunes MIE), Collectif soutien migrants Nantes (aux habitants des squats adultes), Collectif Jeunes mineurs (aux habitants des squats mineurs), UD Solidaire 44

ESCLAVAGE : au-delà du cas libyen, un fléau mondial ;

Communiqué de presse du Comité Régional pays de la Loire de la LdH, le 24/11/2017,

Aujourd’hui, l’esclavage est encore un fléau mondial, un crime contre l’humanité : 45 millions de personnes étaient victimes d’esclavage en 2016, selon une étude réalisée conjointement par l’Organisation internationale du Travail (OIT) et la Walk Free Foundation, en partenariat avec l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). Cette organisation révèle que la traite d’êtres humains est devenue de plus en plus fréquente chez les passeurs. La pratique ne concerne d’ailleurs pas que les migrants, et de nombreuses autres formes d’asservissements ont vu le jour, depuis les victimes du commerce sexuel forcées à donner leurs revenus à leurs trafiquants, jusqu’aux travailleurs du bâtiment ou aux ouvriers agricoles travaillant dur pour un salaire dérisoire, voire inexistant, sur des chantiers isolés qu’ils ne peuvent pas quitter. Toujours d’après cette étude, les femmes représentent 99 % des victimes de travail forcé dans l’industrie du sexe et 84 % sont victimes de mariages forcés. Quant aux enfants, ils ne sont pas épargnés : selon l’OIT, environ 152 millions d’enfants âgés de 5 à 17 ans sont contraints au travail.

Coincé-e-s entre une mondialisation du moins-disant social et la frilosité de l’accueil des réfugié-e-s, des hommes, des femmes et des enfants sont les victimes d’un système économique qui permet ces pratiques criminelles.

En Libye comme ailleurs, et en France y compris, les Droits de l’Homme doivent être respectés sauf à sombrer dans l’ignominie et le non-Droit.

La ligue des droits de l’Homme considère que la méconnaissance et le mépris des droits de l’Homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité.

2018, année du 170ème anniversaire de l’abolition définitive de l’esclavage dans les colonies françaises, 120ème anniversaire de la création de notre association, 70ème anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 10 décembre 1948, sera une année importante pour toutes et tous, la Ligue des droits de l’Homme se doit de le rappeler.

Le rappel de ces événements n’a d’intérêt que s’il permet la critique des faits pour une application réelle des principes d’égalité, de liberté et de solidarité. Elle appelle les gouvernants à mettre leurs actes en accord avec leurs postures médiatiques. Elle appelle les citoyens à s’engager toujours davantage pour la protection et le progrès de la liberté, de l’égalité en droits et en dignité de tous les êtres humains face à l’autoritarisme,  la discrimination et l’injustice sociale.

Le Comité régional Pays de la Loire de la LDH avec le soutien des  sections d’Angers (49), Laval/Mayenne (53), La Roche sur Yon (85), Le Mans (72), Les Sables d’Olonne (85), Luçon (85), Mamers (72), Nantes et pays nantais (44), Noirmoutier/Nord/Ouest Vendée (85), Saint Nazaire (44).


Comité régional Pays de la Loire-Ligue des droits de l’Homme
4 place de la Manu – 44000 – Nantes
Tél : 02 51 86 22 39 – Mail : ldh.pays-de-la-loire@orange.fr

Pour le respect du droit de manifester

Communiqué de Observatoire nantais des libertés, le 22 novembre 2017

Ce jeudi 16 novembre à Nantes, les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires et UNEF organisaient une manifestation.

Le parcours de la manifestation avait été annoncé – Ouest-France du 15 novembre : Commerce, cours des 50-Otages, tour Bretagne, rue Jeanne d’Arc, préfecture, cours St André et St Pierre, miroir d’eau. Une fois la banderole intersyndicale de tête engagée sur la montée du tram 3 pour rejoindre la tour Bretagne, la police a tiré des grenades lacrymogènes pour interdire ce passage ce qui a conduit les porteurs de la banderole de tête à reprendre le cours des 50-Otages pour rejoindre la Préfecture sans passer donc par la tour Bretagne et la rue Jeanne d’Arc. Il semble que la police n’ait pas pris contact avec les organisateurs après l’annonce du parcours et avant ou au moment de la manifestation pour dire que le parcours annoncé n’était pas autorisé. Il n’est pas acceptable que Préfecture et police modifient le parcours annoncé d’une manifestation avec des grenades lacrymogènes plutôt que par la concertation.

La banderole de tête s’étant arrêtée au miroir d’eau, des personnes ont continué à manifester en empruntant le cours F. Roosevelt vers Commerce. La police a décidé d’arrêter ces manifestants sensiblement à hauteur de la rue de la Paix. Après que des personnes se sont placées de manière statique devant la police, celle-ci a envoyé des grenades lacrymogènes et semble t-il des grenades de désencerclement. Cinq personnes ont été blessées dont une au pied, une à la taille, une au cou, une dans le dos en étant touchées par ces grenades.

L’Observatoire nantais des libertés considère que dans ces deux situations, la police n’a pas accompli sa mission de manière proportionnée et adaptée. La Préfecture a une double mission de maintien de l’ordre public : protéger les personnes – y compris les manifestants – et les biens et faire respecter les libertés dont le droit de manifester. Les personnes qui veulent manifester doivent pouvoir le faire librement et en sécurité. L’action des forces de l’ordre ne doit pas avoir pour effet de dissuader les citoyen-nes qui veulent s’exprimer pacifiquement dans la rue, de participer aux manifestations.

L’Observatoire nantais des libertés avec les associations Amnesty International, Association Républicaine des Anciens Combattants, Attac, Droit au logement, France Palestine Solidarité, Ligue de l’Enseignement-Fédération des Amicales Laïques, Ligue des droits de l’Homme, Maison des Citoyens du Monde, Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples, Mouvement National de Lutte pour l’Environnement, Syndicat de la Médecine Générale, Syndicat des Avocats de France, Tissé Métisse.

observatoirelibertesnantes@rezocitoyen.net

Les CHSCT victimes de la réforme du code du travail

Communiqué du Collectif nantais pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous

Les CHSCT feraient perdre du temps et entraveraient la productivité ! Pourtant l’intensification du travail, la précarité, les difficultés ressenties par les travailleurs auraient dû imposer le renforcement des Comités d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail.

La réforme du code du travail veut obliger les entreprises entre 50 et 300 salariés à supprimer les CHSCT et à les intégrer dans un « comité social et économique ». Seules les entreprises de plus de 300 salariés disposeront d’une commission « santé, sécurité et conditions de travail » aux attributions mal définies. D’autre part, l’employeur aura dorénavant la possibilité de contester devant le tribunal administratif les décisions de l’inspecteur du travail. Le collectif dénonce fermement cette mesure de régression sociale.

Comment des études indépendantes sur les risques professionnels seront-elles menées par ce nouveau « comité social et économique » ? Les salariés victimes de l’amiante, de toxiques, de troubles musculo-squelettiques, les 500000 salariés souffrant de troubles psychiques liés au travail … auront encore moins de recours pour se défendre. Pour le collectif, la promotion de la santé au travail ainsi que la sécurité des salariés doivent rester des objectifs prioritaires. Le collectif revendique de créer des CHSCT dans toutes les entreprises y compris à celles de moins de 50 salariés et d’étendre leurs compétences aux risques pour la santé publique et l’environnement engendrés par l’activité de certaines entreprises.
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Nantes, le 15/11/2017

UNION DÉPARTEMENTALE 44 CGT – SUD SANTÉ-SOCIAUX 44- FSU 44 – SYNDICAT DE LA MÉDECINE GÉNÉRALE- FÉDÉRATION GÉNÉRALE DES RETRAITÉS DE LA FONCTION PUBLIQUE- LDH Nantes et pays nantais – Agir ensemble contre le chômage AC44 – NI PAUVRE NI SOUMIS 44 – CONFÉDÉRATION SYNDICALE DES FAMILLES 44 – PLANNING FAMILIAL 44 – ENSEMBLE 44! – SAINT HERBLAIN À GAUCHE TOUTE

contact : collectifsantepaysnantais@gmail.com

Soutien à la famille ARABI – Appel à rassemblement mardi 17/10/17 à partir de 15h

Communiqué du collectif enfants étrangers citoyens solidaires (RESF 44)

Appel à rassemblement mardi 17 octobre à partir de 15h
Une famille demandeuse d’asile, avec 5 enfants (entre 9mois et 9ans), est sans hébergement depuis son arrivée à Nantes le 31 août dernier, malgré des signalements auprès de la DDCS, la Préfecture…
Nous avons décidé de les rendre visibles, et nous vous demandons de venir nombreux demain mardi, à partir de 15h, devant la Préfecture, où la famille et ses soutiens seront rassemblés, pour obtenir de la Préfecture la proposition immédiate d’un CADA (hébergement pour demandeur d’asile), comme la loi l’y oblige.
La pétition ci-dessous vous sera soumise pour signature lors du rassemblement ou en ligne.

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Refusons la banalisation de l’état d’urgence

Communiqué de presse commun d’organisations de Loire-Atlantique

Durant l’été, l’état d’urgence a été, pour la 6ème fois, renouvelé jusqu’au 1er novembre prochain. Il se prolonge depuis bientôt deux ans. La France est le seul pays d’Europe à avoir instauré l’état d’urgence en réponse aux attentats. Pourtant, il s’est avéré largement inefficace contre le terrorisme. Mais, il a été dévoyé contre des militants écologistes ou des opposants à la loi travail précédente et contre des personnes en raison de leur origine ou de leur religion réelle ou supposée.

Et voilà qu’au prétexte de mettre fin à l’état d’urgence, le gouvernement a proposé au Parlement une nouvelle loi inspirée de celui-ci. Un projet de loi qui donne au ministère de l’intérieur et aux préfets des pouvoirs qui sont du ressort de la justice. Ainsi, le ministère de l’intérieur pourra de manière ordinaire instituer un périmètre de protection, assigner à résidence un individu dans sa commune, imposer le port d’un bracelet électronique, ordonner des perquisitions administratives – y compris de nuit – ou décider de la fermeture d’un lieu de culte en dehors de toute procédure judiciaire, comme sous l’état d’urgence.

Le projet de loi dit que ces pouvoirs accrus de l’administration devront officiellement être réservés à la lutte contre le terrorisme. Le Sénat a ajouté que ces mesures devront rester expérimentales et ne s’appliquer que jusqu’en 2021.

Pour autant, nous demandons aux députés de ne pas voter cette loi.

Parce que cette loi viendrait après beaucoup d’autres sans qu’à aucun moment ait été pris le temps d’évaluer la pertinence des législations et l’efficacité des renseignements et de lutte contre le terrorisme. Cette loi porterait gravement préjudice à l’équilibre des pouvoirs, à la séparation entre le pouvoir exécutif et le pouvoir judiciaire et à la place du juge judiciaire en tant que garant constitutionnel des libertés individuelles comme celle d’aller et venir. Cette loi pourrait alors conduire à des abus et des dérives autoritaires en affaiblissant l’état de droit avec une logique du contrôle fondé sur le soupçon et non les faits. Cette loi pourrait également renforcer les fractures de notre société en désignant comme suspectes des catégories de populations définies par leur religion et/ou leur origine réelles ou supposées. Cette loi renforcerait un droit d’exception qui restreint les droits et les libertés sans pour autant renforcer la sécurité ; il est dangereux d’habituer les citoyen-ne-s à cette situation ; nous pourrions ainsi à terme perdre les deux : la liberté et la sécurité. Cette loi n’est pas une bonne réponse au terrorisme puisque celui-ci haït la démocratie et cherche justement la remise en cause de l’état de droit. Cette loi porte atteinte aux engagements internationaux et européens de la France.

Ce projet de loi dit « renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme » doit être examiné en commission à l’Assemblée nationale à partir du 11 septembre. Il doit être voté les 26 et 27 septembre. Une manifestation Pour nos droits et nos libertés a lieu ce dimanche 10 septembre à Paris.

Dans le département, nos associations demandent à rencontrer chacune et chacun des député-e-s de Loire-Atlantique pour lui demander d’une part la sortie de l’état d’urgence et d’autre part de ne pas voter cette loi.

Amnesty International, Association France-Palestine Solidarité (AFPS), ATTAC, Ligue de l’Enseignement – FAL 44, Ligue des droits de l’Homme (LDH), Maison des Citoyens du Monde (MCM), Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP), Mouvement National de Lutte pour l’Environnement (MNLE), Syndicat des Avocats de France (SAF), Tissé Métisse et Union départementale Solidaires

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