Pauvreté, scolarisation, opium… Découvrez à quel point l’Afghanistan a changé ces vingt dernières années


Un long conflit mettant des milliers d’Afghans sur les routes, une économie en croissance mais très inégalitaire, un système éducatif plus ouvert… Avec le retour au pouvoir des talibans, l’Afghanistan clôt un chapitre de deux décennies au cours desquelles le visage du pays s’est transformé. 


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Les médias libres existent, voici leur carte


Médias libres, indépendants, alternatifs… Le mensuel «L’Âge de faire» a réalisé une carte de la «presse pas pareille», lancée par le journal «Le Ravi», basé à Marseille, pour définir des journaux non inféodés aux pouvoirs politiques et économiques.


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Des poupées pour aider les petites filles sud-africaines à accepter leur identité



En Afrique du Sud, Caroline Hlahla et Khulile Vilakazi-Ofosu ont conçu des poupées à l’image des enfants qui y jouent.


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Le chant de la résistance autochtone en Amérique latine


Des forêts amazoniennes à l’Amérique centrale, des artistes jeunes et autochtones se réapproprient leur héritage millénaire au travers de la musique. En fusionnant leurs rituels et instruments ancestraux avec le rap, l’électronique et le reggaeton, ils luttent contre la discrimination, le racisme et l’oubli. Dans l’image l’artiste Lido Pimienta, d’ascendance afrocolombienne et wayuu.
(Daniela Murillo)


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A lire cet été, sur la plage ou au coin du feu…



9 bons essais féministes pour analyser la guerre mondiale contre les femmes.


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et bien plus encore…

Connaissez-vous le complexe du sauveur blanc ?



Pour Brut, la créatrice de contenu Crazy Sally en parle. 

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Un nouvelle suggestion de lecture



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Suggestion de lecture pour un WE pluvieux…


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Graves conséquences de la pandémie sur l’éducation dans le monde



Les gouvernements devraient agir rapidement pour réparer les dégâts sans précédent causés à l’éducation des enfants par la pandémie de Covid-19, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport rendu public aujourd’hui.


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Le philosophe Jacques Bouveresse est mort


Le philosophe Jacques Bouveresse. CAPTURE D’ÉCRAN – YOUTUBE


L’ancien professeur au Collège de France, titulaire de la chaire Philosophie du langage et de la connaissance, est mort à l’âge de 80 ans, ont annoncé au « Monde » plusieurs de ses proches, confirmant les informations de « Libération ».


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L’argent public pour les actionnaires ?


Un groupe de militants bloque l’entrée de la tour Total à La Défense en avril 2019. //PHOTO Guénolé LE GAL / Les Amis de la Terre / ANV-COP 21 / Greenpeace


Les entreprises du CAC 40 vont verser 51 milliards d’euros à leurs actionnaires. Leur chiffre d’affaires s’est pourtant effondré globalement de 55% cette année. Mais où les actionnaires trouvent-ils l’argent pour se rémunérer ?


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CECI N’EST PAS UN SPECTACLE !

Par Nicole François



Partout on voit fleurir des occupations de théâtres ou autres lieux culturels, des concerts dans la rue, du théâtre de rue…

En France, une centaine d’endroits sont investis, à Paris et dans de nombreuses villes, dont Troyes. Le mouvement essaime en Belgique et en Italie.


A première vue, on pourrait penser que la SEULE revendication des artistes est la réouverture des lieux de cultures.

En regardant de plus près, non :

« CECI n’est pas un spectacle mais une manifestation revendicative ! »

Un besoin de vivre ensemble, un besoin de rencontres, de danse et de joie cristallisé autour d’une chanson devenue symbole de contestation, de textes déclamés dans la rue, un besoin de culture… ?

Pas seulement non plus !

Les artistes sont rejoints par les syndicats, les associations, avec le sentiment, disent-ils, « d’avoir des destinées communes et de ne pas être seuls ».

Petit à petit, les problèmes des professionnels de la culture sont devenues le miroir des problèmes de tous les autres secteurs professionnels. Récemment, ce sont les agriculteurs qui les ont rejoints.

La culture, un catalyseur …

Les occupants des théâtres, les éclaireuses et les éclaireurs de la lutte contre la précarité généralisée

Parce que les arts servent aussi à pointer les dysfonctionnements de nos sociétés, les différents collectifs qui se créent partout soutiennent les luttes sociales…


C’est le cas du collectif aubois « Arts En Résistance ».

L’occupation du théâtre de la Madeleine depuis le 2 avril est l’une des nombreuses actions que souhaite développer ce collectif.

Présents sur place 24 h sur 24 et 7 jours sur 7 les résidents ont créé des espaces d’échanges, de réflexion, de partage et de rencontres, le tout dans le respect des normes sanitaires en vigueur, afin de protéger la population et prouver aux institutions qu’il est possible d’accéder à des événements culturels sans prendre de risques.

Ils demandent une concertation, une meilleure écoute et prise en compte de leurs revendications : la réouverture à court et moyen terme des lieux culturels, la prolongation de l’année blanche, un plan de relance spécifique et l’annulation de la réforme de l’assurance chômage.

« L’art infuse, diffuse, ici et maintenant, il est dans la vie de la cité, dans la rue, les écoles, les théâtres, les salles de concerts, les expositions, sur les immeubles, les monuments, les places, à la télévision, sur internet, sur nous, en nous, partout où il y a de la vie humaine. Il est notre humanité. Il est entier, indivisible, il est un tout.

Depuis plus d’un an, les salles de spectacles, les musées, les théâtres, les festivals sont fermés, situation inédite dans l’histoire de France. Aucune concertation sérieuse n’a été engagée, ni au niveau national, ni au niveau local depuis lors pour trouver des solutions. Bien que le premier confinement nous ait tous pris par surprise, par la suite, il y aurait dû y avoir une envie farouche de trouver des solutions pour palier la situation actuelle et réfléchir aux moyens de prévenir un avenir incertain. Le ministère de la culture et les institutions chargées de défendre la culture ne semblent plus investis de cette mission.

Aujourd’hui, les artistes et les techniciens sont sommés de ne pas travailler puisque les lieux culturels sont fermés et que les perspectives de réouvertures restent floues et sans moyen pour palier de nouvelles restrictions sanitaires à venir. De plus, nous devons subir l’incertitude de la pérennisation de nos statuts et la peur de basculer dans la pauvreté si la réforme de l’assurance chômage est votée.

C’est pourquoi nous rallions le mouvement national d’occupation des lieux culturels public initié par l’occupation du théâtre de l’Odéon.



Même chose dans une petite ville du Sud-Ouest, exemple parmi tant d’autres, où la mobilisation s’amplifie, soutenue par des partenaires associatifs, culturels, sociaux, syndicaux (santé, retraites, éducation, etc.) et politiques. Des A.G. hebdomadaires sont organisées. Jour et nuit, des personnes sont présentes sur site.

Elles s’écoutent, se respectent, ont le sentiment de vivre un moment important, au-delà même de la revendication centrale des droits des intermittents et de la réouverture des lieux de culture. Il leur importe de poursuivre sur la durée, de mener des actions réfléchies et non violentes, sans jamais donner prétexte au pouvoir d’évacuer.

« Nous nous inscrivons dans le mouvement national d’occupation des espaces culturels, avec plus de 100 lieux occupés en France.

Au travers de nos revendications (abrogation de la réforme de l’assurance chômage, ouverture du RSA aux moins de 25 ans, etc.), nous luttons contre la précarité et pour la reconnaissance du rôle essentiel de la culture dans l’épanouissement de toute la société.

De l’argent il y en a. Construisons de nouveaux droits ! »


Le collectif a interpellé le Préfet en ces termes :

« Monsieur le Préfet,

Dans la volonté d’être dans le dialogue avec vous et l’ensemble des forces de l’ordre, nous vous adressons cette lettre.

Toutes nos actions sont revendicatives. TOUTES ! Nous sommes en droit de leur donner le caractère et la forme que nous voulons.

Aujourd’hui, les manifestations ne sont plus uniquement des marches dans la rue avec quelques pancartes, les manières de revendiquer ont changé et tous les modes de revendication sont légitimes.

Nos actions musicales et performatives s’inscrivent pleinement dans notre mouvement revendicatif.

En jouant ici gratuitement, les artistes dénoncent les conditions d’accès à l’intermittence du spectacle.

Aujourd’hui, il faut justifier de 507 heures de travail payées pour obtenir et valider le statut d’intermittent.

Mais avec le prolongement de la fermeture des lieux culturels, la grande majorité ne sera pas en mesure de déclarer ces 507 heures d’ici la fin de l’année blanche, en août 2021. C’est donc un grand nombre d’artistes et technicien.ne.s qui vont se retrouver à la rue ! A la rue !! Puisque cela équivaut à une perte d’emploi.

Comment un tel message sortirait-il du cadre juridique d’une manifestation revendicative ? Cela nous échappe !

Ce que nous revendiquons avec l’occupation des lieux culturels depuis le début, ce sont des « moyens convenables d’existence » pour toutes et tous (Article 11 du Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946).

Nous nous battons donc CONTRE la Précarité et POUR la Culture. Raison pour laquelle nous exigeons et continuerons de manifester.

Pour cela, nous avons besoin de la certitude de pouvoir poursuivre nos manifestations musicales et performatives sans risque de saisie du matériel et de verbalisations.

De notre côté, nous nous engageons à faire respecter les gestes barrières et les normes sanitaires lors de nos manifestations, engagez-vous à faire respecter notre liberté d’expression. »




En occupant des lieux partout en France, les travailleurs de la culture ont engagé un mouvement à la fois radical et large.

Tout a commencé début mars lorsque, dans plusieurs villes de France, des manifestations « Culture en colère » défilent dans les rues. À Paris, un groupe entre dans le théâtre de l’Odéon avec l’idée d’y passer au moins une nuit. Plus d’un mois plus tard, l’occupation de l’Odéon dure toujours et de nombreux théâtres, opéras, scènes de danses et lieux culturels sont occupés un peu partout en France.

« Dans les cortèges des manifestations “Culture en colère”, nous étions au côté d’organisations patronales de la culture dont les mots d’ordre se limitaient à la réouverture des lieux. On pensait que c’était insuffisant et qu’il fallait commencer à élargir le mouvement »

C’est ainsi que, côte à côte, salariés permanents de la culture, intermittents, petites compagnies, syndicat du spectacle musical, syndicats des entreprises artistiques et culturelles, fédération des employeurs du spectacle vivant, associations de producteurs, d’entrepreneurs du spectacle ou de télévisions locales, se rassemblent autour du seul mot d’ordre « la réouverture des salles ».

Mais très vite surgissent des revendications qui excèdent le seul domaine culturel, une volonté de durcir le mouvement et de l’élargir à d’autres franges de la société: aux précaires.


« Pourquoi se tourner vers les précaires ? Mais parce que nous sommes nous-même des précaires ! »


Et ce n’est pas seulement parce qu’elle est d’actualité que la réforme de l’assurance chômage est au cœur de la bataille des théâtres. La survie même du métier d’intermittent du spectacle dépend de ses conditions particulières d’accès au chômage. Or, l’actuelle réforme de l’assurance chômage, s’il elle ne s’en prend pas directement aux intermittents, s’en prend à leurs semblables : ceux qui alternent périodes de travail et périodes de chômage et qu’on appelle « intermittents hors spectacle ».

« Les saisonniers, les salariés de la restauration, toutes ces professions précaires… c’est elles qui vont être les plus touchées par la réforme ! Le gouvernement le dit clairement : il n’accepte plus que l’assurance chômage leur assure un revenu décent pendant les périodes où ils sont hors de l’emploi. Or c’est bien sur ce principe de solidarité que repose le statut d’intermittent : à partir du moment où on a travaillé un certain nombre d’heures, on est assuré d’avoir un revenu toute l’année, même quand on n’est pas en emploi. En 2022, les annexes 8 et 10 de l’assurance chômage, qui régissent notre statut, seront renégociées. Si on ne se bat pas dès maintenant, on peut être sûr que ce régime sera perdu. »




En mettant la question du chômage dans leur viseur, les occupations réussissent à rassembler au-delà des seuls intermittents.

A Marseille, « des membres de syndicats de précaires, des salariés d’entreprises en lutte , des membres d’associations culturelles passent nous voir, ils sentent que l’on mène un combat commun ».

À Rennes, une coordination d’intermittents et de précaires est renforcée par des travailleurs de l’éducation, et encore des postiers en grève.

A Toulouse , « nous avons établi un décompte, plus de 1000 personnes sont passées par notre occupation ».

A Paris, de nombreux étudiants en art se sont également emparés de ce mode d’action particulier qu’est l’occupation en ouvrant le théâtre de la Colline à Paris, un des premiers lieux occupés après l’Odéon. « À l’heure actuelle, on demande aux étudiants de se projeter sur un marché de l’emploi qui n’existe pas. C’est bien normal qu’ils soient angoissés ! Ce que nous attendons de cette occupation c’est qu’elle puisse toucher les gens au-delà des habitués du théâtre ».


 
Une mobilisation solidaire

Au-delà de l’ampleur que prend cette mobilisation, elle porte en elle un combat qui dépasse le seul sujet des arts et de la culture.

Les occupants de l’Odéon, puis toutes celles et ceux qui ont suivi et continuent de suivre leur démarche, ont fait le choix de se battre non uniquement pour leur condition de travailleurs de l’art, mais pour l’ensemble des citoyennes et citoyens.

Convergences

Convergence des revendications

Convergence des luttes

Convergences des espérances 

« Numéro 387, disparu en Méditerranée », des cimetières sous la mer

« Numéro 387, disparu en Méditerranée » (LITTLE BIG STORY, STENOLA PRODUCTIONS, Graffiti Doc)


Pendant trois ans, la documentariste Madeleine Leroyer a suivi le travail de chercheurs en charge de l’identification de migrants, morts au large des côtes libyennes.


Ce soir samedi 3 avril à 21h sur Public Sénat. Documentaire français de Madeleine Leroyer (2020). 52 min. (Disponible en replay sur le site de Public Sénat).

Pour en savoir plus c’est ICI

Débat en ligne

Jeunesse et extrême droite. Cinquante nuances de brun ?

Jeudi 25 mars à 18 h 00, par le Musée national de l’histoire de l’immigration


Intervenants : 

  • Jean-Yves Camus, politologue spécialiste de l’extrême droite, auteur avec Nicolas Lebourg de Les droites extrêmes en Europe (Seuil, 2015).
  • Paul Conge, journaliste, auteur de Les Grands remplacés. Enquête sur une fracture française (Arkhé éd., 2020).
  • Fiona Lazaar, Députée du Val-d’Oise, engagée dans les travaux de la mission d’information parlementaire sur l’émergence et l’évolution des différentes formes de racisme.

 Une rencontre animée par Nora Hamadi, journaliste, Arte.


Inscription ICI

« N’Y VOYEZ PAS MALICE »

IL EST ENFIN ARRIVÉ, sorti tout chaud des presses de HOP en Vendée, le livre de bonne humeur de Jean Lefèvre. 

Pourquoi ce livre ?

Pour honorer cent ans d’un journal, la DÉPÊCHE DE L AUBE, né en décembre 1920 et toujours debout, la crête rouge et le cœur ardent. 

Jean Lefèvre y écrit des billets depuis plus de 40 ans où il égratigne ou caresse de nombreuses têtes d’affiches du monde politique ou artistique. 

Un livre de billets d’humeur « pour vous déplisser de plaisir la matière grise » dit Barnard Vasseur dans sa préface. 

Il s’agit en effet pour l’auteur de libérer certains  lecteurs de leur idolâtrie pour  certains hommes politiques qui ont failli et failliront encore.

Des textes lestes, pétillants,  incisifs, rudement bien tournés, parfois de mauvaise foi, l’auteur le reconnaît, mais c’est pour mieux déboulonner les statues.

Il y a aussi des textes d’amour, ceux qui mettent en scène les artistes d’ici et de plus loin: le TPC, la Strada, les Humbert, la Madeleine, le  Gérard-Philipe, les Octaves, l’OSA, l’accordéon de Packo ou d’Azzola, la guitare d’Alain, les Nuits, et bien d’autres , photographes, chroniqueurs, etc.

Le livre s’est permis à la fin de récolter parmi les  1000 billets non publiés, des pensées éparses que Jean Lefèvre appelle MALICERIES. Tout un art, toute une philosophie. 

Le livre sera disponible à la Dépêche de l’Aube, 22 ter Avenue Anatole France à Troyes  à partir de lundi 22 mars. 

N’Y VOYEZ PAS MALICE, La Dépêche de l’Aube 2021, 260 pages, 16 €. (Port + 8 €) 

La Dépêche est ouverte entre 9 h 30 et 17 h 30. 

Signatures de l’auteur: Mercredi 24 à 16 h

Vendredi 26 à 16 h

Romilly s Seine le samedi 27 mars à 15 h. 66 rue de la Boule d’Or.


Corinne BAUDEMENT

Le cinéma, ça n’est pas que les Cesar, les Oscar ou les Grammy Awards



Le CGR CinéCity de Troyes, l’Eden de Romilly-sur-Seine, le Lumière de Nogent-sur-Seine, les nombreux  lieux où Cinéligue Champagne-Ardenne pose son projecteur, le très attendu cinéma d’art et d’essai UTOPIA de Pont-Sainte-Marie espèrent tous une réouverture prochaine, tout comme le collectif  « Une maison pour le cinéma » de Bar-sur-Aube, qui nous donne des nouvelles des efforts déployés par la SCOP dans le but d’assurer un avenir au 7ème art sur notre territoire.


Une très bonne nouvelle et une petite vidéo qu’on a fabriquée

Nous avons gagné une subvention LEADER (en provenance de l’Union Européenne et gérée par un Groupe d’Action Locale sur le territoire barséquanais) dans le but de financer l’équipement pour un cinéma itinérant! C’est une super nouvelle! La SCOP va pouvoir acheter un vrai projecteur de cinéma itinérant, un serveur pour les films, un système de son performant et une série d’écrans modulables jusqu’à 11m de largeur. Vous imaginez déjà des projections en plein air super chouettes? Qu’en pensez-vous?

Pour présenter notre projet de façon…énergisante et colorée, nous avons fabriqué une petite vidéo pour la commission qui nous a évalué.e.s, dont on vous met le lien ici en avant première!! On vous épargne le dossier écrit de 5999 pages …eheh 😉

https://cinema-levagabond.jimdo.com/un-cin%C3%A9ma-qui-vagabonde/?preview_sid=513676

Dites-nous ce que vous en pensez!!

L’idée avec ce matériel, c’est de démarrer dès juin 2021 (si possible avec les règles COVID) une série de projections en plein air en collaboration avec PASSEURS D’IMAGES. Si vous avez des idées elles sont, comme toujours, les bienvenues!!

Un saut dans le futur : idées pour une belle rénovation du Vagabond

Nous avons beaucoup travaillé autour de l’idée de rénover le bâtiment actuel du Vagabond pour le rendre, d’abord conforme aux normes, puis aussi plus accueillant, plus sûr, plus convivial et plus ouvert. Nous travaillons dur pour trouver les ressources nécessaires pour rendre cela possible… Là aussi, avez-vous des idées?

Nous espérons pouvoir au plus vite présenter un projet concret et précis à la Mairie de Bar-sur-Aube.

Vous trouverez en pièce jointe, ça aussi en super avant-première, es idées sur comment nous souhaiterions transformer les espaces et réinventer le Vagabond tout en gardant ce que l’on aime de ce lieu auquel nous sommes tou.te.s attaché.e.s! Il y a, dans une des plaquettes en pièce jointe, un plan dessiné et coloré de nos idées. Qu’en pensez-vous? Deux salles de ciné, une salle « créative » pour y accueillir les associations locales, des spectacles, des ciné-concerts, les petit.e.s, un espace détente avec petite buvette et coin relax/lecture/partage…. nous sommes curieu.x.ses de savoir ce que cela vous fait ressentir…viendriez-vous boire un verre au Vagabond (une fois la pandémie derrière nous) ?

Nos plaquettes de présentation en pièce jointe

Dans les documents joints vous trouverez plein d’idées, de réflexions et  de projets pour le futur; des points sur lesquels nous travaillons à la fois d’un point de vue théorique/éthique, mais aussi pratique. 

N’hésitez pas une seule seconde à exprimer vos avis, nous en avons besoin.

Merci cher.e.s ami.e.s,

A bientôt,

Costanza, Raphaëlle, Romain et Sara

L’équipe de CasaCiné

Avec ses femmes nues, l’artiste afghane Kubra Khademi continue de briser les tabous


Les œuvres de Kubra Khademi, « The Two Page Book » et « In the Realm », exposées à la galerie Éric Mouchet. © Rebecca Fanuele / Galerie Éric Mouchet


La peintre afghane exilée en France depuis cinq ans met la sexualité et le plaisir féminin à l’honneur dans une exposition à Paris. Loin des clichés sur l’Afghanistan, le travail de cette artiste sans tabou rend hommage aux traditions des poèmes humoristiques et érotiques de sa culture natale.


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