Dans le nord de Gaza, les habitants décrivent l’horreur et la déshumanisation


À Gaza, la situation dans le nord ne cesse d’empirer. Un siège dans le siège depuis 20 jours, et déjà 770 morts dans cette opération militaire menée par l’armée israélienne, d’après la défense civile de Gaza. Les habitants décrivent qu’il n’y a pas de nourriture, pas d’eau, pas d’équipes de secouristes, pas d’ambulances, pas de personnel paramédical. Les civils se disent terrifiés. Selon l’Unrwa, le nord de Gaza est en proie à une catastrophe humanitaire avec des niveaux d’insécurité alimentaire élevés. Témoignages recueillis depuis Jérusalem, l’armée israélienne empêchant toujours l’entrée à Gaza aux journalistes étrangers.



Exactions commises à Gaza par l’armée israélienne, une nouvelle ère du droit international?


Le parquet fédéral belge a ouvert une enquête pour des soupçons de crimes de guerre commis à Gaza par un sniper belgo-israélien. C’est la première fois que la justice d’un État européen prend en main la question des exactions commises à Gaza. Une décision basée sur des éléments fournis par un journaliste palestinien. 



Au Liban, la guerre prive de cours des dizaines de milliers d’élèves et d’enseignants


Alors qu’Israël poursuit son offensive au Liban, des dizaines de milliers d’élèves et d’enseignants sont privés de cours. Certaines écoles publiques de Beyrouth se transforment en refuges pour les familles déplacées, tandis que le ministère de l’Éducation cherche des solutions pour maintenir l’année scolaire. Reportage de Serge Berberi.



Le Liban accuse Israël de « crime de guerre » après la mort de trois journalistes


La frappe a visé Hasbaya, une localité du sud du Liban située dans une région à majorité druze jusque-là épargnée. Israël n’a pas commenté cette frappe.


Israël : un an après le 7 octobre, l’urgence d’un cessez-le-feu et de la libération des otages 



Ce 7 octobre marque le triste anniversaire des crimes commis par le Hamas et les groupes palestiniens à l’encontre de la population civile israélienne. Des crimes atroces et injustifiables pour lesquels nous appelons à la justice devant les juridictions internationales. Nous continuons d’appeler également et avec force à la libération immédiate et sans condition des otages retenus à Gaza. 

Ce 7 octobre marque malheureusement aussi le début de l’offensive destructrice menée par les forces israéliennes à Gaza : une catastrophe humanitaire sans précédent, un risque majeur de génocide, une extension du conflit qui laisse craindre un embrasement régional. Nous continuons à exiger un cessez-le-feu immédiat. Nous continuons à exiger le respect du droit international et la justice pour toutes les victimes de ce conflit effroyablement meurtrier.” 

Anne Savinel-Barras, Présidente d’Amnesty International France 

Notre demande  

Un cessez-le-feu immédiat et la libération immédiate et sans condition de tous les otages civils retenus en captivité par le Hamas et d’autres groupes armés, et de tous les Palestiniens et Palestiniennes détenus illégalement par Israël.  



Attaques du 7-Octobre : la droite israélienne, le Hamas et la guerre sans fin


Les attaques terroristes du 7 octobre 2023 menées par le Hamas dans le sud d’Israël et la riposte israélienne visant à l’anéantissement du mouvement palestinien à Gaza ont précipité le Moyen-Orient dans une spirale de l’enfer. Les deux principaux acteurs de cet affrontement, le Hamas palestinien et la droite nationaliste et religieuse israélienne, refusent depuis plus de trente ans toute solution négociée en Israël-Palestine. Explications.



Guerre à Gaza: «Des enfants qui n’ont pas une vie d’enfant»


Il y a une année, le 7 octobre 2023, survenait l’attaque terroriste la plus meurtrière de l’histoire d’Israël. Plus de 1 200 personnes tuées par les commandos du Hamas. L’hécatombe. Un anniversaire tragique qui marque également le début de la guerre à Gaza, et le carnage qui y est commis par l’armée israélienne. Le massacre de près de 42 000 Palestiniens. Majoritairement des femmes et des enfants. À Jérusalem, rencontre avec un responsable de l’Unicef Palestine, tout juste revenu de Gaza.



« Il faut que le monde voie l’ampleur des horreurs » : un an de guerre entre Israël et le Hamas vu par sept photojournalistes israéliens et palestiniens


A travers leurs photos sur le terrain, ils racontent un conflit pour l’heure sans issue, qui a déjà fait près de 42 000 morts palestiniens et plus de 1 200 morts israéliens.


« La situation à Gaza est apocalyptique », dénonce le haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme


Dans un entretien accordé à France 24, le haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme se déclare profondément préoccupé par la situation dans la bande de Gaza, qu’il qualifie de « catastrophe humanitaire apocalyptique ». Volker Türk dénonce de « graves violations du droit international humanitaire », citant le blocus israélien du territoire et l’utilisation d’explosifs dans des zones densément peuplées.

Voir ICI


Gaza: face aux demandes de l’ONU, Israël multiplie ses attaques contre l’organisation


Human Rights Watch : « Israël a délibérément visé des journalistes »

Massacre à Gaza : L’autre catastrophe humanitaire occultée par les médias


La situation des femmes palestiniennes à Gaza est désastreuse. Leurs droits les plus fondamentaux sont bafoués. Gaza est un petit territoire qui fait partie des endroits les plus peuplés au monde avec 6 090 habitants par km2 contre 450 en Israël.

Depuis le 7 octobre, les conditions des femmes se sont détériorées. Les rares hôpitaux encore ouverts n’arrivent plus à fonctionner dignement… quand on sait qu’il ne reste que 2 médecins et 1 lit d’hôpital pour 1000 habitants. Les opérations comme les accouchements se font sous le flash d’un téléphone, sans anesthésie, sans sage-femme, sans anti-douleurs…

Selon l’ONU, plus de 70% des victimes de cette guerre sont des femmes et des enfants palestiniens. Il y a une recrudescence de maladies respiratoires, de mortinaissances, de pathologies infectieuses, etc. Le fait qu’il n’y ait qu’une toilette pour 160 personnes et une douche pour 700 personnes, fait aussi partie de cette aggravation de l’état sanitaire actuel à Gaza. Les femmes indisposées n’ont pas accès aux protections hygiéniques et les femmes atteintes d’endométriose ne peuvent recevoir les soins nécessaires… S’ajoutent à cela toutes les pathologies psychologiques liées aux traumatismes de guerre.

Source LE MEDIA

METTRE FIN À L’INSOUTENABLE



Guerre Hamas-Israël: «Il y a une catastrophe humanitaire d’une très, très grande ampleur»


Israël éradique le journalisme à Gaza : dix journalistes tués en trois jours, 48 depuis le début de la guerre