
Leur nombre diminue par rapport à 2014, mais la tendance est inverse dans certains pays, dont la France.
La situation des femmes palestiniennes à Gaza est désastreuse. Leurs droits les plus fondamentaux sont bafoués. Gaza est un petit territoire qui fait partie des endroits les plus peuplés au monde avec 6 090 habitants par km2 contre 450 en Israël.
Depuis le 7 octobre, les conditions des femmes se sont détériorées. Les rares hôpitaux encore ouverts n’arrivent plus à fonctionner dignement… quand on sait qu’il ne reste que 2 médecins et 1 lit d’hôpital pour 1000 habitants. Les opérations comme les accouchements se font sous le flash d’un téléphone, sans anesthésie, sans sage-femme, sans anti-douleurs…
Selon l’ONU, plus de 70% des victimes de cette guerre sont des femmes et des enfants palestiniens. Il y a une recrudescence de maladies respiratoires, de mortinaissances, de pathologies infectieuses, etc. Le fait qu’il n’y ait qu’une toilette pour 160 personnes et une douche pour 700 personnes, fait aussi partie de cette aggravation de l’état sanitaire actuel à Gaza. Les femmes indisposées n’ont pas accès aux protections hygiéniques et les femmes atteintes d’endométriose ne peuvent recevoir les soins nécessaires… S’ajoutent à cela toutes les pathologies psychologiques liées aux traumatismes de guerre.
Source LE MEDIA
En pleine crise humanitaire, la suspension de programmes d’aide vitale fait du tort aux civils.
750 personnes étaient à bord du chalutier lorsqu’il a chaviré. Aujourd’hui, les autorités le constatent, les rescapés sont tous des hommes. Que sont devenus les femmes et les enfants ? Autant de disparus et de membres de familles désespérées.
La libération de la parole s’étend dans le monde sportif, où les enfants sont particulièrement concernés par les violences. L’Etat et les fédérations ont commencé à agir et tentent d’y remédier. Etat des lieux.
Née en France en 1945, dans l’après-guerre, la Protection Maternelle et Infantile (PMI) est aujourd’hui menacée. Les centres de PMI sont des lieux qui accueillent gratuitement les parents et leurs enfants de moins de 6 ans. Consultations prénatales, suivi du bébé et du jeune enfant… Ces structures voient se croiser des parents de différents horizons, venus chercher des conseils auprès de professionnels : puéricultrices, psychologues, assistants sociaux.
L’UNICEF a dévoilé dans une étude l’état de la hausse de la pauvreté dans les régions d’Europe de l’Est et d’Asie Centrale, marquées par la guerre en Ukraine et l’inflation galopante.
La procédure qui encadre le retour de ces ressortissants qui vivaient jusqu’ici dans des camps de prisonniers jihadistes est désormais rodée et commence dès la descente de l’avion.
Sept enfants de moins de 14 ans ont été, en un mois, enfermés dans des centres de rétention. Maria s’est retrouvée derrière les barreaux avec sa fille de quatre mois. Elle raconte.
« C’est presque un enfant chaque seconde qui, depuis deux mois, a franchi les frontières de son pays », selon Ann Avril.
La commissaire européenne aux Affaires intérieures a alerté lundi sur le risque pour les enfants ukrainiens d’être victimes de trafic humain alors qu’ils fuient leur pays. Environ la moitié des 3,3 millions d’Ukrainiens qui ont fui vers les pays de l’Union européenne depuis le début de la guerre sont des enfants.
Selon Philippe Cori, directeur adjoint d’Unicef en Europe et Asie centrale, « cinq millions d’enfants sont traumatisés par ce conflit en Ukraine ». En plus de l’exode massif des Ukrainiens, beaucoup d’enfants ont été blessés ou tués depuis le début de la guerre. « 91 000 enfants sont institutionnalisés en Ukraine, c’est à dire avec un handicap », poursuit-il. Philippe Cori dénonce également les bombardements russes sur les écoles, les orphelinats ou les maternités.
Le 7 février 2022, les forces kurdes de l’Asayesh ont fait feu dans le camp d’Al-Hol. Au moins un enfant aurait été tué et trois autres blessés. Cet événement rappelle les conditions épouvantables dans lesquelles vivent des milliers d’enfants.
Il est nécessaire de garantir un accompagnement médical et psychologique à long terme pour les enfants dont la mère a été tuée par son conjoint, selon un collectif de députés.
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Pour son documentaire « Réveil sur mars », la réalisatrice Dea Gjinovci a rencontré plusieurs familles dont certains enfants sont atteints du syndrome de résignation..
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Alors que nos principales préoccupations en cette période de confinement portent sur la préservation de notre santé et de celle nos proches, nous devons également penser aux millions d’enfants qui courent le risque de devenir les victimes oubliées de cette pandémie. De quoi leurs lendemains – et, à terme, leur avenir – seront faits relève de notre responsabilité aujourd’hui.
Valentina Otmacic, Directrice adjointe en charge du plaidoyer dans le Département de la communication à l’UNICEF explique pourquoi il est important de protéger ces enfants durant cette pandémie.