Droits des enfants : Rassemblement samedi 19 novembre – 14h30 – place Graslin à Nantes

Samedi prochain 19 novembre, place Graslin à 14h30
Veille de l’anniversaire de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE)

Les associations et syndicats signataires vous invitent à partager ensemble un temps festif et revendicatif alternant prises de parole et petits spectacles pour sensibiliser le public aux inégalités subies par les plus vulnérables d’entre nous : les enfants et les jeunes.
Venez nombreux !
(texte d’appel ci-dessous)
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Samedi 19 novembre, Nantes, place Graslin, 14h30

Rassemblement unitaire pour la défense des droits des enfants

Parce qu’il y a urgence

33 ans après l’adoption de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant, exigeons, au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant, une effectivité inconditionnelle de tous les droits pour tous les enfants et les jeunes.

Comment peut-on encore aujourd’hui priver des enfants de leurs droits fondamentaux, quand la ratification de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant par la France et les pays signataires devait garantir à tous l’accès inconditionnel à leurs droits ?

Nous dénonçons, ensemble, les atteintes économiques, sociales, institutionnelles portées aux droits des enfants et des jeunes, les injustices et les inégalités dont ils sont les victimes, rendus d’autant plus vulnérables qu’ils sont mineurs.

Les violences faites aux enfants sont aussi celles imposées par les conditions de vie qui excluent leur famille. Les carences, les négligences institutionnelles participent à leur isolement en accentuant les inégalités qui s’accumulent et forment autant d’agressions sur leurs personnes en devenir.

La Ligue des droits de l’homme et toutes les organisations associatives et syndicales réunies place Graslin à Nantes le 19 novembre 2022, veille de l’anniversaire de la C.I.D.E, expriment haut et fort l’urgence à rendre tous les droits de tous les enfants, effectifs, dans tous les domaines :

  • URGENCE à débloquer les moyens indispensables à ce que chaque enfant de notre territoire accède à tous ses droits sans exception : qu’il soit logé, nourri, scolarisé, éduqué, soigné, protégé.
  • URGENCE à scolariser, sans distinction aucune, tous les enfants : il faut agir pour accueillir réellement (accessibilité par proximité et transports) chacun d’entre eux dans des écoles, collèges et lycées pour qu’ils apprennent et s’émancipent. Un enfant qui ne peut apprendre est un enfant en danger.
  • URGENCE à accorder à l’aide sociale à l’enfance les moyens pour assurer la protection des plus fragiles : des postes pour les professionnels, des places pour les enfants. Un enfant livré à lui-même est un enfant en danger.
  • URGENCE à attribuer des moyens humains et matériels à la justice des enfants, pour garantir la nécessaire protection de chacun d’entre eux. Un enfant qui passe à l’acte est avant tout un enfant en souffrance et en rupture, par conséquent en danger. Appelons à une justice pénale des mineurs rappelant les principes fondateurs de l’ordonnance de 1945 et la primauté de l’éducation sur la répression.
  • URGENCE à accueillir sans condition tous les enfants arrivant sur notre territoire, refusons leur enfermement dans des Centres de Rétention Administratifs. Un enfant enfermé est un enfant en danger.
  • URGENCE à déverrouiller les impasses de prises en charge du handicap. Il faut des postes et des places dans les structures d’accueil des enfants qui en ont besoin ici et maintenant. Un enfant qui ne reçoit pas les soins nécessaires est un enfant en danger.
  • URGENCE à mettre en place pour les jeunes un vrai parcours émancipateur qui s’inscrive dans les missions éducatives de l’État et leur permette de choisir librement, demain, leur futur, fait de solidarité et de liberté, parce qu’ils auront construit leur façon de s’engager.

Parce que nous refusons la fatalité des inégalités, parce que nous voulons que demain ces enfants ne deviennent pas des adultes rendus vulnérables à cause de ce qu’ils auront vécu pendant leur minorité.

IL Y A URGENCE À GARANTIR AUX ENFANTS L’ACCÈS À LEURS DROITS.


Premiers signataires :

Alfa Apel Égalité, Amnesty International, Centres d’Entraînement aux Méthodes d’Éducation Active (CEMÉA), Confédération Générale du Travail (CGT), Comité Inter-Mouvements Auprès Des Évacués (CIMADE), Collectif Romeurope agglomération nantaise, Fédération des Conseils de Parents d’Élèves (FCPE), Égide Solidarité, Fédération Syndicale Unitaire (FSU), Ligue des droits de l’Homme (LdH), Médecins du Monde – mission Mineurs Non Accompagnés (MDM-MNA), Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP), Réseau Éducation Sans Frontière (RESF), Union syndicale Solidaires… (Liste en cours)

29e Journée Nationale Prison : « Pauvreté dedans, pauvreté dehors » – Jeudi 17 novembre

La LdH fait partie du Collectif Prison 44 et vous invite donc à cette 29e Journée Nationale Prison.

29ième Journée Nationale Prison à Nantes

« PAUVRETÉ dedans, PAUVRETÉ dehors »

Jeudi 17 novembre de 19 heures à 22 heures

Salle des variétés – Cinéma Bonne garde – 20 rue du frère Louis Nantes (Pirmil)

Être pauvre en prison, cela signifie avoir des ressources insuffisantes pour faire face au coût de la vie en détention et aux dépenses extérieures qui continuent de courir. Plus globalement, s’installe ou s’amplifie la pauvreté sociale, culturelle, de santé (psychique, somatique) et des relations sociales (famille, amis). Pauvreté en confiance en soi, en manque de repères, en capacité à réguler ses émotions et à identifier des moyens pacifiques pour trouver sa place dans la société. Elle impacte aussi la famille, les enfants… Une pauvreté pas prévue au départ qui atteint la dignité et l’intimité.

Au programme :

  • Témoignages de personnes ayant connu la détention et suivies par les associations Permis de Construire et L’Étape.
  • Table ronde organisée avec des membres des associations du Collectif Prison 44 et Monsieur Jean CAËL, responsable du département prison-justice au Secours Catholique – Caritas France. Il a participé en 2021 à la rédaction d’un rapport d’Emmaüs France et du Secours catholique dénonçant des conditions de détention qui conduisent à une paupérisation morale, intellectuelle et relationnelle hypothéquant les chances de réinsertion. Selon ce rapport :  » La précarité devient irréversible en prison. »

Collectif Prison 44
AIDES – ANVP – Aumônerie du Centre Pénitentiaire – Auxilia – La CIMADE – Le CLIP Secours Catholique – Le Courrier de Bovet – La Croix Rouge – L’Éclaircie

L’Étape – La Ligue des Droits de l’Homme – Permis de Construire – Prison Justice 44 – Le Relais Enfants Parents Incarcérés – Source d’envol

Collectif nantais Romeurope : exposition et soirée-débat

Nous relayons les invitations du Collectif Romeurope agglomération nantaise dont la LDH est partie prenante :

– à une exposition « L’esclavage des Roms dans les principautés roumaines : cinq siècles d’esclavage oublié » jusqu’au 13 novembre à l’espace Cosmopolis 18 rue Lekain Nantes ;

– à une soirée-débat « Un autre regard sur les Roms » avec Nicolas Clément le mardi 15 novembre – 20h à l’amphi de la Médiathèque Jacques Demy 24, quai de la Fosse Nantes.

Dans le cadre de Festisol 2022, le collectif Romeurope de la région nantaise présente une exposition sur 5 siècles d’esclavage oublié des Roms dans les provinces roumaines (Cosmopolis du 3 au 13 novembre)  et la conférence-débat « Un autre regard sur les Roms » du mardi 15 novembre à 20 h 30 à la Médiathèque Jacques Demy.

Festival des solidarités 2022 en Loire-Atlantique : jusqu’au samedi 3 décembre!

La LdH section de Nantes et du pays nantais est membre de la MCM (Maison des citoyens du monde) et partie prenante du Festival des solidarités.

Lancé il y a plus de 20 ans, le Festival des Solidarités est un rendez-vous international pour promouvoir et célébrer une solidarité ouverte au monde et aux autres. 🎉​

Chaque année en novembre, des associations, collectivités, établissements scolaires, structures socio-culturelles, acteurs d’économie sociale, groupes de citoyen.ne.s, etc. organisent plus de 4 400 animations conviviales et engagées pour donner aux citoyen.ne.s de tout âge l’envie d’agir pour un monde juste, solidaire et durable. ​🤝​

✨​ L’édition 2022 se déroulera du jeudi 3 novembre au samedi 3 décembre ! ✨​

Les animations ont lieu partout en France, mais aussi dans d’autres pays : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Congo, Guinée, République Centrafricaine, Togo… ​🌍​

Le Festival des Solidarités est un projet porté par le CRID (Centre de Recherche et d’Information pour le Développement)

Programme du Festival des solidarités en Loire-Atlantique à télécharger ici ou sur : https://fr.calameo.com/read/007182390c567b361887e

Invitation Conférence-débat 8 novembre: « Penser les droits humains du futur, pour agir aujourd’hui »

Conférence débat avec Patrick Baudouin, président honoraire de la FIDH et président de la LDH, organisée par la section de Nantes et du pays nantais de la LDH, dans le cadre du Festisol 

Mardi 8 novembre à l’espace Cosmopolis, 18 rue Scribe, Nantes, 20h

La section de Nantes et du pays nantais organise, dans le cadre du Festival des solidarités (Festisol), une soirée à l’occasion du centenaire de la Fédération Internationale des Droits Humains (FIDH)

Comment affirmer l’universalité des droits dans un monde fragmenté ? Comment penser les droits humains du futur afin qu’ils puissent nous aider à affronter les nouveau défis climatiques et écologiques ? Comment préserver nos libertés face à l’utilisation des nouvelles technologies de surveillance et de contrôle ?

Autant de réflexions collectives nécessaires pour nourrir nos engagements pour un monde solidaire.

Présentation du Festisol :https://www.mcm44.org/

Programme complet du Festisol sur le site de la MCM : https://www.mcm44.org/spip.php?article3230

Soirée Festisol « Penser les droits humains du futur, pour agir aujourd’hui » – Mardi 8 novembre à Cosmopolis

Penser les droits humains du futur

Pour agir aujourd’hui

Soirée organisée par la LDH, dans le cadre du  

Nous avons le plaisir de vous inviter à participer à la soirée organisée par la section de Nantes et du pays nantais dans le cadre du Festival des solidarités (Festisol), organisé à Nantes par la Maison des citoyens du monde (MCM) dont la section est membre.

Cette soirée est organisée à l’occasion du centenaire de la Fédération Internationale des Droits Humains (FIDH) avec son président honoraire, Patrick Baudouin, actuel président de la LDH.

18h : déambulation dans l’exposition des 100 ans de la FIDH, échanges avec les visiteurs.

L’exposition, visible du 3 au 12 novembre, présente un ensemble d’images iconiques des photographes de l’agence Magnum. Des photos d’archive illustrent dix droits proclamés par la DUDH (Déclaration Universelle des droits de l’Homme) choisis pour leur importance et parce qu’ils sont peu, mal ou pas appliqués. Des photos originales de Cristina de Middel Puch illustrent dix droits du futur pour relever les défis du présent en revendiquant l’universalité des droits humains.

Cette déambulation sera suivie par le verre de l’exposition offert par la section.

20h : conférence débat avec Patrick Baudouin « Comment les droits humains peuvent ils changer notre avenir ? »

Les 100 ans de la FIDH sont l’occasion d’affirmer l’impérieuse nécessité de la défense des droits et de leur effectivité partout dans le monde.

Mais comment affirmer l’universalité des droits dans un monde fragmenté ? Comment penser les droits humains du futur afin qu’ils puissent nous aider à affronter les nouveau défis, des bouleversements climatique et écologiques à l’utilisation des nouvelles technologies au fin de surveillance et de contrôle ? Autant de réflexions collectives nécessaires pour nourrir nos engagements pour un monde solidaire.

Retrouvez tout le programme du Festisol 2022 à Nantes ici.

Projection débat : « Les Heures Heureuses »

Dans le cadre d’une programmation  » autour de Saint-Alban « , une projection débat des Heures Heureuses, documentaire de Martine Deyres aura lieu le 5 octobre à 20h30 au Cinématographe, rue des Carmélites à Nantes, en présence de la réalisatrice. Un débat sera proposé ensuite avec la participation de Sophie Blondel, coordinatrice santé mentale des Ceméa et Jean-Luc Landas, militant LDH, membre du Collectif nantais pour le droit à la santé et à la protection sociale pour toutes et tous.  
Autres séances: vendredi 30/09 18:15 – – dimanche 2/10 16:15
http://www.lecinematographe.com/Les-Heures-heureuses_a8370.html

Débat sur le nouveau carnet de santé numérique

Nous invitons à participer à ce débat sur le nouveau carnet de santé numérique ce mardi 6 septembre – 20 h – salle Bottière, 147, route de Sainte Luce – Nantes.

Débat organisé par Attac avec des représentants du Syndicat de la Médecine Générale et de la Ligue des droits de l’Homme.

Ci-dessous en guise de contribution au débat, une note à ce sujet réalisée par la Ligue des droits de l’Homme.

Pour un consentement ou un refus d’ouverture éclairé

Note d’information de la LDH

Au terme d’une phase d’expérimentation menée de juillet à décembre 2021 dans trois départements pilotes le déploiement de Mon espace santé (MES) est en cours. Après l’échec du dossier médical partagé (DMP), le gouvernement a souhaité mettre en place un outil numérique au périmètre élargi et dont l’ouverture serait facilitée. L’objectif affiché avec cet espace numérique dédié à la santé, accessible par Internet (sur ordinateur, tablette ou même smartphone) pour l’ensemble des assurés sociaux est de simplifier l’accès aux informations sur la santé des patients, d’améliorer ainsi le parcours et la coordination des soins, d’éviter les prescriptions redondantes voire dangereuses, et plus globalement d’améliorer la santé publique.

Si l’outil présente d’indéniables potentialités, la LDH invite à la vigilance de toutes et tous au regard des risques liés à l’utilisation de cet outil alors que l’assurance maladie adresse actuellement les notifications sur son ouverture à chaque assuré social.

Conditions d’ouverture et de clôture

– L’ouverture de MES n’est pas obligatoire.

– Mais sans opposition, dans le délai de 6 semaines à compter de la réception du courrier électronique de l’assurance maladie (concernant le courrier postal, il n’est pas précisé si c’est la date du courrier ou la date de réception), le MES sera automatiquement ouvert.

– L’ouverture ou non ouverture n’a aucune incidence sur le remboursement des dépenses de santé par l’assurance maladie.

– La fermeture de MES est toujours possible mais les données recueillies seront conservées 10 ans.

– L’ouverture de MES après un refus initial est toujours possible ultérieurement.

Des avantages en termes de suivi médical

Mon espace santé offre en réalité plusieurs outils susceptibles de présenter une certaine utilité.

MES contient le dossier médical du patient ce qui peut être intéressant tant pour lui que pour les professionnels de santé y compris en situation d’urgence.

– Pour le patient : en lui permettant de stocker et d’accéder facilement à tout ce qui concerne sa santé (prescriptions, résultats d’analyses, de radios, rendez-vous, remboursements…), d’indiquer ses choix (personne de confiance, directives anticipées, prélèvements d’organes) et en autorisant le partage de certaines données choisies avec les professionnels de santé de son choix. Il peut aussi demander la notification automatique par messagerie de tout accès pour visualiser ces données ou en ajouter.

– Pour les professionnels de santé qui, en plus d’un gain de temps appréciable, auront une meilleure connaissance des antécédents médicaux du patient, de ses pathologies et de sa prise en charge.

En outre, MES se compose d’une messagerie sécurisée dans un premier temps ouverte simplement aux professionnels de santé à destination du patient mais à terme ouverte aussi en sens inverse

Il est à noter que MES est hébergé en France ce qui devrait garantir le respect du règlement général sur la protection des données (RGPD) et son code source devrait prochainement être ouvert (cette mesure de transparence permettrait de vérifier qu’il n’y a pas d’autres fonctions que celles annoncées).

Des inconvénients dans la mise en œuvre

– L’absence d’analyse d’impact sur la protection des données personnelles après la période de tests sur 3 départements qui aurait permis de vérifier l’absence de risques pour la protection des données, malgré les demandes de la CNIL.

– La création sans consentement explicite (opt-out).

– Le manque d’information précise, claire et facile à lire et à comprendre.

– Les discriminations envers les personnes n’ayant pas accès à Internet ou n’ayant pas la maîtrise de ces outils.

– L’absence de remplacement de Doctolib (géré par une entreprise privée qui stocke les données sur des serveurs gérés par une filiale d’Amazon) par un outil dédié et public.

– La nécessaire vigilance du patient dans l’appropriation de l’outil notamment pour procéder aux masquages éventuels et à l’autorisation ou non des accès aux différents professionnels de santé.

– Le fait que l’ouvrant droit principal disposera d’un accès délégué à MES de la personne mineure.

Des risques liés aux données sensibles

– Risque de piratage et d’accès malveillants aux données. Une masse de données de santé sera collectée grâce à MES. Or ces données particulièrement sensibles étant très convoitées, leur centralisation engendre des risques accrus de piratage et d’utilisation dangereuse (par exemple de menaces de chantage en lien avec certains antécédents médicaux, de vente de données).

– L’utilisation du NIR (ou N° de sécurité sociale) pour lier toutes les bases de données donnera accès à de nombreuses données administratives etc.
– Les données ne seront pas chiffrées de bout en bout ce qui implique que les responsables de l’hébergement (administrateurs des serveurs et autres…) pourront accéder aux données sans autorisation ;

– Il n’est pas prévu de déconnexion automatique en cas de sortie de MES sans déconnexion.

– L’hébergement n’est pas confié à un établissement public et, même si les données sont stockées en France, elles sont partagées entre 2 sociétés commerciales, filiales de grands groupes financiers multinationaux (ATOS et Worldline) ayant des liens nombreux avec des opérateurs privés pouvant être intéressés par ces données.

– Il n’est pas précisé si les fournisseurs et développeurs des applications associées annoncées auront accès aux données de santé ce qui présenterait un risque supplémentaire.

– Concernant le masquage d’informations géré par l’assuré :
• le masquage des données à certains professionnels de santé n’est pas clairement précisé, notamment en cas de télé-consultation qui exigera une authentification forte permettant de passer outre ce masquage ;
• pour les mineurs dont le MES sera intégré dans celui d’un parent (ouvrant droit), la possibilité de cacher des informations sera-t-elle connue du mineur et respectée par les professionnels de santé. Par exemple l’utilisation de la messagerie dédiée permettra-t-elle ce respect du secret médical ?

– Risque à terme de traitement différencié entre les personnes ayant ouvert MES et celles l’ayant refusé.

Cette note est destinée à répondre aux interrogations relatives à la protection des données personnelles mais également au droit à la protection de la santé et plus particulièrement aux assurés qui ont à accepter ou refuser la création de leur MES.

Paris, le 11 mai 2022

Fête de la musique et de la solidarité – mardi 21 juin – 20h – Talensac

Pour une fête de la musique solidaire, mais néanmoins festive avec musique, bar, repas (concocté par l’autre cantine), stands d’info… l’inter-collectif « Personne à la rue! », le collectif soutien exilés 44 (deux collectifs dont notre association est partie prenante) organisent une « rue de la solidarité » le mardi 21 juin à partir de 20h à Talensac.

Ciné-débat « Visa pour la liberté » au Concorde le lundi 23 mai, 20h30

La section nantaise de la Ligue des droits de l’Homme propose, en association avec NOSIG le centre LGBTQI+ de Nantes, un ciné-débat autour du film « Visa pour la liberté » (Titre original : Mr. Gay Syria)

lundi 23 mai à 20h30 au Concorde

Le débat qui suivra, animé par des militants de la LDH et de NOSIG, sera l’occasion d’évoquer les entraves aux libertés de circulation, les atteintes aux droits, les discriminations faites aux personnes homosexuelles, notamment en Syrie, puis en Turquie, sujet de ce film.

Ce film est soutenu nationalement par la LDH :