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En 1898, des citoyens, révoltés par l’injustice dont était victime le Capitaine Dreyfus, décidaient de créer la Ligue française pour la défense des droits de l’Homme et du citoyen. Ils s’engageaient alors à porter aide et assistance « à toute personne dont la liberté serait menacée ou dont le droit serait violé ». Cet engagement est toujours le nôtre. C’est avec la même exigence d’une lutte contre « toutes les formes d’intolérance et d’arbitraire » que nous voulons construire le mouvement civique de demain

Nous sommes à votre écoute au 02.51.86.22.39. Laissez-nous un message, nous écoutons régulièrement notre répondeur. Vous pouvez également nous envoyer un courriel à nantes@ldh-france.org

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Sortir de l’état d’urgence – Rassemblement à Nantes le 22 Décembre à 18 h devant la Préfecture

Communiqué du Collectif nantais Sortir de l’état d’urgence

Le collectif National « Sortir de l’état d’urgence » a publié le communiqué suivant :

En réaction à l’horreur des attentats, l’état d’urgence a été décrété par le gouvernement, puis aggravé et prolongé pour une durée de trois mois. Nos organisations ont immédiatement exprimé leurs craintes vis-à-vis de ce régime d’exception ; ces craintes sont aujourd’hui confirmées par l’ampleur des atteintes aux libertés constatées depuis quelques semaines. Nous assistons à un véritable détournement de l’état d’urgence qui cible également des personnes sans aucun lien avec des risques d’attentat. Ces abus doivent cesser.
La volonté de se rassembler et de manifester ensemble a prévalu après les attentats commis à Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher de Vincennes, en janvier 2015. Elle prévaut encore. Or, depuis le 13 novembre 2015, les interdictions visant les mobilisations sur la voie publique se multiplient. Manifester n’est plus un droit, et les rares concessions accordées par les préfectures, qui attendent souvent le dernier moment pour informer de leurs intentions, entravent dans les faits son exercice.
Le ministère de l’Intérieur justifie tout cela par son incapacité à sécuriser les parcours alors même qu’il autorise, dans le même temps, les rencontres sportives et des événements tels que les marchés de Noël, qui se tiennent sur la voie publique. L’interdiction des rassemblements et manifestations entraîne la multiplication des arrestations, des gardes à vue, des assignations à résidence, un fichage policier des militants, et, pour quelques-uns,  des condamnations. Qui peut croire que cela soulage les autorités ? La censure, ici, s’avère doublement contreproductive.
L’état d’urgence autorise par ailleurs des perquisitions sur ordre des préfectures, de jour comme de nuit, en dehors de tout cadre judiciaire, sur le fondement de fiches possiblement erronées, de dénonciations, d’informations et de soupçons sujets à caution. Plus de deux mille six cents intrusions discrétionnaires sont intervenues à domicile, dans des mosquées, des commerces, interventions souvent violentes, sans qu’aucune mise en examen pour terrorisme n’ait eu lieu. Rien n’indique qu’une telle frénésie va s’arrêter, chacun peut en être victime.
Les assignations à résidence se multiplient sur la base de motifs aussi vagues que la présence sur le lieu d’une manifestation ou le fait de « connaître » tel ou tel individu. Ces graves restrictions sont appliquées, sans distinction, et de manière massive, d’autant que les juridictions administratives ont montré qu’elles s’en accommodent, quitte à ce que les libertés en souffrent. Elles reprennent à leur compte toutes les allégations du ministère de l’Intérieur et, comble de la démission, sont nombreuses à considérer qu’il n’y aurait pas d’urgence à statuer sur l’état d’urgence.
L’état d’urgence et le climat de guerre intérieure alimenté par le gouvernement contribuent au renforcement des amalgames et aux pratiques discriminantes, notamment de la part des forces de police. Ce ne sont pas «  les terroristes qui sont terrorisés », ce sont des jeunes et des populations victimes de l’arbitraire en raison de leur origine et/ou de leur religion qui voient leur situation encore davantage fragilisée.
Reprenant à son compte les exigences de l’extrême droite, FN en tête, le gouvernement s’engage honteusement dans une modification de la Constitution visant à étendre la déchéance de la nationalité aux binationaux nés en France.
Ces multiples atteintes portées au contrat démocratique sont une mauvaise réponse aux actes terroristes. Notre pays a été blessé, mais loin d’en apaiser les plaies, l’état d’urgence risque de les exacerber en appauvrissant notre démocratie, en délégitimant notre liberté.
Dans ces circonstances, nous appelons les pouvoirs publics à :

  • jouer leur rôle de garants de la défense des droits et des libertés publiques ;
  • rétablir, sans délai, le droit plein et entier de manifester ;
  • cesser les perquisitions et les assignations à résidence arbitraires et à agir dans le cadre de procédures judiciaires ;
  • mettre en place des garanties effectives de contrôle ;
  • lever l’état d’urgence ;
  • renoncer à une réforme constitutionnelle préparée dans l’urgence et au contenu inacceptable.

L’appel national ci-dessus est signé par une centaine d’organisations associatives et syndicales.

Ce 23 décembre, le conseil des ministres doit débattre de modifications de la Constitution visant à :

  • pouvoir retirer la nationalité française aux binationaux nés en France ;
  • inscrire l’état d’urgence dans la Constitution.

Le gouvernement envisage de réformer la Constitution dans la précipitation, et de se donner les moyens de prolonger encore dans le temps le régime d’exception qu’est l’état d’urgence. Jusqu’à quand ? Qui sera au pouvoir demain ?
C’est pourquoi, nous demandons que le gouvernement renonce à cette réforme constitutionnelle.
Le Collectif demande à être reçu par la préfecture le mardi 22 décembre à 18h à la veille du conseil des ministres.
Rassemblement pour appuyer cette délégation
Mardi 22 décembre – 18h – devant la Préfecture – Nantes

Collectif nantais Sortir de l’état d’urgence

Solidarité face aux attentats | Agissons pour un monde plus juste

Communiqué unitaire d’associations et syndicats nantais (voir liste plus bas) avec le soutien de partis politiques. Nantes, le 18 novembre 2015.

Nous affirmons notre solidarité, notre compassion avec les victimes et leurs familles et partageons leur souffrance.

Nous condamnons avec la plus grande vigueur les attentats qui ont frappé Paris le vendredi 13 novembre 2015 et réaffirmons notre condamnation générale de tous les actes terroristes.

Le terrorisme ne se résume ni à un homme, ni à un groupe. Il est diffus et se développe sur le terrain des inégalités, des injustices, des violences qui règnent sur notre planète. La lutte contre le terrorisme ne se gagnera pas par les armes mais par la construction d’un monde nouveau plus juste, plus égalitaire, plus respectueux des peuples.

L’heure est à la réaffirmation de notre attachement aux valeurs de liberté, d’égalité, de fraternité, de dignité, de solidarité, d’éducation et de notre aspiration commune à un monde de justice et de paix.

La sécurité humaine doit être assurée sans repli sécuritaire qui amoindrirait la vie démocratique, associative et citoyenne car la démocratie et l’éducation sont les meilleures manières de s’opposer à la stratégie de la peur, de la terreur et de l’obscurantisme.

C’est dans ce cadre et avec ces valeurs que doit se conduire le débat démocratique sur l’analyse des causes et des processus ayant conduit à la situation actuelle. Ce débat est nécessaire pour éviter tout amalgame qui dresserait une partie de la population vivant en France contre une autre.

Nantes – Samedi 21 novembre 2015 – 16h
Parc des chantiers – Machines de l’Île – Nantes

Premiers signataires : Association des Paralysés de France (Apf), Association France Palestine Solidarité (Afps), Attitudes, Centre Interculturel de Documentation (Cid), Confédération Générale du Travail (Cgt), Confédération Française Démocratique du Travail (Cfdt), Collectif Roosevelt, FNASAT-Gens du Voyage, Francas de Loire-Atlantique, GASProm, Fédération Syndicale Unitaire (Fsu), Ligue de l’enseignement-Fédération des Amicales Laïques (Fal44), Ligue des droits de l’Homme (Ldh), Maison des Citoyens du Monde (Mcm), Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (Mrap), Tissé Métisse, Union syndicale Solidaires, Washma,…

et le soutien de : Alternative Libertaire, Ensemble, Europe Ecologie-Les Verts, Nouveau Parti Anticapitaliste, Parti Communiste Français, Parti de Gauche, Parti Socialiste…

Après les attentats… Manifestons nous !

Après les évènements dramatiques de vendredi, les organisations associatives et syndicales invitent les citoyennes et les citoyens à rendre hommage aux victimes, à manifester leur rejet du terrorisme, leur volonté de défendre les valeurs démocratiques et leur détermination à faire société ensemble, libres, égaux, solidaires et sans discrimination.
Les organisations s’opposent aux logiques guerrières et aux surenchères sécuritaires qui mettraient à mal nos libertés fondamentales.
Les organisations préparent une manifestation pour cette semaine dont le jour sera précisé très prochainement en fonction des initiatives au plan national.

À l’appel de : Association 1905 et plus, Association départementale des Francas de Loire-Atlantique, Association des Paralysés de France (Apf), Association France Palestine Solidarité (Afps), Attitudes, Cercle Condorcet, CGT Spectacle, Centre Interculturel de Documentation (Cid), Collectif Roosevelt, FNASAT- Gens du Voyage, GASProm, Fédération Syndicale Unitaire (Fsu), Ligue des droits de l’Homme (Ldh), Maison des Citoyens du Monde (Mcm), Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (Mrap), Solidaires, Tissé Métisse, Washma,… (liste en cours)

et le soutien de : AL, EELV, Ensemble, NPA, PCF, PG,…

Collectif de soutien aux expulséEs de la rue des Stocks – Appel au rassemblement

Communiqué et appel au rassemblement, du collectif de soutien aux expulséEs de la rue des Stocks, auquel participe la section de Nantes et du pays nantais de la Ligue des droits de l’Homme. Le 09 novembre 2015 à Nantes.

Dans la nuit de samedi à dimanche les occupants d’un squat nantais ont été l’objet d’une agression criminelle : un coktail molotov a été lancé  à l’intérieur du bätiment dans lequel les habitants étaient endormis. Le projectile a immédiatement été éteint par les occupants. Grâce à leur réaction rapide aucun blessé n’est à déplorer.

Le Collectif de soutien aux expulséEs de la rue des stocks dénonce  cette agression xénophobe, qui s’inscrit dans une suite d’actes de plus en plus violents à l’encontre des migrants : inscriptions racistes, poses de cadenas sur les portes d’un squatt et dégradations diverses à l’encontre des associations qui soutiennent les migrants.

Les pouvoirs publics doivent agir sans tarder en stoppant définitivement les coupables de ces agissements criminels et en apportant des réponses concrètes et adaptées aux personnes qui sont sans abris, sans papiers, sans possibilité de travail etc. Des centres d’accueil inconditionnel et de qualité doivent ouvrir rapidement : c’est une des propositions avancées depuis des semaines, sans succès, par de nombreux collectifs en France.

Madame le Maire, Monsieur Le Préfet, Monsieur le Conseiller Départemental, est-il vraiment impossible pour une agglomération de plus de 600,000 habitants de trouver une solution pérenne et digne pour quelques 300 réfugiés ?

L’attentat lâche, raciste et xénophobe de cette nuit au squat de Chantenay est le résultat de l’ absence de volonté politique des représentants du Gouvernement, des Elus et ses institutions pour trouver la réponse solidaire, humaine et pérenne qu’on doit aux réfugiés et migrants sur notre sol.

Nous, Collectif de soutien aux ExpulséEs de la Rue des Stocks, dénonçons haut et fort cette agression, et appelons les citoyen-ne-s à un rassemblement la Place Royale, mardi 10 novembre à 18h, pour manifester notre rejet de cet acte lâche

Halte à la xénophobie. Il(s) aurai(en)t pu tuer !

Communiqué de la section de Nantes et du pays nantais de la Ligue des Droits de l’Homme. Le 9 novembre 2015
Il y a quelques semaines, dans le quartier de Nantes-Doulon, des inscriptions xénophobes étaient apposées sur deux lieux de culte – une église catholique et une mosquée – à côté d’un lieu où vivent des migrants. Il y a deux semaines, quelqu’un a tagué sur ce lieu : « on ferme » .
Dans la nuit de samedi à dimanche, deux engins incendiaires ont été jetés par une fenêtre dans une habitation du quartier de Nantes-Chantenay qui était abandonnée et qui sert depuis quelques mois d’hébergement provisoire à des personnes sans logis, réfugiées et/ou migrantes.
Heureusement, des habitants du lieu sont parvenus à éteindre le feu.
Seules des idées animées par la haine de l’autre, la volonté de faire peur et d’opposer les personnes entre elles peut conduire à commettre un tel acte.
Aucune opinion ne peut justifier qu’on envoie un engin incendiaire dans un lieu d’habitation. C’est un acte potentiellement meurtrier.
La Ligue des droits de l’homme condamne cet acte, exprime son soutien aux personnes visées par cette agression, attend des pouvoirs publics qu’ils fassent œuvre de protection de ces personnes et demande que justice soit faite.
La LDH appelle à la mobilisation pour les valeurs d’égalité et de solidarité afin que de tels actes ne se reproduisent pas. La LDH invite la population à manifester son indignation et à se joindre au rassemblement qui a lieu ce mardi 10 novembre à 18h, place Royale à Nantes.

Halte à la xénophobie. Il(s) aurai(en)t pu tuer !

Communiqué de la section de Nantes et du pays nantais de la Ligue des Droits de l’Homme. Le 9 novembre 2015.

Il y a quelques semaines, dans le quartier de Nantes-Doulon, des inscriptions xénophobes étaient apposées sur deux lieux de culte – une église catholique et une mosquée – à côté d’un lieu où vivent des migrants. Il y a deux semaines, quelqu’un a tagué sur ce lieu : « on ferme ».

Dans la nuit de samedi à dimanche, deux engins incendiaires ont été jetés par une fenêtre dans une habitation du quartier de Nantes-Chantenay qui était abandonnée et qui sert depuis quelques mois d’hébergement provisoire à des personnes sans logis, réfugiées et/ou migrantes.

Heureusement, des habitants du lieu sont parvenus à éteindre le feu.

Seules des idées animées par la haine de l’autre, la volonté de faire peur et d’opposer les personnes entre elles peut conduire à commettre un tel acte.

Aucune opinion ne peut justifier qu’on envoie un engin incendiaire dans un lieu d’habitation. C’est un acte potentiellement meurtrier.

La Ligue des droits de l’homme condamne cet acte, exprime son soutien aux personnes visées par cette agression, attend des pouvoirs publics qu’ils fassent œuvre de protection de ces personnes et demande que justice soit faite.

La LDH appelle à la mobilisation pour les valeurs d’égalité et de solidarité afin que de tels actes ne se reproduisent pas. La LDH invite la population à manifester son indignation et à se joindre au rassemblement qui a lieu ce mardi 10 novembre à 18h, place Royale à Nantes.

Aujourd’hui, nous, tous ensemble, fêtons la solidarité !

Allocution de Annie Richard, présidente de la section de Nantes et du pays nantais, au nom de l’ensemble des associations et collectifs partenaires, lors de la fête de la Solidarité de 2015, à 20h30 sur la grande scène.

Aujourd’hui, nous, tous ensemble, fêtons la solidarité ! Nous la portons haut, nous la chantons, nous la mettons en parole et en actes, ici même !

La solidarité parle de ce qui nous lie, nous relie, de ce fameux lien social qui est autant communauté de destin que communauté d’intérêt, du partage, de la coopération, elle est porteuse d’enthousiasme, d’avenir…

Elle s’exprime :

  • de façon Individuelle, lorsque nous allons vers les autres, proches ou lointains, et collective, lorsque c’est ensemble que nous construisons quelque chose, que nous réalisons une action
  • de façon sensible, lorsque nous partageons émotions, idées et matérielle lorsque nous mettons nos moyens en commun, notamment dans le cadre de l’économie sociale et solidaire
  • de façon humanitaire, lorsque nous aidons ceux qui ne sont pas en situation de résoudre leurs problèmes par eux-mêmes et politique lorsque nous interpellons les élus et gouvernants et inventons d’autres manières que la représentation pour faire vivre la démocratie
  • dans la proximité, le local et même le micro-local lorsque nous agissons sur et dans notre environnement immédiat et dans le lointain au travers de la solidarité internationale

La solidarité est la traduction concrète de la fraternité, indissociable de la liberté et de l’égalité que nous voulons…

Cette solidarité, elle est aujourd’hui mise à mal et nous nous engageons tous pour la mettre en actes face :

  • aux inégalités croissantes, dans le monde (1% de la population détient 50% des richesses) et aussi ici, en France, (alors que jamais le PIB, qui mesure théoriquement notre richesse, n’a été aussi élevé) qui détruisent notre vivre ensemble. Comment accepter que le nombre de pauvres ne cesse d’augmenter ?
  • aux injustices qui se traduisent par deux poids, deux mesures entre ceux qui détournent les fonds publics, mettent leurs profits dans les paradis fiscaux et ceux qui volent pour survivre ou qui se révoltent quand on les licencie…
  • aux pollutions dont les effets sur la vie de ceux qui les subissent sont dramatiques, à commencer par les émissions de CO2 qu’engendrent les énergies fossiles responsables d’un réchauffement climatique porteur d’inégalités…
  • aux violences d’État comme celles qui ont causé la mort de Remi Fraisse, écologiste non violent tué par une arme de guerre, dont c’est aujourd’hui la veille de l’anniversaire de la mort…
  • aux discriminations dont sont victimes ceux qui sont rejetés pour la couleur de leur peau, leurs origines, leur mode de vie, leur handicap, leur orientation sexuelle….
  • aux rejets de l’autre, de l’étranger, à la xénophobie, aux haines ressassées qui se répandent actuellement comme la peste
  • aux atteintes à la liberté d’expression, qu’elles viennent des intégristes ou des groupes financiers, et aux attentas qui visent à éliminer ceux qui la défendent…
  • aux atteintes aux droits à la santé, au logement, au travail, à l’ensemble des droits sociaux qui sont inscrits dans les droits de l’Homme…

Alors, construire un évènement tel que cette fête en incarnant sur scène la solidarité , en la faisant vivre au travers des rencontres et des échanges, c’est, pour nous :

  • lutter contre la morosité, le découragement face à la montée des idées d’extrême droite et la faiblesse des réponses apportées par nos dirigeants à la dégradation de la situation sociale
  • se nourrir du spectacle vivant comme expression culturelle porteuse de partage et créatrice de liens entre des personnes, individus, familles au-delà de leurs appartenances, de leurs croyances
  • nous retrouver dans un cadre ouvert, non contraint par les formes habituelles du militantisme pour échanger librement avec vous tous
  • prolonger l’élan citoyen qui a présidé aux manifestations de janvier pour la défense de la liberté d’expression

Nous sommes nombreux à nous être engagés dans cette aventure, des militants, des bénévoles, des artistes, des techniciens qui partageons l’envie d’être ensemble

Plus de 30 associations œuvrant dans des domaines aussi différents que la défense de l’environnement, la solidarité internationale, l’aide aux migrants, l’économie sociale et solidaire, le droit au logement, l’aide aux sortants de prisons, le droit à la santé, la citoyenneté des gens du voyage….

Ces associations travaillent ensemble dans de nombreux collectifs comme Romeurope, Unis contre une Immigration Jetable, Climat 44… ou associations comme la Maison des Citoyens du Monde…

Ces associations et collectifs locaux ont été réunis pour cette occasion à l’initiative la LDH qui a pris en charge l’organisation de cet évènement

Merci aux collectivités dont nous avons obtenu une subvention pour cet évènement, les villes de Nantes et de La Montagne, le Département de Loire Atlantique et la Région Pays de la Loire ainsi qu’à la MACIF,
Merci aux Machines de l’Ile qui nous accueillent sous les Nefs, à Atlanbois , au réseau Eco évènement..,
Merci à tous les artistes et techniciens qui ont accepté de participer au tarif patronal, dit syndical,
Merci à vous tous qui êtes là pour fêter la solidarité !

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