40 associations attaquent l’État en justice pour non-assistance à personnes mal logées



Depuis des années, les associations du Collectif des Associations pour le Logement alertent sur la dégradation des conditions de vie des personnes mal logées. Malgré nos propositions récurrentes, le nombre de personnes laissées à la rue augmente. Le nombre de ménages en attente d’un logement social aussi. Accompagnées par quatre cabinets d’avocats, nos associations ont donc décidé de saisir la justice pour rappeler que l’hébergement et le logement sont des droits fondamentaux et lancent l’affaire Non-assistance à personnes mal logées.

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« Non-assistance à personnes mal logées » : le Collectif des Associations pour le logement porte plainte contre l’État


Cette démarche inédite vise à faire avancer la lutte contre le mal logement et que la loi soit a minima respectée, ce qui n’est pas le cas, dénonce le collectif. Aujourd’hui, 96 000 ménages reconnus prioritaires Dalo sont toujours en attente de relogement, comme cette famille parisienne que franceinfo a rencontrée.



« La loi n’est pas facultative » : 40 associations attaquent l’Etat en justice pour « non-assistance à personnes mal-logées »


Ces 40 organisations, réunies sous la bannière du Collectif pour le Logement, déposent deux recours concernant l’hébergement d’urgence et le logement social. Elles veulent contraindre l’Etat à respecter la loi existante afin de protéger les personnes qui dorment à la rue ou vivent dans un habitat précaire.

Et si l’Etat était à nouveau condamné ? Après l’Affaire du Siècle où l’Etat a été jugé responsable d’inaction climatique, 40 associations réunies sous la bannière du Collectif pour le Logement attaquent l’Etat pour « non-assistance à personnes mal-logées » ce jeudi 13 février.

Villes : « Il y a un vrai problème d’ambition lié à l’orientation politique de ce gouvernement »


Gilles Leproust, maire d’Allonnes et président de l’association des maires Ville et Banlieue de France revient sur le comité interministériel des villes, tenu le 27 octobre. S’il reconnaît des avancées, il critique le manque d’ambition et le trop grand flou de certaines annonces.

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Plus de 4 millions de mal-logés en France, mais la droite s’attaque aux squats


Un texte, en cours d’examen au Sénat, pourrait aggraver la situation. Cette proposition de loi, portée par le député Renaissance Guillaume Kasbarian, prévoit de durcir la réglementation sur les squats et d’affaiblir les protections des locataires ayant des impayés de loyer.

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Classement des villes où la vie est moins chère : où se place la Champagne-Ardenne ?

Le Parisien a classé Châlons-en-Champagne à la 11e place de son palmarès. – Frédéric Canon


Le Parisien a publié ce vendredi son palmarès des villes où la vie est moins chère.

Troyes arrive « en queue de peloton » à la 83ème place.

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Crise du logement


Communiqués

Logement : cette note secrète qui circule dans les QG de campagne

(Crédits : Charles Platiau)


« Quelle conception de l’habitat adopter ? », « comment adapter la politique du logement au pouvoir d’achat des ménages, des bailleurs privés et publics ? », « quelle est la bonne répartition des compétences en matière de logement ? », « la politique du logement peut-elle demeurer une composante isolée de l’action publique » ou encore « comment organiser le secteur de l’habitat ? ». Intitulée « Quelle politique du logement pour le prochain quinquennat », une note, que dévoile La Tribune en exclusivité, circule actuellement dans les états-majors des candidat(e)s à l’élection présidentielle. Objectif: interpeller le futur(e) ministre du Logement pour définir une politique « cohérente ».

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Mal-logement : la Fondation Abbé-Pierre tire un bilan sévère du quinquennat Macron

Des manifestants à Paris, le 2 janvier 2021. © Sameer Al-Doumy, AFP


Emmanuel Macron doit intervenir en vidéo, mercredi, lors de la journée de présentation du rapport annuel sur le mal-logement de la Fondation Abbé-Pierre, qui dénonce un « aveuglement des responsables politiques » sur cette question, dressant notamment un constat très critique du quinquennat du président français.

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TÉMOIGNAGE. Précarité énergétique : «Je dors dans ma salle à manger, pour ne chauffer qu’une pièce»


« Pour l’instant, je n’ai allumé qu’une fois mon poêle à gaz, la semaine dernière. À 36 € la bouteille, il faut la ménager… » | OUEST-FRANCE


Alors que les prix de l’énergie s’envolent, les difficultés à se chauffer ou à payer leurs factures touchent de plus en plus de ménages. Un Vendéen, en situation de grande précarité et vivant dans une passoire thermique, raconte.

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« Rajoutez un pull » la réponse du Crous de Bordeaux à des étudiants sans chauffage




Alors qu’il fait de plus en plus froid, à Bordeaux, certains étudiants grelotent. Ils se plaignent d’avoir des radiateurs qui ne chauffent pas dans leur résidence. Le crous qui gère leur logement leur a conseillé de “rajouter un pull ».  L’oeil du 20h a enfilé sa doudoune pour se rendre sur place.

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Les expulsions locatives pourraient exploser en 2022, selon la fondation Abbé Pierre


xijian / Getty Images


En 2021, 6.600 ménages ont été expulsés de leur domicile, d’après la fondation Abbé Pierre. L’association, qui salue les prolongations des trêves hivernales mises en place en 2020 et 2021, craint toutefois une recrudescence des expulsions l’année prochaine.

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Habiter un bidonville

Bagnolet, dans le 93, à la lisière de Paris, est un chantier permanent. De nouveaux habitants affluent en permanence, non loin d’un campement de personnes roms. Comment vivent les gens qui habitent ce bidonville ?

Photo prise sur le lieu
Comment vivent les habitant·e·s de bidonville ?
Comment habiter ces espaces de la marge, de l’entre-deux et de la précarité ?

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