AMENDE DE 746 MILLIONS D’EUROS CONTRE AMAZON SUITE À NOS PLAINTES COLLECTIVES



Le 16 juillet 2021, l’autorité luxembourgeoise de protection des données personnelles s’est enfin prononcée sur notre plainte collective déposée par 10 000 personnes contre Amazon en mai 2018. Cette décision intervient après trois années de silence qui nous avaient fait craindre le pire (relire nos craintes qui, s’agissant du cas d’Amazon, sont donc aujourd’hui caduques).


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« On est dans une confrontation avec le pouvoir qui dépasse le débat sur les vaccins »



« Je ne sais pas combien de personnes sont vaccinées, ou antivax« , dans ces cortèges, dit Laurent-Henri Vignaud, « mais je crois qu’on ne peut pas se tromper en disant que 99% d’entre eux sont hostiles à la politique du gouvernement, n’acceptent pas la manière dont la crise est gérée« . 


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Polluants et antidémocratiques, les Jeux olympiques à bout de souffle



«Écoblanchiment», constructions «inutiles», zone contaminée… Alors que se poursuivent les Jeux olympiques de Tokyo, la Japonaise Natsuko Sasaki, du collectif Saccage 2024 opposé aux JO de Paris, explique les problèmes que posent les J.O.


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Ce génocide qui vient…



Pétition adressée à: Congrès national du Brésil

Le projet de loi 490/2007 violera les droits constitutionnels et internationaux durement acquis par les peuples autochtones et aura des conséquences sociales et environnementales sans précédent. Nous appelons les députés à opposer leur veto au projet de loi 490/2007 au Congrès et à respecter les peuples autochtones du Brésil, comme le prévoit la loi.


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Pourquoi les médailles féminines sont encore plus belles que celles des hommes


CHIBA, JAPON – 26 JUILLET 2021 : L’athlète française Manon Brunet pose avec sa médaille de bronze lors de la cérémonie de victoire après l’épreuve d’escrime au sabre féminin qui s’est tenue au centre de convention Makuhari Messe de la ville de Chiba dans le cadre des Jeux olympiques d’été de 2020. Valery Sharifulin/TASS (Photo par Valery Sharifulin\TASS via Getty Images)


Les femmes doivent relever 3 défis pour qu’une forme de parité soit atteinte.


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JO de Tokyo : la taekwondoïste Kimia Alizadeh, en combat permanent


La taekwondoïste Kimia Alizadeh fait partie de l’équipe des réfugiés lors des Jeux Olympiques de Tokyo en 2021. Crédit : CIO


Passée à seulement deux points de décrocher à Tokyo la première médaille de l’histoire aux Jeux olympiques pour l’équipe des réfugiés depuis leur introduction aux compétitions en 2016, la taekwondoïste iranienne Kimia Alizadeh a un parcours atypique et semé d’embûches depuis ses débuts dans le sport de haut niveau, il y a sept ans. Réfugiée en Allemagne après avoir fui le régime de l’ayatollah Khamenei en 2020, l’athlète se bat pour la reconnaissance de ses droits, et agit pour l’émancipation des femmes et des athlètes dans la République islamique. Portrait d’une combattante sur plusieurs fronts.


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Appel urgent de l’observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme

Jour du dépassement : à partir de ce jeudi 29 juillet nous vivons à crédit sur la planète




Nous sommes le 29 juillet et la planète à atteint le Jour du Dépassement, alerte l’organisation internationale pour la protection de l’environnement et le développement durable WWF. A compter de cette date, nous avons épuisé toutes les ressources que la planète peut nous offrir en une année.


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100 % renouvelable, c’est possible !


La France est à un tournant. Grâce au poids du nucléaire, sa production d’électricité émet très peu de CO2. Mais ses réacteurs sont âgés. Et même si l’Autorité de sûreté nucléaire devrait valider leur prolongement de dix ans, il n’y a aucune discussion sur le fait que quasiment aucun ne fonctionnera encore en 2050, date à laquelle la France est supposée atteindre la neutralité climatique. D’où la question : par quoi les remplacer au cours des trente prochaines années, sachant qu’il est exclu de recourir à des technologies émettant du CO2 ?

Des investissements nécessaires

Faut-il, comme le veulent EDF et la majorité de la classe politique, lancer un programme de construction de nouveaux réacteurs ? Ou doit-on s’appuyer sur les seules énergies renouvelables pour atteindre un « mix électrique » décarboné ? En sachant qu’il serait essentiellement fondé sur des sources variables et non pilotables (l’éolien et le solaire), compte tenu des potentiels limités de développement des autres filières, comme l’hydraulique.

Ce débat ultrasensible en France semble enfin progresser. L’opérateur public RTE (Réseau de transport d’électricité, détenu à 50,1 % par EDF) a engagé mi-2019, à la demande de l’exécutif, une étude de deux familles de scénarios, avec ou sans nucléaire à l’horizon 2050. Fin janvier 2021, il a remis un premier rapport sur la faisabilité technique d’un mix électrique 100 % renouvelable, qui était une condition dirimante. Viendra cet automne un second rapport sur l’évaluation économique, sociétale et environnementale des deux grandes options sur la table.

Le rapport technique de RTE aboutit aux mêmes conclusions qu’une étude de l’Ademe de 2015 : un système électrique 100 % renouvelable avec une forte pénétration de sources variables peut répondre à chaque instant t à la demande. S’il n’y a pas d’impasse techno­logique, des actions très importantes sont toutefois à mener dans quatre domaines, prévient RTE. D’abord, et principalement, le développement de moyens pour s’assurer que l’offre répondra en permanence à la demande : stockage (moyens hydrauliques, batteries…), capacités supplémentaires de puissance pilotable (centrales à biogaz ou hydrogène vert…), flexibilisation dans la mesure du possible de la demande (pour réduire les besoins de capacités à la pointe), meilleure connexion des réseaux électriques. Il faudra, ensuite, développer des systèmes pour garantir la stabilité de la fréquence de l’onde électrique sur le réseau (50 Hertz), aujourd’hui assurée par la rotation des alternateurs des centrales classiques. S’ajoutent également des besoins d’adaptation du réseau et, enfin, de capacités de réserve en cas de défaillance.

Les gains économiques à attendre d’un scénario « avec » nucléaire par rapport à un scénario « sans » sont faibles

Tous ces impératifs techniques représentent des coûts, même si tous ne sont pas additionnels. Sans nucléaire ou avec, des réserves opérationnelles sont nécessaires. Et une large partie du réseau, construite avant les années 1970, va devoir de toute façon être renouvelée.

Quel serait alors le coût total d’un système électrique décarboné avec un peu, pas mal ou pas du tout de nucléaire en France ? En attendant de voir ce qu’en dira cet automne l’étude très attendue de RTE, les travaux menés par l’Ademe en 2015 et en 2018 ainsi que ceux d’une équipe du Cired en 2020 donnent déjà des éléments de réponse.

En 2015, l’Ademe avait déjà modélisé le coût d’un système 100 % renouvelable en 2050. Il atteindrait, sur la base d’une consommation de 422 TWh, 50,4 milliards d’euros par an (11,9 cts par kWh). Soit un coût quasiment égal à celui d’un système décarboné où le nucléaire atteindrait 50 % (49,5 milliards d’euros/an). En revanche, pour un système 100 % renouvelable avec peu d’efforts sur la demande (hypothèse d’environ 500 TWh/an), le coût annuel pour les Français atteindrait 63,6 milliards d’euros (12,5 cts par kWh).

Publiée trois ans plus tard, une autre étude de l’Ademe a tourné autrement la question : quel serait le système électrique le moins coûteux à ces horizons ? Conclusion : en 2050, pour une demande située entre 430 TWh et 600 TWh par an, le bouquet optimal serait celui où les renouvelables atteindraient 85 %. A l’horizon 2060 : 90 %. Inversement, décider de la construction d’une quinzaine d’EPR se traduirait à cet horizon par un surcoût de 39 milliards d’euros par rapport à un scénario de sortie progressive du nucléaire.

En 2020, deux nouvelles modélisations publiées par des chercheurs du Cired ont également jeté un pavé dans la mare. En 2050, pour une hypothèse de demande correspondant au scénario de référence de l’Ademe (422 TWh), le coût total d’un scénario électrique 100 % renouvelable (optimalement composé de 57 % d’éolien et de 31 % de solaire) atteint, hors coûts de réseau, 5 centimes par kWh. Soit autant que le système actuel. A noter que les coûts de gestion de la variabilité de la production sont faibles : 14,5 % du total. Quant au mix optimal, il fait apparaître une part d’ENR de 75 %. Le nucléaire n’y a de place que si la tonne de CO2 dépasse 100 euros, seuil au-delà duquel les centrales à gaz avec capture du CO2 ne sont plus compétitives. Et encore. Car les chercheurs du Cired ont retenu les hypothèses de coût du JRC, le centre scientifique lié à la Commission européenne, très optimistes pour le nucléaire neuf : une baisse de 50 % par rapport aux coûts d’investissement des trois EPR actuellement en construction en Europe. Si l’on retient une baisse de 40 %, ce qui serait déjà beaucoup, le nucléaire est éliminé du mix optimal, indiquent les chercheurs.

Incertitudes

Beaucoup d’incertitudes pèsent sur deux variables clés de l’équation : la demande électrique future et les coûts du nucléaire de demain. Mais ces études, comme d’autres, n’en délivrent pas moins un message clair : la place du nucléaire dans un mix électrique optimal est faible et les gains économiques à attendre d’un scénario « avec » par rapport à un scénario « sans » sont minces. Si le nucléaire ne doit jouer qu’un rôle d’appoint, est-il bien justifié au regard de l’énorme appareil industriel qu’il mobilise ? Et si les gains économiques à attendre sont réduits (à supposer qu’ils existent), peuvent-ils encore être opposés aux risques ? Il est tout sauf certain que la France ait intérêt à construire de nouveaux réacteurs.

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Pass sanitaire : quand les manifestants… passent à la trappe



Ce week-end, pour le seconde fois, vents debout contre le pass sanitaire, une partie des Français étaient dans la rue après l’adoption du projet de loi au Parlement. En plein été, ces manifestations ont mobilisé. Partout, on a vu du monde contrairement à la communication gouvernementale qui s’échine à faire disparaître les manifestants, avec des chiffres fantaisistes. Un décalage avec la réalité qui témoigne de la peur de voir repartir la contestation sociale…


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L’émir du Qatar approuve la loi électorale pour les premières élections législatives


L’émir du Qatar, le cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, s’exprime lors du sommet de Kuala Lumpur à Kuala Lumpur, en Malaisie, le 19 décembre 2019. REUTERS/Lim Huey Teng


DUBAI, 29 juillet (Reuters) – L’émir du Qatar a approuvé jeudi une loi électorale pour les premières élections législatives du pays, qui doivent se tenir en octobre, a annoncé son bureau.

Le vote, un an avant que l’État arabe du Golfe n’accueille le tournoi de la Coupe du monde de football, concernera les deux tiers, soit 30 membres, du Conseil de la Choura de 45 sièges, pour lequel une nouvelle loi a également été approuvée par l’émir Cheikh Tamim bin Hamad. al-Thani jeudi.

L’émir continuera de nommer les 15 membres restants.

Lors d’un référendum en 2003, les Qataris, qui ne représentent que 10 % de la population du pays, ont approuvé une nouvelle constitution qui prévoyait des élections partielles pour le conseil, dont les membres sont actuellement tous nommés. Les scrutins avaient été retardés depuis lors.

Le Qatar, qui comme d’autres pays du Golfe interdit les partis politiques, a déjà des élections municipales. Il a cherché à redorer son image, notamment en améliorant les droits des travailleurs migrants, à la suite d’allégations d’abus de travail et d’un embargo diplomatique, commercial et de voyage de trois ans et demi imposé par les autres États arabes à la mi-2017.

La nouvelle loi stipule que les citoyens âgés de 18 ans et plus, et dont le grand-père est né au Qatar, ont le droit de voter dans les districts où réside leur tribu ou leur famille. Les candidats doivent être d’origine qatarie et avoir au moins 30 ans.

La nation petite mais riche, premier producteur mondial de gaz naturel liquéfié, sera divisée en 30 circonscriptions électorales, avec un candidat à élire pour chaque circonscription.

Les Qataris qui ont été condamnés « par un jugement définitif pour un crime impliquant des turpitudes morales ou de la malhonnêteté » ne peuvent ni voter ni se présenter « à moins d’être réhabilités conformément à la loi ».

Ceux qui ont rang de ministre, les membres des organes judiciaires, les militaires et les membres du conseil municipal ne peuvent se présenter tant qu’ils occupent ces postes.

La loi a limité les dépenses de campagne à 2 millions de riyals (549 450,55 $). (1 $ = 3,6 400 rials qatariens)

Reportage de Ghaida Ghantous; Édité par Timothy Heritage

(traduction automatique)

Ou comment même le foot peut faire avancer (à petits pas) la démocratie… au prix toutefois de la mort de plus de 6500 ouvriers migrants…

Tunisie : La concentration des pouvoirs entre les mains du président menace les droits


Le président tunisien Kaïs Saïed, lors de la cérémonie de prestation de serment au siège du Parlement au Bardo, dans la banlieue de Tunis, le 23 octobre 2019.   © 2019 Nicolas Fauque/Images de Tunisie/Abaca/Sipa USA via AP Images


Ce geste dangereux prend appui sur une certaine frustration de la population.


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Afghanistan : le cruel abandon des femmes


Après le retrait des troupes américaines, les talibans sont désormais aux portes du pouvoir. C’est une catastrophe pour les femmes afghanes, qui vont se retrouver confrontées à la loi islamique dans son interprétation la plus dure.


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La Convention de 1951 relative au statut des réfugiés : 70 ans de protection vitale pour les personnes déracinées


Des réfugiés originaires de pays d’Europe de l’Est photographiés dans un camp en Allemagne après la Seconde Guerre mondiale. Lors de l’établissement du HCR en 1950, environ 1,25 million de réfugiés relevaient de sa compétence.   © HCR


Ce jour marque le 70e anniversaire de la Convention de 1951 relative au statut des réfugiés, un traité international essentiel. Selon le HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, il est plus urgent que jamais de se réengager en faveur de ses principes fondamentaux et d’en retrouver l’esprit.


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CNIL : sanction de 400 000 euros à l’encontre de la société MONSANTO

© John Thys AFP/Archives


La CNIL a sanctionné la société MONSANTO d’une amende de 400 000 euros pour ne pas avoir informé les personnes dont les données étaient enregistrées dans un fichier à des fins de lobbying.


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Pour gagner l’Espace, nous perdons la Terre


Au tour de Jeff Bezos, l’ex-patron d’Amazon, de s’offrir un saut dans l’espace. L’inauguration du tourisme extraterrestre marque un nouveau moment de publicité pour l’industrie spatiale. Pourtant, comme l’explique notre chroniqueuse, cette activité cause des dégâts potentiellement stratosphériques à la Terre.


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Gaza : Crimes de guerre présumés lors des affrontements de mai


Les violations commises par les forces israéliennes et par les groupes armés palestiniens mettent en évidence le besoin d’une enquête de la Cour pénale internationale.


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Près de 60 migrants meurent dans un nouveau naufrage en Méditerranée


Un canot pneumatique chargé de migrants intercepté par des garde-côtes libyens en Méditerranée, le 15 janvier 2018. Crédit : Reuters


Près de 60 personnes sont mortes noyées, lundi, dans le naufrage d’une embarcation qui cherchait à rejoindre l’Europe, a rapporté l’Organisation internationale des migrations. Vingt femmes et deux enfants figurent parmi les victimes.


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Plus de 300 migrants secourus en une semaine en Méditerranée

Des migrants en provenance du Maroc traversent le détroit de Gibraltar vers Tarifa en Espagne, en juillet 2018. Image d’illustration. Crédit : Reuters


Plus de 300 migrants, majoritairement originaires d’Afrique subsaharienne, ont été secourus par la Marine royale marocaine la semaine dernière, entre mardi et vendredi. Les exilés se trouvaient à bords de plusieurs canots pneumatiques, kayaks et autres embarcations.


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La France condamnée par la Cour européenne des droits de l’Homme pour la rétention d’une Malienne et de son enfant


La Cour européenne des droits de l’Homme se trouve à Strasbourg dans le nord-est de la France. Crédit : Pixabay


La Cour européenne des droits de l’Homme a condamné, jeudi, la France pour avoir placé en rétention pendant 11 jours une jeune Malienne et sa fille de quatre mois. Depuis 2012, c’est la septième condamnation de la France par cette cour pour rétention d’enfants.


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Quand l’Europe ferme les yeux : vie et mort en Méditerranée



Au printemps 2021, France 24 était à bord de l’Ocean Viking, le navire de sauvetage de SOS Méditerranée qui vient en aide aux migrants. Au large des côtes libyennes, nous avons suivi des missions de sauvetage heureuses et d’autres tragiques, tout en observant les interactions entre les autorités et l’ONG.


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