
Les abus contre les travailleurs migrants au Qatar se poursuivent un an après la Coupe du monde de football de 2022, a accusé, jeudi, l’organisation de défense des droits humains, Amnesty International.
Les abus contre les travailleurs migrants au Qatar se poursuivent un an après la Coupe du monde de football de 2022, a accusé, jeudi, l’organisation de défense des droits humains, Amnesty International.
Plus de 800 organisations espagnoles ont déposé le 10 mai une proposition de loi citoyenne inédite, pour la régularisation de tous les travailleurs migrants en situation irrégulière. « Un jour historique pour les migrants qui ont travaillé en Espagne dans des conditions de semi-esclavage » : tels ont été les mots tenus, à la tribune du Parlement, par l’un des porte-paroles de cette campagne, Lamine Sarr, relate le média El Diario.
Ils ont construit les stades, les routes et les hôtels qui accueilleront la prochaine Coupe du monde de football au Qatar. Mais à quel prix ? Des centaines de milliers de travailleurs africains décrivent un système d’exploitation et de maltraitance.
Selon le journal britannique, The Guardian, depuis dix ans, 6 500 travailleurs migrants originaire le plus souvent d’Afrique et d’Asie sont morts sur les chantiers au Qatar. Quentin Müller journaliste indépendant a enquêté sur les conditions de vie des africains qui travaillent sur les chantiers du prochain mondial de football.
Une coalition internationale appelle à des dédommagements financiers pour décès et vols de salaires.