Les départements ne sont pas au-dessus des lois : les enfants étrangers doivent être protégés !


Les mineur·es non accompagné·es font face à de multiples dysfonctionnements du dispositif censé les accueillir dès le stade de leur présentation aux services de l’aide sociale à l’enfance. Les conséquences ? La rue, la violation de leurs droits fondamentaux, l’exposition à des traitements inhumains et dégradants, à des risques de maltraitance voire d’exploitation. Nos associations dénoncent cette situation et demandent des mesures urgentes pour ces enfants.

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Jura. Le Département suspend l’accueil des mineurs non accompagnés


Justice pénale des mineurs : les apports de la loi du 20 novembre 2023


Toulouse : une manifestation en soutien aux mineurs isolés réfugiés à l’université Toulouse 3 Paul Sabatier

Département de l’Ain : suspension « pour trois mois » de la prise en charge de nouveaux mineurs isolés


Face à un afflux record de mineurs isolés dans l’Ain, non loin de la frontière italienne, le département a décidé de suspendre l’accueil de nouveaux jeunes à partir du 1er décembre 2023. Le dispositif « explose », selon le président du département, qui constate une « accélération croissante » d’arrivées depuis le mois de septembre.

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Accueil fermé des jeunes isolés en Vaucluse : les associations redoutent la création de « petits Calais »


« Une affiche indique que l’accueil des mineurs non accompagnés est fermé au Conseil départemental de Vaucluse. Les association s’inquiètent d’une situation aberrante, illégale et qui favorise la création de « petits Calais » à Avignon.

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« Les jeunes ont peur » : à Paris, les 430 mineurs isolés de Belleville mis à l’abri menacés d’un retour à la rue


Parmi les 430 mineurs isolés du parc de Belleville, mis à l’abri le 19 octobre par la préfecture de Paris, plusieurs dizaines ont reçu ces derniers jours une notification de fin d’hébergement. Pour les associations et avocats qui défendent ces exilés, cette décision n’a d’autre but que de pousser ces jeunes à se faire déclarer comme majeurs, et à permettre à l’Etat de les expulser plus facilement du territoire.

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« Quand j’étais au 115, on me faisait sortir dehors. La journée, je la passais à la gare », Esther, mineure isolée, nous confie son parcours chaotique


« De nombreux adolescents fuient chaque année leur pays, seuls, et se retrouvent à la rue lorsqu’ils n’ont pas obtenu la protection de l’État. Face à cette situation dramatique, le Réseau d’éducation sans frontières les accompagne, les scolarise et organise leur hébergement. Esther fait partie de ces mineurs isolés. Nous l’avons rencontrée dans sa famille d’accueil.

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Les mineurs isolés se sont réfugiés dans l’église


« Une quarantaine de jeunes migrants sans solution d’hébergement ont investi l’église Saint-Ferréol pour la nuit. Ils dormaient depuis plusieurs semaines sous des tentes, en attente de leur mise à l’abri par le Département.

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« Je m’appelle Awa, j’ai 16 ans et je suis à la rue »

CHAQUE SOIR, DES MINEURES NON ACCOMPAGNÉES DORMENT DEHORS À PARIS


Awa, Aminata et Kadiatou ont vécu des maltraitances et des parcours d’immigration difficiles. Non prises en charge par l’aide sociale à l’enfance, qui n’a pas cru en leur minorité, elles sont à la rue.

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Le gouvernement prêt à « envisager » de recentraliser la protection de l’enfance


La question est posée à Charlotte Caubel, dans une interview au Figaro , publiée ce 11 octobre : « Le gouvernement est-il prêt à recentraliser la protection de l’enfance ? »

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Sur la protection de l’enfance, un bras de fer entre le gouvernement et les départements



«  La question de l’accompagnement des mineurs étrangers isolés est au cœur des débats sur la redéfinition des engagements entre l’Etat et les collectivités.

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Immigration: nouvelles du front



Lampedusa. Ne tolérons pas l’intolérable, par Cédric Herrou


Migrants : l’Italie exige 5 000 euros des personnes déboutées du droit d’asile pour éviter l’envoi en centre de rétention


Accueil des mineurs étrangers : le Département pointé du doigt


« Mon fils est plus que courageux » : la vie d’Ahmad, 9 ans, écolier sans-abri


« On ne peut pas accueillir toute la misère du monde », une phrase intenable

L’argent des enfants de l’ASE : les tribunaux sont saisis


La somme de 145 millions d’euros appartenant à des milliers de jeunes confiés à l’aide sociale à l’enfance (ASE) est consignée à la caisse des dépôts. Cette somme est constituée des allocations de rentrée scolaire qu’auraient dû toucher leurs parents pendant leur scolarité.

Or la majorité de ces jeunes, et en particulier les mineurs isolés étrangers, est privée de ce pécule destiné à les aider financièrement au moment de leur sortie de l’ASE.

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