Le premier ministre lance aujourd’hui son « comité d’alerte » pour trouver 40 milliards d’économie. Une idée comme ça, suivant leur logique comptable : 40 milliards, c’est l’équivalent du budget de l’Éducation nationale. Pourquoi ne pas simplement supprimer le ministère ? Bienvenue en absurdie.
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Le plus proche collaborateur du président Emmanuel Macron n’a pas répondu à sa convocation le 11 février, invoquant des problèmes d’agenda, puis « le principe de séparation des pouvoirs ».
Partager la publication "Alexis Kohler pourra faire face à des poursuites pénales s’il refuse à nouveau d’être auditionné à l’Assemblée sur le dérapage des finances publiques"
Le gouvernement Barnier est menacé par la censure, après le déclenchement du 49.3. Rejetant toute proposition budgétaire alternative venue de la gauche, le bloc central a défendu son programme en négociant avec l’extrême-droite. Une grave étape vers la légitimation de l’offre politique du RN.
Motion de censure : Pourquoi faut-il attendre 48 heures avant le vote ?
Les motions de censure déposées par La France Insoumise et le Rassemblement national, à la suite du recours par Michel Barnier le 2 décembre à l’article 49, alinéa 3, pour faire adopter le projet de loi de financement de la sécurité sociale, seront votées mercredi 4 décembre. Pourquoi un tel délai entre le dépôt des motions et leur vote par les députés ?
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Alors que le gouvernement est menacé par une motion de censure soutenue par le Rassemblement national, Basta! s’est penché sur l’attitude du parti d’extrême-droite lors du débat budgétaire. Il en ressort la défense des intérêts les plus fortunés.
Partager la publication "Des mesures pro-riches : voici ce qu’a voté le RN à l’Assemblée nationale sur le budget"
En plein cœur de l’été, la Direction de la protection judiciaire de la jeunesse a annoncé que des imprévus budgétaires allaient conduire à la perte de 240 à 480 postes. Une claque pour des structures déjà dans des situations compliquées. Un point sur la situation en Seine-Saint-Denis.
En août dernier, nous lancions dans ces colonnes l’alerte sur le plan d’économie annoncé pour la protection judiciaire de la jeunesse avec la suppression de 500 postes de contractuels qui s’accompagnait d’une hausse de la répression des jeunes. Après une première journée de grève le 14 août, les quelque 9 000 agents et contractuels de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) étaient appelés à une nouvelle journée de mobilisation le 29.
Aujourd’hui, on voit le résultat de ces restrictions budgétaires et on craint que le projet de budget du gouvernement en cours de discussion à l’Assemblée nationale ne fasse qu’empirer les choses.
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Un nouveau bras de fer se profile sur le budget, qui sera examiné à partir de mercredi en commission à l’Assemblée nationale. Cette fois autour de l’Agefiph, association qui gère les fonds pour aider les personnes handicapées à s’insérer dans le monde du travail, dont le budget est rogné.
Un mois après la fin des jeux paralympiques, c’est une coupe budgétaire qui ne passe pas. La dotation de l’Agefiph va baisser de 20%. Cette association, qui gère les fonds pour aider les personnes handicapées à s’insérer dans le monde du travail, va subir un coup de rabot de 100 millions d’euros dans le budget 2025, ont calculé des parlementaires. Le groupe Ensemble pour la République (EPR) a déposé un amendement contre, a appris franceinfo.
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L’Aide médicale d’Etat, inépuisable point de fixation chez ceux, politiques et media, qui font de l’étranger le bouc-émissaire et la source de tous nos maux.