Afrique : violences policières

Au Soudan, deux manifestants tués dans des défilés contre le pouvoir militaire

Manifestation appelant à un gouvernement civil et dénonçant l’administration militaire, à Omdurman, la ville jumelle de Khartoum, la capitale du Soudan, le 14 février 2022. AFP


La 81e victime a été tuée lundi 14 février à Khartoum d’une « balle réelle dans la poitrine » tirée par « les forces de sécurité soudanaises ».

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SÉNÉGAL : DES MANIFESTANTS TUÉS PAR LA POLICE

Un manifestant fait un geste vers la police lors d’une manifestation à Dakar le 8 mars 2021 / © John Wessels – AFP


Il y a un an, le Sénégal traversait la pire crise de son histoire récente. Suite à l’arrestation de l’opposant politique Ousmane Sonko, la jeunesse sénégalaise est descendue dans la rue : jour après jour, les manifestations ont gagné plusieurs villes du pays. Les autorités les ont réprimées dans la violence : usage excessif de la force, tirs de grenades lacrymogènes, tirs à balles réelles. 14 personnes ont été tuées. Un an après, ces crimes restent impunis. Les familles des victimes attendent justice et vous pouvez agir !

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Une semaine après le putsch, les Soudanais toujours sur leurs barricades


30/10/2021/AFP.com


Les Soudanais hostiles au coup d’État du général Abdel Fattah al-Burhane maintiennent dimanche la pression dans la rue malgré douze morts dans leurs rangs, déterminés à relancer la transition vers la démocratie dans un pays où des figures de la dictature déchue refont surface.

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« Les militaires ne nous dirigeront pas » : les opposants au coup d’État au Soudan restent déterminés


Des personnes protestent à Khartoum, au Soudan, après un coup d’Etat militaire survenu en début de semaine, jeudi 29 octobre 2021. MARWAN ALI / AP


La rue a décidé de dire non au général Burhane, qui a dissous le 25 octobre les institutions du Soudan et arrêté la plupart des dirigeants civils. Samedi matin, les autorités ont coupé l’accès à Internet à Khartoum.

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Bruits de bottes autour de l’accès aux eaux du Nil


Manifestation contre le barrage éthiopien à Khartoum le mois dernier. © AFP / Mahmoud Hjaj / ANADOLU AGENCY / Anadolu Agency via AFP


L’Éthiopie a informé le Soudan et l’Égypte du début de remplissage de son barrage géant sur le Nil, provoquant la colère des deux pays en aval sur le fleuve. Le Conseil de sécurité de l’ONU se réunit demain.


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