Algérie : Ihsane El Kadi, un verdict démesuré et choquant


L’injustice manifeste qui a marqué le traitement infligé au patron de presse Ihsane El Kadi dès son arrestation nocturne et durant toute la procédure judiciaire vient d’être confirmée, ce dimanche 2 avril 2023, par sa condamnation à cinq ans de prison par le tribunal de Sidi M’hamed à Alger. Une peine d’autant plus démesurée et absurde qu’elle repose sur un dossier vide.

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Algérie: une peine de cinq ans de prison requise contre le journaliste Ihsane El Kadi


Le parquet algérien a requis cinq ans de prison ferme à l’encontre d’El Kadi Ihsane, un journaliste proche de l’opposition, accusé d’avoir reçu de l’argent de l’étranger et détenu depuis fin décembre. Le verdict est attendu dimanche 2 avril.

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Algérie : comment le régime étouffe la société civile


Près de quatre ans après le soulèvement pacifique du Hirak, le régime algérien traque les voix contestataires, poussant de plus en plus d’opposants à l’exil. Dans ce podcast, Madjid Zerrouky et Frédéric Bobin, journalistes au « Monde », nous racontent les dessous de cette répression.

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Affaire Amira Bouraoui : Alger multiplie les arrestations


L’opposante algérienne a fui son pays en passant par la Tunisie, début février. Depuis son arrivée en France, plusieurs personnes, liées ou non à sa fuite, sont poursuivies en Algérie.

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Algérie : La décision de dissoudre la principale organisation de défense des droits humains doit être annulée


La dissolution de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), un nouveau coup porté à la société civile indépendante.

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Algérie : La Ligue de défense des droits de l’Homme apprend sa dissolution via les réseaux sociaux

Des Algériens défilent à Alger le 22 février 2021, date anniversaire de la naissance du mouvement Hirak à 2019. Crédit : AP – Anis Belghoul


La Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH) annonce avoir appris sa dissolution sur les réseaux sociaux. Une dissolution décidée sur la base d’un jugement rendu, dit-elle, il y a six mois, à son insu, à l’issue d’un procès tenu en son absence. 

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Dernier espace médiatique libre en Algérie, le siège de Radio M a été mis sous scellés

Manifestation contre la censure, à Alger, le 15 avril 2019. RYAD KRAMDI / AFP


Ihsane El-Kadi, qui dirige le média, a été interpellé dans la nuit de vendredi à samedi, à une soixantaine de kilomètres à l’est d’Alger.

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Algérie: Reporters sans frontières appelle à la libération du fondateur de Radio M, Ihsane El Kadi

En Algérie, les défenseurs des droits humains doivent « choisir entre l’exil ou la prison »

Les militants Saïd Salhi, Aïssa Rahmoune ont fui en Belgique et en France pour échapper à l’emprisonnement en Algérie. DR


La Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme est la principale ONG de défense des droits humains en Algérie. Soutien du mouvement du Hirak, elle doit subir la répression du régime. Deux de ses vice-présidents et un ancien président ont dû prendre le chemin de l’exil pour éviter l’enfermement par le régime. Réfugiés en France et en Belgique, Saïd Salhi et Aïssa Rahmoune entendent continuer la lutte depuis l’étranger pour la défense des droits humains en Algérie. Paroles d’exilés.

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Droits de l’homme en Algérie

En Algérie, pour les militants des droits humains, l’exil ou la prison

Les militants Saïd Salhi, Aïssa Rahmoune et Salah Dabouz ont fui en France et en Belgique pour échapper à l’emprisonnement et sauver leur vie. Ils racontent ce qui les a poussés à partir alors que l’Algérie passe son Examen périodique universel au Conseil des droits de l’homme, à Genève.

Saïd Salhi chez lui en Belgique, le 8 novembre 2022.

Même lui est parti. Lui qui a été de toutes les manifs, de toutes les marches, de toutes les luttes. Lui qui prenait le micro pour dénoncer le système, les arrestations perpétuelles de militants, les tortures en prison… Saïd Salhi, emblématique vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH) a fui son pays. « Je n’avais jamais pensé quitter l’Algérie », souffle-t-il.

Journalistes, magistrats, avocats et militants des droits humains partent ou tentent de partir. La fermeture et la répression sont telles que plus rien n’est faisable sans risquer l’arrestation, alors nous nous exilons pour parler et agir d’ailleurs. »

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La macronie n’aime pas la démocratie


Le Parisien : une interview de Philippe Martinez déprogrammée


Algérie : Ryma, brûlée vive par un fiancé éconduit


Détresse au Soudan du Sud après une quatrième année d’inondations record

D’ici et d’ailleurs


Belgique: faut-il interdire ou encadrer les courses-poursuites par la police? La Ligue des droits humains réclame un débat.


Népal: près de 500 000 citoyens apatrides attendent la régularisation de leur situation


Maroc: les réseaux sociaux en deuil après la mort de Meriem, avortée clandestinement à la suite d’un viol


Somalie : le pays est au bord de la famine


Soudan : « Un enfant sur trois ne va pas à l’école », s’alarment des organisations humanitaires


L’Algérie expulse une nouvelle vague de 600 migrants africains vers le Niger


Gangs et pouvoir en Haïti, histoire d’une liaison dangereuse

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Isère : 38 migrants découverts entassés dans un fourgon sur l’A43, le passeur est en fuite


Algérie – Niger : plus de 800 migrants expulsés en quelques jours


Conducteur tué à Nice : le policier auteur du tir mortel mis en examen pour violences volontaires


Des milliers d’objets volés lors de la colonisation dorment dans les inventaires des musées français


Quelle mémoire de la guerre d’Algérie 60 ans après l’indépendance ? Quatre Franco-algériennes témoignent

Donia, à droite, a participé à l’organisation de la journée « Raconter l’Algérie ». Comme Manel et Lina, la jeune Franco-algérienne veut renouveler et nourrir les récits autour de l’histoire algérienne. 


Le 2 juillet, plusieurs centaines de personnes se sont réunies à la Flèche d’Or à Paris, pour célébrer en avance le soixantième anniversaire de l’indépendance algérienne, proclamée le 5 juillet 1962. Parmi elles, nous avons interrogé quatre jeunes femmes franco-algériennes sur leur rapport à la mémoire de cette période charnière, l’héritage qu’elles en gardent, l’importance de ces questions dans leur famille et dans leur vie.

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« Je vis sous le seuil de pauvreté »


TÉMOIGNAGES. Droit à l’avortement : « J’ai avorté en 1969 sur une table de cuisine, curetage a vif… »


« N’importe qui peut être arrêté » : à Hong Kong, la Chine a réduit la société civile au silence


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Interdiction de l’IVG aux États-Unis : des Américaines vont avorter au Mexique


Égypte : ces présentateurs à la solde du pouvoir qui mènent campagne contre les journalistes


Yaël Braun-Pivet : la fossoyeuse de la commission Benalla au perchoir de l’Assemblée nationale


Algérie : RSF déplore la fermeture du quotidien Liberté


Le quotidien algérien Liberté va officiellement cesser de paraître. Ce journal trentenaire était une référence en matière d’information indépendante et n’a cessé ces dernières années de subir des pressions politiques émanant du plus haut sommet de l’Etat algérien. RSF déplore le sacrifice soudain de ce titre sans raison valable et s’inquiète pour les autres médias du pays.

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Guerre d’Algérie : il y a 60 ans, tensions et incompréhensions dans les coulisses d’Évian

Signature des Accords d’Evian le 18 mars 1962 à l’Hôtel du Parc à Évian-les-Bains. © REPORTERS ASSOCIES/Gamma-Rapho via Getty Images


Il y a 60 ans, en mars 1962, les représentants français et ceux du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) se réunissaient à Evian pour conclure les accords qui allaient mettre fin à la guerre d’Algérie.

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