Les talibans ont tué plus de 100 anciens membres du gouvernement ou de la sécurité


Un nouveau rapport de l’ONU fait également état de restriction des droits humains en Afghanistan depuis l’arrivée au pouvoir des talibans, notamment pour les femmes.

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Afghanistan : l’appel à l’aide d’une militante juste avant son arrestation


L’inquiétude monte après la disparition de deux militantes en Afghanistan. Tamana Zaryabi et Parawana Ibrahimkhel ont été arrêtées chez elles après avoir manifesté pour les droits des femmes à travailler, étudier, et choisir ou non de porter le voile. Peu avant sa disparition, Tamana Zaryabi a posté une vidéo du moment où les talibans sont arrivés devant chez elle, dans laquelle on l’entend appeler à l’aide. Mais selon le porte-parole des talibans, la vidéo serait un fake. Une version démentie par une amie de la jeune femme, selon la BBC. L’ONU a exprimé sa préoccupation.

Afghanistan : vendre son rein pour nourrir sa famille



En Afghanistan, dans la province occidentale d’Hérat, les habitants ayant un besoin urgent d’argent sont contraints de vendre un organe.

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Afghanistan : l’ONU a besoin de cinq milliards de dollars pour éviter la catastrophe humanitaire

Quelque 22 millions de personnes, plus de la moitié de la population de l’Afghanistan, ont un besoin urgent d’aide. (Javed TANVEER/AFP)


L’ONU a demandé ce mardi cinq milliards de dollars pour tenter d’empêcher l’Afghanistan de sombrer dans l’une des plus graves catastrophes humanitaires de son histoire.

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Rétro : 2021, une année de bonnes nouvelles aussi


InfoMigrants a également recensé tout au long de l’année des nouvelles positives. Crédit : DR


L’année 2021 fut une fois encore particulièrement terrible pour les exilés : les décès de migrants en mer n’ont pas baissé, des milliers d’exilés se sont retrouvés bloqués entre la Biélorussie et la Pologne, le retour des Taliban en Afghanistan a provoqué le départ désespéré de milliers d’Afghans… Mais InfoMigrants a également recensé tout au long de l’année des nouvelles positives : des lois protégeant les plus fragiles, des histoires de réussite, de lien social, d’intégration.

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« Je dois soutenir ma famille » : la crise économique en Afghanistan affecte aussi les réfugiés afghans en France

Des Afghans récupèrent des colis d’aide alimentaire distribués par une ONG turque, le 15 décembre 2021, à Kaboul. Crédit : Reuters


Quatre mois après le retour des Taliban au pouvoir en Afghanistan, le pays s’enfonce dans une grave crise économique. De très nombreux Afghans ont perdu leur emploi et plus de 20 millions de personnes sont aujourd’hui confrontées à la faim, selon le Programme alimentaire mondial. En France, les réfugiés afghans redoublent d’efforts pour venir en aide à leurs familles restées dans le pays.

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A Kaboul, des Afghanes tentent de manifester contre le régime taliban


Bravant l’interdit, des Afghanes manifestent pour défendre leurs droits, dans les rues de Kaboul, le 28 décembres 2021. (Capture d’écran/AFP)


VIDÉO. Les manifestantes ont dénoncé « la machine criminelle » instaurée par les talibans en Afghanistan et réclament le respect de leurs droits. Elles ont été rapidement interrompues.

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Filippo Grandi appelle à un soutien accru envers l’Iran afin de protéger les réfugiés afghans


Le Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, Filippo Grandi, assiste à une conférence de presse à Téhéran, en Iran, au cours d’une visite de trois jours dans le pays.   © HCR/Hossein Eidizadeh


Au terme d’une visite de trois jours en République islamique d’Iran, le Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, Filippo Grandi, a exhorté la communauté internationale à renforcer son soutien au gouvernement et au peuple iraniens, qui accueillent des Afghans ayant fui pour échapper à la détérioration de la situation dans leur pays.

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Afghanistan : plus de 40% des médias fermés et 80% des femmes journalistes au chômage depuis la prise de pouvoir des talibans



Une étude de Reporters sans frontières (RSF) avec l’Association des journalistes indépendants d’Afghanistan (AJIA) révèle un changement radical du paysage médiatique afghan depuis l’arrivée au pouvoir des talibans. Au total, 231 médias ont dû mettre la clé sous la porte et plus de 6 400 journalistes ont perdu leur emploi depuis le 15 août 2021. Les journalistes afghanes sont les plus affectées : quatre sur cinq ne travaillent plus.

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En Afghanistan, la faim s’installe et menace « particulièrement des bébés de moins de six mois »

Médecins Sans Frontières (MSF) constate une augmentation inquiétante de la malnutrition, aggravée chez les bébés de moins de six mois. Plus d’un enfant sur cinq ne survit pas à la faim.

Le système de santé s’est écroulé. La Banque mondiale finançait près de 75 % du système de santé afghan, or elle a gelé ses financements après la prise de pouvoir des Taliban. Tout le système repose sur les ONG. Les hôpitaux afghans n’ont plus de moyens de s’occuper des malades.

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Afghanistan : le système de santé en passe de s’effondrer



En Afghanistan, trois millions d’enfants font face à une malnutrition aiguë, alors que les fonds de la Banque centrale afghane sont gelés depuis la prise de pouvoir des talibans, mi-août. Les hôpitaux locaux sont désormais incapables de fonctionner.

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Afghanistan : les talibans demandent aux télévisions d’éviter de diffuser des séries montrant des femmes


Une femme à Kaboul, en Afghanistan, le 31 octobre 2021. (HECTOR RETAMAL / AFP)


Le ministère taliban de la Promotion de la vertu et de la Prévention du vice leur demande également de faire en sorte que les femmes journalistes portent « le voile islamique » à l’écran.

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Afghanistan : les talibans confirment le meurtre de quatre femmes

Les victimes pourraient être des activistes des droits des femmes qui cherchaient à fuir le pays.

Un porte-parole taliban a confirmé samedi 6 novembre le meurtre de quatre Afghanes dont les cadavres ont été retrouvés à Mazar-i-Sharif (Nord), alors que plusieurs assassinats d’activistes ont été rapportés récemment.

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« Les Taliban ont une liste de cibles à abattre » au sein de la communauté LGBT, révèle une ONG


Des membres afghans de la communauté LGBT+ présentent leurs passeports avant d’embarquer sur un vol pour le Royaume-Uni à la fin du mois d’octobre 2021. © Rainbow Railroad


Depuis que les Taliban ont pris le pouvoir fin août en Afghanistan, la répression s’intensifie contre les membres de la communauté LGBT+. Craignant pour leurs vies, ses membres sont contraints de vivre dans la clandestinité. « Nous savons de manière certaine que les Taliban ont une ‘liste noire’ de personnes à abattre », révèle Rainbow Railroad, une ONG canadienne qui aide des Afghans menacés de mort à obtenir l’asile.

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Des Afghans LGBT+, menacés par le régime taliban, accueillis au Royaume-Uni


Ankara, Turquie: manifestation de soutien aux femmes et LGBT afghans le 25 août 2021, après le retour au pouvoir des talibans à Kaboul. Le fondateur de l’association Afghan LGBT, Artemis Akbary, d’origine afghane est réfugié en Turquie depuis plusieurs années. AFP – ADEM ALTAN


Le Royaume-Uni a accueilli pour la première fois une trentaine d’Afghans issus de la communauté LGBT+, menacés dans leur pays par le retour au pouvoir des talibans, a annoncé samedi 30 octobre le ministère des Affaires étrangères britannique. 

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Dans l’ouest afghan, des familles vendent leurs fillettes pour ne pas mourir de faim


Les fillettes Farishteh, 6 ans, (d) et Shokriya (2e) un an et demi, avec leurs parents et leur frère, sous une tente du camp de déplacés de Qala-i-Naw, le 14 octobre 2021 en Afghanistan – Hoshang Hashimi (AFP)


Quand son mari a dit à Fahima qu’ils allaient devoir vendre leurs deux petites filles pour que la famille ne meure pas de faim, après avoir été déplacée par la sécheresse dans l’ouest de l’Afghanistan, elle a « beaucoup pleuré ».

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Aux Nations Unies, les femmes afghanes lancent un appel : ne laissez pas les talibans entrer

De gauche à droite : l’ancienne diplomate afghane Asila Wardak, l’ancienne femme politique afghane et négociatrice de paix Fawzia Koofi, la journaliste afghane Anisa Shaheed et l’ancienne femme politique afghane Naheed Fareed s’adressent aux journalistes en dehors du Conseil de sécurité de l’ONU


NATIONS UNIES, 22 octobre (NNN-AGENCIES) – Un groupe de femmes afghanes a exhorté les Nations Unies à empêcher les talibans d’obtenir un siège au sein de l’organisation mondiale, appelant à une meilleure représentation de leur pays lors d’une visite au siège de l’organisation à New York.

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Afghanistan : Les demandeurs d’asile ont besoin d’une protection élargie


Des femmes afghanes ayant fui leur province dans le nord du pays, photographiées parmi des tentes mises en place dans un parc public à Kaboul, Afghanistan, le vendredi 13 août 2021. Deux jours plus tard, le dimanche 15 août, les talibans ont saisi le contrôle de la capitale. ©2021 AP Photo/Rahmat Gul


Les agences de l’ONU et les gouvernements devraient renforcer leur assistance aux Afghans en danger.

(New York, le 21 octobre 2021) – Les Afghans en danger qui ont fui ou cherchent à fuir l’Afghanistan ont besoin d’un soutien international plus vigoureux, a déclaré aujourd’hui Human Rights Watch dans un nouveau document d’information politique. Les Nations Unies et les gouvernements concernés devraient renforcer l’assistance fournie aux réfugiés et demandeurs d’asile afghans, y compris ceux des pays voisins de l’Afghanistan, des pays de transit et des pays de réinstallation.

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Afghanistan : « Il faut que le regroupement et la réunification familiaux soient considérés comme indissociables du droit d’asile »


Henry Masson et Fanélie Carrey-Conte, président et secrétaire générale de la Cimade, reviennent, dans une tribune au « Monde », sur ce qui s’est passé en Afghanistan, depuis la prise de Kaboul par les talibans le 15 août, et appellent à un changement de politique sur le droit d’asile.

Tribune. Alors que les événements d’Afghanistan ne sont plus au cœur de l’actualité quotidienne, il est indispensable de ne pas s’en détourner. Au cœur du drame afghan, des familles se trouvent aujourd’hui séparées, du fait des difficultés de la mise en œuvre de la réunification familiale. Or, il est possible de faire plus et mieux sur ce sujet.

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« Pourquoi ne pouvons-nous aller à l’école ? » Les rêves brisés des lycéennes afghanes


Amena, lycéenne privée de cours, à Kaboul, le 14 octobre 2021
afp.com/BULENT KILIC


Kaboul – Le lycée d’Amena, une adolescente afghane à Kaboul, a été attaqué à la bombe en mai, des dizaines de ses camarades sont mortes mais cela ne l’avait pas dissuadée de poursuivre ses études.

Aujourd’hui, comme la plupart des élèves du secondaire dans le pays, les talibans lui interdisent de retourner en cours.

« Je voulais étudier, voir mes amis et bâtir mon avenir, mais maintenant je n’y ai plus droit », se lamente cette jeune fille de seize ans, rencontrée par l’AFP à son domicile dans l’Ouest de Kaboul.

« Depuis l’arrivée des talibans, je suis triste et en colère », dit-elle.

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