
Après le meurtre de l’infirmière du CHU de Reims, un discours mêlant insécurité et troubles psychiatriques monte. Le psychiatre Mathieu Bellhasen déconstruit ce schéma stéréotypé dans un entretien avec « l’Obs ».
Après le meurtre de l’infirmière du CHU de Reims, un discours mêlant insécurité et troubles psychiatriques monte. Le psychiatre Mathieu Bellhasen déconstruit ce schéma stéréotypé dans un entretien avec « l’Obs ».
Lancement du concours des « Écrits pour la fraternité » à destination des enfants et des jeunes ![]() C’est sur le thème de la paix que nous proposons aux jeunes de s’exprimer pour cette 31e édition, à partir d’une citation de René Cassin : « Il n’y aura pas de paix sur cette planète tant que les droits de l’Homme seront violés en quelque partie du monde que ce soit. » En savoir plus Contactez la section de la LDH la plus proche de chez vous pour participer, dans le cadre d’un établissement scolaire ou en individuel ou contactez directement le siège de la LDH : communication@ldh-france.org |
Un groupe d’associations et de collectifs de santé interpelle la Première ministre et menace pour la première fois de porter plainte pour carence fautive de l’État, tant la situation de l’hôpital public est dégradée. Les signataires appellent notamment à la fixation de ratios minimum soignants-soignés dans tous les services.
Des rassemblements sont prévus dans au moins cinquante villes de France pour dénoncer un « hôpital désespérément maltraité ». La situation critique dans 20% des services d’urgences est au cœur des revendications.
Manque de médecins, d’infirmiers, d’aides-soignants ou de lits : ces services représentent quasi 20 % des urgences de France. Aucun territoire n’est épargné, avec 60 départements touchés dans toutes les régions.
Les enfants ne sont pas épargnés par les combats entre Russes et Ukrainiens. À l’hôpital de Zaporijia, où ils sont soignés, ce sont des patients « très courageux et très forts », soulignent les médecins.
Des dizaines de migrants enfermés en centre de rétention en Ukraine ne peuvent pas fuir la guerre, a affirmé Human Rights Watch dans un rapport publié lundi 4 avril. Plusieurs de ces structures se trouvent en pleine zone de conflit, alors que le pays tente de résister à l’invasion russe et que des milliers de civils ont péri dans les affrontements. L’ONG s’inquiète pour la sécurité des personnes retenues et demande leur libération.
Lessivé par les vagues de covid-19 et les plans blancs à répétition, l’hôpital apparaît démoralisé à quatre mois de l’élection présidentielle, mais syndicats et collectifs de soignants espèrent, malgré tout, pouvoir « peser sur le débat politique ».
Au lieu de la facture envoyée après un passage à l’hôpital, un nouveau dispositif entre en vigueur ce 1er janvier. Avec des conséquences directes pour les Français sans mutuelle et le personnel soignant.
Après de nombreuses démarches auprès des médecins et de la direction de l’hôpital psychiatrique dans lequel sa fille est internée, Michel alerte le Contrôleur Général des Lieux de Privations de Liberté en 2015. Mais il était loin de s’imaginer l’ampleur de ce que la visite du CGLPL allait révéler.
Alors que la cinquième vague de Covid-19 remet sous pression le système hospitalier, des centaines de personnels soignants se sont mobilisés, samedi, à Paris pour « défendre l’hôpital public ». Saturation des services d’urgence, fermetures de lits, difficultés à assurer la continuité des soins pour les patients hors Covid… Les professionnels de santé rencontrés par France 24 se livrent sur leur quotidien compliqué.
Manque de moyens, fermeture de lits,… Les revendications du personnel de l’hôpital public sont nombreuses. En réponse à l’appel des syndicats, collectifs et associations, des soignants de toute la France sont attendus à Paris (Ile-de-France) ce samedi 4 décembre devant le ministère de la Santé pour faire part de leur colère.
En Afghanistan, trois millions d’enfants font face à une malnutrition aiguë, alors que les fonds de la Banque centrale afghane sont gelés depuis la prise de pouvoir des talibans, mi-août. Les hôpitaux locaux sont désormais incapables de fonctionner.
Il faut se souvenir qu’en mars 2020, les hôpitaux ont demandé aux familles de venir chercher leur parent pour libérer des lits. Les aidants ont alors agi comme des co-soignants. Ils ont soutenu le système de santé en accueillant leur proche chez eux, en effectuant eux-mêmes les gestes médicaux. Une tribune de Claudie Kulak qui participera au Forum Libé mercredi 13 octobre.
Voici l’incroyable histoire d’un jeune médecin hongrois qui voulait sauver la vie des femmes.
Alors que des vagues de fièvre puerpérale s’abattent dans toutes les maternités, Ignác Fülöp Semmelweis (1818-1865) fait une découverte fracassante : les mains des médecins transmettent la mort. Esprit libre et rationnel, Semmelweis tente alors d’imposer un geste simple d’une saisissante actualité : se laver les mains. Rompant avec les croyances de son époque, Semmelweis est rejeté par ses pairs et meurt oublié dans un asile psychiatrique de Vienne. Était-il lucide, génial, visionnaire ou fou ? Médecins, écrivains, historiens et artistes se penchent sur cette figure exceptionnelle et tragique de l’histoire de la médecine.
A Mateur, au nord de la Tunisie, le directeur de l’hôpital s’effondre. Confronté à un dramatique manque d’oxygène pour ses patients atteints du Covid, il doit sortir de l’établissement pour pleurer. Alors que la Tunisie a le plus fort taux de mortalité dû à la pandémie, le pays manque cruellement de matériel. Les appels à l’aide se multiplient et les collectes de solidarité s’organisent.
Les onze jours d’affrontements entre le Hamas et l’armée israélienne ont notamment détruit le seul centre public de dépistage de l’enclave palestinienne. Le chef de l’unité Covid du plus grand hôpital a été tué.