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Septième mobilisation à l’appel du collectif « Pour une paix juste et durable » ce samedi 16 mars. Ils ont défilé une partie de la matinée dans les rues de Troyes pour réclamer un cessez-le-feu.
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Septième mobilisation à l’appel du collectif « Pour une paix juste et durable » ce samedi 16 mars. Ils ont défilé une partie de la matinée dans les rues de Troyes pour réclamer un cessez-le-feu.
Le Hamas, qui exigeait jusqu’ici un cessez-le-feu définitif à Gaza avant tout échange d’otages israéliens contre des prisonniers palestiniens, est désormais prêt à une trêve de six semaines, a indiqué à l’AFP un responsable du mouvement islamiste palestinien. Israël la juge « irréaliste ». Suivez en direct les derniers développements du conflit au Proche-Orient.
Le Parlement européen a voté ce jeudi 14 mars en faveur d’une résolution sur la situation à Gaza et le fait qu’il existe un risque immédiat de famine généralisée. Le Parlement, considérant qu’Israël a renforcé le blocus de Gaza et empêche le bon déroulement des opérations humanitaires, tout en poursuivant la colonisation, appelle donc pour la première fois à un cessez-le-feu immédiat.
Un pont maritime est mis en place, alors que la situation humanitaire dans l’enclave continue de se dégrader. Gaza est en proie à la famine, le conflit a fait des milliers de morts parmi les civils, aucune perspective d’arrêt des combats n’est envisagée. Entretien avec Anwar Abu Eisheh, professeur de droit à l’université Al-Quds et ancien ministre de la Culture de l’Autorité palestinienne.
Jeudi 14 mars
Jeudi 14 mars
19h00 à l’Hôtel de ville de Troyes
Vendredi 15 mars
Séance spéciale le vendredi à 20h en présence du réalisateur Abdul Hamid Mandgar au cinéma UTOPIA,11 Rue du Moulinet, Parking, Voie aux Vaches, 10150 Pont-Sainte-Marie
Samedi 16 mars
10H30 PLACE JEAN JAURÈS
Le massacre du 7 octobre et le début d’une nouvelle guerre dans la bande de Gaza ont créé une onde de choc médiatique planétaire. Pourtant, après 150 jours de guerre et plus de 30 500 morts, la couverture médiatique du conflit est irrégulière sur le petit écran des Français.
La #LDH se joint à l’appel de la Plateforme Palestine en faveur de la proposition de résolution visant à saisir la Cour pénale internationale sur la situation à #Gaza.
Interpellez vos élu-es afin qu’elle soit inscrite à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale
Ils ont manifesté ce samedi matin à Troyes pour dénoncer « le génocide en Palestine » suite à l’appel du collectif aubois pour la paix et l’arrêt des massacres à Gaza.
Depuis plus de quatre mois, les habitants de Gaza sont sous le feu des bombardements de l’armée
israélienne. Plusieurs dizaines de milliers personnes sont déjà mortes, blessées ou disparues dont une grande majorité de femmes et d’enfants. Ces massacres de la population palestinienne ne font que s’accentuer chaque jour.
Les hôpitaux sont bombardés, ceux qui ne sont pas encore détruits sont exsangues et submergés par les blessés. Les soins sont quasiment impossibles et les amputations sont réalisées sans anesthésie. Près de deux millions de personnes ont été obligées de quitter leur logement dans l’urgence et la peur. Mais le sud de Gaza où se réfugient les habitants du Nord de l’enclave est aussi bombardé, alors que la densité de population au km carré y a dépassé les 10 000 habitants.
Le massacre et les actes de terreur perpétrés par le Hamas le 7 octobre contre des civils israéliens ne justifient en rien les massacres actuellement à l’oeuvre contre le peuple palestinien tout entier.
La poursuite de cette offensive est en flagrante violation des ordonnances de la Cour Internationale de Justice, qui pointe des signes concordants d’un génocide en cours.
Le gouvernement israélien bafoue à nouveau le droit international après l’avoir fait depuis des décennies avec l’occupation des territoires palestiniens par les colons israéliens. Ce gouvernement dominé par l’extrême-droite mène ouvertement une politique d’apartheid et poursuit inexorablement la colonisation de la Cisjordanie et de Jérusalem Est, au mépris de toutes les décisions internationales.
Comme seule réponse à la décision de la Cour internationale de justice du 26 janvier dernier qui lui ordonne de tout mettre en oeuvre pour prévenir le génocide, Benyamin Netanyahou et son cabinet de guerre entament une nouvelle phase de son offensive en ciblant Rafah, où plus de la moitié de la population de la Bande de Gaza se trouve concentrée à la suite de déplacements forcés. Cela va plonger cette population dans une horreur absolue.
Nous saluons l’Afrique du Sud qui vient de déposer une nouvelle requête auprès de la Cour Internationale de Justice.
Nous interpellons les autorités françaises qui ont encouragé, l’offensive israélienne. Il ne suffit pas d’exprimer « sa plus vive préoccupation », il faut passer aux actes. Il faut suspendre toute coopération militaire avec Israël et prendre des sanctions diplomatiques et économiques contre l’État criminel tant qu’il ne se conforme pas aux aux ordonnances de la Cour Internationale de Justice.
Une paix juste et durable ne sera possible que dans le cadre de la reconnaissance des droits du peuple palestinien, de l’arrêt de la colonisation et de la fin de l’occupation israélienne des terres palestiniennes, d’un état Palestinien indépendant, dans le respect de l’ensemble des résolutions de l’ONU.
Dans cette situation, nous appelons à poursuivre la mobilisation
pour exiger :
– Un cessez-le-feu immédiat.
– La levée immédiate du blocus inhumain qui affame la population de Gaza.
– L’acheminement de médicaments et de moyens matériels et et humains pour les hôpitaux.
– L’arrêt des déplacements forcés de la population.
– La protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie.
– La libération des otages du Hamas et des prisonniers palestiniens.
– La fin de l’occupation des territoires palestiniens.
– La reconnaissance par la France de l’Etat Palestinien.
– L’arrêt des ventes d’armes à Israël.
À l’appel dans l’Aube des organisations :
MRAP, LDH, GREENPEACE, AGUI, LIBRE PENSEE, COLLECTIF LOUISE MICHEL, LFI, POI, PCF, GENERATION.S, CGT, collectif LOUISE MICHEL,
Alors que les civils de la bande de Gaza font face à un risque d’épidémie et à la famine, les forces israéliennes bloquent les convois d’aide humanitaire, tirent sur les véhicules et arrêtent les employés.
Le chef de l’ONU a mis en garde lundi contre la fin des programmes d’aide humanitaire pour la bande de Gaza si Israël lançait une offensive militaire majeure sur Rafah annoncée par le Premier ministre Benjamin Netanyahu.
Le Programme alimentaire mondial a été contraint de stopper ses livraisons d’aide après que des camions ont été pillés par des Gazaouis affamés.
Une centaine de médecins venus des quatre coins du globe, États-Unis, Australie, sultanat d’Oman ou Royaume-Unis, ont été invités en Jordanie pour réfléchir à des solutions sur la question sanitaire dans la bande de Gaza assiégée. Tous se sont rassemblés dans le cadre d’une conférence internationale à Amman pour exprimer leur solidarité envers leurs collègues actuellement présents dans l’enclave et réfléchir à l’après.
Il ne s’agit sans doute que de « la partie émergée de l’iceberg », car l’institution humanitaire a reçu plus de 115 000 demandes de recherches de la part de familles.
Informations à venir.
L’armée israélienne a intensifié jeudi ses frappes sur Rafah, accentuant les craintes sur le sort de plus d’un million de Palestiniens coincés dans cette ville de la bande de Gaza, sur fond de nouvelles tractations pour parvenir à une trêve entre Israël et le Hamas.
Israël a poursuivi ses frappes sur la bande de Gaza et tué plus de 120 Palestiniens en 24 heures, a indiqué dimanche le Hamas, avant une nouvelle mission du secrétaire d’Etat Antony Blinken au Moyen-Orient pour soutenir les tractations en vue d’une trêve.
Depuis une semaine, des manifestants israéliens, issus pour beaucoup des milieux de l’extrême droite, sont réunis à Kerem Shalom. C’est par ce point de passage entre Israël et Gaza, qu’entre l’aide humanitaire dans l’enclave palestinienne. Ces militants tentent de bloquer le passage des camions chargés de denrées alimentaires. Des affrontements avec la police israélienne éclatent régulièrement.
La plus haute juridiction de l’ONU demande également à l’État hébreu de permettre l’accès à l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, mais n’ordonne pas de cessez-le-feu.
« Le ministre (israélien) aurait pu mieux profiter de son temps et se préoccuper de la sécurité de son pays et du nombre élevé de morts à Gaza », s’est agacé Josep Borrell.
L’armée israélienne bombarde intensément ce vendredi 19 janvier la bande de Gaza, et particulièrement le sud, sur fond d’important différend entre Israël et Washington à propos d’un éventuel État palestinien et d’une régionalisation croissante du conflit au large du Yémen. Le bilan des morts continue de grimper.
Le 26 décembre, le premier objecteur de conscience qui a refusé de faire son service militaire depuis le début de la guerre avec le Hamas a été emprisonné en Israël. Ces voix minoritaires qui refusent de participer à « l’oppression des Palestiniens », tentent de changer la donne par leur engagement politique.
HALTE AUX MASSACRES À GAZA ET EN CISJORDANIE !
CESSEZ-LE-FEU TOTAL ET PERMANENT, PROTECTION DU PEUPLE
PALESTINIEN !
Ce qui est en train de se passer à Gaza est un crime contre toute l’Humanité.
Les bombardements, attaques militaires par voies terrestres, aériennes et maritimes sont toujours en cours et avec toujours plus d’intensité. L’armée israélienne vise maintenant le Sud, là où des centaines de milliers de personnes ont été obligées de se réfugier. En tout, 1,9 million de personnes ont été déplacées.C’est une guerre atroce et criminelle entreprise par l’Etat d’Israël contre la populationpalestinienne de Gaza. Les 22000 morts, dont plus de 70% de femmes et d’enfants, les 56000 blessés, les milliers de disparus, les familles anéanties, les 75 journalistes tués sont autant de vies, de personnalités, de visages dont il faut rappeler le souvenir. Nous condamnons les arrestations massives indiscriminées dans la population de Gaza, elles sont menées dans des conditions inhumaines et dégradantes.
Chaque victime israélienne comme palestinienne est à déplorer. Chaque vie compte autant qu’une autre à nos yeux.
C’est une guerre qui vise à vider Gaza de sa population par n’importe quel moyen. Les crimes commis le 7 octobre ne peuvent justifier une telle attaque contre toute une population et ses infrastructures vitales.
Des rapporteurs de l’ONU évoquent « un risque de génocide ».
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Gutteres, a activé l’article 99 pour alerter d’une
catastrophe humanitaire « aux conséquences irréversibles pour les Palestiniens dans leurensemble et pour la paix et la sécurité dans la région ». Nous encourageons la dernière résolution du 22 décembre 2023 qui exige de toutes les parties au conflit qu’elles autorisent et facilitent l’acheminement « immédiat, sûr et sans entrave » d’une aide humanitaire à grande échelle directement à la population civile dans toute la bande de Gaza.
En Cisjordanie, sous état de siège, la population palestinienne subit les attaques conjuguées de l’armée et des colons, qui ont fait plus de 260 morts depuis le 7 octobre. Plusieurs communautés ont été chassées de leurs terres, les cultures palestiniennes sont prises pour cible. Nous dénonçons ce processus de nettoyage ethnique. Les arrestations de masse, extrêmement violentes, touchent toute la population, hommes, femmes et enfants.
Nous exigeons un cessez-le-feu total et permanent pour la Bande de Gaza, l’arrêt définitif des bombardements, des offensives terrestres et des déplacements forcés de populations.
Nous exigeons l’entrée immédiate et sans restriction de l’aide humanitaire d’urgence et la levée durable du blocus de la bande de Gaza.
Nous exigeons la libération de tous les prisonniers politiques palestiniens détenus dans les
prisons israéliennes dans des conditions inhumaines. 150 prisonniers ont été libérés pendant
la trêve. Mais depuis le 7 octobre, l’armée israélienne a procédé à plus de 3 000 arrestations en Cisjordanie occupée, y compris à Jérusalem-Est.
Nous demandons la libération des otages civils israéliens.
Nous demandons la protection de la population palestinienne de Cisjordanie y compris à
Jérusalem-Est
Nous exigeons que la France et l’Union européenne s’engagent activement et sans ambiguïté pour le cessez-le-feu, y compris par des sanctions contre l’État d’Israël et en arrêtant immédiatement toute coopération militaire et sécuritaire.
Une paix juste et durable ne sera possible que dans le cadre de la reconnaissance des droits du peuple palestinien, et notamment de son droit à l’autodétermination. Elle implique l’arrêt de la colonisation et la fin de l’occupation israélienne, ainsi que le respect de l’ensemble des
résolutions de l’ONU, y compris la résolution 194 qui prévoit le droit au retour des réfugiés.
- Cessez-le feu total, immédiat et permanent !
- Arrêt définitif des bombardements et des déplacements forcés de la population !
- Levée immédiate, complète et durable du blocus de Gaza !
- Protection du peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie !
À Troyes, nous appelons à une manifestation samedi 13 Janvier à 14h30 – Bourse du Travail, 54 Pl. Jean Jaurès.
Troyes, le 07 Janvier 2023
Membres du Collectif Aubois pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens signataires de l’appel :
Associations : AGUI, GREENPEACE Aube, LDH, FEDERATION DE L’AUBE DE LA LIBRE PENSEE,
MRAP
Partis politiques : GENERATION.S, PCF, POI, LFI