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La valeur du contrat des 80 avions de combat Rafale et des 12 hélicoptères Caracal vendus aux Émirats arabes unis s’élève à 17 milliards d’euros.
Alors que les prix de l’énergie s’envolent, les difficultés à se chauffer ou à payer leurs factures touchent de plus en plus de ménages. Un Vendéen, en situation de grande précarité et vivant dans une passoire thermique, raconte.
Alors qu’il fait de plus en plus froid, à Bordeaux, certains étudiants grelotent. Ils se plaignent d’avoir des radiateurs qui ne chauffent pas dans leur résidence. Le crous qui gère leur logement leur a conseillé de “rajouter un pull ». L’oeil du 20h a enfilé sa doudoune pour se rendre sur place.
Pour que les «biens communs» (eau, terres, infrastructures…) cessent d’être accaparés par quelques-uns, il faut une loi pour les protéger. Les auteurs de cette tribune en exposent les contours.
Baisse des prix trompeuse, publicité massive, absence de réglementation… Le succès du «Black Friday» repose sur une grande «arnaque», selon la chercheuse Jeanne Guien. Pour laquelle les marques et le gouvernement travaillent ensemble.
C’est la première famine qui serait imputable au réchauffement climatique. Dans le sud de Madagascar, 30 000 habitants n’ont plus d’eau et souffrent de la faim. Le programme alimentaire tire la sonnette d’alarme.
En une semaine, la contestation des restrictions sanitaires en Guadeloupe a pris une tournure inquiétante, avec des émeutes, pillages et incendies. Alors qu’Emmanuel Macron et Jean Castex appellent au calme en Guadeloupe, la colère gronde dans ce territoire d’Outre-mer, où le malaise social est profond et les difficultés économiques endémiques.
En raison de la crise économique qui frappe le pays, de nombreux Libanais souffrent de dépression mais aussi de stress post-traumatique. En un an, le nombre d’appels reçus par la ligne d’assistance téléphonique 1564 a triplé.
par Serge Halimi dans LE MONDE diplomatique
Athènes vient d’offrir un Noël anticipé à ses armées : vingt-quatre avions de combat Rafale et trois frégates dernier cri, en attendant des F-35 et des hélicoptères Sikorsky, sans oublier drones, torpilles et missiles. Les officiers grecs ne seront pas seuls à la fête puisque des groupes d’armement français, Dassault en particulier, comptent au nombre des principaux fournisseurs d’Athènes.
« La contribution des immigrés sous la forme d’impôts et de cotisations est supérieure aux dépenses que les pays consacrent à leur protection sociale, leur santé et leur éducation », conclut l’organisation dans son rapport.
Quel est « l’impact budgétaire » de l’immigration pour un État ? L’OCDE a publié, jeudi 28 octobre, une étude sur le sujet. En faisant le ratio entre les contributions versées par les immigrés et les dépenses publiques de l’État, elle conclut que le coût s’équilibre et qu’il peut même s’avérer positif.
Un mouvement de grève coordonné par la CGT à l’échelle de l’Ile-de-France, est suivi par plus de 200 travailleurs sans-papiers. Sur onze sites d’entreprises diverses, dans le commerce, la restauration, la livraison, la propreté et l’intérim, ils manifestent pour obtenir des papiers.
La hausse des salaires au Royaume-Uni, citée en exemple par la candidate du RN à la présidentielle, est une conséquence des crises du Covid-19 et du Brexit, par ailleurs à l’origine d’une grave pénurie de main-d’œuvre outre-Manche. Les études montrent que l’immigration a peu d’impact sur le chômage et les salaires. Sauf exceptions.
La hausse de la pauvreté et de la faim met en lumière la nécessité de renforcer la protection sociale.
(Nairobi) – La pandémie de Covid-19 a mis en évidence la nécessité pour les gouvernements africains de renforcer les systèmes de protection sociale et de respecter les droits des personnes à une sécurité sociale et à un niveau de vie suffisant, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. De nombreux gouvernements africains ont introduit des mesures, comme des transferts monétaires et une aide alimentaire, pour faire face à la pauvreté et la faim croissantes occasionnées par la pandémie, mais la plupart des familles n’ont reçu aucun soutien. La Banque mondiale estime que la crise du Covid-19 aura fait basculer 29 millions d’Africain·e·s supplémentaires dans l’extrême pauvreté d’ici la fin de l’année 2021.
Elles dénoncent « le défaut d’information », le « manque de reconnaissance » et le « mépris » des pouvoirs publics.
« On est tout le temps oubliées ». Les sages-femmes descendent dans la rue pour la cinquième fois en cette année 2021, jeudi 7 octobre. Elles espérent notamment mettre à mal ce qu’elles considèrent comme un « défaut d’information », un « manque de reconnaissance » et un « mépris » des pouvoirs publics. Et les dernières revalorisations salariales (une prime de 100 euros net et une hausse de salaire d’environ 100 euros brut par mois) n’ont pas convaincu.
Employé d’EDF, Jean-Michel B est harcelé depuis plus de dix ans. Ce salarié a relayé sur son compte Facebook les enquêtes de Blast sur le management toxique chez l’électricien, pour interpeller les syndicats. La direction en a profité pour le traduire en conseil de discipline, devant lequel il passe demain, pour le licencier…
Alors que les tarifs de l’énergie vont encore augmenter, plusieurs ménages déjà touchés par la précarité évoquent les conséquences de ces factures sur leur quotidien.
Les tarifs réglementés du gaz, en progression depuis plusieurs mois, vont à nouveau bondir de plus de 12% ce vendredi. Ceux de l’électricité vont connaître la même augmentation en février. Des ménages racontent à Libération leur quotidien difficile, miné par des factures de plus en plus lourdes.
Les Afghans tentent de survivre dans un pays en proie à une grave crise économique tandis que les troupes des talibans découvrent la vie civile.
Dans la capitale, bon nombre d’habitants vendent leurs biens les plus essentiels pour se nourrir, un stigmate qui témoigne du drame humain et économique vécu en Afghanistan.
S’il est un endroit où se font sentir les dégâts économiques causés par la montée au pouvoir des talibans , c’est bien le marché de l’occasion qui a vu le jour à côté du pont Khishti dans le quartier Chaman-e Hozori de Kaboul. On y trouve des ustensiles de cuisine, des fers à repasser, de vieilles télévisions et surtout des tapis ; de nombreux tapis et grands coussins qui sont des articles essentiels dans toute maison afghane, où il est courant de s’asseoir par terre. Le fait que de nombreuses familles soient obligées de mettre leurs biens en vente de cette manière souligne la grave crise humaine à laquelle l’Afghanistan est confronté .
Assis sur un grand tapis rouge et bleu, Ahmad Khalid attend un acheteur. « Je vends le tapis et les coussins parce que depuis la chute du gouvernement précédent, je n’ai pas reçu mon salaire et chez nous, nous n’avons pas de nourriture », dit-il en baissant les yeux. Sa famille ne fait pas partie des milliers d’échappés des combats entre les talibans et les forces de sécurité qui se sont réfugiés dans les parcs de la capitale . Il y a un mois et demi, Khalid, 20 ans, était dans l’armée. Son salaire et la retraite de son père, ancien militaire, faisaient vivre toute la famille. Il est l’aîné de neuf frères et sœurs. Ils vivaient sans excès, mais sans besoins.
« Lorsque les talibans sont entrés à Kaboul, tout le monde dans la caserne est rentré chez lui », explique-t-il. Deux semaines plus tard, la famille n’avait plus de revenus et l’argent commençait à manquer. « Chaque jour, je vends quelque chose et avec ce que j’obtiens, j’achète de la nourriture », dit-il. Il espère aujourd’hui toucher 3 000 Afghans (environ 30 euros) pour le tapis qui lui a coûté le double. « Je travaillerais n’importe quoi, mais il n’y a pas de travail », ajoute-t-il avec résignation.
Environ 30 % de la main-d’œuvre afghane travaillait dans le secteur public et le principal employeur était les forces de sécurité (armée, police et services de renseignement). L’interruption de l’aide internationale a laissé l’État sans ressources pour faire face aux salaires et autres dépenses courantes. 40 % de leurs revenus provenaient de donateurs. Le secteur privé est très faible et la plupart des emplois sont informels et à faible productivité, principalement dans l’agriculture.
Le marché aux puces de Chaman-e Hozori a vu le jour au cours des trois dernières semaines, sur une terre aride à côté de la rivière Kaboul. C’est un bazar informel où particuliers et brocantes posent leurs étals. Certains juste un chiffon sur le sol ou un petit tabouret. D’autres, plus professionnels, installent des comptoirs de fortune sur des tréteaux. Il y a ceux qui classent les produits et ceux qui les proposent dans un méli-mélo.
ANGÈLE ESPINOSA Kabul (Enviada Especial, EL PAIS) – 15 SEPT 2021 – 05:44 CEST
Traduction automatique
Les principales associations de l’économie sociale et solidaire (Emmaus, Coorace, etc.) qui ont créé 40 000 emplois non délocalisables sur le marché de la seconde main, demandent, dans une tribune au « Monde » à l’Etat, de ne pas abandonner la gestion des déchets, au secteur privé et commercial.