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Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a récusé ce mercredi 17 avril 2024 toute «allégation» de famine dans la bande de Gaza et a réitéré «le droit» d’Israël «à se protéger», lors de rencontres avec les chefs de la diplomatie britannique et allemande à Jérusalem. «Durant ces rencontres, le Premier ministre a insisté sur le fait qu’Israël se réservait le droit de se protéger», a déclaré le gouvernement israélien dans un communiqué. Benyamin Netanyahu a aussi «récusé les allégations des organisations internationales sur une famine à Gaza et a affirmé qu’Israël fait tout son possible sur la question humanitaire». (Source)
Guerre Israël-Hamas, jour 193 : Israël « obstrue » l’accès aux victimes de l’attaque du 7 octobre, selon des enquêteurs de l’ONU
« Je déplore le fait que les personnes en Israël qui souhaitent nous parler se voient refuser cette possibilité, parce que nous ne pouvons pas entrer en Israël », a déclaré Navi Pillay, la présidente de l’enquête.
Cisjordanie : Israël est responsable de la montée de la violence des colons
Les habitants de communautés palestiniennes entières sont toujours déplacés, des mois après les attaques.
(Jérusalem) – L’armée israélienne a participé ou n’a pas protégé les Palestiniens des violentes attaques des colons en Cisjordanie qui ont déplacé des personnes de 20 communautés et ont entièrement déraciné au moins 7 communautés depuis le 7 octobre 2023, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui.
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Des millions de personnes à Gaza risquent la famine. Pourtant ce n’est pas l’aide humanitaire qui manque.
Des centaines de tonnes de nourriture ou de matériel médical restent bloquées dans des entrepôts, ou sont refusées à la frontière plutôt que de se rendre à Gaza. Refugees International estime qu’en refusant arbitrairement l’entrée à l’aide humanitaire et en n’assurant pas la sécurité de ses travailleurs, Israël ne se conforme pas au jugement de la Cour internationale de Justice.
Dans un rapport, élaboré à partir des données provenant d’organisations présentes à Gaza et d’entretiens avec des experts et des civils, la diplomate Francesca Albanese relève trois éléments constitutifs du génocide.
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La Chine avait annoncé son soutien à ce nouveau projet de résolution exigeant un cessez-le-feu immédiat et la libération des otages retenus à Gaza, quelques jours après avoir mis son veto, comme la Russie, à un projet de texte américain.
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L’ensemble de la population de Gaza subit une « situation d’insécurité alimentaire grave« , a déclaré le secrétaire d’État américain Antony Blinken. Les sévères restrictions imposées par Israël à l’entrée de l’aide humanitaire à Gaza et la possible utilisation de la faim comme arme pourraient « constituer un crime de guerre », a affirmé l’ONU.
La bande de Gaza meurt de faim. La nourriture manque terriblement dans le territoire palestinien, bouclé par Israël. Premières victimes de la malnutrition, les enfants sont de plus en plus nombreux à être hospitalisés. Début mars, une équipe de l’OMS a constaté sur place le décès de dix enfants, en raison de la malnutrition.
Au moins 20 personnes sont mortes de malnutrition et de déshydratation à Gaza, a affirmé, mercredi, le Hamas. Depuis plusieurs mois, ONG et organisations internationales alertent sur les ravages de la malnutrition sur une population palestinienne privée d’accès aux soins. Jean-Raphaël Poitou, responsable Moyen-Orient à Action contre la Faim, s’inquiète d’une forte augmentation du nombre de décès si aucun accord de cessez-le-feu n’est rapidement trouvé entre Israël et le mouvement islamiste.
Le massacre du 7 octobre et le début d’une nouvelle guerre dans la bande de Gaza ont créé une onde de choc médiatique planétaire. Pourtant, après 150 jours de guerre et plus de 30 500 morts, la couverture médiatique du conflit est irrégulière sur le petit écran des Français.
LA FRANCE DOIT SAISIR LA COUR PÉNALE INTERNATIONALE
La #LDH se joint à l’appel de la Plateforme Palestine en faveur de la proposition de résolution visant à saisir la Cour pénale internationale sur la situation à #Gaza.
La Plateforme des ONG pour la Palestine propose d’inscrire à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale une proposition de résolution visant à saisir la Cour pénale internationale sur la situation dans la bande de Gaza. La Plateforme met à disposition un outil d’interpellation, vous permettant d’envoyer un mail à votre député afin de l’appeler à cosigner cette proposition.
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Alors que les civils de la bande de Gaza font face à un risque d’épidémie et à la famine, les forces israéliennes bloquent les convois d’aide humanitaire, tirent sur les véhicules et arrêtent les employés.
Dans l’Est de la RDC, les combats se sont intensifiés entre les rebelles du M23 et l’armée congolaise, soutenue par les milices Wazalendo. Combats qui impactent le territoire de Masisi, dans la province du Nord-Kivu : près de 700 000 personnes y ont été déplacées par les affrontements. « Le problème persiste de l’accès aux denrées alimentaires sur tous les produits de première nécessité provenant de Goma », alerte un responsable local de la société civile.
À Gaza, le risque de famine se fait de plus en plus ressentir. L’enclave est au bord du gouffre, dit le Programme alimentaire mondial. Un risque confirmé par l’OMS, qui vient d’envoyer une nouvelle équipe à al-Chifa, le plus grand hôpital de Gaza, aujourd’hui à l’arrêt.