Joséphine Baker au Panthéon relance le débat sur l’entrée de Gisèle Halimi



Le choix de panthéoniser Joséphine Baker semble pour certains être la preuve que l’exécutif a renoncé à faire entrer l’avocate.


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Dans les manifestations anti-passe sanitaire, l’antisémitisme se banalise


Les samedis de mobilisation contre le passe sanitaire se poursuivent en France. (EPA)


Les manifestations contre le passe sanitaire sont marquées par l’apparition de plus en plus régulière de slogans antisémites. Un tournant inquiétant selon plusieurs associations.


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Communiqués de la LDH

Incendies en Algérie : une affaire de corruption derrière le fiasco des bombardiers d’eau ?

Des volontaires tentent d’éteindre le feu en Kabylie, le 12 août 2021 © RYAD KRAMDI/AFP


Pourquoi l’Algérie, alors que le pays est régulièrement confronté à des incendies, ne s’est-elle jamais doté d’avions bombardiers d’eau ? Eléments de réponse.


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Le peuple afghan ne semble pas prêt à plier


La vallée du Panshir, cœur de la résistance aux talibans

Le commandant Massoud avait fait de la vallée du Panshir un camp de base, une forteresse imprenable © Wikipedia / Master Sgt. Michael O’Connor


C’est dans cette vallée, située au nord-est de Kaboul, que le fils du commandant Massoud, Ahmad Massoud, et l’ex vice-président afghan, Amrullah Saleh entendent organiser la résistance. Ce territoire, que les talibans n’ont jamais réussi à conquérir, était déjà le fief du commandant Massoud.


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À Kaboul, cette manifestation de femmes montre le courage des Afghanes

© Twitter


Les talibans ont pris le pouvoir en Afghanistan mi-août 2021. Cette organisation est synonyme de recul des droits pour les femmes. À Kaboul, les Afghanes témoignent de leurs inquiétudes mais aussi, de leur courage.


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Accueil des Afghans

Un « arc républicain » plutôt mal bandé…




Des maires socialistes et écologistes se disent prêts à accueillir des réfugiés


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Christian Estrosi refuse d’accueillir des réfugiés afghans à Nice


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Le Covid-19 révèle inégalités et abus de pouvoir, partout dans le monde


La police arrête plusieurs manifestants alors que la tension monte pendant les manifestations qui se sont poursuivies pour la quatrième semaine consécutive, suite à la décision du Conseil constitutionnel de statuer en faveur du pass sanitaire et de la vaccination obligatoire des soignants, à Paris, le 7 août 2021. (Photo by Alaattin Dogru/Anadolu Agency via Getty Images)


Nous devons corriger certaines des tendances de gouvernance insidieuses qui émergent. L’expérience montre que les déséquilibres de pouvoir déclenchent instabilité et conflits.


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Séparatisme : le Conseil constitutionnel valide l’essentiel du projet de loi


Le Conseil constitutionnel à Paris le 20 décembre 2018 à Paris. (MAXPPP)


Les Sages n’ont censuré que deux mesures sur les dissolutions d’associations et les retraits de titres de séjour accordés aux étrangers.


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Les médias libres existent, voici leur carte


Médias libres, indépendants, alternatifs… Le mensuel «L’Âge de faire» a réalisé une carte de la «presse pas pareille», lancée par le journal «Le Ravi», basé à Marseille, pour définir des journaux non inféodés aux pouvoirs politiques et économiques.


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COMITÉS CITOYENS SUR LA VACCINATION

Un simulacre de démocratie sanitaire



Si l’épidémie de Covid-19 a engendré la création de collectifs de citoyens, les ambitions politiques en font des gadgets sans réelles capacités de décision. Un constat qui appelle à repenser leur intégration parmi les instances démocratiques existantes.


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CONTRIBUTION portant sur certaines dispositions du projet de loi confortant le respect des principes de la République

Le courage des athlètes olympiques réfugiés illumine les Jeux de Tokyo



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En Tunisie, « la joie d’un peuple qui n’en pouvait plus de suffoquer »


Des Tunisiens expriment leur joie devant le Parlement, le 26 juillet 2021 à Tunis, après que le président Kaïs Saïed a limogé le premier ministre et suspendu l’Assemblée. YASSINE MAHJOUB / AFP


Pour l’écrivaine Emna Belhaj Yahia, l’accueil réservé au coup de force du président Kaïs Saïed témoigne d’un « profond ras-le-bol à l’égard de l’islam politique qui a gouverné pendant dix ans ».


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Fracture sociale vaccinale

École, travail… Pourquoi le pass sanitaire risque de renforcer l’exclusion des plus pauvres

Représentants sociaux et institutions dénoncent le risque d’effets indésirables du pass sanitaire sur les inégalités

Le HuffPost

CORONAVIRUS – Responsable du Secours populaire dans le Puy-de-Dôme, Nicole Rouvert est déchirée lorsqu’elle repense à cette famille, refusée à l’entrée d’un parc animalier. “Ils n’avaient pas de pass sanitaire”, se remémore l’aidante. L’initiative de l’association caritative devait permettre aux plus précaires de profiter du lieu, une occasion rare. Résultat: certains n’ont même pas franchi les portes du bus qui les y conduisait.

Comme Nicole Rouvert, de nombreux acteurs sanitaires et sociaux craignent que l’extension du pass sanitaire n’exclue davantage les plus démunis, déjà moins vaccinés contre le Covid-19 que le reste de la population. “Il faut que tout le monde puisse se faire vacciner, mais il faut faire plus de pédagogie et ne pas infliger une double peine à des personnes qui déjà, se privent de tout”, confie-t-elle à l’AFP.

Face à la flambée de l’épidémie de Covid-19, le pass sanitaire, déjà obligatoire depuis le 21 juillet dans les lieux culturels et de loisirs, doit être étendu dès le 9 août aux cafés, restaurants, aux TGV et Intercités, vols intérieurs ainsi qu’aux patients non urgents et visiteurs dans les établissements de santé et maisons de retraite. Le périmètre est encore variable, il dépend de la décision du Conseil constitutionnel, saisi par le gouvernement et des députés de gauche. Elle devrait être rendue jeudi 5 août. La Suite Après Cette Publicité

Le pass va “accroître encore un peu plus les inégalités sociales”

En attendant, l’aile gauche de l’opposition conteste la généralisation “disproportionnée” du pass, marquant “plusieurs ruptures du principe d’égalité”, menaçant de se transformer en double peine pour les plus pauvres.

Pour le député communiste de Seine-Saint-Denis, Stéphane Peu, “le pass sanitaire risque d’exclure davantage”. Au sein des entreprises, d’abord. Selon lui, “la loi introduit également dans le Code du travail une différenciation entre les salariés en CDD ou intérimaires et les autres, avec une menace de perte sèche d’emploi” en cas de non-vaccination.

Autre sujet d’inquiétude, l’école. Le nouveau protocole sanitaire va “accroître encore un peu plus les inégalités sociales”, selon ce député. En effet, les collégiens, à partir de la 5e, et lycéens non vaccinés devront suivre les cours à distance si un cas de Covid était détecté dans leur classe.La Suite Après Cette Publicité

Dans un avis paru le 20 juillet, la Défenseur des droits alerte, elle aussi: “Les nouvelles mesures comportent le risque d’être à la fois plus dures pour les publics précaires et d’engendrer ou accroître de nouvelles inégalités”, écrit Claire Hédon.

Une fracture sociale vaccinale

Dans Le Monde du 25 juillet, le géographe de la santé Emmanuel Vigneron s’appuyait sur les dernières données de l’Assurance maladie pour mettre au jour les disparités vaccinales. La France est bien plus vaccinée dans l’Ouest et le Nord et en retard dans le Sud-Est, la couverture vaccinale est meilleure dans les villes qu’aux périphéries et est plus forte dans les communes les plus aisées que dans les plus défavorisées.

Un écart qui ne relève pas majoritairement de l’hésitation ou de l’opposition, selon Stéphane Peu: “La Seine-Saint-Denis est le département le plus contaminé et le moins vacciné, pas parce qu’il y a plus d’antivax. Dans ce département, 30% des habitants n’ont pas de médecin traitant”, insiste le député communiste. La Suite Après Cette Publicité

“La carte des plus faibles vaccinations recoupe celle de la pauvreté, de la fracture numérique, de l’accès aux services publics. Les nouvelles mesures comportent ainsi le risque d’être à la fois plus dures pour les publics précaires et d’engendrer ou accroître de nouvelles inégalités”, souligne la Défenseur des droits, Claire Hédon, qui s’interroge “sur les moyens supplémentaires qui seront mis en place pour toucher les personnes en situation de pauvreté”.

Lundi, l’Ordre des médecins s’est également “vivement” inquiété “des conditions de la mise en œuvre” du pass sanitaire dans les établissements de santé “qui ne doit pas priver des patients de soins”. Une étude de la Dress (le service statistique des ministères sanitaires et sociaux), parue en juillet, montre que les personnes pauvres ont trois fois plus de risques de renoncer à des soins que les autres.

“Il faut plus de moyens pour aller vers ces personnes et les convaincre”, insiste Franck Dubois, responsable des solidarités familiales au Secours catholique. “Le pass sanitaire enfante les inégalités: les pouvoirs publics, en voulant nous protéger, ne font que les accroître.”

L’essentiel de la nouvelle loi antiterroriste validé par le Conseil constitutionnel


Le siège du Conseil constitutionnel à Paris, le 15 octobre 2018. (BERTRAND GUAY/AFP)


Le Parlement avait définitivement adopté cette loi le 22 juillet dernier.


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Révoltes dans les centres de rétention : le gouvernement jette de l’huile sur le feu

COLOMBIE : RETOUR À CALI, L’ÉPICENTRE D’UNE RÉPRESSION VIOLENTE

Des manifestants sont rassemblés la nuit dans l’un des « points de résistance » de la ville de Cali, 2021 / ©Amnesty International – Christian EscobarMora

D’importantes manifestations ont éclaté en Colombie depuis avril. Elles ont été réprimées violemment par les autorités. Retour dans la ville de Cali, épicentre de la contestation.


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« On est dans une confrontation avec le pouvoir qui dépasse le débat sur les vaccins »



« Je ne sais pas combien de personnes sont vaccinées, ou antivax« , dans ces cortèges, dit Laurent-Henri Vignaud, « mais je crois qu’on ne peut pas se tromper en disant que 99% d’entre eux sont hostiles à la politique du gouvernement, n’acceptent pas la manière dont la crise est gérée« . 


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Appel urgent de l’observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme

L’émir du Qatar approuve la loi électorale pour les premières élections législatives


L’émir du Qatar, le cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, s’exprime lors du sommet de Kuala Lumpur à Kuala Lumpur, en Malaisie, le 19 décembre 2019. REUTERS/Lim Huey Teng


DUBAI, 29 juillet (Reuters) – L’émir du Qatar a approuvé jeudi une loi électorale pour les premières élections législatives du pays, qui doivent se tenir en octobre, a annoncé son bureau.

Le vote, un an avant que l’État arabe du Golfe n’accueille le tournoi de la Coupe du monde de football, concernera les deux tiers, soit 30 membres, du Conseil de la Choura de 45 sièges, pour lequel une nouvelle loi a également été approuvée par l’émir Cheikh Tamim bin Hamad. al-Thani jeudi.

L’émir continuera de nommer les 15 membres restants.

Lors d’un référendum en 2003, les Qataris, qui ne représentent que 10 % de la population du pays, ont approuvé une nouvelle constitution qui prévoyait des élections partielles pour le conseil, dont les membres sont actuellement tous nommés. Les scrutins avaient été retardés depuis lors.

Le Qatar, qui comme d’autres pays du Golfe interdit les partis politiques, a déjà des élections municipales. Il a cherché à redorer son image, notamment en améliorant les droits des travailleurs migrants, à la suite d’allégations d’abus de travail et d’un embargo diplomatique, commercial et de voyage de trois ans et demi imposé par les autres États arabes à la mi-2017.

La nouvelle loi stipule que les citoyens âgés de 18 ans et plus, et dont le grand-père est né au Qatar, ont le droit de voter dans les districts où réside leur tribu ou leur famille. Les candidats doivent être d’origine qatarie et avoir au moins 30 ans.

La nation petite mais riche, premier producteur mondial de gaz naturel liquéfié, sera divisée en 30 circonscriptions électorales, avec un candidat à élire pour chaque circonscription.

Les Qataris qui ont été condamnés « par un jugement définitif pour un crime impliquant des turpitudes morales ou de la malhonnêteté » ne peuvent ni voter ni se présenter « à moins d’être réhabilités conformément à la loi ».

Ceux qui ont rang de ministre, les membres des organes judiciaires, les militaires et les membres du conseil municipal ne peuvent se présenter tant qu’ils occupent ces postes.

La loi a limité les dépenses de campagne à 2 millions de riyals (549 450,55 $). (1 $ = 3,6 400 rials qatariens)

Reportage de Ghaida Ghantous; Édité par Timothy Heritage

(traduction automatique)

Ou comment même le foot peut faire avancer (à petits pas) la démocratie… au prix toutefois de la mort de plus de 6500 ouvriers migrants…