
Elles devraient libérer les personnes détenues arbitrairement, garantir la liberté d’expression et réduire la violence.
Ce mardi 29 août, Amnesty International (AI) a dénoncé les « détentions arbitraires pour motifs politiques » au Venezuela. L’ONG évoque une « attaque systématique » de la population, et demande la libération de quelque 300 personnes considérées comme des prisonniers politiques.
En août dans les Alpes-Maritimes, les violences contre les personnes en situation d’exil se sont multipliées de façon alarmante. Le collectif Progetto 20K dénonce ces attaques, l’opacité des conditions de détention des mineur·e·s non-accompagné·e·s, et le silence complice qui fait de la frontière une zone de non droit, de déshumanisation et de violence impunie. Communiqué.
La presse fait état de plusieurs cas de personnes innocentées après avoir été arrêtées et placées en détention dans le cadre des émeutes suite à la mort de Nahel. Un dispositif d’indemnisation existe.
La mission d’appui des Nations unies en Libye (Manul) a exprimé lundi sa « préoccupation » face à la détention arbitraire massive de migrants, dont des femmes enceintes et des enfants. Des milliers d’exilés ont été interpellés ces dernières semaines dans la rue ou à leur domicile, et envoyés en centre de détention.