
Ihsane El-Kadi, qui dirige le média, a été interpellé dans la nuit de vendredi à samedi, à une soixantaine de kilomètres à l’est d’Alger.
Ihsane El-Kadi, qui dirige le média, a été interpellé dans la nuit de vendredi à samedi, à une soixantaine de kilomètres à l’est d’Alger.
Mohsen Shekari, exécuté
Majid Reza Rahnavard, exécuté
Sahand Nourmohammad-Zadeh, condamné à mort
Manouchehr Mehman-Navaz, condamné à mort
Mohammad Boroughani, condamné à mort
Mohammad Ghobadlou, condamné à mort
Saman Seydi, condamné à mort
Sayed Mohammad Hosseini, condamné à mort
Hamid Ghare-Hasalou, condamné à mort
Mohammad Mehdi Karami, condamné à mort
Hossein Mohammadi, condamné à mort
Maria Kolesnikova, emprisonnée depuis 2020, est en soins intensifs à l’hôpital après avoir été placée à l’isolement la semaine dernière, selon sa famille et ses soutiens. Le régime d’Alexandre Loukachenko garde le plus grand flou sur l’état de santé de l’opposante, condamnée l’an dernier à onze ans de prison.
Ce mercredi, Reflets sera devant le tribunal de Versailles tandis que Mediapart sera fixé sur son sort. Dans les deux cas, une censure préalable appliquée par des juges à la demande du même avocat.
La Fédération internationale des droits humains (FIDH) présente une enquête intitulée « dans le centre du Mali, bourreaux et victimes vivent ensemble », sur les violations et les crimes commis contre populations civiles entre juin 2018 et juin 2022.
L’ONG parle d’une « accélération des violations graves des droits humains contre les civils depuis le début de l’année, notamment des violations sexuelles ».
La FIDH a recueilli des témoignages accablants qui visent toutes les parties au conflit: groupes jihadistes, groupes d’autodéfense, les Forces armées maliennes (Fama), forces de défense et de sécurité et leurs partenaires paramilitaires russes.
Exécutions sommaires, viols, arrestations arbitraires, pillages, ou encore mise en place d’un « centre de torture dirigé par le groupe Wagner » à Diabaly. Les populations civiles du centre du Mali « vivent un enfer ».
De mémoire d’observateurs, c’est du jamais-vu depuis l’occupation de la place Tiananmen en juin 1989. Ce week-end, dans plusieurs villes de Chine, des centaines de personnes sont descendues spontanément dans les rues et ont participé à des manifestations collectives, malgré les risques encourus
Malgré la censure, des dizaines de vidéos ont été postées montrant l’ampleur des mobilisations.
La Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme est la principale ONG de défense des droits humains en Algérie. Soutien du mouvement du Hirak, elle doit subir la répression du régime. Deux de ses vice-présidents et un ancien président ont dû prendre le chemin de l’exil pour éviter l’enfermement par le régime. Réfugiés en France et en Belgique, Saïd Salhi et Aïssa Rahmoune entendent continuer la lutte depuis l’étranger pour la défense des droits humains en Algérie. Paroles d’exilés.
Avec au moins 13 autres organisations et associations de défense du droit à l’information et 29 sociétés de journalistes, Reporters sans frontières (RSF) dénonce une attaque flagrante contre la liberté de la presse après la censure préalable d’une enquête de Mediapart, prononcée par le tribunal judiciaire de Paris. Cette décision prise sans audience publique, ni débat contradictoire, est pour RSF un contournement dangereux de la loi du 29 juillet 1881.
Ce mercredi 26 octobre marque le quarantième jour suivant le décès de la jeune Iranienne Mahsa Amini, morte alors qu’elle était détenue par la police des mœurs. Une date hautement symbolique qui marque traditionnellement la fin du deuil dans ce pays, et qui pourrait donner un nouvel élan à la mobilisation.
Depuis 1922, la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) est engagée dans la défense des droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels, et l’ONG s’investit sur le continent africain depuis 44 ans. Au Tchad, par exemple, elle a appelé à l’arrêt immédiat « de la répression systématique des manifestations contre la prolongation de la période de transition ». Entretien avec la directrice générale, Éléonore Morel.
Pap Ndiaye, le ministre de l’Education nationale, sera à la Sorbonne samedi 15 octobre pour la remise du premier prix Samuel-Paty, en hommage au professeur d’histoire-géographie assassiné il y a deux ans. Les élèves devaient répondre à la question : « Sommes-nous toujours libres de nous exprimer ?