
Le polémiste d’extrême droite et ex-candidat à la présidentielle comparaît ce mardi 20 juin pour une attaque aux relents complotistes contre les mouvements «féministe et LGBT», en octobre 2019.
Le polémiste d’extrême droite et ex-candidat à la présidentielle comparaît ce mardi 20 juin pour une attaque aux relents complotistes contre les mouvements «féministe et LGBT», en octobre 2019.
Alors que Rennes accueille la marche des fiertés ce samedi 17 juin, une banderole homophobe a été découverte flottant au sommet d’une grue de chantier ce matin. Une banderole, signée par une croix celtique et rapidement décrochée par les pompiers.
Alors qu’une 27ème marche des fiertés est organisée à Lyon ce samedi 10 juin, les actes violents contre la communauté LGBTQIA+ augmentent, selon plusieurs associations.
La troisième marche des fiertés des quartiers populaires a lieu samedi 3 juin dans les rues de Saint-Denis pour revendiquer un accès à la PMA des personnes trans et non blanches. Yanis Khames, coordinateur de l’évènement, appelle aussi à un meilleur accueil de la communauté LGBT+ dans les services publics.
La loi « anti-homosexualité 2023 » a été promulguée, lundi 29 mai, par le président Yoweri Museveni. Dans le pays et au-delà, c’est l’indignation pour les ONG de défense des droits humains.
Le préfet d’Indre-et-Loire s’est rendu sur place et « condamne fermement ce nouvel acte de violence et apporte son soutien au centre ». Aucun blessé n’est à déplorer.
En France, le 17 mai 2013, les couples homosexuels obtiennent officiellement le droit de se marier, après des semaines de protestations « traumatisantes » contre la mesure. Dix ans après sa promulgation et en cette journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie, plusieurs couples gays et lesbiens racontent comment cette loi historique a façonné leurs unions, entre libération et détermination face aux combats qu’il reste encore à mener.
La traite transatlantique est bien connue et documentée, c’est moins le cas du commerce des esclaves le long de la côte est africaine et dans les îles de Madagascar, de Maurice, de La Réunion ou des Comores. Aucune région au monde n’a pourtant connu une histoire aussi longue de la traite que l’Afrique orientale et l’océan Indien.
Le 23 avril 2013, l’Assemblée nationale ouvrait le mariage aux couples de même sexe, après plusieurs mois de débats houleux au Parlement et dans la rue. Dix ans après, « l’Obs » s’est plongé dans les archives.
« Le RN lance une association parlementaire transpartisane pour lutter contre le poison du wokisme, l’idéologie LGBT à l’école et la menace trans « .
Ok. Du coup, qu’est-ce qu’on fait ? On interdit à mon enfant de parler de ses deux mamans ? On le met au ban de la société, juste car il a eu le malheur de naître dans une famille LGBT ?
J’ai une mauvaise nouvelle pour tous les réacs : ce n’est pas en criant très fort que l’on va disparaître. Ce n’est pas en agitant l’épouvantail du wokisme que nous allons disparaître. Nous sommes là, et nous n’allons pas bouger. On s’est battu pour avoir nos droits et il est hors de question qu’on ne fasse rien pendant que l’extrême-droite instrumentalise nos vies à des fins politiques.
On va se battre. Je vais me battre. Et maintenant que je sais que la tranquillité et l’insouciance de mon bébé sont en jeu, je vais encore plus me battre. Il aura une enfance sereine et normale. Ma simple existence ne transformera pas la sienne en calvaire.
Touchez à mes droits, je serai en colère. Touchez à mon enfant, et je serai capable de retourner la Terre entière pour le protéger.
Je suis trans. Je suis une maman. Je ne suis pas une menace. Je veux juste que ma famille vive en paix.
FV
La branche européenne de l’Association internationale lesbienne, gay, bisexuelle, trans et intersexe s’inquiète de la montée de la violence, physique et psychologique, contre les personnes LGBT+ dans 54 pays d’Europe et d’Asie centrale.
Plusieurs collectifs, associations et militants LGBT+ font part de leurs inquiétudes depuis la présentation par le gouvernement du projet de réforme des retraites. Selon eux le projet de réforme aggraverait encore davantage la précarité à laquelle sont exposés de nombreux membres de la communauté.
« On subit déjà tout au long de nos carrières des formes de rejets, des parcours professionnels hachés qui font qu’à un moment, on va devoir se mettre en retrait de la vie professionnelle ».
« Beaucoup de personne n’ont pas la possibilité de fonder des familles et cette réforme augmente le risque d’isolement, avec des inégalités dans le déroulement de leur carrière pour 20 % d’entre eux ».
Neuf Français sur dix acceptent l’homosexualité. Les mentalités évoluent aussi sur le droit des gays et lesbiennes à fonder une famille. Mais les agressions homophobes persistent. Une analyse extraite du Centre d’observation de la société.
Une Cour d’appel tunisienne a jugé « nulles et non avenues » les poursuites engagées contre un militant queer dans un procès emblématique de la cause LGBTQIA+. C’est ce qu’ont annoncé une ONG et un porte-parole judiciaire. En Tunisie l’homosexualité est sanctionnée par le code pénal.
Alors que des personnes en situation de grande précarité dorment dans les rues, des dizaines de lits restent vides dans un centre d’hébergement d’urgence parisien destiné à l’accueil de réfugiés ukrainiens. Pour pouvoir y loger des sans-abri, peu importe leur nationalité, les associations Médecins du monde et Utopia 56 ont donc saisi la justice afin qu’elle ordonne à l’État d’ouvrir ces lits vacants à des personnes et des familles sans solution de logement.
Depuis le début du Mondial de football dimanche, des journalistes, politiques et joueurs ont contesté l’interdiction de la Fifa d’arborer le brassard « One love », censé protester contre les discriminations anti LGBT+ au Qatar. Passage en revue.