
Le Sénat examine ce mercredi une proposition de loi visant à réhabiliter les personnes condamnées en France pour homosexualité entre 1942 et 1982. Et à reconnaître la responsabilité de l’Etat dans ces persécutions.
Le Sénat examine ce mercredi une proposition de loi visant à réhabiliter les personnes condamnées en France pour homosexualité entre 1942 et 1982. Et à reconnaître la responsabilité de l’Etat dans ces persécutions.
Jean-Marie Argoud, juge de la Cour nationale du droit d’asile, a été destitué de ses fonctions mardi en raison de ses prises de position islamophobes et homophobes sur les réseaux sociaux. Depuis plusieurs semaines, des avocats avaient déposé des demandes de récusation du magistrat administratif, mettant en cause son « impartialité ».
Démontrer l’existence et l’ampleur des discriminations, c’est possible. Soutenez la publication du premier rapport qui fera le point sur les discriminations racistes, sexistes, homophobes et celles qui touchent les personnes handicapées. Nous avons besoin de vous.
Être écarté de la location d’un logement à cause de sa couleur de peau, d’un emploi du fait d’un handicap, d’une promotion parce qu’on est une femme ou être rejeté parce qu’on est homosexuel, constituent des violences insupportables. L’Observatoire des inégalités veut publier le premier Rapport sur les discriminations en France, un état des lieux le plus actuel et complet possible de ces situations. Pour combattre les discriminations, il faut les connaitre et les mesurer.
De nombreuses études montrent leur ampleur, mais restent méconnues du grand public. L’Observatoire des inégalités anime un site sur le sujet : discrimination.fr. Nous souhaitons maintenant produire un ouvrage qui fera référence dans le débat public.
Deux militaires du 35e RI de Belfort sont aussi membres du groupe violent d’extrême droite des Vandal Besak. Sur leurs réseaux sociaux, l’un d’eux, Lukas C. affiche ouvertement ses sympathies néonazies et sa volonté de tuer des étrangers ou des LGBT.
La répression contre la communauté LGBT+ au Liban a commencé après la crise économique de 2019 et s’est accentuée ces dernières semaines. Menaces de mort, harcèlement, actes d’intimidation : les membres de cette communauté se sentent cernés de toutes parts et voient leur espace de liberté de plus en plus réduit.
A Padoue, plusieurs dizaines de mères risquent de voir leur nom rayé des actes de naissance de leurs enfants. Une décision qui découle de la politique du nouvel exécutif, dirigé par la Première ministre d’extrême droite.
« Les personnes LGBT sont les mieux accueillies dans nos belles campagnes de France », défend sur franceinfo Cyril Cibert, président des maires ruraux de la Vienne. Dans sa commune, samedi 29 juillet, une marche des Fiertés rurales est organisée.
SOS homophobie a reçu 1 500 témoignages signalant des violences ou discriminations homophobes et transphobes en 2022. Ces violences quotidiennes vont de marques de rejet à des agressions physiques, en passant par des insultes ou des menaces.
Dix ans après l’adoption du mariage pour tous, des dizaines de milliers de personnes ont défilé samedi à Paris à l’occasion de la marche des fiertés, contre la persistance des actes homophobes et transphobes.
Le polémiste d’extrême droite et ex-candidat à la présidentielle comparaît ce mardi 20 juin pour une attaque aux relents complotistes contre les mouvements «féministe et LGBT», en octobre 2019.
Alors que Rennes accueille la marche des fiertés ce samedi 17 juin, une banderole homophobe a été découverte flottant au sommet d’une grue de chantier ce matin. Une banderole, signée par une croix celtique et rapidement décrochée par les pompiers.
La loi « anti-homosexualité 2023 » a été promulguée, lundi 29 mai, par le président Yoweri Museveni. Dans le pays et au-delà, c’est l’indignation pour les ONG de défense des droits humains.
Le préfet d’Indre-et-Loire s’est rendu sur place et « condamne fermement ce nouvel acte de violence et apporte son soutien au centre ». Aucun blessé n’est à déplorer.
En France, le 17 mai 2013, les couples homosexuels obtiennent officiellement le droit de se marier, après des semaines de protestations « traumatisantes » contre la mesure. Dix ans après sa promulgation et en cette journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie, plusieurs couples gays et lesbiens racontent comment cette loi historique a façonné leurs unions, entre libération et détermination face aux combats qu’il reste encore à mener.
Insultes, crachats, discriminations et mêmes violences physiques… La haine contre les personnes LGBT+ reste « ancrée » dans la société française, s’alarme dans son rapport annuel publié mardi l’association SOS Homophobie, qui appelle le gouvernement à « agir beaucoup plus résolument ».
Le 23 avril 2013, l’Assemblée nationale ouvrait le mariage aux couples de même sexe, après plusieurs mois de débats houleux au Parlement et dans la rue. Dix ans après, « l’Obs » s’est plongé dans les archives.
La branche européenne de l’Association internationale lesbienne, gay, bisexuelle, trans et intersexe s’inquiète de la montée de la violence, physique et psychologique, contre les personnes LGBT+ dans 54 pays d’Europe et d’Asie centrale.