Droits des femmes : un 8 mars sous le signe de la présidentielle


Comme l’année dernière, un rassemblement féministe est organisé sur la place Paul-Bert, à Lorient, ce mardi, de 15 h 40 à 18 h 30. (Archives Le Télégramme)


Les collectifs féministes interpellent les candidats à la présidentielle et appellent à une « déferlante pour l’égalité » ce mardi, à l’occasion de la Journée internationale pour les droits des femmes. Leur objectif ? Dénoncer les inégalités salariales et les violences sexistes.

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Rappel : Rassemblement à Troyes, place de l’Hôtel de ville, 15 h 40

PROGRAMME DU COLLECTIF TROYEN DU 8 MARS


  • JEUDI 3 et VENDREDI 4 MARS – 19h30 : Spectacle « Ma(man) chérie » par le Théâtre Populaire de Champagne – ESPACE GERARD-PHILIPPE à ST-ANDRE-LES-VERGERS
  • JEUDI 3 MARS : Happening en sorcières et distribution de violentomètres. 17h30 PLACE DE L’HOTEL DE VILLE (Nous Toutes 10)
  • VENDREDI 4 MARS : Renversement de dominos géants représentants les violeurs médiatiques en liberté. 16h30 PLACE DE L’HOTEL DE VILLE (Nous Toutes 10)
  • VENDREDI 4 MARS : Marche nocturne féministe artistique. 21H PLACE DE L’HOTEL DE VILLE ( LA BAAF et AUX ADELPHES)
  • SAMEDI 5 MARS : Marche commémorative et inauguration de l’œuvre éphémère qui dénonce les féminicides de 2022. Départ 14H PLACE JEAN-JAURES/INAUGURATION au CENTRE CULTUREL L’ART-DECO à SAINTE-SAVINE (Nous Toutes 10) – lecture de textes MRAP
  • MARDI 8 MARS : Appel à la grève pour l’égalité des droits et pour les droits des femmes. 15h40 PLACE DE L’HOTEL DE VILLE – Manifestation
  • SAMEDI 12 MARS : Atelier d’écriture « Les femmes c’est pas qu’en mars ! » animé par TRAVAILLEUSE DU TEXTE de LA DECLAM’ AUX ADELPHES à TROYES (sur inscription)

Et parce que le droit des femmes, ce n’est pas que le 8 mars :

  • MARDI 15 MARS : 18h30 Centre Social Victor-Hugo Conférence-débat « Féminisme et égalité-complémentarité : possibilité et incompatibilité » et exposition de photos «lumière des femmes » (Association l’AGUI partenariat MRAP
  • MERCREDI 23 MARS : Match de gala caritatif, équipes mixtes, au bénéfice de Solidarité Femmes. 19h STADE de L’Aube. (Le Variétés Club De France / Solidarité Femmes)DU 30 MARS au 30 AVRIL : Exposition d’affiches réalisées par les élèves de terminale STD2A du lycée ST JOSEPH-LA-SALLE, suite à une session de prévention contre les violences. HALL de TROYES-CHAMPAGNE-METROPOLE. (Solidarité Femmes)
  • SAMEDI 9 AVRIL : Scène slam (suite à l’atelier d’écriture du 12 mars), animée par TRAVAILLEUSE DU TEXTE de LA DECLAM’. 21h au FER à GUS


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Projection-débat du documentaire « La voie d’Henriette » de Safia Kessas le jeudi 10 mars à 19h. Dans le cadre des manifestations autour du 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, nous vous proposons de découvrir ce beau documentaire belge de 26 minutes lors d’une projection-débat en ligne.Pour vous donner envie : « Henriette est une jeune mère célibataire, et c’est aussi une personne sans papier qui est porte-parole du collectif de la voix des sans papiers. Tous les jours, elle se bat avec le soutien de son avocat, Maitre Lurquin, pour loger les familles sans papier au cœur de Bruxelles. »A l’issue de la projection, nous aurons le plaisir de vous inviter à échanger avec : Merlie Kiang, bénévole au groupe local de La Cimade à CaenViolaine Husson, responsable nationale Genre et Protections à La CimadeSous réserve, une personne ayant participé au film 
Je m’inscris à la projection-débat du jeudi 10 mars

Journée internationale des droits des femmes







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Projection-débat du documentaire « La voie d’Henriette » de Safia Kessas le jeudi 10 mars à 19h. Dans le cadre des manifestations autour du 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, nous vous proposons de découvrir ce beau documentaire belge de 26 minutes lors d’une projection-débat en ligne.Pour vous donner envie : « Henriette est une jeune mère célibataire, et c’est aussi une personne sans papier qui est porte-parole du collectif de la voix des sans papiers. Tous les jours, elle se bat avec le soutien de son avocat, Maitre Lurquin, pour loger les familles sans papier au cœur de Bruxelles. »A l’issue de la projection, nous aurons le plaisir de vous inviter à échanger avec : Merlie Kiang, bénévole au groupe local de La Cimade à CaenViolaine Husson, responsable nationale Genre et Protections à La CimadeSous réserve, une personne ayant participé au film 
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Journée Internationale des droits des Femmes 2022


Dans le cadre de la Journée Internationale des droits des Femmes 2022, qui a lieu chaque année le 8 mars, le CIDFF de l’Aube organise un cycle de visioconférences.

 

Au programme:

  • Lundi 07 mars 2022, 13h30 : Évolution de la place des femmes dans le travail
  • Mardi 08 mars 2022, 13h30 : Violences sexistes et sexuelles au travail
  • Jeudi 10 mars 2022, 13h30 : Conciliation des temps de vie
  • Vendredi 11 mars 2022, 13h30 : Stéréotypes et mixité professionnelle

Ces conférences sont prévues pour une durée d’une vingtaine de minutes environ. 

Pour vous inscrire, complétez le formulaire en cliquant sur le lien ci-après : 

https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSd7HxbkLDEgA_NDPWbjZkAGQ611WKW4Bnvl7_vjPQplG_8f7g/viewform?usp=sf_link

Un lien de connexion vous sera envoyé quelques heures avant le début de la conférence (Pensez à vérifier vos spams). 

La Colombie dépénalise l’avortement jusqu’à 24 semaines

Des manifestantes pro-avortement saluent la décision de la Cour constitutionnelle de Colombie. (Raul Arboleda/AFP)


L’avortement ne sera désormais punissable « que s’il est pratiqué après la 24e semaine de gestation », a décidé la Cour constitutionnelle de Colombie.

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La Suisse fait part de ses préoccupations concernant les droits, y compris l’éducation des filles, aux talibans afghans

Une fille est assise devant une boulangerie dans la foule avec des femmes afghanes attendant de recevoir du pain à Kaboul, Afghanistan, le 31 janvier 2022. REUTERS/Ali Khara/File Photo


GENÈVE, 11 février (Reuters) – La Suisse a fait part de ses préoccupations concernant les droits de l’homme en Afghanistan, y compris l’éducation des filles, lors d’une réunion avec les talibans, a déclaré vendredi un porte-parole du gouvernement, alors que les nouveaux dirigeants de Kaboul terminaient une semaine de pourparlers. à Genève.

Le voyage est considéré comme une étape clé dans les efforts des talibans pour renforcer leurs efforts de sensibilisation alors qu’ils cherchent à persuader les puissances étrangères de les reconnaître officiellement et de restaurer l’argent de l’aide qui a été coupée pour protester contre leur prise de contrôle en août dernier.

La délégation a rencontré des responsables suisses ainsi que la Croix-Rouge et d’autres groupes humanitaires lors de discussions portant sur les besoins d’aide, les problèmes de sécurité et les soins de santé, selon les participants qui ont assisté aux pourparlers à huis clos.

Dans une réponse par e-mail aux questions, la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Paola Ceresetti, a déclaré que la Suisse avait soulevé la question des enlèvements et des représailles, y compris le ciblage des journalistes, sans discuter spécifiquement de la détention de deux journalistes signalée vendredi par l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés. Lire ici.

Berne a également soulevé la question de « l’exclusion systématique » des filles et des femmes de l’éducation, de la politique, de la société et de la vie publique et a déclaré qu’elle s’attendait à ce que les filles soient de retour à l’école en mars, a-t-elle déclaré.

Sous leur régime précédent de 1996 à 2001, les talibans islamistes extrémistes interdisaient aux femmes et aux filles d’accéder à l’éducation. Ils disent avoir changé depuis mais ils sont restés vagues sur leurs plans et les filles en âge de fréquenter l’école secondaire dans de nombreuses provinces n’ont toujours pas été autorisées à retourner à l’école.

Une poignée de militantes se sont rassemblées devant l’hôtel de la délégation en début de semaine tandis que quelques dizaines de personnes ont manifesté vendredi devant le siège de l’ONU à Genève, a confirmé un porte-parole de la police.

Ceresetti a nié que les pourparlers équivalaient à une reconnaissance officielle des talibans et a souligné qu’il était important de maintenir le dialogue. « Nous parlons à tout le monde », a-t-elle déclaré.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui a rencontré le ministre afghan de la Santé par intérim Qalandar Ebad plus tôt cette semaine au cours du même voyage, a également appelé les pays et les organisations « à poursuivre le dialogue pour soutenir le peuple afghan ».

Geneva Call, le groupe humanitaire qui a accueilli les pourparlers, a déclaré que la délégation talibane avait signé une déclaration de clôture qui s’engageait à promouvoir l’accès humanitaire, à respecter les travailleuses de la santé et à aider au déminage.

Source REUTERS (traduction automatique)

Pendant ce temps-là… – L’histoire de l’Iranienne Mona Heidari, 17 ans, décapitée par son mari


Mona Heidari, 17 ans, a été décapitée par celui avec qui elle avait été forcée de se marier. La photo de cet homme exhibant fièrement la tête de sa femme dans la rue indigne l’Iran et le monde entier. Voici son histoire, racontée par la journaliste iranienne Masih Alinejad.

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GUIDE PRATIQUE POUR LES FEMMES ÉTRANGÈRES VICTIMES DE VIOLENCE

Les talibans ont tué plus de 100 anciens membres du gouvernement ou de la sécurité


Un nouveau rapport de l’ONU fait également état de restriction des droits humains en Afghanistan depuis l’arrivée au pouvoir des talibans, notamment pour les femmes.

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Afghanistan : l’appel à l’aide d’une militante juste avant son arrestation


L’inquiétude monte après la disparition de deux militantes en Afghanistan. Tamana Zaryabi et Parawana Ibrahimkhel ont été arrêtées chez elles après avoir manifesté pour les droits des femmes à travailler, étudier, et choisir ou non de porter le voile. Peu avant sa disparition, Tamana Zaryabi a posté une vidéo du moment où les talibans sont arrivés devant chez elle, dans laquelle on l’entend appeler à l’aide. Mais selon le porte-parole des talibans, la vidéo serait un fake. Une version démentie par une amie de la jeune femme, selon la BBC. L’ONU a exprimé sa préoccupation.

Une présidente antiavortement au Parlement européen


La députée maltaise de centre droit Roberta Metsola a été élue pour succéder à l’Italien David Sassoli, décédé le 10 janvier, à la présidence du Parlement de Strasbourg. Ses positions personnelles contre l’IVG sont en contradiction avec les objectifs humanistes et éclairés de l’Union européenne.

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États-Unis : vers un revirement sur le droit à l’avortement ?



Depuis quelques mois, des recours déposés à la Cour suprême demandant des restrictions ou l’interdiction de l’avortement font craindre aux militants des droits des femmes un revirement sur ce droit aux États-Unis.

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Le Qatar poursuivi en justice après des examens gynécologiques forcés à l’aéroport de Doha


L’aéroport international de Doha au Qatar. (SIPANY/SIPA / SIPANY/SIPA)


Sept Australiennes, voyageant sur Qatar Airways, préparent une action en justice après avoir subi des examens gynécologiques fin 2020 pour retrouver la mère d’un bébé abandonné dans les toilettes de l’aéroport.

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Faire avancer les droits des femmes c’est aussi participer à la protection de l’enfance

A l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, il est important de rappeler que 60 % des enfants co-victimes non pris en charge développeront des conséquences psycho traumatiques graves et durables sur leur santé physique et psychique.

Toute violence conjugale est une violence faite aux enfants

La loi protège les victimes de violences conjugales et leurs enfants.

« L’humanité doit donner à l’enfant ce qu’elle a de meilleur » (Déclaration de Genève sur les Droits de l’Enfant, 1924) . »L’enfant n’est pas seulement témoin des violences conjugales, il en est victime: ce qui se joue dans le conjugal, l’emprise et la violence, se joue aussi dans le parental ».

En France, environ 143 000 enfants vivent dans un foyer où une femme a déclaré des formes de violences physiques et / ou sexuelles (90% des victimes déclarées sont des femmes).

Ils seraient encore plus nombreux si on tenait compte des violences psychologiques et / ou verbales ainsi que des violences restant sous–déclarées par les victimes (femmes/hommes).

On estimerait le nombre d’enfants exposés aux violences conjugales en France à 4 millions. 

En vertu de la Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant (CIDE) : 
«Un enfant s’entend de tout être humain âgé de moins de dix-huit ans, sauf si la majorité est atteinte plus tôt en vertu de la législation qui lui est applicable». 
Ainsi, il est reconnu que l’enfant doit grandir dans un milieu familial, dans un climat de bonheur, d’amour et de compréhension pour l’épanouissement harmonieux de sa personnalité.

Le parcours des combattantes

En dépit de la dangerosité des routes d’exil, un nombre croissant de femmes, fuyant des violences souvent fondées sur leur genre, cherchent protection en France. Leurs conditions d’intégration les confrontent souvent à de nouvelles épreuves pouvant les fragiliser.

La prise de conscience de l’existence de besoins spécifiques aux femmes migrantes progresse néanmoins et a permis, ces dernières années, le développement de mesures gouvernementales ciblées et d’initiatives citoyennes bienvenues. Mais les besoins sont importants, et la marche à franchir reste haute.

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Les femmes rencontrent de nombreuses difficultés, notamment dans l’accès à une prise en charge et à un hébergement adéquat quand elles sont seules, avec ou sans enfants, dans l’apprentissage de la langue et pour leur insertion professionnelle, mais aussi dans l’accès aux soins, tout particulièrement concernant la santé sexuelle. Leur parcours et leurs batailles démontrent la force et la résilience dont elles font preuve.

Marche « NousToutes » 2021

En 2020, on n’a pas pu manifester. En 2021, on sera là.

RDV samedi 20 novembre pour dire STOP aux violences sexistes et sexuelles.

NousToutes est un collectif féministe ouvert à toutes et tous, constitué d’activistes dont l’objectif est d’en finir avec les violences sexistes et sexuelles dont sont massivement victimes les femmes et les enfants en France.

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30 % des femmes sont victimes de harcèlement sexuel au travail. Une femme meurt tous les 2 jours assassinée par son compagnon ou son ex-compagnon. Qu’elles aient lieu à la maison, au travail ou dans la rue, les violences ne sont pas une fatalité. Jamais.

  • Avec cette manifestation, nous dirons notre exigence d’un monde dans lequel les violences n’ont pas leur place. Les femmes et les enfants, aujourd’hui victimes de violences, peuvent être protégé·e·s. Les femmes et les enfants en danger doivent être mis·es en sécurité. Les criminels doivent être condamnés, l’impunité doit cesser. L’éducation à l’égalité doit devenir une priorité.
  • Avec cette manifestation, nous rappellerons que c’est notre droit fondamental de vivre à l’abri des violences. Ce droit est chaque jour bafoué dans une indifférence qui nous sidère.
  • Avec cette manifestation, nous ferons entendre nos voix dans chaque famille, entreprise, administration, quartier, établissement scolaire et d’enseignement supérieur, établissement de santé et association. Dans tous les espaces de vie, la question des violences sexistes et sexuelles doit être posée. Et traitée.
  • Avec cette manifestation, nous porterons la voix de toutes celles qui, parmi nous, cumulent les violences en raison de leur situation de handicap, de vulnérabilité, de leur âge, de leur origine sociale, de leur statut de migrantes, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre ou parce qu’elles sont racisées

Afghanistan : les talibans confirment le meurtre de quatre femmes

Les victimes pourraient être des activistes des droits des femmes qui cherchaient à fuir le pays.

Un porte-parole taliban a confirmé samedi 6 novembre le meurtre de quatre Afghanes dont les cadavres ont été retrouvés à Mazar-i-Sharif (Nord), alors que plusieurs assassinats d’activistes ont été rapportés récemment.

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Charte contre les violences gynécologiques : les femmes encore sommées d’être leurs propres gardes du corps


Dans le cabinet d’un gynécologue-obstétricien, le 3 juin à Lyon. (Bruno Amsellem/Libération)


Trois semaines après la mise en cause d’un gynécologue parisien de renom, le Collège national des gynécologues et obstétriciens français a publié jeudi une charte de bonnes pratiques. Encore une fois, l’accent est mis sur la nécessité des femmes de se porter garante du respect de leur intégrité corporelle au lieu de sensibiliser les praticiens.

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Pologne : Un an plus tard, la décision sur l’avortement continue de nuire aux femmes


Une manifestation contre la loi polonaise sur l’avortement, tenue à Wroclaw, en Pologne, le 17 mars 2021. De nombreuses manifestations de ce type ont été tenues dans le cadre du mouvement « Strajk Kobiet » (« Grève des femmes »). © 2021 Krzysztof Zatycki/NurPhoto via AP


Le premier anniversaire de la décision du Tribunal constitutionnel symbolise les atteintes persistantes contre les droits des femmes et l’état de droit.

(Bruxelles, le 19 octobre 2021) – Les femmes et les filles enceintes en Pologne ont été confrontées à des obstacles extrêmes pour accéder à des avortements légaux au cours de l’année qui s’est écoulée depuis qu’une décision du Tribunal constitutionnel a pratiquement interdit l’avortement légal, ont déclaré aujourd’hui 14 organisations de défense des droits humains. Depuis cette décision, les femmes qui militent pour la défense des droits humains sont également confrontées à un environnement de plus en plus hostile et dangereux.

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DEBOUT LES FEMMES !

Projection-débat ce soir à 19h20 au CGR de Troyes

Piège pour M. François Ruffin? S’il obtient la direction d’une mission parlementaire «sur les métiers du lien», le député insoumis est affublé, pour la mener à bien, de M. Bruno Bonnell, un des députés les plus caricaturaux du parti présidentiel. S’il refuse, c’en est fini de sa proposition de loi sur ce secteur pesant près de 2,5 millions d’emplois, occupés à 90% par des femmes, la plupart à temps partiel et payées largement au-dessous du salaire minimum (auxiliaires de vie sociale, accompagnatrices d’enfants en situation de handicap, agentes d’entretien). Dans ce «road-movie parlementaire», il paie une fois de plus de sa personne et fait «ami-ami» avec un député de la majorité, quitte à ce que certains les taxent de connivence. Entre Dieppe et Amiens, en plein confinement, ils écoutent et suivent ces femmes dans leurs tâches auprès de personnes âgées isolées pour qui elles représentent le dernier lien social. Ces travailleuses témoignent d’une grande humanité, malgré d’éprouvantes conditions de travail, tant dans le secteur public que privé. Il n’y aura pas de loi Ruffin. Mais elles auront pu ici se faire entendre, et même s’exprimer en chanson…

Philippe Person, Le Monde diplomatique

Soirée organisée par L’Union populaire de Troyes et son agglomération