Voyage à Gaza

Guerre à Gaza: 70% des victimes du conflit sont des enfants ou des femmes, selon un rapport de l’ONU


Les femmes et les enfants représentaient « près de 70% » des morts dans la bande de Gaza sur la période novembre 2023 à avril 2024, affirme l’ONU, le vendredi 8 novembre, après une minutieuse vérification d’un décompte partiel des victimes de la guerre menée par Israël contre le Hamas.



Tania Saleh chante et dessine les jeux d’enfants




En ces temps de génocide et de destruction au Proche-Orient, Jeu d’enfants de Tania Saleh arrive comme une pulsion de vie au milieu d’un paysage dominé par la mort et la souffrance. Une œuvre — car il ne s’agit pas juste d’un album musical — dédiée aux enfants, sans concession sur le plan artistique.


Troyes: retour sur la manifestation pour la Paix de vendredi

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Cessez-le feu à Gaza et au Liban !




Destructions à Gaza : comment des infrastructures en eau ont été délibérément ciblées par l’armée israélienne



En douze mois de conflit, l’eau est devenue une denrée extrêmement rare dans la bande de Gaza. Grâce à l’analyse de centaines d’images satellite et de vidéos amateur, Les Révélateurs ont recensé les dégâts causés aux infrastructures hydrauliques sur le territoire gazaoui.



Faim: 345 000 Gazaouis en situation « catastrophique » cet hiver, avertit l’ONU


Quelque 345 000 Gazaouis seront confrontés à la faim à un niveau « catastrophique » cet hiver, contre 133 000 actuellement, avertit l’ONU dans un rapport publié jeudi, soulignant que le risque de famine persiste dans le territoire en guerre depuis plus d’un an.

L’aide alimentaire parvenue cet été avait permis d’améliorer la situation, mais le quasi-arrêt des convois en septembre devrait inverser la tendance, déplore le rapport du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC), fruit du travail d’expertise d’ONG et d’agences de l’ONU, dont celle pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), basée à Rome.



Le crépuscule libanais


« Par malheur, l’obus s’est abattu devant ma maison familiale. Par chance, la seule victime, ma grand-mère, n’a été atteinte que par des éclats. Le risque était présent, perpétuellement, la guerre était devenue organique. C’est une parfaite métaphore pour le Liban. » L’écrivain franco-libanais Olivier Jacquemond livre un regard intime sur la tragédie en cours.



Troyes: rassemblement et manifestation pour la paix

Manifestation pour la paix

Journée internationale pour la Paix

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MB



21 septembre journée internationale pour la paix

« La paix est le seul combat qui mérite d’être mené. » On connaît tous cette citation d’Albert Camus, qui conclut l’éditorial de « Combat » du 8 août 1945, deux jours après le bombardement d’Hiroshima. Il dénonce « le dernier degré de sauvagerie atteint par la civilisation mécanique » et l’inconscience de ceux qui s’extasiaient alors devant la prouesse technique. Il s’inquiète de la survie de ce qui reste de l’esprit et de la dignité humaine.

La paix est un combat, une lutte, un engagement suprême : « le seul combat qui vaille d’être mené. Ce n’est plus une prière mais un ordre qui doit monter des peuples vers les gouvernements, l’ordre de choisir définitivement entre l’enfer et la raison ».

Camus appelait les citoyens à « ordonner » aux gouvernements de choisir la paix partout et pour tous les peuples.

Il affirme une saine défiance du potentiel destructeur de notre civilisation et de la fascination pour sa technique.

N’attendons pas des chars, des lanceurs de roquette, des drones et des bombardiers, une paix qu’ils ne peuvent donner.

L’Union européenne via Frontex, pour démontrer l’inviolabilité de ses frontières, transforme ses mers en cimetières.

Partout, le droit est bafoué et nous ne serions être relégués au silence, tant qu’il n’y aura pas d’autre choix que celui des canons.

Partout les guerres et les conflits ensanglantent dans l’indifférence de nombreux pays dans le monde. Huit guerres majeures  et plusieurs dizaines de conflits armés secouent le monde actuellement. Burkina Faso, Somalie, Soudan, Yemen, Myanmar, Syrie. Ces guerres en cours ne sont pratiquement pas médiatisées et pourtant elles ont provoqué des dizaines de milliers de morts. En Ukraine la guerre n’en finit plus et a fait plus de 30 000 victimes. Les tensions avec les pays baltes, la situation de la Moldavie, la tentation de la Pologne de rentrer ouvertement dans le conflit et la menace nucléaire font de cette zone une poudrière potentielle.

La guerre à Gaza, démonstration de la toute-puissance coloniale d’Israël, conduit à assumer des massacres, un nettoyage ethnique et d’autres violations du droit humanitaire.

Là aussi les tensions avec l’Iran, le Yemen, le Liban, pourraient également créer une immense poudrière. La Turquie, l’Egypte, l’Algérie et d’autres pays pourraient rapidement s’impliquer.

Le nombre de décès liés aux conflits armés dans le monde a augmenté de 400 % depuis 2000, avec une accélération ces dernières années.

Trop d’intérêts économiques, politiques et territoriaux sont en jeu au mépris des droits humains et des peuples.

Ce sont toujours les populations civiles qui sont les premières victimes des guerres et des situations de pauvreté qu’elles engendrent.

L’absence d’intervention sur le terrain politique et la crise des Nations unies – seuls espaces possibles pour obtenir un cessez-le-feu et, à terme, une résolution des conflits – s’apparentent à un mépris du droit et du pacifisme. 
De nombreux textes, traités et conventions, ainsi que des juridictions existent. Il est primordial d’exiger leur application effective.

Le droit à la paix, à la sécurité et à la liberté de circulation de tout être humain et des populations doit constituer une obligation fondamentale des États et des institutions internationales.

Nous sommes prêts à voter, à manifester, à boycotter, à désobéir pour défendre la dignité humaine, l’équité, le respect de l’environnement.

Nous devons incarner, au quotidien, des choix de paix, avec pour seules armes, la parole, le droit et la solidarité.

Pour son avenir, l’humanité n’a d’autre chemin que la paix.


MB


POUR QUE LE PEUPLE PALESTINIEN PUISSE VIVRE EN PAIX SUR TERRE !

CESSEZ LE FEU IMMEDIAT et DEFINITIF !

STOP AU MASSACRE A GAZA !

ARRÊT DES LIVRAISONS D’ARMES !

Depuis pratiquement 12 mois les palestiniennes et palestiniens   subissent la folie meurtrière du pouvoir colonial   d’extrême droite israélien qui a pour seul objectif de mettre la main sur les terres Palestinnienne.

La libération des otages, qui serait permise par un cessez-le-feu, n’est pas la préoccupation du gouvernement israélien, malgré les nombreuses manifestations en Israël

La population de Gaza, déjà décimée, avec 200 000 victimes (mort·es, blessé·es, disparu.es ou gravement malades) sur 2 millions de palestiniens tente de survivre entre déplacements forcés, bombardements et une situation sanitaire très inquiètante.

De sa voix tremblante, au bord des larmes, Falestine Rusrus, directrice du département de français à l’université al-Aqsa de Gaza, est venue témoigner de l’enfer qu’elle a vécu à la Fête de l’Humanité. « J’habite dans le nord de la bande de Gaza. Ils m’ont obligée à me déplacer vers le Sud, juste pour chercher un peu de sécurité pour mes enfants. On ne savait pas où aller. On se déplaçait d’un endroit à l’autre juste pour trouver un lieu sûr. Et puis on est restés sans rien manger, sans eau potable. On a attendu l’aide humanitaire dans les écoles. On faisait des queues, de longues queues, juste pour avoir un litre d’eau potable par semaine, pour six personnes. C’est ça qu’on vit à Gaza » 

Au-delà de son cas personnel, Falestine Rusrus a rappeler que « des enfants sont restés sous les décombres sans même qu’on ait pu les enterrer. Des familles entières sont mortes assassinées. Assassinées”, elle insiste sur le mot. Quand on te dit que tu peux aller dans un endroit pour y être en sécurité, mais qu’une fois que tu arrives, on te bombarde, ça n’est pas une guerre, c’est un crime, un génocide. Les responsables israéliens de ces crimes de guerre doivent payer. C’est l’humanité qu’on assassine à Gaza. »

Et ce, malgré les condamnations répétées des instances internationales. 

Le 19 juillet dernier, la Cour internationale de Justice (CIJ) a rendu un avis sur les « conséquences juridiques découlant des politiques et pratiques d’Israël dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est ».

Sont ainsi reconnues : l’illégalité de la politique coloniale israélienne ; le statut de Gaza comme territoire occupé après 2005 ; l’annexion, par Israël, de grandes parties du territoire palestinien occupé (y compris Jérusalem-Est) en violation du droit international ; le caractère discriminatoire des lois et pratiques israéliennes dans ces territoires, qui constituent une ségrégation ou un apartheid ; l’obligation pour Israël de mettre fin immédiatement à sa colonisation du territoire

palestinien et à ses pratiques discriminatoires envers les Palestiniens, ainsi que l’obligation de permettre le retour des réfugiés de 1967 et de réparer les préjudices subis par les Palestiniens.

« Ce dont nous avons été témoins au cours des onze derniers mois – et dont nous continuons à être témoins – remet en question l’engagement du monde envers l’ordre juridique international qui a été conçu pour empêcher ces tragédies. Cela nous oblige à nous demander : qu’est-il advenu de notre sens fondamental de l’humanité ? »

Cette interrogation sur ce que font ou ne font pas les Nations unies, ses États membres, les grandes puissances, pour mettre un terme au massacre de masse qui se perpétue jour après jour, nuit après nuit, contre la population de Gaza, est posée par Joyce Msuya, sous-secrétaire générale par intérim aux Affaires humanitaires et coordonnatrice des Secours d’urgence, lors de son exposé au Conseil de sécurité des Nations unies sur la situation humanitaire à Gaza, le 29 août dernier.

Après presque un an de guerre totale israélienne contre la population de Gaza, les États membres de l’ONU ne peuvent plus continuer à en appeler poliment à un cessez-le-feu ou à la fin de l’occupation de la Palestine sans se donner les moyens de l’imposer.

Des millions de personnes à travers le monde, se rejoignent pour exiger un cessez-le-feu immédiat !  Nous saluons tous les mouvements qui se dressent à travers le monde pour que cessent les massacres en cours du peuple palestinien. La jeunesse a raison !

Dans notre département de l’Aube, plus de 4000 concitoyens ont signés la pétition exigeant un cessez le feu immédiat et l’arrêt des livraisons d’armes. Ce nombre ne cesse de croître, tant nos concitoyens sont scandalisés par ce double langage par lequel Macron dit être pour la reconnaissance d’un État palestinien tout en affirmant que ce n’est pas le moment. Il prétend demander un cessez-le-feu tout en continuant à livrer des armes.

Nous nous opposons et condamnons toutes les intimidations en cours orchestrées par notre gouvernement contre toutes celles et ceux qui cherchent à imposer le cessez le feu immédiat en Palestine. Cela indique que La France, à travers son gouvernement, continue de soutenir les massacres en cours en Palestine.

Le peuple palestinien a le droit de vivre en paix sur sa terre ! 

Une paix juste durable ne sera possible que dans le cadre de la reconnaissance de tous les droits du peuple palestinien, notamment de son droit à l’autodétermination et de son droit au retour. Cela implique le démantèlement des colonies, la fin de l’occupation israélienne ainsi que le respect de toutes les résolutions des Nations unies.

Nous réaffirmons une nouvelle fois de façon déterminée nos exigences :

  • que la France et l’Union européenne s’associent à la démarche de l’Afrique du Sud afin de contraindre Israël à respecter l’ordonnance de la CIJ.
  • un cessez-le-feu immédiat, total et permanent pour la bande de Gaza.
  • l’arrêt des bombardements et des déplacements forcés des populations.
  • l’entrée sans restriction de l’aide humanitaire et la levée du blocus de Gaza. 
  • la libération de tous les prisonniers politiques palestiniens. C’est aussi dans le cadre d’un cessez-le-feu que les otages civils israéliens et binationaux pourront être libérés. 
  • que la France et l’Union européenne arrêtent toute coopération militaire et sécuritaire avec Israël et imposent l’interdiction de livrer des armes, des sanctions politiques, économiques et commerciales contre Israël.
  • la reconnaissance d’un état palestinien.

Les organisations Mrap, Ldh, Greenpeace, Agui, La Libre Pensée, Le Collectif Louise Michel, Lfi, Poi, Pcf, Génération.s, Cgt, Solidaires et la Fsu.

L’armée israélienne annonce avoir mené une « frappe ciblée » sur Beyrouth



L’armée israélienne a annoncé vendredi avoir mené une « frappe ciblée » sur Beyrouth, où une source de sécurité a fait état d’une frappe israélienne sur la banlieue sud de la capitale libanaise, bastion du Hezbollah.



Cisjordanie: une vidéo montre des soldats israéliens jeter des cadavres de Palestiniens du haut d’un immeuble


Toujours plus d’horreur dans la guerre au Proche-Orient. En parallèle de sa guerre à Gaza, l’armée israélienne intervient également en Cisjordanie occupée. Les forces israéliennes mènent des opérations présentées comme « antiterroristes », principalement dans la région de Jénine. Jeudi 19 septembre, des soldats israéliens ont été filmés en train de jeter les cadavres de palestiniens du haut d’un immeuble, après les avoir abattus.



CESSEZ LE FEU IMMEDIAT et DEFINITIF ! STOP AU MASSACRE A GAZA ! ARRÊT DES LIVRAISONS D’ARMES

Retour sur la manifestation de vendredi 30 septembre à TROYES


Depuis pratiquement 11 mois les palestiniennes et palestiniens  sont confrontées à des horreurs dans la bande de Gaza.

La folie meurtrière du pouvoir colonial israélien ne connaît pas de limites, ni dans le temps, ni dans l’espace. La population de Gaza, déjà décimée, avec 200 000 victimes (mort·es, blessé·es, disparu.es ou gravement malades) sur 2 millions de palestiniens tente de survivre entre déplacements forcés, bombardements et une situation sanitaire très inquiètante.

La libération des otages, qui serait permise par un cessez-le-feu, n’est pas la préoccupation du gouvernement de droite et d’extrême-droite israélien, malgré les nombreuses manifestations en Israël.

Et ce, malgré les condamnations répétées des instances internationales. 

Le 19 juillet dernier, la Cour internationale de Justice (CIJ) a rendu un avis sur les « conséquences juridiques découlant des politiques et pratiques d’Israël dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est ».

Sont ainsi reconnues : l’illégalité de la politique coloniale israélienne ; le statut de Gaza comme territoire occupé après 2005 ; l’annexion, par Israël, de grandes parties du territoire palestinien occupé (y compris Jérusalem-Est) en violation du droit international ; le caractère discriminatoire des lois et pratiques israéliennes dans ces territoires, qui constituent une ségrégation ou un apartheid ; l’obligation pour Israël de mettre fin immédiatement à sa colonisation du territoire palestinien et à ses pratiques discriminatoires envers les Palestiniens, ainsi que l’obligation de permettre le retour des réfugiés de 1967 et de réparer les préjudices subis par les Palestiniens.

L’État d’Israël est de plus en plus isolé. La CIJ rappelle l’interdiction faite aux États de soutenir cette politique. Elle souligne la nécessité pour l’ONU d’agir pour mettre un terme à ces violations et de trouver une solution pacifique.

Malgré cela la France, a accordé une interview à Netanyahou sur une chaine de grande écoute (LCI). Son exercice d’autojustification du massacre à Gaza ne convainc personne. C’est devant la cour pénale internationale qu’il devra rendre des comptes. 

Macron, lui, accueille pendant les JO  le président israélien Herzog. Pour rappel ce dernier affirmait pourtant en octobre qu’« il n’y a pas d’innocent à Gaza » et qu’il fallait « briser la colonne vertébrale » des Palestinien·nes.

Alors que 13 pays de l’Union européenne reconnaissent officiellement l’existence d’un État palestinien, 146 pays mondialement, Macron persiste à affirmer que ce ne serait pas le moment.

Des millions de personnes à travers le monde, se rejoignent pour exiger un cessez-le-feu immédiat !  Nous saluons tous les mouvements qui se dressent à travers le monde pour que cessent les massacres en cours du peuple palestinien. La jeunesse a raison !

Dans notre département de l’Aube, plus de 4000 concitoyens ont signé la pétition exigeant un cessez le feu immédiat et l’arrêt des livraisons d’armes. Ce nombre ne cesse de croître, tant nos concitoyens sont scandalisés par ce double langage par lequel Macron dit être pour la reconnaissance d’un État palestinien tout en affirmant que ce n’est pas le moment. Il prétend demander un cessez-le-feu tout en continuant à livrer des armes.

Nous nous opposons et condamnons toutes les intimidations en cours orchestrées par notre gouvernement contre toutes celles et ceux qui cherchent à imposer le cessez le feu immédiat en Palestine. Cela indique que La France, à travers son gouvernement, continue de soutenir les massacres en cours en Palestine.

Le peuple palestinien a le droit de vivre en paix sur sa terre ! 

Une paix juste durable ne sera possible que dans le cadre de la reconnaissance de tous les droits du peuple palestinien, notamment de son droit à l’autodétermination et de son droit au retour. Cela implique le démantèlement des colonies, la fin de l’occupation israélienne ainsi que le respect de toutes les résolutions des Nations unies.

Nous réaffirmons une nouvelle fois de façon déterminée nos exigences :

  • que la France et l’Union européenne s’associent à la démarche de l’Afrique du Sud afin de contraindre Israël à respecter l’ordonnance de la CIJ.
  • un cessez-le-feu immédiat, total et permanent pour la bande de Gaza.
  • l’arrêt des bombardements et des déplacements forcés des populations.
  • l’entrée sans restriction de l’aide humanitaire et la levée du blocus de Gaza. 
  • la libération de tous les prisonniers politiques palestiniens. C’est aussi dans le cadre d’un cessez-le-feu que les otages civils israéliens et binationaux pourront être libérés. 
  • que la France et l’Union européenne arrêtent toute coopération militaire et sécuritaire avec Israël et imposent l’interdiction de livrer des armes, des sanctions politiques, économiques et commerciales contre Israël.
  • la reconnaissance d’un état palestinien.

Les organisations Mrap, Ldh, Greenpeace, Agui, La Libre Pensée, Le Collectif Louise Michel, Lfi, Poi, Pcf, Génération.s, Cgt, Solidaires et la Fsu appellent à une nouvelle manifestation qui se tiendra le 21 septembre, Journée Internationale pour la Paix.

Collectif aubois pour la paix, retour sur le rassemblement du 9 août

Beau succès du rassemblement de ce 9 août devant l’hôtel de ville de Troyes.
Après les prises de paroles, nous étions une centaine (en plein mois d’août !) à entonner : arrêt, arrêt des livraisons d’armes ! cessez-le-feu immédiat !
173 nouvelles signatures ont alors été recueillies sur la place. Elles viennent s’ajouter aux 4000 déjà recueillies
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