À Romilly-sur-Seine, 14h Bourse du Travail (58 rue de la Boule-d’Or). Mais aussi : de 9h à 12h, filtrage et distribution de tracts sur le rond-point de Leclerc et sur celui du Carrefour Market.
À Bar-sur-Aube, 17h place de l’Hôtel de Ville.
Partager la publication "Mobilisation contre la réforme des retraites"
La section de l’aube de la Ligue des Droits de l’ Homme a tenu dans ses locaux ce mardi 11 avril une conférence de presse en direction des médias locaux.
Pour l’inspection générale de la gendarmerie nationale, ces tirs, normalement proscrits, sont intervenus dans une « situation de péril avéré » pour les gendarmes. « Aucune faute » ne peut donc être relevée à leur encontre.
Face à la répression des mobilisations sociales et écologistes, si les violences policières ont « fait l’agenda » de certains grands médias plus rapidement qu’au moment des manifestations des Gilets jaunes, le traitement médiatique est encore loin d’être à la hauteur des enjeux…
Nota Bene : cet article est disponible en tract (format pdf) ici. Nous le distribuons lors des manifestations aujourd’hui : n’hésitez pas à en faire de même !
Partager la publication "Mobilisation contre la réforme des retraites : près de 2 000 personnes à Troyes, 200 à Romilly-sur-Seine et 150 à Bar-sur-Aube"
Gérald Darmanin laisse entendre que les subventions à la Ligue des droits de l’homme pourraient être remises en cause
En réponse à une question d’un sénateur, le ministre de l’Intérieur a estimé que la subvention publique accordée à l’association « mérite d’être regardée ».
Utilisés pour aider à l’identification des auteurs d’infraction grave, les produits marqueurs codés ont été utilisés par les forces de l’ordre lors des dernières manifestations d’opposants aux réserves de substitution en eau dans les Deux-Sèvres.
Deux nouvelles plaintes ont été communiquées au parquet de Rennes ce mardi à propos de deux nouveaux manifestants gravement blessés lors des affrontements du samedi 25 mars à Sainte-Soline (Deux-Sèvres), a annoncé le procureur de la République de Rennes.
Dans sa décision rendue samedi 1er avril, le tribunal administratif de Paris parle d’interdictions non «nécessaires à la sauvegarde de l’ordre public», s’agissant de l’arrêté interdisant notamment toute manifestation dans la nuit du 1er au 2 avril. En parallèle, des associations et juristes demandent que la préfecture de police communique mieux et plus vite sur les arrêtés qu’elle prend.
Des manifestations de soutien aux manifestants blessés de Sainte-Soline et contre les violences policières ont eu lieu un peu partout en France ce jeudi 30 mars.
Déclaration faite ce soir lors du rassemblement au nom de la LDH
La Ligue des Droits de l’Homme appelle aujourd’hui à manifester devant toutes les préfectures de France pour dénoncer et condamner :
– les dérives et les violences des forces de l’ordre pour réprimer les mouvements sociaux.
– l’usage disproportionné et dangereux de la force publique et l’utilisation des armes non-létales.
– des arrestations et des gardes à vue arbitraires et sans motif .
Nous dénonçons les limitations des droits des journalistes à informer, les atteintes à la liberté de manifester et d’une manière générale, les actes et les postures attentatoires aux libertés publiques.
Nous demandons la dissolution de la BRAV-M qui porte mal son nom.
Aujourd’hui, la pétition pour réclamer la dissolution des brigades de répression de l’action violente motorisées a dépassé les 200 000 signatures. Pendant ce temps, le ministre de l’Intérieur ne pense qu’à dissoudre l’association « Le soulèvement de la terre ».
Pourquoi un tel déploiement des forces de l’ordre face aux manifestants dont l’immense majorité est tout à fait pacifique ?
Pourquoi une absence totale de compassion envers les blessés et les victimes de la part du ministre de l’Intérieur ?
Pourquoi cette stratégie qui marque une volonté de porter l’attention de l’opinion sur des affrontements ?
Elle traduit une volonté du gouvernement de dissuader la population de manifester et de détourner les esprits du combat pour le retrait de la réforme des retraites.
La Ligue des Droits de l’Homme envoie sur le terrain ses observateurs qui identifient les actes de violences des forces de l’ordre et qui établissent la réalité des faits constatés. C’est donc en connaissance de cause qu’elle dénonce les atteintes très graves à la liberté de manifester et d’informer ainsi que toutes les atteintes aux droits fondamentaux.
Hubert Bruneel
Partager la publication "Troyes: rassemblement contre les violences policières"
Pour les manifestants, il est difficile voire impossible de savoir qu’ils risquent une contravention lors d’un rassemblement non déclaré – que la loi autorise par défaut.
Devant les (sous)-préfectures, en soutien aux 2 manifestants dans le coma, aux blessé.es de Sainte-Soline et du mouvement des retraites, pour la fin des violences policières.
Partager la publication "30 mars: Rassemblement devant la préfecture de l’Aube à 19:00"
Des vidéos de violences policières circulent en boucle. C’est la panique au ministère de l’Intérieur, qui promet en vrac que la section mise en cause dans un audio ne serait pas là et que chaque vidéo déclencherait une enquête. Faux et encore faux !
« On n’enverra pas d’hélicoptère ou de moyen Smur sur place parce qu’on a ordre de ne pas en envoyer par les forces de l’ordre », explique un opérateur du Samu à un médecin dans un enregistrement de la Ligue des Droits de l’Homme que franceinfo a consulté.