Journée internationale des migrant.e.s

Retour sur le rassemblement du samedi 18 décembre à Troyes


Distribution de tracts et dialogue avec les passants.


Parmi les nombreuses organisations présentes, la LDH était représentée par 10 ligueuses et ligueurs.

Dans la presse

19/12/2021 SOLIDARITÉ 



Rassemblés pour alerter sur le sort des jeunes migrants 

Le collectif alerte sur la situation des jeunes migrants, mineurs ou majeurs, non accompagnés.

Ils étaient près de 80 militants rassemblés, hier matin, place de l’hôtel de ville à Troyes, pour alerter et sensibiliser la population à la situation des migrants mineurs ou jeunes majeurs, non accompagnés. Un rassemblement dans le cadre de la Journée internationale des migrants le 18 décembre et à l’appel d’un collectif aubois réunissant la Cimade, la Ligue des droits de l’Homme, le MRAP, Indigne Toit, la CVT, la FCPE, la FSU, Solidaires, Génération.s, La France Insoumise, le Parti communiste et de nombreux citoyens.

Des jeunes scolarisés ou en pleine réalisation d’un projet professionnel qui ont été accueillis, mineurs, sur le territoire français mais se retrouvent du jour au lendemain, dès leur majorité, exclus de leur hébergement, obligés d’arrêter leur apprentissage ou de travailler et sont ainsi plongés dans la précarité. Une situation intenable due au refus du préfet de leur délivrer un titre de séjour. « C’est jeunes ne sont pas des délinquants, ils ne sont pas un danger pour la société. En revanche, ils sont en danger ! Seuls, sans famille, sans attache parfois, ils se retrouvent dans des situations particulièrement vulnérables » , ont ainsi dénoncé les membres du collectif lors de la prise de parole.

STÉPHANIE MUNIER



Journée internationale des droits de l’Homme


« Tous humains, tous égaux » est le slogan de la Journée des droits de l’homme de cette année. PHOTO :© Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme


En 1950, l’Assemblée générale des nations unies a invité tous les états et toutes les organisations internationales concernées à célébrer le 10 décembre de chaque année la Journée des droits de l’homme [résolution 423 (V)]. Cette journée marque l’anniversaire de l’adoption en 1948, par l’Assemblée, de la Déclaration universelle des droits de l’Homme.

Cette année, la Journée internationale des droits de l’Homme, célébrée depuis chaque 10 décembre, a pour thème l’Égalité.

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Retour sur l’AG du 29 novembre

Solidarité femmes Aube

Vide-malle le 4 décembre


SOLIDARITE FEMMES n’a pas attendu la mode du recyclage !

Depuis 6 ans, l’association organise 2 vide-malles par an, dont les bénéfices servent à encore mieux aider les femmes accueillies (produits de première nécessité, billet de train, nuit d’hôtel…).

Alors n’hésitez pas à venir nous retrouver le 4 Décembre prochain pour notre vide-malles d’hiver de 9H à 18 H dans nos locaux, 5 rue du Palais de Justice.

Nos cartons sont pleins de merveilles en très bon état : manteaux, robes, pulls, sacs à main… à des prix solidaires, bien sûr. L’occasion de se rencontrer, d’échanger, de faire de bonnes affaires et en plus, une bonne action.

Nous vous attendons avec grand plaisir. N’oubliez pas d’en parler autour de vous !

Hommage aux 102 victimes de féminicides



Sobre et émouvant hommage ce jour devant l’hôtel de ville de Troyes. Après un vibrant plaidoyer lu par Annie Bedhet, présidente de Solidarité Femmes Aube, lecture à plusieurs voix du poème Mesdames de Grand Corps Malade. Puis une minute de silence en mémoire des 102 victimes de féminicides en 2021.


Aujourd’hui à 14 h 30

Philippe Grand, l’un des archivistes clés du 17 octobre 1961


Une voiture au pare-brise cassé, le 17 octobre 1961 à Paris, après que la police française a attaqué des manifestants qui participaient à une manifestation pro-Front de libération nationale (FLN) contre un couvre-feu pour les Français musulmans. © AFP


Philippe Grand, ancien conservateur en chef des archives de Paris, est le premier à révéler les documents prouvant la mort de dizaines de Français musulmans d’Algérie lors d’une manifestation, le 17 octobre 1961, à Paris. Maurice Papon, alors préfet de Paris, dément le massacre jusqu’au jour où, trente-six ans plus tard, l’archiviste et sa collègue Brigitte Lainé mettent au jour les documents du palais de justice détaillant les noms des victimes et les circonstances de leur mort.

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Disparition de Michel Tubiana, la LDH en deuil


Michel Tubiana a présidé la Ligue des droits de l’Homme entre 2000 et 2005. (AFP)

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Comment le 11 Septembre a bouleversé nos mémoires

Deux décennies ont passé, mais les souvenirs du 11 septembre 2001 semblent toujours aussi vivaces dans les esprits de ceux qui ont assisté, de près ou de loin, à ces terribles attentats. Directeur de l’unité de recherche « Neuropsychologie et imagerie de la mémoire humaine » à l’Université Caen Normandie, Francis Eustache nous explique pourquoi, et revient sur ce que les recherches des vingt dernières années nous ont appris sur les processus de mémorisation.

Photo de diverses couvertures de journaux publiés le 12 septembre 2001
Couvertures de journaux publiés le 12 septembre 2001. La plupart des personnes qui ont vécu l’événement se souviennent du contexte dans lequel elles ont appris la nouvelle.

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Forum des associations saviniennes



La section LDH Troyes et Aube sera présente et vous accueillera dans son stand.

Guinée : coup d’Etat surprise mais pas « étonnant »


Scènes de liesse hier dans les rues de Conakry, où des Guinéens ont envahi les rues pour dire leur joie de voir le Président Alpha Condé renversé• Crédits : CELLOU BINANI – AFP


Le Président Guinéen Alpha Condé fait prisonnier par des putschistes hier. Pour quelles raisons, et qui est le chef des putschistes ? Réponse dans la presse guinéenne.

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Menace imminente sur la démocratie brésilienne


Capture d’écran d’une vidéo / Le président Jair Bolsonaro lors du défilé militaire à Brasilia le 10 août 2021.

Nous, élus et dirigeants du monde entier, tirons la sonnette d’alarme : le 7 septembre 2021, une insurrection mettra en danger la démocratie au Brésil. En ce moment même, le président Jair Bolsonaro et ses alliés – parmi lesquels les groupes suprématistes blancs, la Police militaire et des fonctionnaires à tous les niveaux du gouvernement – se préparent à une marche nationale contre la Cour suprême et le Congrès le 7 septembre, renforçant ainsi les craintes d’un coup d’Etat dans la troisième plus grande démocratie du monde.

Ces dernières semaines, le président Bolsonaro a intensifié ses attaques contre les institutions démocratiques. Le 10 août, il a dirigé un défilé militaire sans précédent dans la capitale Brasilia et ses alliés au Congrès ont tenté d’imposer des réformes radicales du système électoral du pays, largement considéré comme l’un des plus fiables au monde. Bolsonaro et son gouvernement ont – à plusieurs reprises – menacé d’annuler les élections présidentielles de 2022 si le Congrès n’approuvait pas ces réformes.

Maintenant, Bolsonaro appelle ses partisans à se rendre à Brasilia le 7 septembre dans un acte d’intimidation des institutions démocratiques du pays. Selon un message partagé par le président le 21 août, la marche est la préparation d’un « contre-coup nécessaire » contre le Congrès et la Cour suprême. Le message affirmait que la « constitution communiste » du Brésil a retiré le pouvoir à Bolsonaro et a accusé « le pouvoir judiciaire, la gauche et tout un appareil d’intérêts cachés » de conspirer contre lui.

Des députés brésiliens ont averti que la mobilisation du 7 septembre a pris pour modèle l’insurrection du 6 janvier 2021, dans la capitale américaine, lorsque le président de l’époque Donald Trump a incité ses partisans à « arrêter le vol » avec de fausses allégations de fraude électorale lors de l’élection présidentielle de 2020.

Nous sommes profondément préoccupés par la menace imminente qui pèse sur les institutions démocratiques du Brésil – et nous serons vigilants pour les défendre avant le 7 septembre et au-delà. Le peuple brésilien s’est battu pendant des décennies contre le régime militaire pour garantir la démocratie. Nous ne devons pas permettre à Bolsonaro de nous la confisquer maintenant. »


José Luis Rodriguez Zapatero, ancien Premier ministre, Espagne

Fernando Lugo, ancien président, Paraguay

Adolfo Pérez Esquivel, lauréat du prix Nobel, Argentine

Noam Chomsky, professeur, Etats-Unis

Yanis Varoufakis, membre du Parlement, Grèce

Ernesto Samper, ancien président, Colombie

Jeremy Corbyn, membre du Parlement, Royaume-Uni

Cori Bush, membre de la Chambre des représentants, USA

Jean-Luc Melenchon, membre de l’Assemblée nationale, France

Gustavo Petro, sénateur, Colombie

Caroline Lucas, membre du Parlement, Royaume-Uni

Golriz Gharahman, membre du Parlement, Nouvelle-Zélande

Manon Aubry, membre du Parlement européen, France

Gonzalo Winter, membre de la Chambre des Députés, Chili

Ricardo Patiño, ancien ministre des Affaires étrangères, Equateur

Unai Sordo, secrétaire général de CCOO, Espagne

Cornel West, professeur, Etats-Unis

María José Pizarro, membre de la Chambre des représentants, Colombie

Juan Somavía, ancien directeur général de l’OIT, Chili

Rafael Correa, ancien président, Equateur

Oscar Laborde, Président du Parlement du Mercosur, Argentine

Carlos Ramirez-Rosa, membre du conseil municipal de Chicago, Etats-Unis

Manuel Bompard, membre du Parlement européen, France

Rafael Michelini, sénateur de la République, Uruguay

Celso Amorim, ancien ministre des Relations extérieures, Brésil

Ana Isabel Prera, ancien ambassadeur, Guatemala

Hugo Yasky, secrétaire général du CTA, Argentine

Thierry Bodson, président FGTB, Belgique

Marco Enriquez-Ominami, membre de la Chambre des députés, Chili

Jordon Steele-John, sénateur, Australie

Martín Torrijos, ancien président, Panamá

Zarah Sultana, membre du Parlement, Royaume-Uni

Claudia Webbe, membre du Parlement, Royaume-Uni

Kenny MacAskill, membre du Parlement, Royaume-Uni

Mick Whitley, membre du Parlement, Royaume-Uni

Marion Fellows, membre du Parlement, Royaume-Uni

Bell Ribeiro-Addy, membre du Parlement, Royaume-Uni

Mohammad Yasin, membre du Parlement, Royaume-Uni

Tony Lloyd, membre du Parlement, Royaume-Uni

Barry Gardiner, membre du Parlement, Royaume-Uni

Jon Cruddas, membre du Parlement, Royaume-Uni

Mary Kelly Foy, membre du Parlement, Royaume-Uni

Apsana Begum, membre du Parlement, Royaume-Uni

Kim Johnson, membre du Parlement, Royaume-Uni

Diane Abbott, membre du Parlement, Royaume-Uni

Tahir Ali, membre du Parlement, Royaume-Uni

Richard Burgon, membre du Parlement, Royaume-Uni

John McDonnell, membre du Parlement, Royaume-Uni

Kate Osborne, membre du Parlement, Royaume-Uni

Ian Byrne, membre du Parlement, Royaume-Uni

Pauline Bryan, membre de la Chambre des Lords, Royaume-Uni

Lloyd Russell-Moyle, membre du Parlement, Royaume-Uni

Prem Sikka, membre de la Chambre des Lords, Royaume-Uni

John Hendy, membre de la Chambre des Lords, Royaume-Uni

Gerardo Pisarello, membre du Congrès des Députés, Espagne

Gabriela Rivadeneria, ancienne présidente de l’Assemblée nationale, Equateur

Daisy Tourné, sénateur, Uruguay

Eric Calcagno, député national, Argentine

Omar Plaini, sénateur de la Province de Buenos Aires, Argentine

Alejandro Rusconi, Argentine

Marcela Aguiñaga, ancien ministre de l’environnement, Equateur

Rafael Mayoral (Espagne)

Fernanda Vallejo, député national, Argentine

Idoia Villanueva, membre du Parlement européen, Espagne

Lucía Muñoz Dalda, membre du Congrès des Députés, Espagne

Marita Perceval, sénatrice, Argentine

Maite Mola, vice-présidente du Parti de la Gauche Européenne, Espagne

Andres Arauz, ancien ministre de la Connaissance et du talent humain, Equateur

Alicia Castro, ancien ambassadeur, Argentine

Iván Cepeda, sénateur, Colombie

Guillaume Long, ancien ministre des Affaires étrangères, Equateur

José Roselli, député national, Argentine

Guillermo Carmona (Argentine)

Paola Vega, membre de l’Assemblée législative, Costa Rica

Juan López de Uralde, membre du Congrès des Députés, Espagne

Monica Macha, députée nationale, Argentine

Martina Velarde, membre du Congrès des Députés, Espagne

Antònia Jover, membre du Congrès des Députés, Espagne

Daniel Martínez, ancien maire de Montevideo, Uruguay

Carlos Ominami, ancien Sénateur, Chili

Hugo Martínez, ancien ministre des Affaires étrangères, El Salvador

Scott Ludlam, ex-sénateur, Australie

Leïla Chaibi, membre du Parlement européen, France

Mónica Xavier (Uruguay)

Cristina Alvarez Rodríguez, députée nationale, Argentine

Lia Veronica Caliva, députée nationale, Argentine

Fotini Bakadima, membre du Parlement, Grèce

Ricardo Canese, membre du Parlement du Mercosur, Paraguay

Héctor Fernández, député national, Argentine

Juan Carlos Alderete, député national, Argentine

Ruth Buffalo, représentante de l’Etat du Dakota du Nord, USA

Adrien Quatennens, membre de l’Assemblée nationale, France

Alberto Grillón, ancien sénateur, Paraguay

Carlos Sotelo, ex-sénateur, México

Nanci Parrilli, sénateur, Argentine

María Antonieta Saa Diaz, membre de la Chambre des députés, Chili

Marcia Covarrubias, membre de la Chambre des députés, Chili

Carolina Yutrovic, députée nationale, Argentine

Claudia Mix, membre de la Chambre des Députés, Chili

Clara López, ancienne ministre du Travail, Colombie

Camilo Lagos (Chili)

Karol Cariola, membre de la Chambre des Députés, Chili

Roser Maestro, membre du Congrès des Députés, Espagne

Mercedes Pérez, membre du Congrès des Députés, Espagne

Victoria Donda, députée nationale, Argentine

Marisa Saavedra, membre du Congrès des Députés, Espagne

Miguel Bustamante, membre du Congrès des Députés, Espagne

Antón Gómez-Reino, membre du Congrès des Députés, Espagne

Pedro Antonio Honrubia, membre du Congrès des Députés, Espagne

Joan Mena, membre du Congrès des Députés, Espagne

Mar García Puig, membre du Congrès des Députés, Espagne

Txema Guijarro, membre du Congrès des Députés, Espagne

Pablo Echenique, membre du Congrès des Députés, Espagne

Sofía Castañón, membre du Congrès des Députés, Espagne

Javier Sanchez, membre du Congrès des Députés, Espagne

Pilar Garrido, membre du Congrès des Députés, Espagne

Ismael Cortés, membre du Congrès des Députés, Espagne

John Ackerman (Mexique)

Gibrán Ramírez Reyes (Mexique)

Katu Arkonada (Mexique)

Eduardo Valdes, député national, Argentine

Nora Del Valle Giménez, sénateur, Argentine

Minou Tabarez Miraval, député national, République dominicaine

Afghanistan 

Afghanistan : le Secrétaire général de L’ONU convoquera le 13 septembre une réunion humanitaire de haut niveau pour répondre aux besoins croissants du pays

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Les femmes dans les rues de Kaboul pour revendiquer leurs droits sous le régime taliban



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Les Européens désarmés après le choc afghan


Le ministre slovène des affaires étrangères Anze Logar (à gauche) et le haut représentant européen de l’Union pour les affaires étrangères Josep Borrell (à droite), lors d’une réunion informelle des ministres des affaires étrangères de l’UE, à Kranj (Slovénie), le 2 septembre 2021. JURE MAKOVEC / AFP


Les Vingt-Sept restent prudents sur le concept d’une défense européenne, embryonnaire jusqu’ici, et qui apparaîtrait, pour certains, comme une possible mise en concurrence de l’OTAN.

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Jean-Claude Vion (1936-2021)


Tous les membres de la LDH régionale gardent de lui le souvenir du militant exemplaire et du grand humaniste qui vient de nous quitter.

Jean-Claude Vion s’est notamment illustré sous les drapeaux en Algérie, en témoignant des exactions de l’armée française et en s’engageant contre le putsch des généraux en 1961. Membre très actif du comité de résistance du contingent, il dénonça l’action de l’OAS qui le menaça de mort. Il profita d’une permission pour communiquer des informations au journaliste Jean Clémentin pour sa rubrique intitulée « Carnets de route de l’ami Bidasse », dans Le Canard Enchaîné.

Libéré, il poursuivit son engagement en militant au PSU, à la CGT et à la LDH à partir de 1962.

Il fonda et dirigea la MJC Calonne à Sedan de 1966 à 1973.

Il fut d’abord vice-président de la section LDH de Charleville-Mézières jusqu’en 1990, puis président jusqu’en 1999. De 1990 à 2004, il occupa également les fonctions de délégué régional de Champagne-Ardenne et de membre du comité central.

Un hommage public lui a été rendu ce samedi 28 août au cimetière Laval Dieu à Monthermé.

D’après un article d’Alain Bigorgne.

En Europe, des murs s’élèvent face à la crise afghane


Pressée de venir en aide à une trentaine de migrants coincés à sa frontière avec la Biélorussie, la Pologne a refusé et annoncé l’installation d’une « solide clôture ». (Jaap Arriens/AFP)


Plusieurs pays, dont la Turquie, la Grèce et la Pologne, ont annoncé un renforcement de leurs frontières pour prévenir les flux de migrants en provenance d’Afghanistan. Les Européens peinent à apporter une autre réponse que sécuritaire aux questions migratoires.

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Femmes afghanes

« J’ai 24 ans, je suis célibataire et j’entends dire que les talibans font la traque des Afghanes célibataires » : une étudiante de Bamiyan, au centre de l’Afghanistan



Des talibans devant un salon de beauté, dont les affiches représentant des femmes ont été taguées, le 18 août, à Kaboul. WAKIL KOHSAR / AFP


Depuis la prise du pouvoir par les talibans, la jeune Afghane qui habite cette ville de 60 000 habitants s’inquiète des menaces qui pèsent sur son avenir, en tant que femme et membre de la minorité chiite hazara.


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Après les attentats, de nombreux pays mettent fin aux rapatriements. La France s’honore et continuant…


Plus de 2 000 Afghans ont déjà été évacués vers la France


Des agents de l’Ofii accueillent des Afghans à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. Crédit : Ofii


À l’heure où les opérations d’évacuation touchent à leur fin, environ 2 300 Afghans ont été exfiltrés vers la France depuis le 16 août, selon l’Ofii. Après une période de quarantaine, les ressortissants arrivés la semaine dernière, vont commencer les démarches de demande d’asile.

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Les évacuations françaises pourraient se poursuivre « au-delà » de vendredi, affirme le secrétaire d’État aux Affaires européennes


Des Afghans quittent Kaboul avec l’aide de militaires français avant d’atterir à Paris. (– / AFP)


Clément Beaune était l’invité de la matinale d’Europe 1. 

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Mais…

Le Conseil d’État juge inutile la prise de mesures urgentes pour les réunifications familiales

Dans une décision rendue ce jeudi 26 août, la plus haute juridiction administrative estime que pour les familles de réfugiés coincées à Kaboul, « la prise de nouvelles mesures pour faciliter l’obtention d’un visa serait sans conséquence » pour accélérer leurs procédures de réunification familiale. 

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Attentats de Kaboul


A Kaboul, le pire scénario


Le double attentat du jeudi 26 août montre que les talibans, théoriquement nouveaux maîtres de l’Afghanistan, ne contrôlent pas les groupes rivaux et que les Etats-Unis n’ont d’autre choix que de poursuivre leur engagement contre le terrorisme.

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« Les talibans n’ont jamais eu intérêt à attaquer l’Occident », rappelle un spécialiste de la propagande islamiste


Des porte-paroles des talibans lors d’une conférence de presse à Kaboul, le 24 août 2021 (Afghanistan). (HOSHANG HASHIMI / AFP)


Selon Asiem El Difraoui, l’EL veut plonger l’Afghanistan dans le « chaos général pour mieux recruter et s’étendre », dans le but de créer « une sorte de khalifat mondial ». Les talibans, eux, ont des ambitions très nationales.

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Afghanistan



Les Afghans sommés de quitter l’aéroport de Kaboul en raison de la menace “très crédible” de l’État islamique


Des foules de gens attendent devant l’aéroport de Kaboul. Plusieurs pays ont émis un avertissement concernant une attaque potentielle à l’aéroport.
via REUTERS


26 août – Les États-Unis et leurs alliés ont exhorté les gens à s’éloigner de l’aéroport de Kaboul jeudi en raison de la menace d’une attaque terroriste par des militants de l’État islamique (EI) alors que les troupes occidentales se dépêchent d’évacuer autant de personnes que possible avant la date limite du 31 août.

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Afghanistan : menace terroriste « imminente » contre l’aéroport de Kaboul, avertit un ministre britannique

Des personnes s’apprêtant à embarquer dans un avion pour fuir l’Afghanistan US AIR FORCE / AFP – DONALD R. ALLEN


Un ministre britannique a indiqué ce matin du jeudi 26 août qu’une menace terroriste « très sérieuse » et « imminente » pesait sur l’aéroport de Kaboul.

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Les évacuations françaises d’Afghanistan prendront fin vendredi soir, annonce Jean Castex


Une image transmise à l’agence Associated press par l’armée française montre un avion de retour de Kaboul avec, à son bord, des réfugiés afghans à l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle, mercredi 25 août 2021. ERIC CADIOU / AP


Les dernières heures de la présence française dans le pays serviront au départ des militaires et des services de l’ambassade. Environ 2 500 personnes ont été évacuées depuis la prise de pouvoir des talibans, selon le premier ministre.

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Afghanistan

Ce que la crise révèle de Biden et de l’Europe


Pour avoir arrêté le calendrier de la retraite des troupes américaines dans le pays sans prévoir la rapidité du retour des talibans, le président des Etats-Unis affronte la première grave crise politique de son mandat.


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Le Royaume-Uni prévoit des centres d’asile offshore dans d’autres pays pour les Afghans


lesactualites.news


Le secrétaire à la Défense a déclaré que des centres de traitement seraient utilisés pour ceux que la Grande-Bretagne a «l’obligation de» protéger.

La Grande-Bretagne envisage d’établir des centres d’asile offshore pour les réfugiés afghans dans des pays comme le Pakistan et la Turquie, car les ministres admettent que le Royaume-Uni ne sera pas en mesure de sauver les personnes éligibles à la réinstallation avant que les troupes ne quittent Kaboul.

Le secrétaire à la Défense, Ben Wallace, a déclaré dimanche dans un article de journal que le Royaume-Uni prévoyait d’établir une série de centres de traitement dans la région en dehors de l’ Afghanistan , pour les Afghans, il avait « l’obligation de ».

Au moins 1 429 Afghans ont été évacués de Kaboul depuis vendredi dernier, dans le cadre du programme de réinstallation Arap conçu pour aider les interprètes et autres personnes qui ont aidé les Britanniques au cours de leurs 20 années en Afghanistan.

Mais on estime qu’un nombre similaire – ou plus – reste dans le pays. Le pont aérien d’urgence se poursuivait dimanche, avec des vols de la RAF fonctionnant malgré un écrasement aux portes de l’aéroport alors que des Afghans désespérés tentaient de fuir.

L’OTAN pense que 20 personnes sont mortes autour de l’aéroport la semaine dernière, mais le ministre britannique des Forces armées, James Heappey, a déclaré que le flux à l’extérieur de l’aéroport s’était amélioré parce que les talibans « regroupaient les gens dans des files d’attente séparées pour l’évacuation américaine et britannique ». .

Au total, 1 721 personnes – Britanniques, Afghans et personnes de pays alliés – ont été évacuées de Kaboul sur huit vols au cours des dernières 24 heures, a déclaré Heappey, la RAF recevant l’aide de son homologue australien pour mettre les gens en sécurité.

Mais les responsables britanniques reconnaissent déjà qu’il est pratiquement impossible d’évacuer les personnes venant de l’extérieur de Kaboul, bien que des Afghans avec une réclamation aient dit aux travailleurs caritatifs qu’ils risqueraient de traverser le pays s’ils savaient qu’ils avaient un vol.

La nouvelle proposition est née de l’urgence, a déclaré Wallace dans un article du Mail on Sunday. « Le programme [Arap] n’est pas limité dans le temps. Nous respecterons nos obligations et étudions maintenant comment traiter les personnes en provenance de pays tiers et de camps de réfugiés », a-t-il écrit.

Ahmad Massoud

Cependant, il y avait des signes que le plan d’asile n’avait pas été très développé dimanche soir, lorsque la Turquie a déclaré qu’elle n’avait pas été approchée et rejetterait toute approche qui serait faite.

Les noms des pays avaient été communiqués par des responsables britanniques à titre d’exemples d’endroits où des centres de traitement pourraient être établis.

Un plan visant à établir un centre d’immigration offshore a été inclus dans le projet de loi sur la nationalité et les frontières du ministère de l’Intérieur, publié au début de l’été, avant que le gouvernement afghan soutenu par l’Occident ne s’effondre.

C’était controversé car l’intention était de permettre au Royaume-Uni d’envoyer des personnes dans un pays tiers pour permettre le traitement de leurs demandes. Les autorités avaient entamé des pourparlers avec le Danemark sur la création d’un centre de traitement en Afrique – mais la manière dont il sera relié aux centres d’urgence n’est pas claire.

La Grande-Bretagne a également accepté d’accueillir 20 000 réfugiés afghans dans le cadre d’un programme distinct annoncé mardi, dont 5 000 au cours de la première année. La priorité sera accordée aux groupes les plus exposés aux violations des droits humains, tels que les femmes, les filles et les membres des minorités religieuses.

Les ministres débattent également de la manière de répondre aux talibans, avec le ministre de l’Intérieur, Priti Patel, censé explorer avec les responsables de la sécurité s’ils devraient être interdits en tant qu’organisation terroriste aux côtés d’Isis.

Mais le Premier ministre Boris Johnson et d’autres ministères ont envisagé la possibilité de reconnaître le gouvernement taliban à Kaboul, arguant que le régime devrait être jugé sur « des actes et non des paroles ».

Dan Sabbagh Dim 22 août 2021 23.10 BST The Guardian

Traduction automatique