Féminicides


Droits des femmes: «On sera là avec elles, main dans la main afin qu’elles ne soient plus jamais seules»

POURQUOI LE FÉMINICIDE NE FIGURE PAS DANS LE CODE PÉNAL

Si le terme a su se faire une place dans le débat public depuis près de cinq ans, nombreux sont les juristes qui s’opposent à son inscription dans le droit français.

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Violences faites aux femmes

Dupond-Moretti se réjouit d’une baisse de 20 % des féminicides conjugaux en 2023, les associations contestent son chiffrage


Ce recensement, habituellement publié par les services statistiques du ministère de l’Intérieur entre fin août et début septembre, et sa publication hâtive sont contestés par certains décomptes associatifs établissant un recensement plus élevé.

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Un texte de loi « Stop Féminicide » adopté en Belgique

Le 29 juin 2023, le Parlement belge a adopté un texte de loi baptisé « Stop Féminicide ».

C’est une première en Europe.

Secrétaire d’Etat à l’Egalité des genres en Belgique pendant trois ans, Sarah Schlitz a impulsé la création d’une loi sur les féminicides. Les Belges, qui ont officiellement compté 24 féminicides en 2022 (la France en compte, elle, 147), ont donc désormais une loi spécifique à ce sujet. Elle s’appliquera d’ici les prochaines semaines.

Cette loi est le fruit d’un travail commun avec les associations de terrain. Cette donnée est fondamentale pour moi, parce que c’est typiquement un projet qui permet de remettre la société civile au cœur du politique et, à tout le monde, de se sentir concerné.


L’OBS, publié le 14 juillet 2023

50ème féminicide conjugal en 2023

Le collectif Féminicides

Suggestions de lecture


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Les auteurs de féminicides sont aussi en col blanc


L’assassinat d’une universitaire en plein Paris et l’arrestation de son ex-mari, chef d’entreprise et normalien, rappellent que les violences masculines touchent toutes les catégories sociales. Même si elles ne s’exercent pas partout de la même façon.

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Féminicides politiques : tuées parce que femmes et militantes


Il s’agit de la première enquête internationale sur les féminicides politiques. Le collectif de journalistes d’investigation « Femmes à abattre » met au jour les mécanismes d’effacement, d’élimination, de femmes qui ont osé s’engager pour défendre leurs droits, leur communauté, l’environnement, les minorités ou tout à la fois : 300 partout dans le monde. L’assassinat de la militante brésilienne Marielle Franco, il y a tout juste 5 ans, est un cas d’école.

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Laurène Daycard : une journaliste face aux féminicides



Avec « Nos absentes » (Seuil), la journaliste Laurène Daycard nous livre le fruit de plusieurs d’années d’enquêtes sur les féminicides. Elle est notre invitée.

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A Blois, la « police des polices » saisie après la violente agression d’une femme par son ancien compagnon

Deux infirmières transportent un patient, hôpital Bretonneau de Tours, en avril 2021. GUILLAUME SOUVANT / AFP


La victime, âgée de 24 ans, s’était présentée quelques heures plus tôt au commissariat de la ville du Loir-et-Cher, mais il lui avait été demandé de revenir le lendemain.

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Le nombre de victimes de violences conjugales recensées par la police et la gendarmerie en hausse de 21 % en 2021

Des personnes se rassemblent sur la place du Trocadéro, devant la tour Eiffel, à Paris, lors d’une manifestation à l’appel de l’organisation féministe #NousToutes pour dénoncer le 100ᵉ féminicide de l’année, le 1er septembre 2019. ZAKARIA ABDELKAFI / AFP


L’étude annuelle du ministère de l’intérieur fait état d’un doublement des faits enregistrés par les forces de sécurité depuis 2016.

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Violences faites aux femmes : les victimes plus touchées dans les campagnes


La moitié des féminicides a lieu en milieu rural, où l’on ne compte pourtant que 30 % de la population. Dans le Tarn, une association se mobilise pour briser la loi du silence.

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Journée contre les violences faites aux femmes à Troyes

Sur le parvis de l’hôtel de ville. Photo HB

Les associations organisatrices ont fait preuve d’un sens de l’organisation sans faille au rassemblement d’environ 200 personnes aujourd’hui à Troyes.

Le LDH était également présente à la projection du documentaire « Riposte Féminine » au cinéma CGR ce jeudi 17 novembre.

La mobilisation eût mérité pour l’une comme pour l’autre une présence plus massive car nous sommes réellement tou(te)s concerné(e)s, par ce fléau des violences faites aux femmes.

En 2021, 32 des 122 femmes tuées avaient déjà été victimes de violences alors que 74 % d’entre elles l’avaient signalé auparavant aux forces de l’ordre, toujours selon les données publiées par la place Beauvau. (Source)

En 2022 (à ce jour et a minima), on dénombre 100 féminicides par (ex)compagnons (+15 tiers dont 9 enfants), dont 84 femmes tuées à leur domicile…(Source)


RD

Rappel rassemblement samedi 14h30

Peut être une image de une personne ou plus et texte

Le féminicide bientôt reconnu par une loi en Belgique


Le gouvernement fédéral a adopté vendredi un projet de loi cadre visant à doter la Belgique d’un ensemble d’instruments de protection des victimes de féminicides et de mesure de ces crimes, a annoncé samedi la secrétaire d’État à l’Égalité des genres, Sarah Schlitz.

La future législation définit la notion de féminicide officiellement, permet de collecter des données statistiques, améliore les droits et la protection des victimes et prévoit de former la police et les magistrats, selon un communiqué de la mandataire Ecolo.

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Sohane, morte brûlée vive dans une banlieue parisienne, il y a vingt ans

Une stèle érigée dans la cité Balzac à Vitry-sur-Seine, rend hommage à Sohane Benziane, brûlée vive le 4 octobre 2002.  ©DR


Sohane Benziane est morte brûlée vive dans un local à poubelle d’une cité, à Vitry-sur-Seine, le 4 octobre 2002. Elle avait 17 ans. Ce premier crime sexiste reconnu par la justice mettait en lumière la condition des filles des quartiers populaires, en proie au machisme, au sexisme et à la violence. Vingt ans plus tard, le combat contre les féminicides continue.  

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D’ici et d’ailleurs


Coupe du Monde de la FIFA : Tous les sponsors devraient soutenir les réparations pour les travailleurs migrants


Moussa Gakou, gréviste de GRDF perquisitionné pour avoir coupé le gaz


Une personne meurt de faim dans le monde toutes les quatre secondes, alertent plus de 200 ONG


En Iran, la répression des manifestations en faveur de Mahsa Amini inquiète la communauté internationale


Guerre en Ukraine : « Ce jour-là, j’ai voulu me suicider », enfin libérées, ces Ukrainiennes racontent les sévices subis sous l’occupation russe


Répression de l’opposition au Venezuela: des experts de l’ONU dénonce des crimes contre l’humanité


Équateur: assassinat d’un procureur en charge de féminicides


AFGHANISTAN : LES TALIBANS TORTURENT ET EXÉCUTENT DES HAZARAS

Lectures de rentrée


Féminicides
Une histoire mondiale

Christelle Taraud

Sortie prochaine


« Lancer l’alerte. Guide à usage du lanceur d’alerte et de ses soutiens. »

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A L’OMBRE DE LA CITÉ RIMBAUD

HALIMATA FOFANA



De la tyrannie

Vingt leçons du XXe siècle

Petit précis à usage quotidien pour lutter contre les extrémismes.

NORA KRUG,  TIMOTHY SNYDER


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« Faire face », un livre de photographie sur les violences conjugales


Comment parler des violences conjugales, comment mettre des vies sur les chiffres ? En France, une femme est assassinée tous les trois jours par son compagnon ou son ex-compagnon. Camille Gharbi, photographe, a décidé de montrer cette réalité en images dans son livre Faire face

Féminicides et violences faites aux femmes à l’affiche du Festival de Cannes

Les colleuses déroulent une banderole avec la liste des noms des « 129 victimes de féminicides depuis le dernier festival de Cannes » lors de la première du film Les nuits de Mashhad d’Ali Abbasi lors du 75e festival international du film, le dimanche 22 mai 2022.
©AP Photo/Petros Giannakouris


C’est une image sans précédent dans l’histoire du Festival de Cannes : les noms des victimes de féminicides défilant sur les marches du Palais. Une action choc signée du collectif féministe des « colleuses », qui depuis plusieurs années recouvrent de leurs slogans les murs des villes de France. Une action qui place au cœur du festival le thème des violences faites aux femmes. 

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