Violentes émeutes anti-migrants à Dublin suite à des rumeurs infondées sur l’origine de l’auteur de l’attaque au couteau


De violents heurts imputés à l’extrême droite ont éclaté jeudi soir à Dublin après une attaque au couteau qui a fait plusieurs blessés, dont trois enfants, dans la journée. Les émeutes se sont déroulées dans un quartier où vit une population immigrée, sur fond de rumeurs sur l’origine de l’assaillant.

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Affaire Hedi : le policier marseillais remis en liberté après 40 jours de détention



Placé en détention provisoire après les graves blessures du jeune Marseillais en marge des émeutes de juillet, ce qui avait suscité un mouvement de grogne dans la police, l’agent a été remis en liberté ce vendredi 1er septembre.

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ALERTE SUR L’USAGE DES ARMES À LÉTALITÉ RÉDUITE EN MANIFESTATION 



En France comme dans d’autres pays, les armes à létalité réduite utilisées par les forces de l’ordre en manifestation mutilent et tuent. Et parce qu’elles sont aujourd’hui utilisées de manière abusive, il est urgent d’encadrer et de réglementer leur production et leur commerce. C’est pourquoi nous lançons une campagne de sensibilisation à ce sujet. 

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Révoltes et réseaux sociaux : le retour du coupable idéal


Les mouvements de révoltes qu’ont connues de nombreuses villes de France en réaction à la mort de Nahel ont entraîné une réponse sécuritaire et autoritaire de l’État. Ces évènements ont également réactivé une vieille antienne : tout cela serait dû au numérique et aux réseaux sociaux.

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Émeutes : reflet de vies brutalisées

La brutalité reprochée aux populations insubordonnées, régulièrement discréditées par celles et ceux qui représentent nos institutions – qu’il s’agisse de la fin de non-recevoir opposée aux gilets jaunes, ou aux « émeutiers » de début juillet –, interroge la façon dont les accusations de violence peuvent apparaître à sens unique dans le discours public.

De quelle violence parle-t-on ? De celle commise à l’encontre de Nahel M., jusqu’au tir fatal, en tant que violence originelle, ou de la violence des émeutiers, qualifiée d’inacceptable et d’injustifiable ?

Interroger la colère et ses manifestations pourrait amener à les voir autrement : sous l’angle de vies « brutalisées », de « violences-reflets » dont nous ne percevons que trop souvent les effets sans identifier leurs causes.

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RÉVOLTES URBAINES : LA PROTECTION DES ENFANTS EST UNE RESPONSABILITÉ COLLECTIVE !

Communiqué du 12 juillet du COLLECTIF JUSTICE DES ENFANTS dont la LDH est membre

Face à la révolte des jeunes le pouvoir politique et la justice, en apportant une réponse exclusivement répressive, s’exposent au risque de creuser la fracture du pacte social fondée sur l’égalité républicaine. Loin de se questionner sur le message de la jeunesse le garde des Sceaux a appelé à une répression ferme des enfants et à la responsabilisation de leurs parents.

Or depuis des mois, voire des années, tous les acteurs et actrices de la prévention et de la protection de l’enfance alertent sur les dysfonctionnements majeurs des services publics de la jeunesse.

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