Des soldats israéliens se sentant « menacés » ont tiré à balles réelles sur des Palestiniens lors de cette distribution d’aide humanitaire ayant tourné au chaos dans le nord de la bande de Gaza, ont affirmé des sources israéliennes.
Jeunesse
La protection de l’enfance dans l’escarcelle de Catherine Vautrin
« La ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités compte dans ses attributions la politique de la protection de l’enfance. Le cordon qui rattache le secrétariat d’État chargé de l’Enfance directement au Premier ministre est-il rompu ? Réponse le 30 janvier.
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RÉVOLTES URBAINES : LA PROTECTION DES ENFANTS EST UNE RESPONSABILITÉ COLLECTIVE !
Communiqué du 12 juillet du COLLECTIF JUSTICE DES ENFANTS dont la LDH est membre
Face à la révolte des jeunes le pouvoir politique et la justice, en apportant une réponse exclusivement répressive, s’exposent au risque de creuser la fracture du pacte social fondée sur l’égalité républicaine. Loin de se questionner sur le message de la jeunesse le garde des Sceaux a appelé à une répression ferme des enfants et à la responsabilisation de leurs parents.
Or depuis des mois, voire des années, tous les acteurs et actrices de la prévention et de la protection de l’enfance alertent sur les dysfonctionnements majeurs des services publics de la jeunesse.
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Pratiques policières
Emeutes suite à la mort de Nahel : les observateurs des Pratiques Policières pris à partie par les forces de l’ordre à Toulouse
«Choc», «moment George Floyd» et récupération: les émeutes en France vues de l’étranger
« Violences policières »
L’usage fait par la LDH de l’expression « violences policières » lui est reproché par des citoyens attentifs au respect de l’institution et du droit républicains. L’un d’entre eux nous interpelle en citant le Conseil de l’Europe qui parle d’ « usage excessif de la force », et non pas de « violences policières », expression au fond absurde en République.[…] la police, en tant qu’institution républicaine, ne peut pas être dite violente, c’est-à-dire injuste, contraire au droit institué républicain.
Nous faisons pour notre part référence au Conseil des droits de l’homme de l’ONU au sein duquel plusieurs pays ont notamment pointé le recours à la force jugé excessif ces derniers mois envers les manifestants opposés à la réforme des retraites et clairement évoqué récemment discriminations raciales et violences policières.
Nous ajouterons que les inquiétudes dépassent largement le cadre de la LDH puisque celles-ci sont également signalées par la Fédération Internationale des Droits Humains (FIDH) comme on peut le lire ICI.
Le débat mérite d’être poursuivi. Pour l’alimenter, on pourra relire, entre autres, Violences policières, généalogie d’une violence d’état de Michel Kokoreff ainsi que Violences policières. Le devoir de réagir de William Bourdon et Vincent Brengarth.
Nouveau rassemblement contre les violences policières à Troyes
Émeutes à Troyes : les premières condamnations pénales sont tombées
On peut par ailleurs se demander si le moment est bien choisi par la Ville de Troyes pour couper les vivres à l’Association Jeunesse pour Demain en se défaussant sur le département pour le financement des postes d’éducateurs de prévention auprès des jeunes des quartiers (voir ICI). Le choix de remplacer la proximité humaine par des caméras et des vigiles ne semble pas, à la lumière des événements qui ont marqué les dernières nuits troyennes, la meilleure solution…
Communiqué du maire de Trappes
Le SNU tourne mal : ils sont restés debout en plein soleil par 30 degrés pendant une heure… 13 adolescents victimes de malaises
Les jeunes souffraient notamment de déshydratation, au terme de six jours passés à parcourir la France.
Ce dimanche 18 juin, 13 adolescents participant au Service national universel (SNU) ont été victimes de malaises. Et pour cause, les jeunes sont restés debout en plein soleil par 30 degrés pendant une heure, rapporte La Nouvelle République.
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D’ici et d’ailleurs
La jeunesse au travail : en finir avec les préjugés
Le féminisme est-il soluble dans le néolibéralisme ?
Les questions pour comprendre la réforme des retraites : petites pensions, carrières longues et impact pour les femmes
Négociations annuelles entre fournisseurs et distributeurs : le ticket de caisse va s’alourdir
Éthiopie: révélations sur des massacres effroyables perpétrés par l’armée érythréenne
Irak : la crise oblige les enfants à travailler
Ukraine, une jeunesse dans la guerre : « Si les missiles russes ne nous tuent pas, nous allons vivre, nous allons aimer »
Depuis un an et l’assaut lancé par Vladimir Poutine, les Ukrainiens sont en guerre. Comment vit la jeunesse de Kiev, restée en Ukraine, avec ses peurs, ses peines, mais aussi ses joies, ses rêves et ses histoires d’amour ? Voici Viktoria, Svitaslas, Vika, Christina, Liana, Kirillo, Olena, Pavlov, Stecha, Anissya… Un récit de Franck Ballanger et Thomas Sellin, à lire et à écouter, avec un podcast en cinq épisodes.
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À la Une: Ukraine, l’an 01
365 jours de guerre en Ukraine : plongée dans les sociétés russes et ukrainiennes
Sur TikTok, des jeunes Français de plus en plus défiants face à la science
Un nouveau sondage Ifop paru ce 12 janvier qui a été mené auprès d’un échantillon représentatif de 11-24 ans a mis en évidence un phénomène inquiétant sur les réseaux sociaux. Celui de la défiance grandissante des jeunes internautes français à l’égard de la science.
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Réforme des retraites
La mésinformation scientifique des jeunes à l’heure des réseaux sociaux
À l’heure où TikTok s’impose comme le réseau social préféré des jeunes français, que sait-on de l’impact de cette plateforme sur ses utilisateurs, qui sont de plus en plus nombreux à l’utiliser pour se divertir, mais aussi pour s’informer ?
Les jeunes affichent une posture nettement plus critique que dans le passé à l’égard de la science.
Ils adhèrent de plus en plus à des « vérités alternatives », par exemple platisme et créationnisme sont actuellement des thèses dont l’écho est loin d’être marginal dans la jeunesse française…
Et dans un contexte post-Covid, les fake news médicales nocives trouvent aussi un public chez eux.
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« Ces jeunes n’ont rien » : à Mayotte, la situation des mineurs violents est devenue explosive
Le département le plus pauvre de France est frappé ces dernières années par une délinquance endémique de bandes rivales constituées de jeunes précaires, dont les conditions de vie sont décrites comme « effroyables ».
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Royaume-Uni : les jeunes Britanniques ne sont pas fanatiques de la monarchie
Communiqués de la LDH
En Tunisie, une jeunesse contrainte à l’exil pour fuir la misère
En Tunisie, la question de l’immigration est toujours très présente à la faveur d’une crise économique et politique qui s’éternise. En juillet, environ 4 000 personnes ont rejoint l’Italie depuis la Tunisie. Près de 60% sont des Tunisiens, dont 20% de mineurs.
Dans le quartier de Bab Souika, à Tunis, il n’y a pas besoin de chercher longtemps pour trouver des jeunes qui pensent à quitter le pays. Maher, 25 ans, habite ces faubourgs de la Medina et n’a que cette idée en tête : « Évidemment, j’aimerais bien immigrer pour améliorer ma situation, comme tout le monde ici. Les gens veulent partir, de n’importe quelle manière, même clandestinement. »
Maher n’a pas peur de prendre la mer, malgré les dangers. « C’est quoi le problème ? Si je meurs dans la mer, ça ne me dérange pas. De toute façon, c’est comme vivre ici. Ça ne ferait pas de différence. Si Dieu le décide ainsi, je mourrai. »
Un avenir pour sa fille
Ils sont très nombreux dans ce cas. Le phénomène s’amplifie selon les organisations locales des droits des migrants. La crise économique accentuée par la pandémie de Covid-19 n’a pas fait baisser les velléités de départ. « Les jeunes de mon quartier sont tous partis. Il y a ceux qui sont arrivés et d’autres qui sont morts », explique encore Maher.
Le jeune homme est grand, le teint sombre, des tatouages sur les jambes. Il n’a pas de diplôme et ne trouve pas de travail. Divorcé faute de pouvoir alimenter son foyer, il souhaite une vie meilleure pour sa fille.
« Moi-même si j’avais un garçon, je l’enverrais à l’étranger parce qu’ici c’est comme être en prison. Ma fille, si je vois qu’il n’y a pas d’avenir pour elle, je la ferai partir clandestinement. Et s’il le faut, je l’accompagnerai dans le bateau. »
En juillet, ce sont près de 4 000 migrants partis de Tunisie qui sont arrivés sur les côtes italiennes.
Infomigrants
ENTRETIEN. Elle a enquêté sur les jeunes filles en milieu rural populaire
La sociologue Yaëlle Amsellem-Mainguy est allée rencontrer des jeunes filles de milieu populaire vivant en milieu rural. Elle met en lumière les ressources déployées par cette jeunesse.
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Débat en ligne
Jeunesse et extrême droite. Cinquante nuances de brun ?
Jeudi 25 mars à 18 h 00, par le Musée national de l’histoire de l’immigration
Intervenants :
- Jean-Yves Camus, politologue spécialiste de l’extrême droite, auteur avec Nicolas Lebourg de Les droites extrêmes en Europe (Seuil, 2015).
- Paul Conge, journaliste, auteur de Les Grands remplacés. Enquête sur une fracture française (Arkhé éd., 2020).
- Fiona Lazaar, Députée du Val-d’Oise, engagée dans les travaux de la mission d’information parlementaire sur l’émergence et l’évolution des différentes formes de racisme.
Une rencontre animée par Nora Hamadi, journaliste, Arte.