C’est une première : trois hauts responsables du régime syrien de Bachar el-Assad seront jugés en France, a-t-on appris ce mardi 4 avril. Ils comparaîtront devant une cour d’assises pour complicité de crimes contre l’humanité et délits de guerre, ainsi que l’ont décidé deux juges d’instruction françaises. Ils seront jugés pour la mort de deux Franco-Syriens.
Crimes de guerre
MYANMAR : LES LIVRAISONS DE CARBURANT D’AVIATION SE POURSUIVENT, MALGRÉ LES CRIMES DE GUERRE COMMIS PAR L’ARMÉE
Les livraisons de carburant d’aviation au Myanmar se poursuivent malgré les crimes de guerre perpétrés par l’armée. Avec Global Witness, nous avons identifié de nouvelles entreprises impliquées dans la chaîne d’approvisionnement.
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UN AN APRÈS LE DÉBUT DE LA GUERRE EN UKRAINE, COMMENT JUGER LES RESPONSABLES DES CRIMES DE GUERRE ?
C’était il y a un an, le 24 février 2022. Les forces militaires russes lançaient une invasion à grande échelle en Ukraine. Un crime d’agression, immédiatement dénoncé par Amnesty International. Depuis, des milliers de crimes de guerre et d’autres violations du droit international humanitaire ont été commis. Retour sur la première année d’un conflit dont l’issue reste incertaine, mais qui pose déjà la question de la justice. Qui jugera ces innombrables crimes ?
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Ukraine : Nouvel éclairage sur l’attaque russe contre la gare de Kramatorsk
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Hébergement, nourriture, asile : en Ile-de-France, les primo-arrivants en manque d’informations
Ukraine : Les forces russes ont pillé les institutions culturelles de Kherson
Au Laos, le difficile accès à la contraception
Les migrants constituent la troisième économie mondiale
Royaume-Uni : Londres va pouvoir expulser des migrants au Rwanda
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Narbonne : Orano embourbé
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Le Crédit impôt recherche doit être réformé d’urgence !
Réfugiés ukrainiens: la Pologne va faire payer les centres d’hébergement
Ukraine : Les forces russes ont apparemment utilisé des armes à sous-munitions contre Kherson
Ukraine: l’Union européenne propose de créer un tribunal spécial pour juger «les crimes russes»
L’Union européenne va travailler à la mise en place d’un tribunal spécial pour juger «les crimes de la Russie» en Ukraine, a annoncé, mercredi 30 novembre, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, répondant à une demande de Kiev. «Nous travaillerons avec la Cour pénale internationale (CPI) et aiderons à mettre en place un tribunal spécial pour juger les crimes de la Russie», a-t-elle déclaré sur Twitter. «Avec nos partenaires, nous veillerons à ce que la Russie paie pour les ravages qu’elle a causés, en utilisant les fonds gelés des oligarques et les actifs de sa banque centrale», a-t-elle aussi affirmé, rapporte l’AFP.
L’Ukraine salue l’appel de l’UE à créer un tribunal spécial pour juger «les crimes russes»
La présidence ukrainienne a salué mercredi la proposition de l’Union européenne de travailler à la création d’un tribunal spécial pour juger les «crimes de la Russie» en Ukraine. «C’est exactement ce que nous proposions depuis longtemps», s’est félicité sur Telegram le chef de cabinet de la présidence ukrainienne, Andriï Iermak, après l’annonce de la Commission européenne de vouloir œuvrer à la création d’un tel tribunal et à la mise en place de mécanismes pour utiliser les avoirs russes gelés dans la reconstruction de l’Ukraine.
ÉTHIOPIE : CONFLITS MEURTRIERS LOIN DES REGARDS
En deux ans, le conflit au Tigré, dans le nord de l’Éthiopie, est devenu l’un des plus violents et meurtriers de la planète.
Des centaines de victimes de viols et d’esclavages sexuels, un nettoyage ethnique, des dizaines de milliers de civils tués., des crimes de guerre…
Quand on pense à la guerre aujourd’hui, on pense à l’Ukraine ou au Yémen. Mais depuis deux ans, le conflit au Tigré se déroule à huis clos. Des massacres se passent à l’abri des regards. Pourquoi ? Parce que le gouvernement empêche tout accès à la zone de conflit, le Tigré, une région montagneuse située au nord de l’Éthiopie. Journalistes, humanitaires, chercheurs : aucun observateur n’est autorisé à y entrer.
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Protéger les civils menacés par les armes explosives
D’ici et d’ailleurs, le pire et le meilleur
« Démago, partisane, menée à deux contre un » : la CGT France Télévisions critique l’interview d’un syndicaliste par Franceinfo
Soudan : un an après le coup d’État, les espoirs brisés des femmes, « premières victimes du retour en arrière »
ISRAËL : À QUAND UNE ENQUÊTE SUR LES CRIMES DE GUERRE COMMIS EN AOÛT À GAZA ?
Avec le food truck des hôtels sociaux de la banlieue sud
Un service de bagagerie et laverie gratuit pour les sans-abri
De la rue à une prestigieuse école d’ingénieurs : l’extraordinaire parcours d’un jeune migrant congolais reçu au bac avec mention « Très bien »
Le viol, arme de guerre en Ukraine comme ailleurs
Les Nations unies ont vérifié plus d’une centaine de cas de viols et agressions sexuelles depuis le début de la guerre en Ukraine. Un chiffre dérisoire, bien en dessous de la réalité. « Les cas signalés ne sont que le sommet de l’iceberg », prévient Pramila Patten, la représentante spéciale de l’ONU chargée de la question des violences sexuelles commises en période de conflit. Le président ukrainien dénonce lui des viols systématiques perpétrés par les forces russes.
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Ukraine: la sale guerre
D’ici et d’ailleurs
La Guinée équatoriale abolit la peine de mort
Birmanie : l’armée bombarde une école
Un décret-loi sans précédent criminalisant les « rumeurs et fausses nouvelles » menace l’exercice du journalisme en Tunisie
Turquie : Le recyclage du plastique nuit à la santé et à l’environnement
Après la mort de Mahsa Amini en Iran, « ce sont des femmes qui sont sur le devant des manifestations, c’est inédit »
Sali Hafez, la Libanaise qui a braqué sa banque pour soigner sa sœur
De là et d’ailleurs
Afghanistan : des journalistes afghans forcé à l’exil et à la crainte
Brésil: le bicentenaire de l’indépendance, nouveau prétexte pour agresser les médias et les journalistes
Ukraine: « Ils ne sont pas décédés de mort naturelle, il y a beaucoup d’enfants » : à Izioum, 445 croix et autant de corps à exhumer
« Il savait à peine tenir une arme automatique », témoigne la veuve d’un soldat russe tombé en Ukraine à 22 ans
Le gouvernement japonais condamné pour la mort d’un Camerounais dans un centre de rétention
Violences en Haïti et vastes pillages, dont celui d’un entrepôt de l’ONU
GUERRE EN UKRAINE
SIX MOIS APRÈS L’INVASION RUSSE, LES AUTEURS DES CRIMES DOIVENT ÊTRE POURSUIVIS
L’invasion de l’Ukraine par la Russie, le 24 février 2022, est un crime d’agression au regard du droit international, qui s’est poursuivi par des violations massives des droits humains et l’exode de millions de personnes en Ukraine ou dans d’autres pays en Europe. Nous enquêtons depuis les premiers jours de la guerre sur l’ensemble des violations du droit international et mettons ainsi en évidence des crimes de guerre commis par les forces russes. Six mois après le début du conflit nous réitérons notre appel à ce que tous les responsables de crimes de guerre rendent des comptes devant la justice.
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Armes à sous-munitions : Les attaques russes font de plus en plus de victimes civiles
Le rapport « Cluster Munition Monitor 2022 » documente de nouvelles utilisations et productions de ces armes interdites.
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Guerre en Ukraine : 6 mois
Guerre en Ukraine : six mois de conflit émaillés de crimes de guerre
Dans les zones ukrainiennes occupées, “les Russes nous laissde,ent le choix : la collaboration, la prison ou la mort”
Guerre en Ukraine : la difficile reconstruction psychologique des réfugiés arrivés en France, « tous traumatisés »
TotalEnergies en Russie : il faut cesser de fermer les yeux
D’ici et d’ailleurs
« Les pâtes ont augmenté de 15 % cette année » : un coût de la vie toujours plus haut pour les étudiants, alerte l’UNEF
Ukraine : Attaques russes illégales à Kharkiv
Guerre en Ukraine : les Russes « ne veulent pas qu’ils en sortent vivants », le père d’un soldat réfractaire raconte l’enfer des prisons russes
« Poutine fou » : la géopolitique sur le divan
Belgique : festival néonazi à Ypres à la fin de ce mois : des services de renseignement européens s’alarment. La ville annule finalement le festival
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Des fusils d’assaut dans les écoles ? Ce dernier sanctuaire sans arme qui vacille aux Etats-Unis
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Un an après la chute de Kaboul, l’Afghanistan a perdu plus de la moitié de ses journalistes
Cameroun : Meurtres et disparitions imputables à l’armée dans la région du Nord-Ouest
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Ukraine : après l’attaque russe sur Vinnytsia, Moscou dit avoir frappé une réunion militaire
Tchad : l’enfance brisée des victimes de viols
Génocide des Tutsi au Rwanda : Laurent Bucyibaruta condamné à 20 ans de prison
Soutenir la quête de justice pour les crimes graves internationaux
Guerre en Ukraine, en direct : le Britannique Paul Urey meurt dans une prison du Donetsk ; Londres juge l’information « alarmante »
Hongrie : Bruxelles saisit la justice européenne contre une loi enfreignant les droits des LGBTQ et des atteintes aux médias
La Tunisie va-t-elle rebasculer dans la dictature ?
En Birmanie, le sinistre retour de la peine de mort pour mater la contestation
Centre commercial de Krementchouk, en Ukraine : un « crime de guerre » pour le G7, alors que dix-huit personnes sont mortes dans une frappe russe
Selon le président ukrainien, un millier de personnes se trouvaient à l’intérieur du bâtiment, mais « de nombreuses personnes ont réussi à sortir ». Le G7 évoque un acte « abominable » ; Emmanuel Macron dénonce une « horreur absolue ».
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Guerre en Ukraine
Amnesty international accuse la Russie de faire usage de bombes à sous-munitions
Selon un rapport de l’ONG publié ce dimanche, l’armée russe fait un large usage de ces armements, notamment à Kharkiv, la deuxième ville du pays, au mois de mars. Des bombes pourtant interdites par la Convention d’Oslo.
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SOUS LES BOMBES À KHARKIV
« Tout le monde peut mourir à tout moment. » C’est le nom de notre dernière enquête sur les bombardements aveugles de la Russie sur la ville de Kharkiv en Ukraine. L’utilisation d’armes à sous-munitions, imprécises par nature, a fait des centaines de victimes. Les aires de jeu et les centres d’aide humanitaire ne sont pas épargnés par ces attaques aveugles.
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Russie : Disparition forcée d’une enseignante ukrainienne
Les autorités devraient d’urgence confirmer le lieu où elle se trouve et mettre fin aux détentions arbitraires.