Les soutiens de Marine Le Pen

Jordan Bardella: est accusé d’avoir occupé un emploi fictif d’assistant parlementaire européen. Il a maladroitement tenté d’en masquer les preuves.

Vladimir Poutine : est sous le coup d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale.

Viktor Orban : a accordé sa grâce dans une affaire de pédocriminalité. En outre, il prononce le retrait de son pays de la CPI, à l’occasion de la visite de Benyamin Nétanyahou.

Eric Ciotti : a été visé par une enquête de détournement de fonds publics à l’occasion des législatives de 2024.

Eric Zemmour : dont on ne compte plus les condamnations pour injures racistes et contestations de crimes contre l’humanité vient d’écoper d’une amende de 10000 euros pour avoir soutenu que le maréchal Pétain avait sauvé des juifs français.

Matteo Salvini : a été accusé d’avoir refusé de laisser accoster des migrants en 2019, pour laquelle il encourait 6 ans de prison. Il a été relaxé par la justice italienne.

Jair Bolsonaro est inculpé dans l’affaire des « bijoux saoudiens » et risque jusqu’à trente-deux ans de prison. Par ailleurs, il sera jugé pour pour avoir tenté de se maintenir par un coup d’Etat à la tête du pays après sa défaite à l’élection présidentielle de 2022.

Donald Trump : par sa réélection, il échappe à ses condamnations pour les 34 chefs d’accusation prononcés contre lui en mai 2024 par un jury populaire.

Liste non exhaustive…

Les conservatismes réactionnaires s’assoient au nom du peuple sur les principes de l’Etat de droit



L’« internationale réactionnaire » contre les juges


Les critiques exprimées par de nombreux dirigeants populistes sur l’état de la démocratie française après la condamnation de Marine Le Pen, lundi 31 mars, révèlent combien le respect de l’Etat de droit et de la séparation des pouvoirs est au cœur de la fracture qui parcourt actuellement l’Occident.



Procès Le Pen, État de droit : le crash test


Les juges, dans la limite de leurs responsabilités et de leurs marges d’appréciation, disent le droit sans considération de principes subjectifs, moraux ou politiques.



Inéligibilité de Marine Le Pen : la démocratie a-t-elle été « exécutée » comme l’affirme Jordan Bardella ?


Marine Le Pen a été condamnée à une peine d’inéligibilité de cinq ans avec effet immédiat. Une décision critiquée par Jordan Bardella qui accuse la justice d’avoir « exécuté » la démocratie. En réalité, le prononcé de cette peine n’est que l’application conforme de la loi votée par les parlementaires.



Condamnation de Marine Le Pen : les juges rendent-ils des « décisions politiques » ?


La peine d’inéligibilité infligée à la députée du Rassemblement national ravive le spectre du « coup d’État des juges » et de la « condamnation politique ». Mais en France, les juges sont indépendants, nommés sous le contrôle de leurs pairs.

Le populisme anti-juges gagne du terrain



Le Nouvel Obs sort cette semaine un numéro consacré à la mise sous pression croissante des juges, assortie de menaces physiques, de contestations de décisions, de mises en cause répétées de leur légitimité par les politiques, en particulier ceux auxquels la Justice s’intéresse…

Il faut dire que les attaques se font de plus en plus pressantes et que la Justice, déjà en mauvais état en France (et pour cause, comme on pourra le voir plus bas), n’a pas besoin de cette charge massive des politiques, pas plus que de celle d’une certaine presse. On pourra « en juger«  à la lecture des articles (entretien et édito) accusateurs qu’il nous faut bien citer ici à contrecoeur (j’espère qu’on nous le pardonnera) autant que de ceux à décharge qui méritent beaucoup plus notre attention. (On nous pardonnera également de citer des articles incomplets, car réservés aux abonnés, mais dont les extraits nous semblent suffisamment significatifs pour figurer ici).



Jean-Marie Rouart: «Personne ne juge les juges, d’où leur sentiment de toute-puissance»


Dans son nouvel essai, l’académicien, qui a dénoncé une erreur judiciaire dans l’affaire Omar Raddad, explore les liens entre justice et littérature. Et s’inquiète de l’avènement d’une «République des juges».



FOG : « Quand la France a mal à sa justice »


Procès des assistants parlementaires du FN, procès Sarkozy : pas besoin d’être lepéniste ou sarkozyste pour constater les dérives d’une justice française surpolitisée.



Nourri par la détestation des élites et la démagogie de nos politiques, le populisme anti-juges gagne du terrain


Dans les pays illibéraux, mais aussi en France, la petite musique anti-juges devient de plus en plus assourdissante, alors que le combat pour une justice indépendante, garante de notre Etat de droit et de nos libertés, est bien l’affaire de tous. Cette semaine, « le Nouvel Obs » donne la parole aux acteurs de cette justice sous pression.



Menaces physiques, contestations de décisions, légitimité remise en question… Quand la justice est sous pression


Menaces physiques, contestations de décisions, mises en cause répétées de leur légitimité par les politiques… Alors que les magistrats sont de plus en plus la cible d’attaques dans les pays illibéraux, Etats-Unis en tête, un vent mauvais de populisme anti-juges souffle aussi en France. Enquête et éclairages sur un dangereux mouvement qui fragilise l’Etat de droit.



François Molins : « Les hommes politiques proclament leur attachement à la justice, sauf quand ça les touche de trop près »


Figure emblématique de la magistrature, l’ancien procureur de la République de Paris, à la retraite depuis deux ans, alerte sur la défiance et les menaces grandissantes qui visent la justice.



Elisabeth Guigou : « La thèse de l’existence d’une “République des juges” est fausse »


Le Nouvel Obs » a demandé à six anciens gardes des Sceaux leur opinion sur les pressions exercées sur les magistrats. La socialiste Elisabeth Guigou, en poste de 1997 à 2000, déplore des attaques récurrentes et un discrédit de l’institution judiciaire.



Servir ou démissionner : Les juges face à l’extrême-droite et au vertige du choix

Un article d’avril 2024 mais qui pourrait redevenir d’actualité…

A l’heure où l’extrême-droite s’annonce comme possible épilogue de ces législatives anticipées, Blast poursuit et conclut son tour d’horizon des trois administrations régaliennes. Après la police et l’armée (1), voici la justice, troisième pilier de l’État de droit. Si la France passe sous gouvernement RN, les juges en première ligne devront appliquer ses directives, règlements et ses lois. Une dizaine d’entre eux, exerçant sur tout le territoire national, se sont confiés à Blast : entre foi dans la solidité de l’État de droit et doutes sur la capacité (et le courage) de leur corporation à résister à des lois liberticides, les magistrats sont partagés.



Rapport CEPEJ : La France toujours en dessous de la moyenne européenne


La Commission européenne pour l’efficacité de la justice (CEPEJ) publie ce mercredi la dixième édition de son rapport biannuel sur l’efficacité et la qualité de la justice en Europe. La France est toujours en queue de peloton.



Nous terminerons sur une note plus positive, démontrant que la Justice française, malgré les attaques dont elle est l’objet et les moyens insuffisants dont elle dispose, fait néanmoins son travail.



Mort de Thomas à Crépol : Eric Zemmour condamné pour injure raciale


Lors d’un passage sur BFMTV en décembre 2023, le président de Reconquête avait tenu des propos polémiques au sujet du drame qui avait touché la commune de Crépol. Des propos qui avaient été signalés par des associations antiracistes et des élus LFI.

Le président du parti d’extrême-droite Reconquête Eric Zemmour a été condamné ce mercredi 26 mars à une peine de 9 000 euros d’amende, qui faute de versement peut donner lieu à son incarcération, pour injure raciale concernant des propos où il opposait « deux France » dans l’affaire de Crépol.



Procès des soupçons de financement libyen : le parquet requiert sept ans de prison contre Nicolas Sarkozy, ainsi que 300 000 euros d’amende et une peine d’inéligibilité


L’ex-président est jugé, aux côtés de onze coprévenus, dans l’affaire des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007.

Le Parquet national financier (PNF) a annoncé, jeudi 27 mars, les peines requises à l’encontre de Nicolas Sarkozy et de ses coprévenus, jugés par le tribunal correctionnel de Paris dans l’affaire des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007. Le ministère public a requis sept ans d’emprisonnement et 300 000 euros d’amende contre l’ancien président de la République, ainsi qu’une peine d’inéligibilité.



Procès de Gérard Depardieu : le parquet requiert 18 mois de prison avec sursis et 20 000 euros d’amende contre l’acteur


L’acteur est jugé pour des agressions sexuelles sur deux femmes lors du tournage du film « Les Volets verts », en 2021.

« Vous allez déclarer Gérard Depardieu coupable. » Le parquet de Paris a requis 18 mois de prison avec sursis contre l’acteur de 76 ans, jeudi 27 mars. Il est jugé depuis lundi devant le tribunal correctionnel de Paris pour des agressions sexuelles qu’une décoratrice et une assistante réalisatrice affirment avoir subies pendant le tournage du film Les Volets Verts, en 2021. Le ministère public a également requis 20 000 euros d’amende, une obligation de soins psychologiques, ainsi que l’inscription de Gérard Depardieu au fichier des auteurs d’infractions sexuelles.


RD


« Gens du Voyage » : la Commission européenne contre le racisme épingle la France



La Commission Européenne contre le Racisme et l’Intolérance (ECRI) épingle la France pour son non-respect de ses engagements en matière d’égalité, d’inclusion et de participation des Gens du voyage. Ce constat illustre une paralysie d’État, où l’inaction se conjugue à un débat politique étouffé par l’antitsiganisme et le populisme, empêchant toute avancée vers des réformes justes et nécessaires.



Les gens du voyage installés sur un parking de covoiturage obtiennent gain de cause


Le tribunal administratif de Grenoble a donné raison aux familles de gens du voyage qui s’étaient installées le 5 janvier 2025 sur un parking relais de Seynod, près d’Annecy. Les gens du voyage avaient été mis en demeure de quitter les lieux sous vingt-quatre heures, quatre jours après leur installation.



Que Trump va-t-il faire de sa victoire ?



Donald Trump emporte donc la présidentielle 2024. C’est une victoire du mythe fasciste de l’homme fort providentiel, des fakes news, du « c’était mieux avant », de la force sur le droit, à l’intérieur des États-Unis comme à l’extérieur. Tout un monde, qui se rapproche d’une jungle, et qui vient de recevoir un renfort de poids.



La victoire de Donald Trump ne fait la une que d’un seul journal américain


Malgré la confirmation de la victoire de Donald Trump, le prochain 47ème président ne fait la une que d’un seul journal américain.



Donald Trump de retour à la Maison Blanche, un cauchemar pour les humains et le climat


Les États-Unis ont à nouveau élu Donald Trump président. Un Donald Trump plus outrancier, méthodique et dangereux encore que celui de 2016. Un cauchemar pour les femmes, les minorités, la démocratie américaine, le peuple ukrainien… et pour la planète.



Les marchés ouvrent à la hausse


Les marchés financiers sont à la fête ce mercredi 6 novembre après que Donald Trump a réussi à décrocher, pour la deuxième fois, les clefs de la Maison Blanche. Et ce, même en Europe, pourtant menacée d’imposition de nouveaux droits de douane pour les produits européens vendus aux États-Unis. 

Premier indicateur : le dollar. Le billet vert est au plus haut depuis un an. Il progresse face aux devises de ses principaux partenaires commerciaux qui, elles, sont toutes en baisse. L’euro a, par exemple, perdu près de 2% face au dollar. Et ce mercredi, le dollar s’envole face à la majorité des autres devises. 



Le droit à l’avortement, un des thèmes clés de la campagne américaine, consolidé dans plusieurs États


Des référendums sur le droit à l’avortement étaient organisés mardi dans dix États en parallèle du scrutin présidentiel. La candidate démocrate Kamala Harris avait fait de ce sujet l’un des axes forts de sa campagne. Le droit à l’interruption volontaire de grossesse l’a emporté dans plusieurs États dont l’Arizona, mais pas en Floride, troisième État le plus peuplé du pays, où les restrictions imposées n’ont pu être levées. 



Avortement, cannabis, immigration… plus de 150 mesures soumises au vote


Les élections américaines ne servent pas uniquement à désigner le président des Etats-Unis. Questions référendaires, d’initiative populaire ou bien émanant de législatures locales… Les électeurs de 41 Etats étaient appelés ce mardi 5 novembre à se prononcer autour de 160 mesures électorales, sur des sujets allant du droit à l’avortement au salaire minimum en passant par la légalisation du cannabis ou les procédures d’accès au vote. Quelles sont celles qui ont reçu l’aval ou non des électeurs ? Libération passe en revue les différents référendums.



Crier en silence


Et le monde se réveille avec une sérieuse gueule de bois. Recroquevillés sous nos couvertures, les yeux cernés et bouffis, après une nuit à scroller une carte qui n’en finit plus de rougir, on se lève avec un goût âpre dans la bouche. Odeurs de cigarettes sur des dents qu’on ne lavera pas. Cheveux moites collés au visage et mal de crâne, une génération entière se retrouve anéantie, anesthésiée.



Trump consacré ou le religieux dévoyé


Donald Trump s’est imposé en réactivant à son profit une réalité mythique américaine : une nation-Église protégée par la Providence. Et désormais par un Président sacralisé. On n’est pas sorti du culte-de-basse-fosse.

La droite et l’extrême droite au service des plus gros pollueurs

https://www.alternatives-economiques.fr/anne-bringault/a-profite-greenbashing/00110966?utm_source=emailing&utm_medium=email&utm_content=29042024&utm_campaign=quotidienne

Alors que les impacts dramatiques du changement climatique n’ont jamais été aussi visibles avec des records de chaleur, des sécheresses sévères ou des inondations à répétition, les attaques contre la protection de l’environnement sont devenues de plus en plus violentes.

Les mesures environnementales seraient responsables de la détresse des agriculteurs, de la baisse du pouvoir d’achat ou encore attenteraient à nos libertés. Si l’extrême droite et une partie de la droite traditionnelle développent un discours populiste s’appuyant sur ce greenbashing, des membres du gouvernement ne sont pas en reste, évoquant des « écoterroristes » ou « une écologie de la brutalité ».

Avec une visée électoraliste de court terme, ces partis sont prêts à courir après les arguments de l’extrême droite et à jeter l’opprobre sur la protection du climat et de l’environnement.

Les seuls qui ont un intérêt à freiner la transition écologique, ce sont les acteurs économiques des activités polluantes ou émettrices d’aujourd’hui qui souhaitent retarder les transformations pourtant indispensables.

Les partis politiques qui instrumentalisent ces freins, loin de défendre l’intérêt général, voudraient simplement réduire les élections européennes à un duel entre l’extrême droite et les défenseurs d’une politique libérale, mettant volontairement de côté les enjeux environnementaux.

L’extrême droite alimente un greenbashing latent pour détourner l’attention des politiques environnementales et déplacer le débat sur son propre terrain : la sécurité, l’immigration.

Homophobie, xénophobie, populisme, démagogie, politique de la peur, complicité de crimes contre l’humanité… Il faut barrer la route aux extrêmes-droites


Homophobie : l’ex-footballeur Yoann Lemaire contraint d’interrompre une intervention dans un lycée après avoir reçu des insultes

Yoann Lemaire, président de l’association Foot Ensemble, intervient régulièrement dans des établissement scolaires sur la question de l’homophobie. Pour la première fois, il a décidé d’arrêter sa prise de parole, mi-avril, dans un lycée de l’Aube, après avoir entendu des insultes « terribles et inacceptables ».




Pourquoi les habitants de ce quartier de Strasbourg ne veulent pas d’un centre d’hébergement pour sans-abris


Habitants et associations du quartier de la Montagne verte à Strasbourg ont lancé une pétition contre un projet d’hébergement d’urgence souhaité par la ville. Les riverains dénoncent l’absence de concertation et le sabotage organisé d’un espace de vie à l’équilibre social déjà « fragile ».

« Nous organisons une fête de Noël, un nettoyage de printemps, des rencontres autour d’activités. Ici, c’est un petit village avec une identité très précise. « 

« Ce nouveau projet risque de faire baisser les prix de l’immobilier et la valeur des appartements. »

« Mes clients n’auront pas le choix, ils devront passer devant le centre, l’image du quartier va forcément s’en ressentir. »

 » Et les personnes hébergées ne vont pas être cantonnées à l’intérieur. Elles vont sortir et c’est bien logique. Des gens en situation de détresse et de précarité, cela va créer des problèmes. »

En cause, un projet de construction d’hébergement d’urgence d’une soixantaine de places à destination de sans-abris, de réfugiés ou de personnes précaires, prévu pour l’hiver 2024-2025





A Béziers, une marche « contre les idées d’extrême droite » dans la ville de Robert Ménard


Plusieurs centaines de personnes ont défilé « contre les idées d’extrême droite » ce mardi 23 avril à Béziers (Hérault), dont le maire proche de l’extrême droite Robert Ménard vient d’annoncer l’instauration d’un couvre-feu pour les mineurs de moins de 13 ans.

Si de tels rassemblements « donnent du courage », les manifestants sont nombreux à chercher d’autres idées pour barrer la route à l’extrême-droite.


Le « Nouveau Pacte sur la migration et l’asile » de l’Union européenne: un échec et une une honte


Pacte européen sur la migration et l’asile : un échec et une honte. Au terme d’un marathon législatif de presque quatre ans, ce texte qui permet de nombreuses dérogations au droit, marque la fin du régime d’asile européen commun : un scandale, selon le député européen et ancien maire de Grande-Synthe

Damien Carême. (Libération)

Le 8 février 2024, les représentants des États membres de l’UE ont approuvé les trois actes législatifs qui avaient déjà fait l’objet d’un accord entre le Conseil et le Parlement en 2022.

L’adoption définitive de l’ensemble du train de mesures devrait avoir lieu d’ici avril 2024.


Tout savoir sur le « Nouveau Pacte sur la migration et l’asile » de l’Union européenne

Relire notre article de septembre 2020

Gérald Darmanin annonce « la fin du droit du sol » à Mayotte


« Il ne sera plus possible de devenir français si on n’est pas soi-même enfant de parent français », a-t-il annoncé, assurant que cela « coupera littéralement l’attractivité » que peut avoir l’archipel mahorais pour les immigrés originaires des Comores.

Lire ICI


À Mayotte, Darmanin souhaite mettre fin au « droit du sol » pour calmer la colère des Mahorais


Fin du droit du sol à Mayotte : un collectif veut maintenir ses barrages jusqu’à ce que Gérald Darmanin « puisse donner un calendrier et des mesures »


Menaces sur le droit d’asile et sur les Associations à Mayotte

 

Comment Mayotte est devenue un territoire d’exception en France pour le droit des étrangers

Droit du sol à Mayotte : une révision constitutionnelle aussi complexe législativement que politiquement



Les extrêmes-droites, d’une seule voix, en profitent pour se lâcher…

 

Fin du droit du sol à Mayotte : « C’est un bon début », déclare Jordan Bardella, qui demande l’extension de la mesure pour « l’intégralité du pays »


Fin du droit du sol à Mayotte : « Il faut le supprimer dans toute la France », estime Éric Zemmour, président de Reconquête !