APRÈS LE BREXIT, LA FRANCE VEUT RENVOYER À L’ANGLETERRE SES GAUCHISTES
Un militant britannique, soutien des sans papiers à Calais, a été placé en rétention administrative avant une probable expulsion dans les prochains jours. Les associations dénoncent une tentative d’intimidation contre ceux qui aident les exilés.
Les autorités devraient libérer les journalistes, commentateurs et membres des partis d’opposition injustement emprisonnés
(Nairobi) – Les autorités judiciaires au Rwanda poursuivent des membres de l’opposition, journalistes et commentateurs pour leurs discours et opinions, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. En 2020 et 2021, Human Rights Watch a suivi plusieurs procès lors desquels les autorités judiciaires ont engagé des poursuites pour des motifs politiques et entretenu un climat d’intolérance à l’égard de la dissidence.
Vladimir Poutine mène aussi une guerre contre la liberté d’expression. Suite à l’invasion de l’Ukraine, les autorités russes ont déclenché une répression sans précédent contre le journalisme indépendant et les voix antiguerre.
Des milliers de personnes ont été arrêtées le 6 mars, et des manifestants sont maltraités en détention
(Berlin, le 9 mars 2022) – Les autorités russes ont arrêté de façon arbitraire des milliers de manifestants pacifiques lors de rassemblements anti-guerre à travers toute la Russie, dans la lignée de leur répression de plus en plus brutale à l’encontre de personnes qui s’opposent à l’offensive militaire de Moscou en Ukraine, a déclaré aujourd’hui Human Rights Watch.
Il y a un an, le Sénégal traversait la pire crise de son histoire récente. Suite à l’arrestation de l’opposant politique Ousmane Sonko, la jeunesse sénégalaise est descendue dans la rue : jour après jour, les manifestations ont gagné plusieurs villes du pays. Les autorités les ont réprimées dans la violence : usage excessif de la force, tirs de grenades lacrymogènes, tirs à balles réelles. 14 personnes ont été tuées. Un an après, ces crimes restent impunis. Les familles des victimes attendent justice et vous pouvez agir !
Les États-Unis et l’Union européenne ont simplement choisi de l’ignorer
En juin 2020, lorsqu’Évariste Ndayishimiye a prêté serment en tant que président du Burundi après le décès soudain de son prédécesseur violent et autocratique, Pierre Nkurunziza, il s’est engagé à « maintenir l’unité entre les Burundais » et à garantir « la paix et la justice pour tous ». Pourtant, depuis un an et demi, son gouvernement continue largement à marcher sur les pas de Pierre Nkurunziza. Il a intimidé et réprimé ses opposants, détenu et torturé ses détracteurs, et, comme l’atteste un nombre grandissant de preuves recueillies par des organisations internationales et burundaises de défense des droits, a tué et fait disparaître un grand nombre de personnes qu’il soupçonne de travailler avec l’opposition politique ou avec des groupes rebelles.
La «démarche participation citoyenne», encadrée par la gendarmerie et dans laquelle les voisins participent à la sécurité de quartiers, cristallise les inquiétudes. Plus de 5 000 communes en France ont adopté ce dispositif. Enquête.
Reporters sans frontières (RSF) appelle à la libération de Guo Feixiong, un défenseur historique de la liberté de la presse en Chine, qui la semaine dernière a été formellement accusé « d’incitation à la subversion du pouvoir de l’État » après plus d’un mois de détention.
La France est-elle devenue un système répressif ? Dans un ouvrage, Anne-Sophie Simpere d’Amnesty international et Pierre Januel, journaliste, reviennent sur vingt ans de libertés publiques progressivement rognées.
Le mouvement de contestation contre le pouvoir a été violemment réprimé par les autorités dans cette ancienne république soviétique. Le gouvernement a évoqué plusieurs « dizaines » de morts.
Les exécutions de condamnés mineurs au moment des faits se poursuivent et la répression des militants qui critiquent la République islamique s’accroît.
Après l’« Apple Daily » et « Stand News », « CitizenNews » vient, à son tour, d’annoncer la cessation de ses activités. Le climat pour la presse s’est considérablement dégradé avec la répression qui a suivi la mobilisation populaire de 2019.
Près de deux ans après le début du mouvement de contestation, les manifestations ont cessé mais les condamnations continuent de pleuvoir sur les militants, journalistes et défenseurs des droits humains.
D’importantes manifestations ont éclaté en Colombie depuis avril. Elles ont été réprimées violemment par les autorités. Retour dans la ville de Cali, épicentre de la contestation.
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